Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 17:08

SEXO VIVRE SA SEXUALITE (92  HANDI

 

Combien on aimerait aborder une telle vie, pleine d'amour et d'enthousiasme à deux

Quand j’ai connu Antoine, j’avais tout juste dix-huit ans, et les circonstances étaient loin d’être agréables. C’était dans un hôpital en Seine-et-Marne où j’avais été transporté, suite à un accident de mobylette. J’étais dans un sale état: traumatisme crânien, et la moelle épinière touchée. Quand je suis sorti du coma, la première chose que j’ai vue, ce sont ses yeux. J’ai cru tout d’abord que c’était mon père. J’ai toujours vécu seul avec ma mère, mon père nous a quittés quand j’étais petit, mais j’ai gardé un souvenir très vif de lui, et l’espoir qu’un jour il reviendrait. Dans ma demi-conscience, j’ai pensé que c’était lui, et je l’ai appelé “papa". En réalité, il était infirmier, et parallèlement terminait des études de kinési.

Je ne vous raconterai pas mes premières semaines à l’hôpital, les douleurs, les médicaments, la demi-conscience, et puis cette horrible nouvelle: j’allais rester paralysé des deux jambes. Cette période de ma vie tient du cauchemar, et je n’aime pas me la rappeler. Heureusement qu’il était là, lui. Silencieux, patient, réellement paternel, c’est lui qui m’a aidé à vivre ces moments douloureux, plus encore que ma mère qui venait me voir chaque jour. Lorsque j’avais des courbatures, il me massait. Quand je déprimais, il savait trouver les mots qui me rassuraient. Mais ce que j'aimais le plus, c’était le soir, quand il venait s'asseoir près de moi et me tenait la main. Tous les grands malades vous le diront: quand tombe la nuit, l’angoisse devient insupportable. Il se mettait entre moi et la fenêtre, entre moi et l’obscurité et je ne voyais plus que lui, sa haute silhouette se découpant sur le fond noir, ses larges épaules, son cou un peu massif, ses yeux pleins de douceur.

Au bout d’un mois et demi, on a commencé la rééducation. Il a insisté pour s’occuper lui-même de moi (il n’était encore que stagiaire, mais vu son âge, trente-deux ans, la direction de l'hôpital lui faisait confiance), et je dois dire que si j'ai fait des progrès, si j’ai trouvé le courage de réagir, de lutter pour essayer de m'en sortir, c’est grâce à lui. Il m’a insufflé sa volonté avec une patience extraordinaire. Il m'était devenu complètement indispensable, et je me raccrochais à lui comme un noyé à une bouée. Je ne me souviens pas exactement à quel moment j'ai compris que je l'aimais. C’est venu très progressivement. Mais un soir, alors qu'il me massait les cuisses pour m'aider à m'endormir, j'ai senti ses mains qui montaient plus haut. C'était exactement ce que je souhaitais, sans en avoir vraiment conscience. Je ne portais pas de slip, et il m’avait baissé mon pantalon de pyjama. Il a donc pu voir instantanément l'effet qu'il me produisait. Ma bite s'est dressée, brillante, comme pour le supplier de l'apaiser. Jusque là, je n'avais pas vraiment eu de vie sexuelle: deux filles, vite fait, dans des boums, et jamais de garçons. Il m'a regardé dans les yeux en hésitant, j'ai fait oui de la tête, sans parler, et il a empaumé mon sexe.

Un bonheur extraordinaire m'a saisi. Il avait les mains si chaudes, si douces, c'était si bon, si tendre! Il m'a branlé et très vite je lui ai joui entre les doigts. Après, il m'a essuyé, m'a souri, et m’a dit “merci” avant de s’en aller. J'ai bien dormi, cette nuit-là. Et pour la première fois depuis mon accident, je me sentais heureux.

À partir de ce jour, tous les soirs il a recommencé la même séance. Il ne demandait rien pour lui, ne parlait pas: il me masturbait avec une délicatesse extrême, me lavait, puis partait. Et le lendemain, il n’était question de rien. Une fois, il devait y avoir une quinzaine de jours que durait notre manège, je n'ai pas résisté, je lui ai dit:

— Papa, je t'aime!

Il a craqué. Il m'a pris dans ses bras, et nous nous sommes embrassés avec passion. Après ça, il m'a sucé et j'ai cru mourir de plaisir: c'était ma première fellation, et je ne pensais pas qu'on puisse éprouver autant de plaisir. J'en ai pleuré de bonheur.

Nous sommes devenus vraiment amants. Il venait me retrouver toutes les nuits, et m’a appris à faire l’amour. Avec la même patience et la même délicatesse que d'habitude, il m'a initié à tous les raffinements de la chair. J'ai adoré le goût de sa queue, de son sperme dont il m'arrosait généreusement le palais. Il me léchait le corps à petits coups de langue précis, s’attardant sur mes seins qu'il a rendus très sensibles à force de les titiller, dans mon anus qu'il a préparé pendant des jours et des jours avant de le dépuceler. Quelle extraordinaire jouissance, d'être pénétré par la chair de l'homme qu'on aime, de le sentir en soi, profond, le cul écartelé, suant, tandis qu'il vous masse les couilles et vous branle! Il n'y a pas de mot pour exprimer cela! Antoine, mon Antoine, par son amour, avait transformé le cauchemar de mon séjour à l'hôpital, de mon handicap, en un merveilleux rêve érotique.

Il y a déjà quatre ans de cela. Aujourd’hui, nous vivons ensemble. Antoine a ouvert un cabinet de kiné à Toulouse, et moi j'ai repris mes études: je termine mon droit. Je circule en chaise roulante, mais son amour m’a permis de surmonter tous les traumatismes liés à mon handicap, et nous vivons une merveilleuse, une extraordinaire histoire d'amour.

Antoine, mon chéri, mon adoré, si j’ai écrit notre histoire c’est pour que tout le monde sache ce que tu as fait pour moi, à quel point tu m’es précieux, et l’homme exceptionnel que tu es! Tu es un être de tendresse et de volupté. Ma vie aurait pu être un enfer, grâce à toi. Papa, elle est un paradis. Par jeu, je t’appelle souvent papa, et tu aimes. On dirait même que ça t'excite, car tu bandes toujours quand je te donne ce nom-là. Et tu en es plus digne que quiconque, car tu m’as vraiment fait naître une seconde fois. Sans toi, je ne serais qu’une loque désespérée, un pauvre infirme sans espoir. Tu as fait de moi un homme heureux, qui envisage la vie avec confiance. Mon coeur, mes couilles, ma bite, ma chair sont à toi pour toujours, mon amour! Je te donne ma vie, elle t’appartient depuis la seconde où je t’ai rencontré, et mon seul désir au monde est de t’appartenir jusqu'à la mort. Lorsque j'entends des cons critiquer l’homosexualité, j’ai envie de leur dire: "Regardez-moi! L’amour que m’a donné mon Antoine, aucun être au monde n'aurait été capable de me le donner, et le plaisir, le plaisir qui embellit notre vie, ce qu’il a su tirer de mon corps pourtant diminué par l'accident, qui aurait pu me l'apporter?"

Jamais je ne te le répéterai assez, Antoine: je t'aime, je t’aime! Papa, je t’aime et je t'aimerai toujours!

 

Par claudio - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 06:02
VIDEO DU JOUR (255)  Amour à trois devant l'objectif 13 mn
Objectif lune !
 
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 05:22

RECIT : QUAND LE MAL EST FAIT...inceste (fiction)

 

Lui                                             Moi...

  J’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

 

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisis au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À presque 18 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi.

  

 

 

 

C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du lycée, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son lycée où, à 17 ans, il est en seconde. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

 

 

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, la plupart des jeunes sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

 

 

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 04:42

 PHOTOSERIES  (97)  thème entre terre et ciel les vignes du seigneur à trois

 

Salut ! jk'espère bien avoir votre avis

 

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Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE
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Mardi 20 août 2 20 /08 /Août 11:37
VIDEOGAY 254
Il y a pas mal de VRAI là dedans
Nom de nom, c'est bon. Des gros plans quand il faut. Dialogue éloquent. Expressions des visages bien rendue.
 Baise superbe de 12 mn avec pelles, dosage abondant et baratté...
Tops et bottomsvous mouillez c'est normal.
Posiotionnez-vous à 3mn 15 pour la premièrte pénétration du bottom poil ras par le  top chevelu
 
Beau et bon. Ne soyons pas bégueules !
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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