L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter..

Vendredi 12 mai 5 12 /05 /Mai 09:52

"si tu es homosexuel tu n'es pas dans la Maison du Seigneur, tu n'as pas droit au royaume de Dieu disait son père" à tous ses fidèles

 

 

Son Of A Preacher Man (Fils De Pasteur)

Billy Ray was a preacher's son
Billy Ray était  fils de pasteur
And when his daddy would visit he'd come along
Et quand son père venait nous rendre visite il venait avec lui
When they gathered around and started talkin'
Quand ils se rassemblaient et commençaient à parler
That's when Billy would take me walkin'
Alors Billy m'emmenait marcher dehors
Out through the back yard we'd go walkin'
Dans l'arrière-cour, on allait marcher
Then he'd look into my eyes
Puis il me regardait dans les yeux
Lord knows, to my surprise
Dieu seul sait quelle fut ma surprise

The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m' atteindre à l'âme,
Was the son of a preacher man
C'est le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
Yes he was, he was, ooh, yes he was
Oui il l'était, il l'était, ooh, oui il l'était

Bein' good isn't always easy
Etre quelqu'un de bien n'est pas toujours facile
No matter how hard I try
Peu importe combien je persévère
When he started sweet - talkin' to me
Quand il commençait à me parlais gentillement
He'd come'n tell me Everything is all right
Il venait et me disait que tout allait bien
He'd kiss and tell me Everything is all right
Il m'embrassait et me disait que tout allait bien
Can I get away again tonight ?
Est-ce que je peux m'en aller ce soir encore ?

The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m' atteindre à l'âme,
Was the son of a preacher man
C'est le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul garçon qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'est le fils du pasteur
Yes he was, he was, ooh, yes he was (yes he was)
Oui il l'était, il l'était, ooh, il l'était (oui il l'était)

How well I remember
Je ne me souviens que trop bien
The look that was in his eyes
Du regard qu'il avait
Stealin' kisses from me on the sly
Me volant des baisers en cachette
Takin' time to make time
Laissant le temps au temps
Tellin' me that he's all mine
Me disant qu'il m'appartenait
Learnin' from each other's knowin'
Apprenant l'un de l'autre
Lookin' to see how much we've grown and
Contemplant combien nous avons évolué

The only one who could ever reach me
Le seul qui a pu m'atteindre à l'âme
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
The only boy who could ever teach me
Le seul garçon qui a pu m'apprendre
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur
Yes he was, he was, oh yes he was
Oui il l'était, il l'était, oh, oui il l'était

(The only one who could ever reach me)
Le seul qui a pu m'atteindre à l'âme
He was the sweet - talkin' son of a preacher man
Il était le fils du pasteur, il parlait gentiment
(The only boy who could ever teach me)
(Le seul qui a pu m'apprendre)
Was the son of a preacher man
C'était le fils du pasteur

(The only one who could ever reach me)
(Le seul qui a pu m'atteindre à l'âme)
Was the sweet - talkin' son of a preacher man
C'était le fils du pasteur, qui parlait gentiment

 

 

 

 


commenaire :
   
Par VEVOCBO - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 11 mai 4 11 /05 /Mai 08:23

un artiste en la matière comme il y en a beaucoup parmi nous : c'est le désir qui fait tout !

 

oh, oui, c'est bien vrai et...charmant, cette chatte qu'il nous présente est faite pour être pénétrée, fécondée et ses jolis bijoux de famille  faits pour qu'on les fasse danser entre nos doigts...

hymne à l'universelle homosexualité ...:

"Oh yeah this cunt was born to take cum. stunning and smooth. Hot little nuts too."

tous sur le même bateau et c'est global...mondialisé -lol-


Par ORDINARY ARTIST - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 9 mai 2 09 /05 /Mai 15:38

 

le début d'une grande remise en question pour lui et ses proches. C pas banal !  

Jérôme a vingt-quatre ans et l'arrogance de ces étudiants brillants qui ont tout lu et croient avoir tout compris. Il a soigneusement pensé, hiérarchisé et organisé son existence fade autour de quelques valeurs théoriques apparemment inébranlables. Jusqu'au jour ou il est terrassé par un coup de foudre dans un salon de coiffure. C'est le début d'une grande remise en question pour lui et ses proches. Comment faire, quand on est apprenti docteur en philosophie, inadapté socialement et maladivement timide, pour aborder un fougueux coiffeur qui prend la vie à bras le corps?...

 

 

 


COMMENTAIRE :  "non c'est trop beau, trop bon, trop tout quoi !  Au début on voit pas comme ils sont beaux et on ne s'attend pas à tous ces rebondissements ...en 12 mn 30 il est hyper doué le Gilles Bindi"  claudio

qui me parle ?  claudemodou@gmail.com

à déaut d'autre chose je vais vous lire avec avidité  ! -lol-

 

Par GILLES BINDI - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 7 mai 7 07 /05 /Mai 01:10

et si votre vie ressemble à celle de Chad Chenouga l'auteur du film biographique on vous embrasse, quant à Khaled Alouach, le choupinou qui l'interprète,  pas besoin de nous forcer pour l'embrasser...-lol- 

 Yolande Moreau est à l'affiche du nouveau film de Chad Chenouga : "De toutes mes forces" (sortie 4 mai 2017). Un drame autobiographique qui raconte l'histoire d'un adolescent placé en foyer à la mort de sa mère. La comédienne est entourée de comédiens amateurs dont le jeune Khaled Alouach qui crève l'écran.  

Dans "De toutes mes forces", le comédien et réalisateur Chad Chenouga (remarqué avec son premier long métrage, "17, rue Bleue") raconte sa propre histoire. Un récit émouvant qui retrace son parcours personnel, lorsqu'au décès de sa mère il se retrouve placé en foyer. 

Frnce Info Reportage : M.H. Bonnot / P. Conte / O. Darmostoupe / F. Mazzega 
Pour incarner la directrice du foyer, autoritaire mais bienveillante, Chad Chenouga a fait appel à Yolande Moreau. A ses côtés, le jeune Khaled Alouach incarne Nassim qui se trouve du jour au lendemain dans un tout autre cadre de vie qu'il refuse. Touchée par sa personnalité, elle le prend sous son aile pour l'aider à aller de l'avant. Un rôle sur-mesure pour la comédienne belge : "Elle fait tourner la baraque tout en aimant ces petits jeunes", dit-elle à propos de son personnage. 
de toutes mes forces affiche.jpg © Ad Vitam
Cette histoire, directement inspirée de la vie du cinéaste, revient sur cette période douloureuse qu'il a connu dans son adolescence et qui résonne encore aujourd'hui. "Revenir à des choses du passé et parler d'adolescents qui vivent des histoires similaires, c'est quelque chose qui est intemporel et c'est ce qui m'intéresse.", confie le réalisateur

 

"De toutes mes forces" film français de Chad Chenouga avec Yolande Moreau, Khaled Alouach.... sortie le 4 mai 2017 - Durée 1h38

Nassim vient de perdre sa mère qui s'est suicidée. Sa vie de lycéen insouciant bascule. Sa proche famille ne peut pas le prendre chez elle. Il est donc pris en charge par Madame Cousin, qui l'accueille dans son foyer de jeunes. Nassim, bouleversé par la mort de sa mère, ne veut pas s'intégrer au groupe. Il s'enferme dans son chagrin, ses notes dégringolent et il tente de faire le mur pour retrouver sa petite-amie à qui il a caché la vérité. Quand celle-ci l'apprend, elle ne comprend pas l'attitude de Nassim. Soutenu par Madame Cousin, le jeune homme tente de remonter la pente...



commentaire : " Y a des hétéros qui n'hésitent pas à embrasser un homo ...alors que les homos...je vous laisse finir..on a un coeur plus très grand"SENEK  

 

 

 

Par CHAD CHENOUGA - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 mai 6 06 /05 /Mai 08:30

oui mais ça ne vaut pas Copi ! désolé !

Copi :  

 le dessin.

Vive les pédés :

 


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Les filles n’ont pas de banane, précédent

 201410-Vive_pedes_2.jpg

201410-Vive_pedes_3.jpg

Les filles n’ont pas de banane, précédent volume de cette anthologie consacrée aux bandes dessinées de Copi, se concentrait sur les premiers pas de l’auteur dans le récit dessiné,



bof, c'est bien mais bof ! Certes il y a de l'iconoclastie, de la révolte, de la transgression : cannabis... etc mais nous on a eu et on a d'autres façons de transgresser ! 

"Accaparé depuis cinq ans par Lastman, son projet collectif, Bastien Vivès n'avait pas assez de temps à consacrer à un album plus personnel. Il revient enfin avec Une sœur, un roman graphique qui explore les émois adolescents et célèbre la vie dans ce qu'elle a de plus simple et de plus beau.

Bastien Vivès :


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Ça parle de quoi ?

Comme chaque été, Antoine, 13 ans, passe ses deux mois de vacances avec ses parents et son petit frère sur l’Île-aux-Moines. Mais entre les traditionnelles chasses aux crabes à marée basse et les heures passées à dessiner au soleil vient s’immiscer la jolie Hélène. Venue se ressourcer quelques jours avec sa mère après un drame familial, l’adolescente de 16 ans va se lier avec Antoine et l'initier à des plaisirs plus adultes.

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Pourquoi on adore ?

On l’avoue sans peine, avant même d’avoir ouvert Une sœur, on était complètement excité à l’idée de retrouver Bastien Vivès en solo. Car on a beau adorer Lastman, le "manga à la française" qu’il réalise avec ses compères Balak et Mickaël Sanlaville depuis 2013, on attendait fébrilement qu’il donne un petit frère à Polina, sa dernière BD sortie il y a déjà 8 ans.

Ce sera finalement Une sœur, dessinée en quatre mois lors d’une parenthèse qu’il s’est accordée l’été dernier. "J’ai une manière très régressive de voir mon boulot. Depuis cinq ans, je fais de la BD avec beaucoup d’action, de mouvements et des superhéros. J’avais besoin de sortir de cette enfance", justifiait-il récemment au micro de France Inter.

C'est par procuration qu'il a choisi de s'en extirper, en faisant vivre à son jeune héros une adolescence en mode express. Car cette transition que la plupart d’entre nous mettons des années à réaliser, Antoine va la vivre en une semaine. Hélène est belle. Elle flirte avec des garçons, fume, boit de l’alcool. Lui joue encore aux Pokémon. Avec beaucoup de bienveillance, elle va partager son expérience adolescente avec lui.

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Une sœur est une pause dans la vie professionnelle chargée de Bastien Vivès et il a construit son récit comme tel. L’album s’ouvre sur un drame. Sylvie, la mère d’Hélène et amie du couple, vient de faire une fausse couche. C’est pour cette raison qu’elle et sa fille viennent passer quelques jours se reposer au bord de la mer. Deux cents pages plus tard, un autre drame se noue. Entre-temps, Antoine aura grandi en découvrant le sexe, l’ivresse des fêtes et le goût de l’interdit.

A désormais 32 ans, l’ancien jeune prodige de la BD française confirme son talent monstre. Une sœur est son album le plus fluide. On lit qu’il est le plus abouti quand Polina, paru en 2011 (et récemment adapté au cinéma), était déjà celui de la maturité. Sûrement. Il est surtout le plus touchant en dépit (grâce ?) d'une économie drastique de mots et d'un trait incroyablement épuré.

Véritable concentré d’émotions, Une sœur se révèle être une ode à la mélancolie. A France Inter, Bastien Vivès confessait avec nostalgie qu’il retournerait avec plaisir au temps où il avait 8 ans, "lorsqu’il n’y avait pas de souci, pas de meuf. Tu ne sais même pas ce que c’est. Tout est trop bien dans ta vie." En refermant Une sœur, on se surprend à vouloir avoir 13 ans à nouveau. Pour vivre avec passion ces premières fois oubliées depuis trop longtemps.

INT UNE SOEUR_p163-216.indd

"C’est pour vous si…

Vous partagez avec Bastien Vivès la même cinéphilie, au carrefour de Diane Kurys, cinéaste des émois adolescents avec Diabolo Menthe puis La Baule-les-Pins, et d’Eric Rohmer, le réalisateur des jeunes gens qui tombent amoureux. Et ne vous méprenez pas, on peut être à la fois fan de sa régressive série Lastman (dont on attend impatiemment la sortie du tome 10 en septembre) et de son œuvre plus personnelle. D'ailleurs, les éditions Casterman profitent de son actualité pour rééditer Elle(s), son premier roman graphique sorti il y a tout juste dix ans. "

Une sœur de Bastien Vivès, éd. Casterman, 216 p., environ 20 euros

 


commentaire : trop allusif, trop fin pour moi claudio

Par BASTIEN VIVES - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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