RECIT (51) SUIVI DE VIDEO : trio de jeunes pompiers en folie
Martin
Sylvain et
Julien
À 37 ans, Julien est un vigoureux célibataire, bien à l’aise dans sa peau. Cheveux châtain clair, coupés courts à la GI, visage hâlé, moustache blonde, il est fier
de son corps athlétique, tout en longueur, formé par des années d’entraînement comme nageur de compétition. Tous les matins, en massant son érection, il remercie Dieu de l’avoir généreusement
pourvu entre ses longues cuisses de l’indispensable attribut viril: une queue déjà énorme au repos mais qui dépasse les neuf pouces en pleine érection. Dans son entourage, sa sensualité féline et
le vif intérêt qu’il porte aux beaux garçons lui ont valu une réputation méritée de gai satyre.
Depuis la rentrée scolaire, Julien partage son appartement avec son neveu, Sylvain, un jeune gars de 17 ans venu étudier dans un cégep de la ville. C’est un garçon
sportif, enjoué et qui ne se prend pas trop au sérieux. Avec sa souple chevelure blonde, son teint frais et ses lèvres sensuelles perpétuellement en sourire, Sylvain attire facilement l’attention
et la sympathie. Comparé à son oncle, il n’est pas très grand, mais Julien trouve le corps svelte du garçon très attirant, particulièrement son beau petit cul avec ses fesses rondes, lisses et
charnues. Julien ne connaît pas encore avec certitude les préférences sexuelles de son neveu mais, s’avisant que le beau Sylvain possède tous les attraits nécessaires, il espère bien avoir un
jour l’occasion de l’initier aux mystères de Sodome.
Cet automne-là, Sylvain reçoit la visite de son copain Martin, un jeune Français de 18 ans, chez qui il était allé passer quelques semaines l’année précédente, dans
le cadre d’un échange franco-québécois. Des cheveux châtains dont les boucles tombent librement sur le front et la nuque, un visage fin, des yeux espiègles et une bouche gourmande, Martin est
fort séduisant malgré son accent un peu pointu. Intelligent, vif et déluré, il est aussi complètement tapette et ne s’en cache pas. Véritable obsédé sexuel, il n’aime rien autant que baiser avec
un autre mâle, surtout des hommes plus âgés que lui, et affiche une prédilection toute particulière pour la sodomie passive: ce garçon adore se faire mettre une bite dans le cul. La queue de son
partenaire n’est jamais assez longue et assez grosse pour assouvir la démangeaison de son anus insatiable. Quand il a rencontré Julien pour la première fois, il a tout de suite remarqué la longue
bosse qui déformait son jean à la hauteur du sexe et n’a plus eu qu’une envie, se faire enfiler longuement par le superbe étalon.
On est au début de septembre et la saison est belle. Julien invite les deux jeunes gars à son chalet rustique dans le nord pour le week-end. Une fois sur place,
chacun s’affaire sur les ordres de Julien à mettre le camp en état pour leur court séjour. Pendant que Sylvain se rend en bicyclette au village le plus proche pour acheter des provisions, Julien
envoie Martin dans la remise pour rapporter du bois. Après un moment, ne le voyant pas revenir, il s’y rend à son tour et surprend Martin assis sur une caisse de bois, le dos appuyé au mur de
briques, complètement nu, à l’exception de ses souliers de toile. Le garçon, les genoux relevés, a posé ses pieds sur la caisse, les jambes largement écartées et Julien peut voir le pénis à demi
érigé et la poche rasée du garçon ballottant entre ses cuisses. Martin se tient les deux fesses à pleine main, les écartant largement pour se masser l’anus en y introduisant un doigt. "La salope
est entrain de se masturber," pensa Julien avec un vif intérêt.
Lorsque qu’il aperçoit Julien, Martin ne se trouble pas, bien au contraire, il garde sa position et regarde l’homme d’un air lubrique et provocant. Julien, dont le
sang n’a fait qu’un tour, ne peut laisser passer une aussi belle occasion de botter avec un joli minet en chaleur qui s’offre si gentiment, et il se met en devoir de satisfaire son jeune hôte. En
un tournemain, il enlève son polo et baisse prestement son short, dégainant son énorme pénis. Puis, s’arc-boutant sur le garçon qui à la vue du corps nu de l’homme en rut, bave de désir, il
presse son gland renflé contre l’orifice anal qui cède aussitôt. Grognant et geignant, Martin se trémousse lascivement sur sa caisse en savourant la lente pénétration de la verge de l’homme dans
son rectum avide.
— Tu la voulais ma queue, hein mon p’tit vicieux, eh bien prends-la toute! siffle Julien entre ses dents serrées par l’effort et la volupté.
— Eh ben, vas-y, mec! Baise-moi! Sylvain m’a dit que tu aimais les jeunes. Moi, je préfère les hommes mûrs comme toi. Alors on est faits pour s’entendre!
Alors Julien il enfonce son épieu jusqu’à la garde dans le petit cul serré, ne s’arrêtant que lorsque ses testicules et les poils du pubis pressent les fesses du
jeune homme. Empalé sur le solide épieu de son aîné, Martin grogne et se tord de plaisir, une main sur son sexe gonflé, l’autre caressant lascivement les pointes dures de ses tétons. Tout son
corps sensuel vibre, frissonnant d’une intense volupté sexuelle.
Julien, de plus en plus excité par les gémissements langoureux de son jeune partenaire, lui ramone vigoureusement l’étroite cheminée, grisé par la délectation
sexuelle. Il y a longtemps qu’il n’a pas fourré un garçon aussi cochon. À chaque mouvement du bassin, il se retire jusqu’à ce que le gland se retrouve au niveau du sphincter anal qui se referme
autour pour l’empêcher de sortir. Le plaisir est si aigu que Julien vient près de jouir à chaque fois. Il se maîtrise avec peine afin prolonger la séance le plus longtemps possible. Agrippant le
jeune corps nu de son partenaire par les hanches, il replonge avec délices son membre dans le derrière de Martin, prenant pleinement possession de sa chair tendre. Il s’y enfonce jusqu’aux
couilles faisant beugler de volupté son jeune partenaire en extase.
— Fourre-moi, mec!
— Jouis, salope!
Pendant que nos compères sont fort affairés à se satisfaire mutuellement, le temps a filé, et c’est déjà le crépuscule. Sylvain revient au camp avec les provisions.
Il range sa bicyclette dans la petite remise, et au moment de franchir le seuil du camp, il est intrigué par les grognements et les geignements qui en proviennent. Il découvre alors son oncle et
son copain, flambant nus, en train de s’envoyer joyeusement en l’air. Julien est étendu sur un des lits et caresse voluptueusement le torse de Martin qui, assis à califourchon sur le corps de
l’homme, s’est empalé sur son pénis et se fait aller l’arrière-train de haut en bas, visiblement au comble de la satisfaction. Sylvain, l’air ahuri et faussement scandalisé, reste figé sur le pas
de la porte.
L’ayant aperçu, Martin l’invite spontanément à se joindre à eux. L’adolescent hésite un instant puis s’approche des deux compères. Julien l’attrape d’une main,
l’attire près de lui et tirant sur son short, déculotte son neveu d’un seul coup. Il empoigne le sexe à demi bandé du garçon et le caresse doucement. Pendant ce temps, Martin a relevé la camisole
de Sylvain et lui caresse la poitrine, suçant et mordillant les bouts de seins. Très excité, Sylvain se joint à la partouze. Il se débarrasse rapidement de ses vêtements et enfourchant le torse
de Julien devant Martin, il pose son joli derrière lisse sur la poitrine de son oncle, qui éprouve une profonde satisfaction à contempler enfin son beau neveu dans son alléchante nudité. Il lui
caresse lascivement le ventre et les cuisses, puis il le suce avec adresse, avalant complètement la queue dressée du jeune homme. Martin, toujours empalé et jouissant du cul comme un possédé,
caresse Sylvain dans le dos, l’embrasse dans le cou, et palpe à pleines mains le torse musclé de l’adolescent, insistant sur les petites pointes dures de ses seins qu’il tripote avec insistance.
Sylvain se laisse faire et goûte avec une volupté grandissante cette profusion d’attouchements sensuels.
Au comble de l’excitation, le trio de mâles en rut atteint l’extase sexuelle simultanément. Un plénum orgasmique soude les trois partenaires dans la plus totale
volupté. La verge de Julien explose à longs jets dans le rectum de Martin qui éjacule abondamment dans le dos de Sylvain drainé par la bouche de Julien assoiffé du sperme tiède et velouté de son
neveu.
Pendant que Martin va se vider les boyaux dans la bécosse extérieure, les deux autres rentrent au chalet. À peine à l’intérieur, Julien prend son neveu dans ses
bras, colle son corps contre lui et l’embrasse juteusement sur la bouche. Sylvain ne se fait pas prier pour répondre et s’abandonne complètement aux caresses pressantes de son aîné sur ses jolies
fesses.
— Mon p’tit salaud, tu m’avais caché ça que tu baisais avec les hommes! Tu n’as pas honte? Et avec ton oncle en plus!
— J’en avais envie depuis longtemps, mais je n’aurais pas osé.
— Ça fait longtemps que tu baises?
— C’est Martin qui m’a initié l’an dernier quand je suis allé chez lui en Provence. Je n’ai rien vu de mon voyage, on a passé notre temps à baiser et à s’enculer
dans la grange de son grand-père ou dans les champs. Il fallait faire attention car il paraît qu’il y a des vipères dans les herbes.
— Si jeune et déjà corrompu! ricane Julien.
En même temps, Julien agrandissait l’anus de son neveu avec son majeur.
— Tu sais, Martin a tellement le feu au cul que lorsque je n’étais plus capable de bander, je devais lui fourrer un manche de fourche dans le cul pour continuer de
le faire jouir.
— Quel cochon, ce Martin! Mais quel ptit baiseur!
Julien serre son neveu contre son corps et, dans son excitation, lui mord le cou, les oreilles, le nez, il lui rentre la langue dans la bouche jusqu’à
l’étouffer.
— Mmm, tu sens bon, tu goûtes bon, mon gars. Depuis que tu restes chez moi, j’ai envie de te baiser, d’aller me glisser dans ton lit le soir et de te chauffer tes
belles petites fesses. Avoir su que tu étais déjà débauché, je t’aurais baisé depuis longtemps.
— Moi aussi j’avais envie de toi, mon beau Julien. Quand tu te promenais tout nu dans l’appart après ta douche, je te dévorais des yeux puis j’allais dans ma chambre
pour me crosser tellement j’étais excité!
— On va reprendre le temps perdu, tu vas voir.
Tout en lui roucoulant des obscénités, Julien fait étendre son neveu sur le grand lit et roule sur lui. Il l’enserre entre ses cuisses, frotte son sexe sur son
ventre, l’embrasse partout, le chatouille et le pelote amoureusement. Le corps nu et sensuel du garçon l’émoustille au plus haut point.
— J’aurais aimé avoir un fils comme toi. Je l’aurais aimé aussi fort que je t’aime, mon beau Sylvain. Il n’y a rien de plus beau que l’amour entre un homme et son
fils, non?
Tout en roucoulant dans ses oreilles, Julien embrasse le garçon sur la bouche et lui caresse inlassablement les mamelons ce qui le fait délirer de plaisir.
— Alors les pédés, on me fait une petite place!
Martin se tient près du lit et observe Julien et Sylvain d’un oeil lubrique, sa queue dressée dans une main alors que de l’autre, il se tripote les tétons et les
testicules. Vite, il les rejoint sur le matelas. Cette fois, pendant que Martin suce avidement l’énorme membre de Julien, Martin écarte les fesses et se laisse goulûment enculer par Sylvain. Le
garçon plonge et replonge avec délices sa belle queue dure et recourbée comme une corne de taureau dans le trou de cul chaud et confortable de Martin qui semble ne jamais pouvoir assouvir sa faim
dévorante pour la pénétration anale. La langue sortie, il jouit insensément du cul. Après un bon moment de délicieux va-et-vient dans le cul gourmand de Martin, Sylvain se sent soudain aspiré et
une vague d’intense volupté le submerge pendant que son bas-ventre se contracte et propulse convulsivement ses dernières réserves de foutre dans les entrailles palpitantes de son ami.
Adroitement manoeuvrée par la bouche experte de Martin, la verge distendue de Julien crache un énorme flot de sperme qui lui coule aux commissures des lèvres
tellement la décharge est abondante. Sylvain entoure la taille mince de Martin, et tout en lui palpant les mamelons dressés, le masturbe frénétiquement. Martin cambre les reins, se renverse sur
les épaules de Sylvain et lui prend la tête. Lorsque leurs bouches se joignent dans un baiser passionné, de son pénis tendu fuse un long jet blanc qui atteint Julien en pleine poitrine. Martin
jouit longuement arrosant le corps de Julien de son abondant liquide séminal. Repus, vidés, comblés, les trois compères roulent l’un sur l’autre et s’endorment rapidement, leurs membres nus et
leurs corps luisants de sueur et de sperme étroitement enlacés. Julien maintient fermement contre lui les corps des deux ados dont il entend jouir encore un bon moment.
Le lendemain matin, tout en préparant le petit déjeuner, Julien observe Sylvain et Martin, jouant avec l’exubérance de jeunes chats sur l’herbe tendre derrière le
camp. Ils ne sont vêtus tous les deux que d’un petit slip qui leur colle aux fesses et moule leur sexe de façon suggestive. Les garçons se chamaillent amicalement, se plaquent et roulent dans
l’herbe en riant et en criant comme des enfants. Leurs corps en sueur se touchent, bras et jambes emmêlés et la lutte amicale devient érotique. Julien observe avec intérêt que les ados sont
bandés bien dur car le gland est déjà complètement sorti du slip. De toute évidence, la lutte érotique va s’achever dans le plaisir et les délices de la chair.
Martin plaque Sylvain et tout en le tenant fermement sous lui, soufflant, pantelant, il lui colle un long baiser sur la bouche. Sylvain fait semblant de se dégager,
mais cède soudain et embrasse fougueusement Martin à son tour. Le garçon se dégage des bras et de la bouche gourmande de Sylvain et fait glisser le slip de celui-ci sur ses hanches. Le sexe du
garçon se dresse glorieusement. Sylvain se cambre les reins, debout sur ses jambes écartées, son pénis vibrant dans la fraîcheur du matin. Julien observe son neveu tout nu qui exhibe fièrement sa
jeune virilité. Martin se penche et gobe le sexe de l’adolescent. L’enveloppant avec sa langue, il le suce avidement. De la base à l’extrémité renflée du gland, il le lèche goulûment, sa salive
coulant abondamment le long du membre dressé.
Cédant à l’ardeur de son jeune amant, Sylvain s’étend sur le dos, genoux écartés, son beau petit corps luisant de sueur au soleil. Les doigts caressant ses tétons
sensuels, Sylvain frétille de plaisir pendant que Martin lui dévore le sexe. Il a croisé ses longues jambes autour du cou de son ami et le garde ainsi la tête enfouie dans son aine. Tout en
dégustant le pénis du garçon, Martin glisse sa main entre ses fesses et introduit un doigt dans l’anus du jeune homme ce qui l’excite encore plus. Les yeux révulsés, le bout de la langue entre
les lèvres, Sylvain savoure son plaisir. Lorsque sa délectation sensuelle devient intolérable, il presse fortement les bouts de ses mamelons durs ce qui déclenche un puissant orgasme. Ébranlé
jusqu’au tréfonds, le garçon jouit lentement, chaque jet de sperme contractant ses reins dans un long spasme de volupté. Les yeux fermés, la bouche entrouverte, Sylvain savoure chaque instant de
son plaisir, gémissant doucement. Un filet de salive coule au coin de sa bouche sur sa joue. Martin a avalé chaque jet, chaque goutte du sperme de son ami, suçant et lapant avec délectation la
précieuse liqueur.
N’y tenant plus, Julien qui tripotait son sexe bandé tout en observant vicieusement les ébats des deux garçons, sort du camp et les rejoint sur la pelouse. Martin
est toujours agenouillé au dessus de Sylvain. Julien le déculotte à son tour, découvrant ses fesses blanches et la raie sombre. Il passe un doigt expert entre les fesses et lui masse l’anus.
Martin que le cul démange continuellement, redresse son derrière en écartant les cuisses. Julien baise les fesses veloutées du garçon et, les tenant largement écartées, il passe longuement sa
langue râpeuse au fond de la raie et sur la rosette qui se contracte spasmodiquement. Les reins cambrés. Martin, dans l’expectative de la jouissance anale, tressaille de plaisir et se trémousse
du derrière comme une chatte en chaleur.
Sous le regard excité de Sylvain qui les encourage, Julien introduit doucement son énorme pieu entre les fesses de Martin toujours à quatre pattes. Malgré un goût
immodéré pour la sodomie et une longue habitude de la pénétration, le garçon ne peut s’empêcher de grimacer légèrement au moment où l’énorme éperon de chair lui pourfend le derrière. Mais il a
vite fait de s’adapter à l’envahisseur et tout en caressant la bouche et les bouts de seins de Sylvain avec sa langue, il se laisse délicieusement ramoner le rectum. Après quelques minutes de
vigoureux va-et-vient, Martin sent venir la profonde extase de l’orgasme anal. Un feulement rauque s’échappe de sa gorge pendant qu’il jouit du cul. Il projette son sperme avec tant de force et
d’abondance que la poitrine de Sylvain en est inondée, des jets l’atteignent au menton. Les testicules contractés, tenant son long pénis comme une lance de pompier, il asperge abondamment le
torse nu de son ami.
Julien qui sent le corps de Martin vibrer et se contracter autour de sa verge sur le point d’éclater, décide de tout laisser aller. Il sent sa tête se vider, un
tressaillement au fond de ses reins, un ébranlement au plus profond de son corps, un raz de marée d’intense volupté monte rapidement en lui. Agité des soubresauts de l’orgasme, il explose dans le
cul du garçon, éjaculant une telle quantité de sperme que lorsqu’il se retire enfin, il peut voir un peu de son jus couler de l’anus distendu de son jeune partenaire.
— Wow! Quel plaisant week-end en perspective, n’est-ce pas les p’tits gars? dit Julien tout en se vautrant sur les garçons.
— Avec un étalon vicieux comme toi, plaisante Martin, on ne va certainement pas s’emmerder!
— Il va falloir manger beaucoup d’oeufs et de persil frais si vous voulez garder la forme, réplique Julien. Allez, à la douche! Et passez un short avant de venir
déjeuner les boys! Vous êtes indécents.
FIN
enfiler son canadien est encore mieux qu'enfiler sa canadienne ...
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