papa merveilleux champion de Body-Buildinggrâce à son fiston assez fusionnel somme toute !
"— Je t'aime, mon Papa... je t'aime si fort. Tu es le plus beau, le plus fort des Papas... Oh Papa, serre-moi fort, prends-moi, garde-moi dans tes bras... toujours !
— Pierrot...
— Papa...
Puis, aux petites heures du matin, alors qu'aucun d'eux n'avaient encore trouvé le sommeil tant ils étaient tous deux avides, affamés l'un de l'autre, de leur corps, de leur tendresse d'homme et de garçon, le ton changea. Incidemment et contre toute attente, ce fut Pierrot qui en donna le signal.
— Quand même, Papa... sans ce sale con de Marc et sa grognasse... sans eux... !
— Pierrot !
— Tu crois qu'il la bourre, comme tu as dit, en ce moment, Papa...?
— Pierrot... !! C'est... c'est un vocabulaire pour ta brute de père, çà,... pas pour mon doux, mon merveilleux, fiston, mon Pierrot, mon petit ange... ou bien... est-ce que...
Les yeux de Pierrot, sous ses paupières mi-closes, avaient changé, eux aussi.
— ... par hasard...
La main du garçon, lentement, sensuellement, caressait son bas-ventre, s'insinuait entre ses cuisses.
— ... mon doux, mon merveilleux petit ange...
La tête renversée en arrière, il se cambrait à présent.
— ... mon Pierrot, mon petit Pierrot serait aussi...
Finalement, comme d'elles-mêmes, comme par instinct, les cuisses du garçon s'ouvrirent.
— ... une petite salope qui a envie, aussi, de...
— Baise-moi, Papa... ! Bourre-moi comme la grognasse de ce sale con de Marc qui veut toujours te sucer la queue dans les chiottes de la salle de gym... !
Alors, il n'y eut plus de "virilité", plus de "sexe", plus de "membre viril". Pierre Formambre n'eut plus entre ses cuisses énormes qu'une bite dressée, raide à en être douloureuse, qui bavait de mouille au-dessus d'une paire de couilles de taureau, une queue cherchant un trou, un orifice où vider le contenu bouillant de ces couilles.
Alors, il n'y eut plus "d'anus", plus de "jeune garçon vierge"... Il n'y eut plus qu'une petite salope chaude dont la chatte humide de garçon que les doigts de son père ouvraient déjà, cherchait à se faire fourrer, remplir, mouiller. Un petit trou serré qui se languissait du mâle, d'un mâle bien particulier, son père, son Papa.
Et la bête s'éveilla tout à fait en chacun d'eux.
— Tu la veux ? Tu la veux, mon Pierrot... ma petite salope à son Papa...
— Mets-la moi, Papa... mets-la moi toute... bien profond ! Baise-moi bien...
Tant parce que Pierrot était entièrement vierge que parce que son père était monstrueusement monté, la pénétration fut difficile, douloureuse même pour le garçon, au début. Mais bientôt, grâce à la patience et le savoir-faire instinctif, animal de l'homme et le désir désespéré que le garçon avait d'être enfin possédé par son propre père, allongé sur le dos, les reins cambrés, la taille maintenue fermement par son baiseur, les cuisses largement ouvertes, le garçon accueillit magnifiquement son père en lui, recevant tout l'énormité de son membre au plus profond de lui.
— Aahh... Papa... c'est... c'est énorme... t'es énorme... !!
— Tu... tu m'as souvent traité de brute, mon Pierrot, mon fiston... Je vais te faire voir ce que c'est que... que de se faire baiser par une brute... !
Pierre Formambre, au bord de l'extase, réalisait soudain qu'il n'avait engendré son fils que pour le baiser, que c'était ce vers quoi il avait tendu depuis la naissance du petit garçon, ce qu'il avait toujours désiré... cette forme parfaite, entière d'amour paternel... l'aboutissement de tout son être, la finalité de sa tendresse, de son affection pour l'enfant... une forme de désir et d'amour à nulle autre comparable... quelque chose de merveilleux que seuls son Pierrot et lui pourraient jamais connaître et s'offrir l'un à l'autre. L'inceste du père et du fils apparu soudain aux yeux de Pierre Formambre comme la forme la plus extraordinaire, la plus entière d'amour. La même bite qui avait conçu le petit Pierrot, un jour, le baisait aujourd'hui. Le foutre qui l'avait fait allait bientôt inonder sa chatte de garçon.
— Tu me sens...? Tu sens bien ton père, mon Pierrot...? Tu sens comme ton Papa t'aime fort...?
— Papa... oh Papa... !!
Alors qu'il se sentait tout près de venir en son fils, Pierre Formambre cessa de lutter contre les pensées interdites, perverses qui l'habitaient. Il les accepta, les accueillit en sa conscience et, soudain, il voulut les partager avec l'objet de son amour, de son désir.
— Pierrot, mon Pierrot... mon amour... !
— Papa... !
— Je ... je voudrais tant... te féconder de mon foutre... je voudrais t'engrosser... ! Mon Pierrot, je sais bien que... mais je voudrais tant te faire un petit... que tu portes un petit de moi... un petit qui serait à la fois ton fils, notre fils ... et aussi ton frère... tout uni en un... !
— Papa... je le voudrais tant aussi... un petit de toi... ! Nous ne le pouvons pas mais... vois : je suis ton fils et aussi ton amant... tout uni en un, aussi... !
— Pierrot... je... je...
— Oui, Papa... fais-moi tien... complètement, entièrement... !
— Pierrot, mon Pierrot... donne-toi... sois à moi... Pierrot ! Pierrot !!
— Je suis à toi, Papa... mon Papa... Viens, viens en moi...!
Alors, enfin, ils furent unis, aussi unis que deux amants peuvent l'être, aussi unis qu'un père et son fils peuvent l'être, aussi unis qu'ils
l'avaient toujours désiré tous deux."
Par @nonyme Sur une idée originale de Mister Marvelous Joker !
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INCEST=>(on en comprend toujours mal les motivations) UN FILS pour son père et un PERE pour son fils, tous deux volontairement incestueux (peut-être sommes nous éclairés par cette scène si bien décrite ?)
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LIRE TOUTE LA NOUVELLE / http://www.gai-eros.org/w/index.php/Champion
commentaire : "aucune nécessité d'illustrer une si merveilleuse nouvelle, l'auteur est un artiste"(claudio)
"Rien de plus répulsif pour moi que toucher à ce qu'on voit comme la chair de sa char" (Itzack)
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