Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 23:41
l'homme aux 1000 doses 4,5litres injectés (10e minute)
Par claudio - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 23:07
l'homme aux 1000 doses 4,5litres injectés (10e minute) 
        
 
 
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : CONNAISONS NOS FRERES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 05:42
VIDEOGAY (260) 34 mn de bonheur : les dialogues cessent dès la 4e minute...
 
 
F.A.N.T.A.S.M.E.S.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 24 août 6 24 /08 /Août 05:26

RECITS FICTIONS FANTASMES... (53) le sperme lui monte à la gorge  rien ne remplacera jamais la générosité d'un père

   glucotoby: open ass, ready for more fun

— Arrête... !

— ...

— Arrête, Romain... !

— ...

— Romain, arrête, je te dis.. !!

— Pourquoi ? T'aimes pas çà, Bébé... ?

Profitant sans vergogne de la promiscuité de l'endroit et de la chaleur de ce jour d'été qui avait conduit le jeune Cédric Lemouillé à préférer un short plutôt que des pantalons longs, Romain caressait d'un doigt de plus en plus inquisiteur le petit trou du garçon. Sur la ligne 9 du métro parisien. A six heures du soir. Sous la pression insistante du majeur de Romain, les lèvres s'entre-ouvraient complaisamment et, déjà, la réaction ne se faisait pas attendre. Cédric mouillait. Abondamment. Romain, fidèle à sa coutumière délicatesse, ne se priva de le faire savoir au garçon, ainsi qu'à la plupart des voyageurs qui les entouraient.

— Pourtant... t'es tout mouillé, Bébé... !

Un vieux monsieur, tout près d'eux, leur décocha un regard furieux.

— Si, je t'assure... t'es tout mouillé ! Tiens, regarde !

Romain brandissait à présent son majeur sous le nez de Cédric, dont les joues, déjà enflammées par l'excitation grandissante, prirent soudain la teinte des tomates bien mûres. Romain porta son doigt à la bouche, puis, après l'avoir sucé avec des mines gourmandes, entreprit de le remettre en place, dans le trou brûlant de Cédric, sous son short. Quittant une station, le train venait de redémarrer. Pour en couvrir le vacarme, Romain crût bon de hausser le ton.

— Me dis pas que t'aimes pas çà... çà rentre tout seul !

Cedric, en effet, malgré lui, se cambrait. Le doigt épais de Romain était tout entier en lui et, quand il se mit à le faire bouger d'avant en arrière, Cédric sût qu'il était perdu.

— Tu viens chez moi, Bébé ? Mes vieux sont pas là, ce soir... !

— Non, je...

— Me dis pas que t'as pas envie... tu mouilles, je te dis... !

Le vieux monsieur près d'eux s'étranglait de rage.

— C'est pas çà, je... c'est vendredi et mon père... Cédric se mordit les joues.

— Viens, tu sais que j'en ai une grosse... je te la mettrai bien profond dans la chatte, comme tu aimes... !

— Non, je... Cédric fit de son mieux pour ne pas donner la satisfaction à ce paon vaniteux de Romain de savoir qu'il l'avait fait jouir, là, debout dans ce wagon de métro bondé. Il venait pourtant de mouiller son short. Romain, bien sûr, s'en aperçût.

— Tu vois ? Tu vois ? Tu as joui... juste avec mon doigt ! Tu vas voir comment je vais te faire jouir, quand je vais te la...

— Vous ne pourriez pas aller faire çà chez vous, espèce de... de.. petits pervers !

— Ben... c'est lui qui veut pas... !

Le train parvenait à un autre arrêt. Il restait à Cédric deux stations avant son arrêt. Tant pis. Il descendit. Il finirait à pied. Quel con, ce Romain. Tout çà parce qu'il avait dix-neuf ans... il s'imaginait qu'il n'avait qu'à claquer des doigts pour que Cédric... Romain et ses "Bébé", ses plaisanteries débiles : "Cédric, si tu sais comment le prendre, c'est un très gentil garçon. Ce qu'il préfère, c'est à 4 pattes !" Ah, ah... et encore... "Cédric, faut te méfier : tu lui donnes un doigt, il te prends la main. Jusqu'au coude !" Ah, ah... Lui est ses copains avaient fermement établi la réputation de Cédric au collège, mais tant pis. C'était le prix à payer. Mais le pire était qu'il avait raison, ce con de Romain. Juste à claquer des doigts.

— Bon... on se voit mercredi, comme d'hab ? Y'aura Simon, aussi... t'aimes bien quand il y a Simon, aussi, hein... ?

Cédric ne se retourna pas. Romain criait assez fort pour que la moitié au moins du wagon l'entendit. Avant que les portes ne se referment, Cédric pût encore l'entendre ajouter...

— C'est dommage... tu sais pas ce que tu perds, Bébé... j'ai une de ces triques, putain !

Le pire de tout était que ce con de Romain avait raison. Cédric en mourait d'envie. Romain, à 19 ans, était monté comme un âne, même s'il était aussi con. Romain baisait bien. Romain était tout le temps prêt à baiser et çà faisait parfaitement l'affaire de Cédric, qui, lui, avait tout le temps envie de se faire baiser. Ca en devenait presque effrayant, mais depuis deux ans maintenant, depuis ses 14 ans, Cédric ne pensait qu'à çà. C'était devenu une obsession. Se faire baiser. Fourrer. Remplir. Enculer.

T'aimes çà, hein... te faire enculer ? lui répètait souvent Romain avec beaucoup de poésie. Il lui avait posé la question un bon millier de fois, depuis ce jour où il avait utilisé la phrase pour l'aborder dans les vestiaires du gymnase. Il le lui demandait souvent, en tous lieux, pour le plaisir de recevoir l'acquiescement, pourtant souvent muet, de Cédric. Il le lui demandait aussi souvent au moment le plus inutile, lorsqu'il avait sa bite énorme fichée au fond du petit trou en feu de Cédric.

Oui, Cédric aimait se faire enculer.

Il ne pouvait même pas prétendre qu'il n'aimait pas qu'on le lui demande. La honte même qui s'emparait de lui lorsqu'il devait avouer que, oui, il aimait se faire enculer, lui était délicieuse. T'aimes çà, hein... te faire enculer ? Cédric rougissait, baissait les yeux et, docilement, tendait ses fesses, offrait son cul. C'était si bon. Quelques minutes - ou quelques heures - plus tard, quand son baiseur, tout prêt alors de se vider en lui, lui posait à nouveau la même question, sur un ton qui n'avait plus rien d'interrogateur cette fois... T'aimes çà, hein... t'aimes çà, te faire enculer ? Cédric ne manquait jamais de jouir une fois de plus, même si, comme il est normal à 16 ans, il avait déjà joui 3 ou 4 fois depuis que le garçon allait et venait en lui.

Cédric aimait se faire enculer, et c'était même ce qu'il aimait le mieux.

Heureusement, il y avait son père.

Comment expliquer cela à ce con de Romain ? Son père avait été le premier homme à fourrer une bite dont la taille ridiculisait la grosse queue de Romain dans son petit trou vierge et cela avait été un éblouissement pour Cédric. La pénétration, pour douloureuse qu'elle fût au début, avait transporté rapidement le jeune Cédric au Paradis des Enculés, dont il n'était jamais redescendu depuis. Son père était un baiseur extraordinaire, extraordinairement endurant, extraordinairement doué. Bien sûr, il y avait le fait qu'il était son père et cela était loin d'être étranger au plaisir de Cédric - oh, se faire enculer par son propre père, cela semblait si merveilleusement pervers au garçon... - mais quand même. François Lemouillé, le père de Cédric, était un mâle hors normes, comme on en rencontre peu et, même à son jeune âge, le garçon réalisait bien quelle était sa chance de se faire monter par un tel étalon. Tous les jours. Plusieurs fois.

Cédric, avec l'expérience survenue par la suite et les comparaisons qu'elle avait permises, avait pu mieux encore apprécier les talents paternels et la générosité avec laquelle ils étaient dispensés. Cette première nuit, alors que son père se retirait de lui, laissant s'écouler de sa chatte béante et soudain vide un abondant trop plein de sperme et que Cédric croyait ne jamais pouvoir atteindre plus grande extase, plus complète satisfaction, plus total bonheur que celui que son père venait de lui procurer, quelle n'avait pas été sa surprise de voir, après un bref passage à la salle de bains, son père lui revenir aussi raide et aussi monstrueusement énorme, pour le pénétrer mieux encore et plus longtemps. Le garçon avait hurlé de plaisir à chacun des coups de rein de son géniteur. Trois autres fois dans la nuit, son père l'avait baisé, pour finalement se vider en sa bouche au petit matin.

Depuis, l'ardeur de François Lemouillé pour son fils n'avait jamais faibli, pas plus que l'adoration de Cédric pour son père ne s'était démentie. En dépit des questions répétées de Romain - et de bien d'autres - se faire enculer, pour Cédric, c'était surtout et avant tout se faire enculer par son père. Celui-ci, bien sûr, connaissait tout des aventures de son fils et les approuvait sans retenue. Comment en vouloir à un aussi beau garçon que son fils d'attirer irrésistiblement tout ce qui porte des couilles alentour ? Aussi longtemps que Cédric s'allongeait avec empressement sous lui lorsqu'ils allaient au lit le soir, se faisait baiser avec enthousiasme une ou deux fois au cours de la nuit et, le plus souvent, lui offrait encore docilement sa chatte de garçon le matin avant qu'il ne parte au bureau, François Lemouillé n'y voyait rien à redire.

Ce con prétentieux de Romain avec sa grosse bite, pas plus que tous les autres, n'avaient pas besoin de savoir. Ils n'étaient que cela pour Cédric : des bites. Son père était son amant.

Or, aujourd'hui, on était vendredi et, le vendredi, François Lemouillé rentrait généralement tôt du bureau, ce qui lui donnait le temps de fourrer le monstrueux engin qui lui tenait lieu de queue une fois de plus entre les fesses du gamin. Cédric n'aurait voulu manquer çà pour rien au monde, et surtout pas pour un coup de bite de Romain. De retour à la maison, Cédric prit une douche, effaça toute trace de l'aventure du métro, lubrifia l'intérieur de son petit trou, un peu mais pas trop : il aimait bien sentir son père dans toute sa force et sa majesté, se brossa les dents avec soin et, nu, alla s'allonger dans le vaste lit qu'il partageait avec son père et qui abritait leurs ébats incestueux.

Bientôt, son portable, en sonnant, l'éveilla. Cédric s'était assoupi.

— Chéri, c'est moi...

— Papa...

— Mon amour, je vais être un peu en retard, je suis encore au bureau, mais j'arrive bientôt... !

— Papa... je t'attends, Papa...

— Je sais, mon chéri, mon amour... je sais... souffla François Lemouillé, la voix soudain rauque.

— Papa... viens vite... !

— J'arrive, mon amour... ne fais rien pour le dîner, hein ? Je t'emmène au restaurant... après !

Cédric entendit une voix d'homme s'exclamer derrière son père, sans doute un de ses collègues...

— Oh la la, dis-donc... çà va être chaud ce soir, on dirait ! Y'a de la baise dans l'air...

— Qu'est-ce que tu racontes, Franck... ? Tu penses vraiment qu'à çà... C'est mon fils... c'est Cédric... !

— C'est çà, oui ... c'est çà ! Je te crois, mon pote... Ben dis-donc, tu l'aimes beaucoup, beaucoup, hein, ton fils... !

— Oui, justement, mon vieux... Je l'aime beaucoup, beaucoup, mon Cédric, figure-toi... ! Cédric ? Tiens, je te passe Franck Chaudemanche un instant. C'est un collègue et cet idiot ne veut pas croire que c'est mon fiston que j'appelle...

— Allo ?

— Allô, oui....?

— Euh... c'est Franck Chaudemanche... vous... euh.... tu es...

— Bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck... c'est Cédric. Papa rentre bientôt ? Vous avez bientôt fini, au bureau...?

— Euh, oui... euh...

— ... parce que j'ai hâte qu'il rentre ! Je l'attends !

— Ah ? Ben, euh... ne quittez pas, enfin, je veux dire... ne quitte pas, je te repasse... ton père !

— Non, non, c'est inutile. Dites-lui juste, s'il vous plait Franck que... j'ai très, très hâte qu'il soit là...

— Euh, oui...

— ... qu'il a fait chaud aujourd'hui... toute la journée... et que j'ai eu envie de... de le voir toute la journée... ! souffla Cédric.

— C'est ton fils... il... il dit qu'il a hâte que tu rentres... qu'il a été chaud aujourd'hui toute la journée et qu'il a eu envie de toi toute la j... euh... envie de te voir toute la journée et que...

Cédric raccrocha.

* * *

— Bonjour Madame... euh, Mademoiselle...

— Jeune homme...??

— Je m'appelle Cédric Lemouillé et je....

— Vous vouliez voir votre Papa ? Monsieur Lemouillé est en réunion. Si vous voulez vous asseoir et l'attendre...

— Oui, merci... euh, non... est-ce je pourrais voir Monsieur Chaudemanche, Monsieur Franck Chaudemanche... si c'est possible ?

— Je vais voir... Allô, Monsieur Chaudemanche ? C'est Sonia... j'ai le petit Lemouillé qui est là et qui... non, Cédric Lemouillé, le fils de Monsieur Lemouillé, qui voudrait... Non, je ne sais pas ce qu'il veut, Monsieur Chaudemanche. Oui... bon... oui, d'accord. Vous pouvez entrer, jeune homme...

* * *

— Euh... bonjour, euh... Cédric, c'est çà, hein ? On s'est, euh... vu au téléphone... l'autre jour, non ?

— Oui, c'est bien çà... bonjour Monsieur Chaudemanche... Franck.

— Qu'est-ce que je, euh...

— Et bien... j'étais venu voir mon père, mais il est en réunion et votre secrétaire m'a dit que çà vous ferait plaisir que je l'attende ici... avec vous... Franck !

— Elle... elle a dit çà ?

— Non, pas exactement, mais c'est ce que j'ai compris. Ca ne vous pas plaisir, Franck, qu'on attende Papa... ensemble ?

— Si, si bien sûr, mais euh...

— Vous êtes tout à fait comme je t'imaginais... Franck ! Je veux dire... avec la voix...

— Ah... oui ?

— Oui... grave, mâle, virile...

— Oui ? Euh...

— Chaude.

— ...

— Oui... chaude... comme quand... y'a de la baise dans l'air.... comme tu disais l'autre jour... quand on s'est vu au téléphone... Franck !

— Hein ? Qu'est-ce que... ?

— Tu trouves pas qu'il fait chaud, Franck ? Non ? Si ? On dirait vraiment qu'il y a de la baise dans l'air... tu trouves pas ?

— Mais je... qu'est-ce que tu... ma ceinture... !

— Ben dis-donc... y'en a des boutons... à ton pantalon... !

— Arrête... je suis pas.... écoute, non... !!

— Ah, la braguette, au moins, c'est une fermeture éclair... c'est plus facile... ! C'est pas grave, si on le laisse là sur la moquette, ton pantalon, Franck ? Elle a l'air très propre, la moquette de ton bureau... !

— Mais... écoute relève-toi... je ne sais pas ce que tu... mais je suis... marié, j'ai des gosses, moi... et je... non, arrête !

— Tu mets des caleçons ? Mon père aussi, il mets des caleçons. J'adore çà, les mecs qui mettent des caleçons... Je trouve çà viril !

— Ecoute... si ton père te... non... arrête... non, pas ici !

— Dis-donc, Franck... c'est vrai, ce que dit Papa ? C'est vrai que tu penses qu'à çà ? Fais voir ? Oh la la, Franck... dis-donc... elle est é-nor-me ! Ben tu vois, tu bandes déjà... et dur avec çà... !

— Je... c'est ma femme... elle attend notre deuxième... Ca fait des semaines qu'on n'a rien fait, alors je...

— Oui, oui, Franck, bien sûr... je comprends, bien sûr. Là... et comme çà, çà va mieux, Franck...?

— Oh putain... !

— ...

— Oh puuuuutaaaainnnnn !!

— ...

— Oooooohhhhhh putain de putain de putain !

— ...

— Quelle bouche... ! Tu suces bien, dis-donc... je veux dire... pour un garçon...! Putain... je le crois pas... doucement, doucement... ou bien je vais... Oh putain ! Oui, jusqu'aux couilles... jusqu'aux couilles ! Merde, c'est mon portable qui sonne...?

— Non, Franck, c'est le mien... Allô ? Oui... oui, tout va bien... et toi ? Oui, oui bien sûr... ne quitte pas, je te le passe, Papa ! Tiens, Franck, c'est Papa...

— Quoi ? Hein, mais qu'est-ce que tu veux que... hein ? Allô... oui, François... oui... écoute François, c'est pas ce que tu pourrais croire... ne va pas t'imaginer que, euh... je veux dire...

— Franck ?... Comment va, mon Francky ? Comment çà se passe ? Cédric est gentil avec toi ?

— Ecoute, François... c'est pas du tout ce que tu crois, c'est juste Cédric... ton fils qui, euh... passait par là et...

— Oui ?

— Et bien... il avait un problème avec un devoir de... d'anglais et, comme tu sais je... je m'occupe de l'international dans la boite, alors...

— Laisse tomber, Francky. Cédric a pris allemand en première langue. En parlant de langue, il était en train de te sucer, non... ?

— François, je t'assure... c'est lui qui... moi je voulais pas... c'est ma femme qui... !

— Laisse tomber, je te dis, Franck. Tu sais, Cédric, il suce jamais aussi bien que quand il se fait baiser. Une bite à chaque bout, c'est ce qu'il aime. Autrement dit, c'est quand on le défonce qu'il se défonce le mieux ! C'est chacun son truc, hein Francky ? Alors... dans ton intérêt, qu'est-ce que tu dirais si je le baisais pendant qu'il te suce, hein, Francky ? Tu vas voir, çà fait une différence, je t'assure... et puis, ne sois pas égoïste, Franck : penses au petit ! Et aussi à ton vieux pote François, hein...?

— François, écoute, je...

— Bon, et maintenant si tu disais à cette conne de Sonia qu'elle me laisse entrer dans ton bureau, hein, mon vieux Franck ? D'accord ?

— Oui, euh... si tu veux. D'accord, François... si tu crois... Allô ? Allô, c'est cette conne de Sonia ? Oh pardon, c'est Sonia ? Oui, euh... Sonia, s'il vous plait, faites pénétrer Monsieur Lemouillé dans mon bureau... je veux dire, faites entrer... oui, le petit Lemouillé l'attends... non le petit Lemouillé... oui, son fils... non, lui il est déjà entré, c'est pour le pénétrer... non Lemouillé, c'est son nom, Sonia... C'est vrai que vous êtes un peu conne par moments, Sonia, quand même... ! Ah et puis dites aux gens de la compta que je les verrai demain, hein ? Oui demain, même si c'est dimanche, Sonia.

* * *

— Ah oui, c'est vrai : tu l'avais jamais vu ? Et Cédric ne t'a pas prévenu ? Oui, je sais, la première fois, la taille surprend toujours. Après on s'habitue. Bon, fais comme si je n'étais pas là, mon pote... reprend où tu en étais... ! Cédric, mon grand, penche-toi un peu plus... là, comme çà. Regarde notre ami Franck... comme il t'attends ...

— Oh... oh... oooooohhh là, ohlaoahlaoahla... !

— Tranquille, Frankie, tranquille... !

— Putain... !

— Oui, Franck. Tranquille, je te dis... regarde moi... est-ce que je m'énerve, moi ?

— Oh putain !!

— Tu vois, un petit cul, çà se prépare, Franck. Tu le lèches... comme çà, bien, longtemps.... profond. Tu y mets tout ton coeur et aussi toute ta salive. Tu y mets la langue aussi loin que tu peux. Tu sens comme il aime çà ? Tu sens comme il te suce bien, encore mieux, tout d'un coup, Francky ?

— Putain, aucune gonzesse m'avait jamais sucé comme çà... merde !

— C'est parce que c'est un garçon, Franck, si tu avais pas remarqué...

— Suce... suce bien... !

— Tu colles bien ta bouche sur le trou, bien comme çà et puis... tu fais bouger ta langue à l'intérieur !

— Ah, ooooooh... putain de nom de Dieu de merde... !

— Francky, s'il te plait, ne jure pas comme çà devant un enfant !

— Putain, je sens que çà vient... !

— Cédric, mon pote Francky, qui manque à tous ses devoirs, ne t'avait encore rien offert à boire, je crois... Il va arranger çà tout de suite...

— Je jouis, je jouis... !

— C'est bien Franck... çà va aller mieux après, tu vas voir. Je vais la lui mettre bien comme il faut et puis on va pouvoir passer aux choses sérieuses, hein Francky ?

* * *

— J'étais très fier de toi, ce matin, au bureau, mon fiston, tu sais ?

— Oui Papa ?

— Il est gentil, mon pote Francky, non ? Un peu bourrin, mais gentil.

— Très gentil, Papa.

— Et comment c'était... je veux dire....

— C'était bien et... beaucoup, beaucoup, Papa...

— Oui, c'est sa femme. Ca faisait des semaines...

— Il m'a dit, oui, Papa... C'est son deuxième, non ?

— Oui, c'est un bon papa, ce Francky ! Et puis, tu sais, sa femme n'accouche pas avant trois mois, alors...

— Moi aussi, j'ai un bon Papa !


SVP donnez une note sur 5 à ce récit

ce récit est paru dans GayEros

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 23 août 5 23 /08 /Août 21:34
 RECIT  (51) SUIVI DE VIDEO : trio de  jeunes pompiers en folie
Martin                        Sylvain                                                                   et     Julien        
     
À 37 ans, Julien est un vigoureux célibataire, bien à l’aise dans sa peau. Cheveux châtain clair, coupés courts à la GI, visage hâlé, moustache blonde, il est fier de son corps athlétique, tout en longueur, formé par des années d’entraînement comme nageur de compétition. Tous les matins, en massant son érection, il remercie Dieu de l’avoir généreusement pourvu entre ses longues cuisses de l’indispensable attribut viril: une queue déjà énorme au repos mais qui dépasse les neuf pouces en pleine érection. Dans son entourage, sa sensualité féline et le vif intérêt qu’il porte aux beaux garçons lui ont valu une réputation méritée de gai satyre.
Depuis la rentrée scolaire, Julien partage son appartement avec son neveu, Sylvain, un jeune gars de 17 ans venu étudier dans un cégep de la ville. C’est un garçon sportif, enjoué et qui ne se prend pas trop au sérieux. Avec sa souple chevelure blonde, son teint frais et ses lèvres sensuelles perpétuellement en sourire, Sylvain attire facilement l’attention et la sympathie. Comparé à son oncle, il n’est pas très grand, mais Julien trouve le corps svelte du garçon très attirant, particulièrement son beau petit cul avec ses fesses rondes, lisses et charnues. Julien ne connaît pas encore avec certitude les préférences sexuelles de son neveu mais, s’avisant que le beau Sylvain possède tous les attraits nécessaires, il espère bien avoir un jour l’occasion de l’initier aux mystères de Sodome.
Cet automne-là, Sylvain reçoit la visite de son copain Martin, un jeune Français de 18 ans, chez qui il était allé passer quelques semaines l’année précédente, dans le cadre d’un échange franco-québécois. Des cheveux châtains dont les boucles tombent librement sur le front et la nuque, un visage fin, des yeux espiègles et une bouche gourmande, Martin est fort séduisant malgré son accent un peu pointu. Intelligent, vif et déluré, il est aussi complètement tapette et ne s’en cache pas. Véritable obsédé sexuel, il n’aime rien autant que baiser avec un autre mâle, surtout des hommes plus âgés que lui, et affiche une prédilection toute particulière pour la sodomie passive: ce garçon adore se faire mettre une bite dans le cul. La queue de son partenaire n’est jamais assez longue et assez grosse pour assouvir la démangeaison de son anus insatiable. Quand il a rencontré Julien pour la première fois, il a tout de suite remarqué la longue bosse qui déformait son jean à la hauteur du sexe et n’a plus eu qu’une envie, se faire enfiler longuement par le superbe étalon.
On est au début de septembre et la saison est belle. Julien invite les deux jeunes gars à son chalet rustique dans le nord pour le week-end. Une fois sur place, chacun s’affaire sur les ordres de Julien à mettre le camp en état pour leur court séjour. Pendant que Sylvain se rend en bicyclette au village le plus proche pour acheter des provisions, Julien envoie Martin dans la remise pour rapporter du bois. Après un moment, ne le voyant pas revenir, il s’y rend à son tour et surprend Martin assis sur une caisse de bois, le dos appuyé au mur de briques, complètement nu, à l’exception de ses souliers de toile. Le garçon, les genoux relevés, a posé ses pieds sur la caisse, les jambes largement écartées et Julien peut voir le pénis à demi érigé et la poche rasée du garçon ballottant entre ses cuisses. Martin se tient les deux fesses à pleine main, les écartant largement pour se masser l’anus en y introduisant un doigt. "La salope est entrain de se masturber," pensa Julien avec un vif intérêt.
Lorsque qu’il aperçoit Julien, Martin ne se trouble pas, bien au contraire, il garde sa position et regarde l’homme d’un air lubrique et provocant. Julien, dont le sang n’a fait qu’un tour, ne peut laisser passer une aussi belle occasion de botter avec un joli minet en chaleur qui s’offre si gentiment, et il se met en devoir de satisfaire son jeune hôte. En un tournemain, il enlève son polo et baisse prestement son short, dégainant son énorme pénis. Puis, s’arc-boutant sur le garçon qui à la vue du corps nu de l’homme en rut, bave de désir, il presse son gland renflé contre l’orifice anal qui cède aussitôt. Grognant et geignant, Martin se trémousse lascivement sur sa caisse en savourant la lente pénétration de la verge de l’homme dans son rectum avide.
— Tu la voulais ma queue, hein mon p’tit vicieux, eh bien prends-la toute! siffle Julien entre ses dents serrées par l’effort et la volupté.
— Eh ben, vas-y, mec! Baise-moi! Sylvain m’a dit que tu aimais les jeunes. Moi, je préfère les hommes mûrs comme toi. Alors on est faits pour s’entendre!
Alors Julien il enfonce son épieu jusqu’à la garde dans le petit cul serré, ne s’arrêtant que lorsque ses testicules et les poils du pubis pressent les fesses du jeune homme. Empalé sur le solide épieu de son aîné, Martin grogne et se tord de plaisir, une main sur son sexe gonflé, l’autre caressant lascivement les pointes dures de ses tétons. Tout son corps sensuel vibre, frissonnant d’une intense volupté sexuelle.
Julien, de plus en plus excité par les gémissements langoureux de son jeune partenaire, lui ramone vigoureusement l’étroite cheminée, grisé par la délectation sexuelle. Il y a longtemps qu’il n’a pas fourré un garçon aussi cochon. À chaque mouvement du bassin, il se retire jusqu’à ce que le gland se retrouve au niveau du sphincter anal qui se referme autour pour l’empêcher de sortir. Le plaisir est si aigu que Julien vient près de jouir à chaque fois. Il se maîtrise avec peine afin prolonger la séance le plus longtemps possible. Agrippant le jeune corps nu de son partenaire par les hanches, il replonge avec délices son membre dans le derrière de Martin, prenant pleinement possession de sa chair tendre. Il s’y enfonce jusqu’aux couilles faisant beugler de volupté son jeune partenaire en extase.
— Fourre-moi, mec!
— Jouis, salope!

Pendant que nos compères sont fort affairés à se satisfaire mutuellement, le temps a filé, et c’est déjà le crépuscule. Sylvain revient au camp avec les provisions. Il range sa bicyclette dans la petite remise, et au moment de franchir le seuil du camp, il est intrigué par les grognements et les geignements qui en proviennent. Il découvre alors son oncle et son copain, flambant nus, en train de s’envoyer joyeusement en l’air. Julien est étendu sur un des lits et caresse voluptueusement le torse de Martin qui, assis à califourchon sur le corps de l’homme, s’est empalé sur son pénis et se fait aller l’arrière-train de haut en bas, visiblement au comble de la satisfaction. Sylvain, l’air ahuri et faussement scandalisé, reste figé sur le pas de la porte.
L’ayant aperçu, Martin l’invite spontanément à se joindre à eux. L’adolescent hésite un instant puis s’approche des deux compères. Julien l’attrape d’une main, l’attire près de lui et tirant sur son short, déculotte son neveu d’un seul coup. Il empoigne le sexe à demi bandé du garçon et le caresse doucement. Pendant ce temps, Martin a relevé la camisole de Sylvain et lui caresse la poitrine, suçant et mordillant les bouts de seins. Très excité, Sylvain se joint à la partouze. Il se débarrasse rapidement de ses vêtements et enfourchant le torse de Julien devant Martin, il pose son joli derrière lisse sur la poitrine de son oncle, qui éprouve une profonde satisfaction à contempler enfin son beau neveu dans son alléchante nudité. Il lui caresse lascivement le ventre et les cuisses, puis il le suce avec adresse, avalant complètement la queue dressée du jeune homme. Martin, toujours empalé et jouissant du cul comme un possédé, caresse Sylvain dans le dos, l’embrasse dans le cou, et palpe à pleines mains le torse musclé de l’adolescent, insistant sur les petites pointes dures de ses seins qu’il tripote avec insistance. Sylvain se laisse faire et goûte avec une volupté grandissante cette profusion d’attouchements sensuels. 
       
 
 
Au comble de l’excitation, le trio de mâles en rut atteint l’extase sexuelle simultanément. Un plénum orgasmique soude les trois partenaires dans la plus totale volupté. La verge de Julien explose à longs jets dans le rectum de Martin qui éjacule abondamment dans le dos de Sylvain drainé par la bouche de Julien assoiffé du sperme tiède et velouté de son neveu.
Pendant que Martin va se vider les boyaux dans la bécosse extérieure, les deux autres rentrent au chalet. À peine à l’intérieur, Julien prend son neveu dans ses bras, colle son corps contre lui et l’embrasse juteusement sur la bouche. Sylvain ne se fait pas prier pour répondre et s’abandonne complètement aux caresses pressantes de son aîné sur ses jolies fesses.
— Mon p’tit salaud, tu m’avais caché ça que tu baisais avec les hommes! Tu n’as pas honte? Et avec ton oncle en plus!
— J’en avais envie depuis longtemps, mais je n’aurais pas osé.
— Ça fait longtemps que tu baises?
— C’est Martin qui m’a initié l’an dernier quand je suis allé chez lui en Provence. Je n’ai rien vu de mon voyage, on a passé notre temps à baiser et à s’enculer dans la grange de son grand-père ou dans les champs. Il fallait faire attention car il paraît qu’il y a des vipères dans les herbes.
— Si jeune et déjà corrompu! ricane Julien.
En même temps, Julien agrandissait l’anus de son neveu avec son majeur.
— Tu sais, Martin a tellement le feu au cul que lorsque je n’étais plus capable de bander, je devais lui fourrer un manche de fourche dans le cul pour continuer de le faire jouir.
— Quel cochon, ce Martin! Mais quel ptit baiseur!
Julien serre son neveu contre son corps et, dans son excitation, lui mord le cou, les oreilles, le nez, il lui rentre la langue dans la bouche jusqu’à l’étouffer.
— Mmm, tu sens bon, tu goûtes bon, mon gars. Depuis que tu restes chez moi, j’ai envie de te baiser, d’aller me glisser dans ton lit le soir et de te chauffer tes belles petites fesses. Avoir su que tu étais déjà débauché, je t’aurais baisé depuis longtemps.
— Moi aussi j’avais envie de toi, mon beau Julien. Quand tu te promenais tout nu dans l’appart après ta douche, je te dévorais des yeux puis j’allais dans ma chambre pour me crosser tellement j’étais excité!
— On va reprendre le temps perdu, tu vas voir.
Tout en lui roucoulant des obscénités, Julien fait étendre son neveu sur le grand lit et roule sur lui. Il l’enserre entre ses cuisses, frotte son sexe sur son ventre, l’embrasse partout, le chatouille et le pelote amoureusement. Le corps nu et sensuel du garçon l’émoustille au plus haut point.
— J’aurais aimé avoir un fils comme toi. Je l’aurais aimé aussi fort que je t’aime, mon beau Sylvain. Il n’y a rien de plus beau que l’amour entre un homme et son fils, non?
Tout en roucoulant dans ses oreilles, Julien embrasse le garçon sur la bouche et lui caresse inlassablement les mamelons ce qui le fait délirer de plaisir.
— Alors les pédés, on me fait une petite place!
   
Martin se tient près du lit et observe Julien et Sylvain d’un oeil lubrique, sa queue dressée dans une main alors que de l’autre, il se tripote les tétons et les testicules. Vite, il les rejoint sur le matelas. Cette fois, pendant que Martin suce avidement l’énorme membre de Julien, Martin écarte les fesses et se laisse goulûment enculer par Sylvain. Le garçon plonge et replonge avec délices sa belle queue dure et recourbée comme une corne de taureau dans le trou de cul chaud et confortable de Martin qui semble ne jamais pouvoir assouvir sa faim dévorante pour la pénétration anale. La langue sortie, il jouit insensément du cul. Après un bon moment de délicieux va-et-vient dans le cul gourmand de Martin, Sylvain se sent soudain aspiré et une vague d’intense volupté le submerge pendant que son bas-ventre se contracte et propulse convulsivement ses dernières réserves de foutre dans les entrailles palpitantes de son ami.
Adroitement manoeuvrée par la bouche experte de Martin, la verge distendue de Julien crache un énorme flot de sperme qui lui coule aux commissures des lèvres tellement la décharge est abondante. Sylvain entoure la taille mince de Martin, et tout en lui palpant les mamelons dressés, le masturbe frénétiquement. Martin cambre les reins, se renverse sur les épaules de Sylvain et lui prend la tête. Lorsque leurs bouches se joignent dans un baiser passionné, de son pénis tendu fuse un long jet blanc qui atteint Julien en pleine poitrine. Martin jouit longuement arrosant le corps de Julien de son abondant liquide séminal. Repus, vidés, comblés, les trois compères roulent l’un sur l’autre et s’endorment rapidement, leurs membres nus et leurs corps luisants de sueur et de sperme étroitement enlacés. Julien maintient fermement contre lui les corps des deux ados dont il entend jouir encore un bon moment.

Le lendemain matin, tout en préparant le petit déjeuner, Julien observe Sylvain et Martin, jouant avec l’exubérance de jeunes chats sur l’herbe tendre derrière le camp. Ils ne sont vêtus tous les deux que d’un petit slip qui leur colle aux fesses et moule leur sexe de façon suggestive. Les garçons se chamaillent amicalement, se plaquent et roulent dans l’herbe en riant et en criant comme des enfants. Leurs corps en sueur se touchent, bras et jambes emmêlés et la lutte amicale devient érotique. Julien observe avec intérêt que les ados sont bandés bien dur car le gland est déjà complètement sorti du slip. De toute évidence, la lutte érotique va s’achever dans le plaisir et les délices de la chair.
Martin plaque Sylvain et tout en le tenant fermement sous lui, soufflant, pantelant, il lui colle un long baiser sur la bouche. Sylvain fait semblant de se dégager, mais cède soudain et embrasse fougueusement Martin à son tour. Le garçon se dégage des bras et de la bouche gourmande de Sylvain et fait glisser le slip de celui-ci sur ses hanches. Le sexe du garçon se dresse glorieusement. Sylvain se cambre les reins, debout sur ses jambes écartées, son pénis vibrant dans la fraîcheur du matin. Julien observe son neveu tout nu qui exhibe fièrement sa jeune virilité. Martin se penche et gobe le sexe de l’adolescent. L’enveloppant avec sa langue, il le suce avidement. De la base à l’extrémité renflée du gland, il le lèche goulûment, sa salive coulant abondamment le long du membre dressé.
Cédant à l’ardeur de son jeune amant, Sylvain s’étend sur le dos, genoux écartés, son beau petit corps luisant de sueur au soleil. Les doigts caressant ses tétons sensuels, Sylvain frétille de plaisir pendant que Martin lui dévore le sexe. Il a croisé ses longues jambes autour du cou de son ami et le garde ainsi la tête enfouie dans son aine. Tout en dégustant le pénis du garçon, Martin glisse sa main entre ses fesses et introduit un doigt dans l’anus du jeune homme ce qui l’excite encore plus. Les yeux révulsés, le bout de la langue entre les lèvres, Sylvain savoure son plaisir. Lorsque sa délectation sensuelle devient intolérable, il presse fortement les bouts de ses mamelons durs ce qui déclenche un puissant orgasme. Ébranlé jusqu’au tréfonds, le garçon jouit lentement, chaque jet de sperme contractant ses reins dans un long spasme de volupté. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, Sylvain savoure chaque instant de son plaisir, gémissant doucement. Un filet de salive coule au coin de sa bouche sur sa joue. Martin a avalé chaque jet, chaque goutte du sperme de son ami, suçant et lapant avec délectation la précieuse liqueur.
N’y tenant plus, Julien qui tripotait son sexe bandé tout en observant vicieusement les ébats des deux garçons, sort du camp et les rejoint sur la pelouse. Martin est toujours agenouillé au dessus de Sylvain. Julien le déculotte à son tour, découvrant ses fesses blanches et la raie sombre. Il passe un doigt expert entre les fesses et lui masse l’anus. Martin que le cul démange continuellement, redresse son derrière en écartant les cuisses. Julien baise les fesses veloutées du garçon et, les tenant largement écartées, il passe longuement sa langue râpeuse au fond de la raie et sur la rosette qui se contracte spasmodiquement. Les reins cambrés. Martin, dans l’expectative de la jouissance anale, tressaille de plaisir et se trémousse du derrière comme une chatte en chaleur.
Sous le regard excité de Sylvain qui les encourage, Julien introduit doucement son énorme pieu entre les fesses de Martin toujours à quatre pattes. Malgré un goût immodéré pour la sodomie et une longue habitude de la pénétration, le garçon ne peut s’empêcher de grimacer légèrement au moment où l’énorme éperon de chair lui pourfend le derrière. Mais il a vite fait de s’adapter à l’envahisseur et tout en caressant la bouche et les bouts de seins de Sylvain avec sa langue, il se laisse délicieusement ramoner le rectum. Après quelques minutes de vigoureux va-et-vient, Martin sent venir la profonde extase de l’orgasme anal. Un feulement rauque s’échappe de sa gorge pendant qu’il jouit du cul. Il projette son sperme avec tant de force et d’abondance que la poitrine de Sylvain en est inondée, des jets l’atteignent au menton. Les testicules contractés, tenant son long pénis comme une lance de pompier, il asperge abondamment le torse nu de son ami.
Julien qui sent le corps de Martin vibrer et se contracter autour de sa verge sur le point d’éclater, décide de tout laisser aller. Il sent sa tête se vider, un tressaillement au fond de ses reins, un ébranlement au plus profond de son corps, un raz de marée d’intense volupté monte rapidement en lui. Agité des soubresauts de l’orgasme, il explose dans le cul du garçon, éjaculant une telle quantité de sperme que lorsqu’il se retire enfin, il peut voir un peu de son jus couler de l’anus distendu de son jeune partenaire.
— Wow! Quel plaisant week-end en perspective, n’est-ce pas les p’tits gars? dit Julien tout en se vautrant sur les garçons.
— Avec un étalon vicieux comme toi, plaisante Martin, on ne va certainement pas s’emmerder!
— Il va falloir manger beaucoup d’oeufs et de persil frais si vous voulez garder la forme, réplique Julien. Allez, à la douche! Et passez un short avant de venir déjeuner les boys! Vous êtes indécents.
FIN
 
 
 
 enfiler son canadien est encore mieux qu'enfiler sa canadienne ...
 
 
Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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