On ne se trompe pas sur la manière de tourner de Jean Daniel Cadinot le manque de moyens de l'époque apporte forcément moins de lissage, mais
plus de vérité chez les acteurs
TEXTE GAY Une partie de strip-poker gay interracial.
Vers 23h00, Yacine lance son idée. Mérouane et Abdoulaye sont OK. Celui qui gagne choisit qui enlève une fringue. Et après, on verra… Abdoulaye gagne les cinq
premières parties et se concentre sur Mérouane et Yacine. Sans chaussures, ni chaussettes tous les deux, c’est Mérouane qui doit enlever sa veste de survêtement. Son débardeur moulant, mais
surtout ses touffes sous les aisselles me font bander illico. J’en gagne deux. Je demande alors à Abdoulaye de se retrouver pieds nus. Voyant cela, il se concentre pour gagner les trois suivantes
et c’est moi qui enlève chaussures, chaussettes et veste. Les deux frangins commencent à tirer la gueule.
Coup de bol, Mérouane en gagne deux et se venge sur Abdoulaye : veste en moins et surtout son tee-shirt. Je découvre alors le corps musclé du jeune black :
totalement imberbe hormis une petite touffe frisée sous les bras, taillé en V, de superbes pectoraux et une plaque de chocolat en guise d’abdominaux, à croquer. « Bon, ça devient sérieux les
gars, » dit-il en rigolant. Il gagne les trois suivantes, mettant Yacine d’abord torse nu, puis en boxer. Je vois bien sa gaule car il est assis à côté de moi. Mérouane et Abdoulaye nous font
face. Le plus jeune des frangins commence à transpirer. C’est moi qui gagne la suivante. « Allez, Mérouane, à toi de nous montrer ton torse. » Ni une, ni deux, il se lève et enlève lentement son
débardeur de foot, à la façon gogo dancer. On éclate de rire. « Hé bien, les frangins, y’a de quoi faire de la moquette avec tous vos poils ! » dis-je.
Carte secrète ...
« T’as pas encore vu leur putain de cul ! » dit Abdoulaye qui ne connait pas encore mes relations avec les deux frères. « Ah oui ? » réponds-je. « À ce point là ? »
« Ouais. Laisse-moi gagner, tu vas voir… » « Aucune chance, mec, » nous dit Yacine. « C’est toi qui va finir à poils avant nous. » « Peut-être, mais tu sais que de ce côté-là, c’est moi qui vous
bat… » Ça commence à bien chauffer… Yacine nous sort une suite dans la foulée et demande à Abdoulaye de virer son jeans. Pris au jeu, il se dandine en chantant et se retrouve en boxer CK. Il
attrape sa queue à travers le tissu et dit à Yacine : « Va falloir que tu viennes la chercher, celle là ! » Mérouane ne dit rien, et pour cause. Il gagne la partie suivante et me demande de virer
ma chemisette. Je fais mon numéro de strip en gonflant mes biceps. Après deux minutes de fou rire, le jeu s’intensifie. Abdoulaye gagne encore et je me retrouve en shorty. « On est à égalité, les
mecs, » dit-il. Je remarque que nous avons tous la gaule. Je connais celles de Mérouane et de Yacine, mais celle d’Abdoulaye que je veux voir. Tour suivant. Yacine montre son brelan, sûr de
gagner. « Prépare-toi, blackie ! » Mérouane jette de rage sa paire d’as sur la table. Puis je sors un carré de huit. Je souris. On attend tous le jeu du malien : quinte flush ! « Merde ! » crie
Yacine. « Tu vas être le premier à nous montrer ton zgeg, Yacine ! » Il se retourne et descend lentement son boxer. Son beau petit cul poilu apparaît. Il se penche lentement, nous montrant sa
raie aussi velue. « J’t’avais dit, Pascal ! Une vraie forêt vierge ! » Le jeune beur se retourne, la bite à moitié gonflée de plaisir. « Waoow ! Déjà en forme, frangin ! » Dit Mérouane. « Tu
perds rien pour attendre… »
Effectivement, Yacine gagne et demande à son frangin de virer son sous-vêtement, même s’il avait « promis » à son pote black d’être le premier. Cette fois, Mérouane
est carrément raide lorsqu’il se retourne après nous avoir lui aussi montré ses fesses velues. Abdoulaye semble à l’aise avec les deux frères, car il lui chope la queue et la flatte. « Toujours
en forme, mon pote ! » Du coup, Yacine, voyant cela, bande d’un seul coup. « Hé bé, quel effet tu lui fais ! » dis-je à Mérouane. Le coup d’après est décisif : qui de moi ou du malien va devoir
montrer sa bite aux autres ? À moins que… Yacine et Mérouane tirent tous les deux une paire de valets et gagnent. Ils se regardent en souriant. « Je propose que vous enleviez vos sous-vêtements,
mais chacun enlève celui de l’autre. » Je suis un peu surpris, mais pas du tout contre. Abdoulaye non plus.
Nous nous levons et nous mettons face à face. Je penche ma bouche vers son oreille et lui chuchote : « Si t’es OK, on se fait ça « hot » pour les chauffer. Laisse
moi faire et suis moi. » Il me fait sourit et me fait signe OK de la tête. Je demande à Yacine de nous mettre un CD de musique douce. Je m’approche du jeune black et pose mes mains sur son torse.
Sa peau noire est chaude. Je caresse ses pectoraux et je sens sous mes doigts ses tétons se raidir. Lui n’est pas en reste. Il pose ses grandes mains sur mes deux globes et me pelote le cul à
travers mon shorty. Nous nous regardons droit dans les yeux et je sens qu’il est bien branché. Mes mains descendent sur les abdominaux qu’il tend pour bien les montrer à ses potes. Je glisse un
doigt de chaque côté de son CK et le descend doucement, juste à la limite de sa toison pubienne. Lui a remonté une main sur mon dos et glissé l’autre sous le tissu.
Il se penche à mon oreille et chuchote à son tour : « T’es pas aussi poilu qu’eux, mais je sens que ça va me plaire aussi. » La musique d’ambiance fait monter la
tension. Je vois Yacine et Mérouane ne pas perdre une miette du spectacle, la main sur la bite. Je descends encore son CK. Sa grosse bite noire se dresse alors, se plaquant contre son ventre. Mes
mains passent sur ses fesses imberbes et bien rondes. C’est alors qu’il approche ses lèvres des miennes et me roule un patin. Je ne m’y attendais pas ! Mais quelle bouffée de chaleur m’envahit
alors ! Dans le même temps, il descend aussi mon shorty et nos bites se touchent. Le patin dure trente secondes, mais quelles secondes ! Abdoulaye s’écarte alors de moi en souriant et se tourne
vers les frangins : « Ça vous allait comme ça ? »
Mérouane et Yacine restent sans voix. Nous nous rasseyons, la bite tous les quatre au garde à vous. « On continue ? » dis-je. Abdoulaye prend les cartes et
redistribue. « Chacun est libre d’imaginer les gages maintenant, mais ce sont les deux perdants qui ont le gage… » Il est malin, ce malien ! C’est lui qui gagne et Yacine deuxième. « OK. Pascal,
je suis sûr que tu meures d’envie de bouffer le cul de Mérouane. » Tu parles ! Celui-ci se met sans problème à quatre pattes et je peux enfin toucher son putain de cul super poilu. Je prends bien
évidemment mon temps à passer et repasser mes mains à travers ces poils, descendant de temps en temps sous ses burnes lourdes. Puis doucement, j’écarte les deux globes et admire cette colonne
noire de poils qui pousse dans sa raie. Ma langue ne tarde pas à s’y engouffrer et se délecter du doux parfum de mâle qui en émane. J’entends Mérouane qui gémit un peu, mais aussi Yacine. Je
tourne la tête, et vois Abdoulaye en train de faire la même chose avec le cul du frangin de Mérouane.
Le jeune black a une superbe langue qu’il fait pénétrer doucement dans le cul de Yacine. Du coup, je passe au stade suivant et introduis la mienne dans l’anus velu
du jeune beur. Je lui caresse le bas du dos d’une main et attrape sa belle queue de rebeu pour l’astiquer. Les poils de son cul frottent mes joues et je monte en pleine puissance. Je ne m’occupe
plus des deux autres et titille du bout de la langue les points sensibles de Mérouane. Il remue du cul, gémit de plus en plus fort, me demandant de continuer plus avant. Je lui demande de se
mettre sur les coudes afin de surélever ses fesses. Je chope une capote (j’avais prévu le coup, elles sont sur la table du salon) et présente mon sexe raide à l’entrée de cette merveille
poilue.
Abdoulaye me fait signe de lui en donner une. Je vois alors sa grosse bite noire bien raide et ça m’excite encore plus. Un peu de gel dans l’anus de Mérouane et je
le pénètre doucement. Abdoulaye se donne moins de peine et je vois sa matraque entrer en entier dans le cul de Yacine qui pousse un petit cri. Il reste sans mouvement, attendant que je
m’introduise dans le plus vieux des deux frangins. Lorsque je suis prêt, nous commençons tous les deux à activer nos bassins. D’abord doucement, puis accélération, chacun de nous deux cherchant à
faire jouir son partenaire le premier. Yacine et Mérouane sont en transe et nous balance des phrases pour nous encourager à les défoncer encore plus. J’attrape ma « monture » par la poitrine,
profitant encore plus de sa toison brune et accélère mes va-et-vient.
Je jette un coup d’œil à Abdoulaye, tout sourire, et je vois son énorme bite entrer et sortir du cul de Yacine. Pendant encore cinq bonnes minutes, on n’entend plus
que les burnes du jeune black et les miennes claquer sur les fesses velues des deux beurs. Puis dans un cri presque synchronisé, nous lâchons notre purée respective dans les capotes. Une minute
plus tard, nous sommes tous les quatre allongés sur le sol, EPUISES ! ¤
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