Samedi 8 mars 6 08 /03 /Mars 15:29

Lucas a décidé de se faire marin, officier si possible...

À l'ouverture du bureau il jetait des regards furtifs pour voir la tête de celui qui allait le recevoir. Il était encore jeune et son air sympa effaça toutes ses craintes.

 

Pourquoi nous rejoindre ?

Chaque année, la Marine nationale recrute 3000 marins, de 16 à 29 ans, de niveau 3ème à Bac +5.

300 recrutements "officier" ont lieu tous les ans

Pour Lucas vint le jour des tests. Il était convoqué au Ministère de la marine, rue Royale. Il se présenta le matin et toute la journée se passa en des séries de questionnaires, des jeux diaboliques, des exercices de physique, de maths, on demandait si la recrue savait à quoi sert la défense nationale, quelles étaient ses motivations. Après une longue pause chaque futur marin passait devant un médecin psychologue. Il y en avait deux, Lucas sut tout de suite devant lequel il allait passer, les candidats étaient appelés par ordre alphabétique et comme toute la journée s'était déroulée dans cet ordre, il connaissait sa place.

À l'ouverture du bureau il jetait des regards furtifs pour voir la tête de celui qui allait le recevoir. Il était encore jeune et son air sympa effaça toutes ses craintes.

(fake) Quand arriva son tour, Lucas était presque endormi. Il pénétra dans la pièce nonchalamment et resta debout devant le bureau.

— Lucas Guimarch, c'est pas Breton ça comme nom de famille?

— Oui, c'est le nom de mon père, je l'ai pas connu mais ma mère m'a dit qu'il était de Brest.

— Eh bien moi aussi. Je suis le capitaine de vaisseau Pustoc'h, bien que je sois en civil, je suis marin. Asseyez-vous Guimarch.

— Merci M'sieu.

— Voyons les résultats... À mon avis c'est excellent, vous deviendrez un excellent marin. Vous avez le bac S, super, il faudra être studieux et à mon avis vous pourrez même devenir officier. Tout ce que vous avez fait est au-dessus de la moyenne, vous êtes content?

— Oui Monsieur.

— Il faut dire: oui commandant, enfin ce n'est pas grave vous ne connaissez pas encore les grades.

— Non commandant.

— J'ai encore quelques questions personnelles, vous répondez, vous répondez pas. Vous avez une petite amie, si oui elle est d'accord avec votre départ.

— Non commandant rien de tout cela.

— Un petit ami?

— Pardon?

— Vous avez compris la question, vous avez un petit ami?

Lucas sentit le rouge monter aux joues.

— Bon je ne repose pas ma question. Vous savez la marine ne demande pas exactement si vous êtes homo, mais si vous l'étiez sachez que les relations sexuelles de toutes sortes sont proscrites pendant le service. Quand vous embarquerez vous aurez aussi des collègues féminines, alors il faudra être très sage si vous êtes hétéro... et si ce sont les garçons qui sont votre choix, pas de petits câlins, un navire c'est pas un bordel. Libre à vous en dehors de votre vie militaire d'avoir les aventures que vous désirez. L'armée ne veut pas le savoir.

Lucas acquiesça:

— Oui comandant, j'ai compris, je vous promets de retenir ces conseils.

— Voilà Guimarch, bienvenue dans la marine, vous serez convoqué officiellement à Hourtin pour vos classes dans trois semaines, vous avez une adresse à Paris ou c'est toujours celle qui est indiquée?

Lucas donna l'adresse de Charles et remercia l'officier, en sortant il s'enhardit et lança:

— Vous savez commandant, je suis homo, si ça pose un problème je pense que le mieux est de refuser mon engagement.

— J'avais bien vu. Non Guimarch, je suis sincère, tu feras un excellent marin.

Lucas remercia et tourna les talons, il eut un peu de mal à retrouver la sortie. Il était 16 heures, il traversa, entra chez Maxim's, s'installa à une table et commanda un Perrier, il sortit de son sac à dos des cartes postales et commença sa correspondance, une pour les Bertrand, une pour Aurore, une pour Kévin, etc, etc. Il en avait une longue liste.

Trois Perrier plus tard, la pile de cartes était terminée, il s'était écoulé une heure et il paya et franchit la porte de verre. 

    

 

Un beau garçon comme Lucas ne pouvait s'oublier. Tout en notre futur jeune officier forçait l'amitié...et le désir...Le commandant se souvint de l'avoir examiné...

 

Au même moment le commandant Pustoc'h franchissait la rue pour entrer au bar déguster son demi de bière:

— Guimarch, encore dans le quartier! Entrez avec moi je vous offre un verre.

Lucas accepta l'invitation. Il ne savait pas encore qu'il aurait le privilège, le soir même, de baiser son premier officier de marine.


Lucas - Ma première journée de tests au Ministère de la Marine s'est bien passée. Le capitaine de Vaisseau Pustoc'h avait été sympa. Je l'ai rencontré en sortant d'un bar rue Royale et il a tenu à m'offrir un verre. Il était pas mal malgré ses quarante ans bien sonnés.

— Guimarch, c'est bien Lucas votre prénom? m'a-t-il demandé après que nous nous soyons assis à une table isolée.

— Oui commandant!

— Bon, écoute, on ne se reverra pas. Alors ce soir tu me tutoies et tu m'appelles par mon prénom Arsène.

J'ai rigolé à cause du prénom!

— Te moques pas! C'est le prénom de mon grand-père, Dieu ait son âme! Alors comme ça t'es homo? T'as un copain?

— J'ai un copain, mais on s'est quitté pour que je puisse m'engager!

— Et pendant cinq ans tu vas lui rester fidèle?

— Je ne sais pas!

— Je t'ennuie avec mes propos?

— Non... Arsène, je te trouve sympa et assez attirant pour un vieux!

— Arrête... Je n'ai que 40 ans. Bon, c'est vrai quand j'avais ton âge je pensais comme toi! Ça te dit de venir dîner avec moi, au resto?

— Oui, mais dis-moi, toi aussi tu es homo?

— Je suis bi! Je suis marié, mais ma femme est partie en vacances avec les enfants. Je t'invite... Tu n'es pas obligé de baiser avec moi après!

Arsène était vraiment cool! On s'est promené sur le bas des Champs-Élysées. Il m'a montré le palais de l'Élysée. Et puis, vers 20 heures, il m'a invité dans un beau resto dans le quartier Montorgueil, un resto où il n'y avait que des mecs qui me regardaient comme dans le Marais.

Arsène a tout voulu savoir de moi. Je ne lui ai pas parlé de tout, ni de mes bêtises, ni de mon viol. J'ai évoqué, ma passion amoureuse avec Manu, ma relation sans espoir avec Aurore, mes aventures sexuelles avec Kévin et Farid. J'ai encore évoqué Jules que j'ai conduit vers Aurore! Il m'a parlé de la marine. Il était passionné. Après le dîner, il m'a proposé un verre chez lui, dans le XIIe arrondissement. J'ai encore dit oui après qu'il m'eut assuré de ses sages intentions.

Chez lui Arsène s'est mis à l'aise, en tee-shirt et en short, il avait un je-ne-sais-quoi qui me faisait bander! Il m'a dit:

— Tu es très beau Lucas et je suppose que tu as une belle queue!

— Tu veux la voir?

— Oui, s'il te plaît!

J'ai ouvert la braguette de mon jeans et j'ai sorti ma bite toute raide. J'ai bien dégagé le gland! Le capitaine était tout rouge! Il a hésité un peu, a approché la main pour me caresser la queue! Puis il l'a sucée!

Il s'est déshabillé entièrement! Il était plutôt bien foutu! Il triquait. Il s'est mis à genoux sur le canapé et m'a montré son cul en me disant:

— Je t'en supplie Lucas, baise-moi!

— Tu veux que je t'encule? - ai-je osé lui dire et sans attendre sa réponse je me suis foutu à poil.

C'était la première fois qu'un mec voulait que je le domine! Avec Manu je faisais la plupart du temps le papa, mais c'était un échange amoureux. Là, j'allais enfiler un mec, un capitaine, le baiser comme une fille, lui jouir dans le cul et pouvoir faire le macho!

Il m'a tendu une capote! Je me suis protégé et j'ai dirigé ma bite sur son trou.

J'ai baisé un commandant! Il gémissait comme moi quand je faisais la femelle pour Farid ou Kévin! Il a joui comme moi quand je me suis fait violer par deux fois par Raoul! Je me suis vidé les couilles via la capote avec rage dans son cul! J'étais devenu un homme avant même l'armée!

Il m'a fait des câlins et je l'ai pompé à mon tour. J'avais baisé avec Arsène pas par amour, mais pour un vrai plaisir partagé.

— Ça représente quelque chose ce beau papillon sur ton épaule, mon petit Lucas chéri?

— Oui, l'union entre Manu, Aurore, Jules et moi! Pour qu'on ne s'oublie jamais!

— Tu es trop craquant Lucas, beau et romantique! a conclu le beau commandant.

Arsène, le lendemain, il m'a téléphoné chez Marcel et Charles! Il m'a remercié sans préciser de quoi et m'a dit qu'il me recommandait à mes instructeurs! Il m'a même offert ses services pour suivre ma carrière dans l'armée. Un frisson me parcourt : j'entre dans l'Aventure et je suis encadré par Jean Cocteau, Jean Genet et...Arsène. Hourrah !

Arsène avait rejoint Marcel et Charles dans le clan des vieux sympas qui ne pensaient pas forcément qu'à mon cul, Arsène, lui, ne pensait plutôt qu'à satisfaire le sien!

Ce soir, avec Arsène, un homme marié et père de famille, il découvrait combien les apparences pouvaient s'avérer trompeuses. Charles, le toubib au grand coeuravait été "bi" un temps, mais Marcel et Charles assumaient leurs préférences et se proclamaient pédés et fiers de l'être alors qu'Arsène, s'il s'acceptait intimement comme gay, se trouvait loin du coming out des deux premiers.

 

N'est-ce pas Freud qui a décrété que les hommes naissaient tous bisexuels ? Lucas se posa alors la question de savoir s'il existait une façon de reconnaître quels hommes pourraient devenir les partenaires sexuels d'un soir ou d'une vie et quels étaient ceux pourvus d'une hétérosexualité sans faille.

Arsène n'annonçait pas la couleur, il cachait son jeu... un peu tricheur, un peu profiteur, pas courageux sans doute, mais très certainement un poil malheureux.

 

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Par Lucas - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 8 mars 6 08 /03 /Mars 03:10

JAMAIS JE N'AURAIS OSE ME SERVIR DES PHOTOS DES JO RESPECT  MEME SI CERTAINS SPORTIFS SONT GAY ASSUMES  mais ces photos ont fait le tour du web

 

pas d'équivoque svp

mais je tombe sur un site américain qui s'extasie sur notre Lavillenie national :

Ils ont fous ces ricains !

 "I’d like to “hon hon hon” his “oui oui baguette Eiffel tower”

who is this guy??? omg

Oh my god, who is he and why is he not mine yet? 😳

NAME!?

I see you France…… omlettedufromage"

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme Jean Galfione en son jeune temps avait eu droit à la couverture de Gaipied

 

 

Par hello - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 8 mars 6 08 /03 /Mars 02:42

bnekkid83: School’s Naturally In Session ; Especially naked physics.A class that’s naturally well taught…And it shows!!

Par TOF - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 11:21

Je ne me suis pas gêné avec lui pour lui faire comprendre ce que je cherchais...

 

Après deux expériences passives  je me suis dit que si c’est si simple de ramasser un mec dans la rue et se le faire, je dois être en mesure de recommencer quand je le souhaite, quitte à y laisser quelque contrepartie : je suis littéralement affamé.

Je ne serais pas si difficile : pourvu qu'il soit raide et bien actif, un vieux, un laid ferait tout à fait l'affaire...

Je me balade dans mon quartier en quête d’un homme qui me satisfera. Tout le monde m’excite C’est dimanche et il n' y a pas grand monde dehors et beaucoup de commerces sont fermés. Un peu au hasard, je me rends chez l’épicier arabe en bas de ma rue. Le gérant, un quadra barbu, que je connais bien me salue.  Je sais pas trop quoi prendre, alors je tourne un peu en rond. Là je vois dans la pièce du fond un jeune beur en train de regarder un match de foot sur une petite télé. C’est le fils du gérant. Je le connais un peu, il était en 6ème dans mon collège quand j’étais en 3ème, il doit donc avoir 20 ans maintenant. Un vrai branleur pas prêt à faire grand chose sauf sur un terrain de foot. Il porte un short de foot, assis sur une chaise, un pied sur la table de l’écran, et se balance. Il ne remarque pas que je l’observe et se gratte copieusement le sexe. Ça m’a suffi pour m’exciter encore plus. Ça commence à durer et je me demande s’il ne fait que se gratter… Je suis bouche-bée, son paquet a l’air bien massif. J’en ai envie maintenant. J’ai trouvé ma prochaine cible. Je regarde derrière moi et je vois son père résoudre des sudoku à la caisse à l’entrée. Il n’y a personne d’autre dans l’épicerie. Je ne sais pas comment procéder, c’est inédit pour moi. Je me retourne à nouveau et je vois que le fils a changé de position. Il a maintenant les deux pieds à terre, les genoux écartés et plus orientés vers moi. Je ne sais pas si je rêve. Est-ce qu’il a vu que je l’observais, ou est-ce que j’imagine que c’est pour moi ? Il recommence à se gratter. Je vois distinctement la silhouette de son sexe maintenant. Putain qu’il m’excite ! Je m’approche de sa pièce lentement pour pas faire trop de bruit, en faisant mine de chercher dans les étagères. Là, il me surprend et me fixe. Je m’arrête net et je tourne la tête. Je suis comme un gosse. Son regard descend vers ma ceinture. Quoi ?! Je baisse la tête. Merde. Je bande. Il a coupé le son de la télé. Toujours sur sa chaise pivotante, il me fait face, les jambes écartées et me montre que lui aussi est dur et le programme télé à été zappé : c'est un DVD gay. Comment soupçonne-t-il mes goûts  sexuels ?   Je regarde une dernière fois derrière moi et je marche lentement vers lui, en me touchant la queue. Il se touche à son tour. J’arrive devant lui et devant la pièce et je m’arrête. Il prend mon bras, me tire et ferme la porte. Là j’entends la voix du père qui hurle quelque chose en arabe. Il lui répond « Rien, laisse tomber ! ». Avec son index, il me fait le geste du silence. Je hoche la tête avec un grand sourire sur les lèvres. Il ne me sourit pas, lui. Grand brun ténébreux, j’aime. Je n’hésite pas, avec ma main, je saisis son sexe à travers son short fin. Putain, elle est énorme. Je sens que je vais l’adorer, celle-là. Il ne bouge pas pendant mes caresses. Puis soudain, il m’abaisse et frotte sa bite à mon visage. « Goûte ! » dit-il en chuchotant. C'est bon ! Il me fait signe entre pouce et index qu'il veut de l'argent.

Je sors 10 euros. Il secoue la tête. 15 euros. Sans dire ok il accepte de mauvais gré. Je ne le savais pas vénal, mais qu'est-ce que ça fait ? Au lieu d'acheter des conneries dans leur magasin je me payais du bon temps !   

Un corps superbe !!

 

« Suce maintenant! »  Il baisse son élastique et me sort sa pine, que dis-je, son énorme manche et me la fourre directement dans la bouche. J’aime le musc qui se dégage de son pubis légèrement épilé. A ma grande déception, je n’arrive pas à tout mettre dans ma bouche. Elle est vraiment trop longue et trop large. Mais tellement bonne…J'en ai pour mes ronds !  Son gland circoncis occupe le fond de ma bouche et tape dans ma gorge, et je commence à sentir un léger goût salé. Il mouille le salaud. Et j’ai envie de me faire bourrer le cul par son gros pilon. Je me redresse en un saut, et lui montre mon cul. Il a vite compris ce que je voulais. Je crache dans ma main et applique ma salive autour de mon trou. Je commence à me doigter devant lui pour l’exciter davantage. Il fait de même et lubrifie sa queue. Deux secondes plus tard, j’étais contre la porte, et la moitié de sa bite était en moi. J’étais complètement dilaté et je l’acceptais avec des petits gémissements silencieux pour ne pas attirer l’attention de son père, juste derrière. Ça n’en finissait pas d’aller au fond de moi. Je crois qu’il touche ma prostate maintenant qu’il est à la garde. Je me retiens de juter et de hurler de plaisir. Il commence des va-et-vient doux d’abord pour ne pas secouer la porte, mais au bout d’un moment, il s’est lâché, et je pense que tout le quartier nous a entendus. Sa belle queue me râclait toutes les parois de mon cul en n’oubliant pas de toucher mon point G à chaque assaut. Il a mis sa main sur ma bouche pour la couvrir. Mais ça ne servait pas à grand chose, je jouissais quand même du cul. Je n’ai rien contrôlé et ma semence s’est mise à gicler contre la porte. Il en a recueilli un peu pour l’appliquer sur son sexe et le faire mieux coulisser. Il avait un rythme très soutenu, très sportif, et il était super endurant. A l’occasion, je mettais mes mains en arrière pour toucher son corps. Je parvenais à toucher ses petites fesses musclées et son torse. Clairement, ça le rendait fou. Il me mitraillait comme personne ne me l’avait fait avant. Je prenais vraiment mon pied. Il était super doué avec son membre. Je sentais ses couilles chaudes claquer contre les miennes. Je sens la cadence augmenter encore et je comprends qu’il va jouir. J’avais pas envie que ça s’arrête… Sans retenue, il pousse un râle grave et puissant en déversant son jus de couilles dans mes entrailles. Sauf qu’il ne s’arrête pas pendant son éjaculation. Il glisse en moi dans ce mélange de nos deux spermes dans mon anus en feu. Je sens encore sa queue se contracter et cracher les dernières gouttes de son foutre. Il se retire lentement de toute sa longueur en soupirant longuement. Je me retourne et je peux lire un léger sourire sur son visage. Je ne sais toujours pas s’il est gay, ou s’il voulait juste tirer son coup. Franchement, je préférerais que ça soit la deuxième solution ! Je me rhabille, le cul dégoulinant et huileux, lui est en train de nettoyer sa queue avec un sopalin. Je le regarde faire et ça le fait marrer. Sans rien dire, j’ouvre la porte, reprends mes affaires et j’essaye de faire comme si de rien n’était. Ça n’a pas duré si longtemps que ça, je pense que le père n’a rien grillé. Je passe devant sa caisse et le salue. Il me répond « ah, toi aussi il t’a fait entrer dans l’arrière boutique ? Tss, il fait ça tout le temps, ça m’énerve ». Je ricane, un peu surpris et sors à toute vitesse, content d’avoir assouvi mon désir.

 

Ce qui s'est passé est dû moitié à ma séduction, moitié à ce que vous savez...je plains les vieux, les tordus, les boîteux qui n'ont pas ma chance !...

 

Par fringal - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 00:43

RECIT REEL

Avoir un(e) ASSISTANT(e) SEXUEL(le) c'est bien légitime pour eux- elles-"les handis" ESCORT POUR HANDI surtout comme Loic...lequel, laquelle d'entre nous  ne voudrait pas l'être ou le devenir?

Plus tard, "qui vivra verra" mais beaucoup de liaisons de même sexe sont vécues au départ en protestant sur son hétérosexualité...ainsi, nos deux compères... LOIC ET MARTIN

 

 

Je sais, j’ai eu «de la chance». Une nuit passée avec des copains au début des grandes vacances dans le mobil-home de mes parents, partis depuis peu de temps, quelques canettes de bière alors que je n’en ai pas du tout l’habitude, un mégot mal éteint d’une de mes premières cigarettes (et la dernière...) tombé sur la moquette et ce fut l’incendie, sournois au début mais qui s’est rapidement développé du fait de ma léthargie.

Quand je sortis de ma torpeur, le mobil-home était embrasé, la porte inaccessible et la température si élevée que la peau de mon visage cuisait littéralement. Affolé, suffoquant à cause de la fumée, j’ai défoncé à coups de poings la paroi incandescente, là où le feu l’avait déjà fragilisée. Je suis ainsi parvenu à sortir sans même sentir la douleur et j’ai à peine vu les voisins alertés par les flammes qui me roulaient dans l’herbe humide pour éteindre le feu qui prenait à mes vêtements, avant que je sombre dans une semi inconscience... Une sirène, la bienfaisante morphine, puis une salle d’opération.

J’ai appris après, de la bouche de ma mère en larmes, que je m’en étais sorti par miracle. Mon corps était intact sauf une brûlure superficielle au visage et des cheveux grillés - grâce à mes sauveteurs qui avaient éteint les flammes de mes vêtements. La figure me cuisait un peu, mais une crème apaisante me soulageait. En revanche mes mains étaient dans un état catastrophique et une reconstitution s’est avérée nécessaire, faite par un chirurgien de renom. Je ne souffrirais – sauf complication imprévue - d’aucune séquelle mais leur immobilisation pour cinq semaines était incontournable, après dix jours d’internement en service des grands brûlés. J’avais au bout des bras deux «poupées» dont on devait refaire les bandages trois fois par jour et il m’était impossible de faire quoi que ce soit. Je subissais en plus des démangeaisons pénibles, signe d’une bonne cicatrisation, paraît-il.

Mes parents ne sont pas cons. Le mobil-home était assuré, ils avaient gardé leur fils unique, ils comprenaient que la punition naturellement infligée était largement à hauteur de la sottise. J’ai donc échappé aux remontrances et nous nous sommes organisés dès la sortie de l’hôpital. Le matin, mon père me lavait avant qu’un VSL m’emmène à l’hôpital pour le renouvellement de mon pansement, Ensuite je revenais à domicile où je patientais parfois seul – quand des copains ne pouvaient se déranger. Ma mère rentrait me faire manger, becquetée par becquetée à midi, je revenais à l’hosto pour changer les «poupées», on me ramenait chez moi jusqu’au soir; j’avais chaque après-midi et souvent le matin la visite de mon ami Martin que je connais depuis toujours: j’ai su plus tard qu’il avait fait annuler son séjour d’été, sans me le dire, pour rester à mes côtés pendant cette période. Retour le soir à l’hosto pour les soins, puis quand mon père rentrait, toilette; ensuite dîner, etc. Sinon, dans la journée, télé, parties d’échecs avec Martin qui déplaçait mes pièces selon mes indications. Quasi impossibilité de lire. Bref, l’emmerdomètre affichait le niveau maximum - sauf quand mon meilleur ami était là avec sa bonne humeur perpétuelle.

Imaginez vous ce que c’est que de vivre sans vos deux mains? Pour la douche, mon père me mettait entièrement nu, cachait les «poupées» (nom des gros pansements) dans des sacs étanches et m’aidait à entrer dans la baignoire où il me savonnait avant de me rincer. Humiliant, à 15 ans, surtout quand cela provoquait des bandaisons intempestives qu’il tentait de ne pas voir mais qui demeuraient, provoquant de graves frustrations. Je vivais au cours de la journée en peignoir et en caleçon ample - ce qui me permettait, en me tortillant pour baisser ce dernier – de satisfaire mes besoins naturels en m’asseyant sur le siège des toilettes. Pour pisser, cela allait mais pour déféquer, impossible de me nettoyer seul. Je tentais donc de le faire avant ma toilette et mon père me lavait le cul avec un torchon pour éviter un contact par trop intime. L’ambulancier qui conduisait le VSL m’aidait à enfiler un jogging quand personne n’était avec moi, le temps des déplacements.

Ce qui était le plus pénible, c’était encore l’impossibilité de me masturber. Vous imaginez, au seuil de l’adolescence, la perspective de ne pas se branler pendant au moins cinq semaines? Je pratiquais la chose depuis trois ans déjà, sans y attacher beaucoup d’importance d’ailleurs jusqu’à ce que je remarque à quel point la difficulté me frustrait. Alors qu’avant l’accident je me soulageais machinalement deux ou trois fois par jour (toujours seul et pudiquement), le manque m’obsédait littéralement: je ne pensais «qu’à ça». Au bout de quelques jours, j’imaginai un substitut: poser un torchon sur mon lit, me mettre nu à plat ventre et tenter de jouir en me frottant dessus. Je parvenais certes à éjaculer, à baisser la «pression», mais la jouissance était des plus médiocres.

C’est Martin qui me «sauva» après une semaine de cet enfer. Il avait la clé de la maison (j’aurais été incapable d’actionner la serrure) et un après-midi où justement je me livrais à cet onanisme du pauvre, il entra. Il dut appeler d’en bas, mais absorbé par la recherche de la conclusion forcément frustrante de mon «activité» je ne l’entendis pas et il pénétra dans ma chambre au moment précis où je me frottais en geignant, en sueur.

Je sursautai, rouge de honte, Cherchant quelque chose à dire, confus, je me taisais quand il éclata de rire. Il faut dire qu’autant je suis pudique, autant il est extraverti sur les choses du sexe, même un peu exhibitionniste dans les vestiaires ou dans toute circonstance bonne à en parler, à se montrer, à délirer sur la chose. Cela durait depuis un an environ et m’excitait intérieurement, quoique je cachais soigneusement mes sentiments. J’aurais obtenu un billet de vingt euros à chaque fois que je l’ai traité d’obsédé, je serais millionaire!

Pourquoi cette timidité et cette réserve sur le sujet? Je l’ignore. J’étais certes fils unique mais mes parents m’avaient élevé de façon ouverte, j’étais sociable, sportif... Je n’étais certes pas le mieux doté de mes camarades (on me donnait même un peu moins que mes quinze ans) mais il y avait «pire» et si j’étais encore imberbe – sauf au pubis – on me trouvait mignon et pas trop gamin. Des filles m’avaient même déjà discrètement fait comprendre que si je faisais le premier pas, je pourrais peut être «sortir» avec elles... mais cette foutue timidité avait retardé le cours des choses.

Mais revenons à ce moment, de gêne inimaginable...

Mon ami éclata de rire, spontanément, avec fraîcheur et gentillesse.

— Putain, mais c’est vrai, j’y ai pas pensé, tu peux plus te pogner, mon pauvre!

— Ouais! bah c’est pas la peine d’en rajouter, dis-je tout rouge en tentant maladroitement de me rajuster

Il y eut un moment de silence et doucement il ajouta, le sourire aux lèvres mais pas du tout en se moquant:

— Je suis ton ami, non? Pourquoi tu m’as rien dit? À qui tu peux demander de te dépanner, sinon à moi? Je sais que t’as pas de copine! Pas à tes vieux, quand même!

— Tu déconnes, mec, répliquai-je. Je suis pas pédé!

— Mais qui te parle d’être pédé? T’as besoin de te branler comme tous les mecs, t’as pas de main, je te propose la mienne, c’est tout. En tout cas, si c’était l’inverse, c’est à toi que je l’aurais demandé parce que je sais que t’es mon ami et que tu le répéterais pas!

Je ne répondis rien, mais ma verge parla pour moi, se dressant de façon éloquente. Martin s’assit à côté de moi, et murmura:

— Ferme les yeux, pense à rien ou à quelque chose qui t’excite si ça peut t’aider.

Je secouai négativement la tête, mais sans rien dire. Une semaine de frustration, la perspective d’un mois de plus au moins (parce que les pansements retirés, je n’en aurais peut-être pas fini de suite), cela me trottait dans la tête. C’est inconsciemment que j’écartai les jambes... sans fermer les yeux. Martin sourit, et caressa ma queue d’un doigt léger, ce qui provoqua un gémissement de surprise. actionbuddy: Mind if I re-reblog this one again?… ;)   Il la saisit et je la sentis palpiter, m’envoyer des ondes de plaisir comme jamais je n’étais parvenu à en créer seul. Il faut dire que personne ne m’avait jamais touché «là», sauf mon père pour la toilette et dans un tout autre contexte.

— Putain, rigola-t-il, elle est chaude et remuante, elle en a besoin la pauvre!

Son autre main caressa mes bourses et là je lâchai un râle de plaisir, pendant qu’il commençait à me masturber avec tendresse. Je me tordais de droite à gauche sur le lit.

— C’est bon, hein, Loïc, sourit-il... Tout seul on en perd, des trucs... Moi je l’ai déjà fait avec un autre, c’est pas pareil... rien à voir!

Je soufflais comme un phoque. J’avais tout oublié de mes réticences passées, mais la tension était énorme. Il ne fallut que quelques minutes pour qu’un orgasme foudroyant me transperce, me faisant projeter d’énormes jets de sperme sur mon ventre pendant que mes abdos se crispaient et que je me cambrais, sur la nuque et les talons. Martin continuait de me caresser les couilles en tenant ma verge bien serrées, et les ondes de plaisir ne semblaient pas devoir cesser... J’oubliai toute pudeur et lui souris.

— Merci mon pote, c’était génial... Tu sais, j’en avais besoin... Rien depuis l’accident!

— T’inquiète, Loïc, on le refera, dit-il en riant. Tant que tu veux, et sois pas gêné de demander si j’y pense pas tout seul. Moi tu sais, c’est au moins quatre fois par jour alors...

Je rougis un peu car je l’imaginais en train de s’astiquer et cela me donnait de nouveaux picotements: je l’avais déjà vu à poil bien sûr, même bandé, mais jamais «en action».

— Bon, en attendant, dis-je... on se fait une partie d’échecs?

— OK Loïc, à toi les Noirs cette fois! Attends quand même que je te nettoie, dit-il en rigolant et en passant le torchon sur mon ventre avant de remonter mon caleçon.

Cette partie se déroula assez vite parce que je manquais totalement de concentration... en seize coups j’étais mat, et Martin me regardait, hilare:

— J’aurais dû proposer un gage avant!

Ce fut inconscient... je ne répondis pas mais mon regard descendit sur mon entrejambe pendant que ma tige durcissait de nouveau.

— T’en as envie, hein? Encore, mon salaud... Putain j’aurais jamais cru ça de toi le mois dernier, seulement... Loïc la pudeur qui me traitait d’obsédé! Ouais, mais moi aussi, tout à l’heure ça m’a excité grave, alors on va faire ça ensemble...

Il se déshabilla lentement devant moi, souriant, un peu vicelard, désireux de me provoquer. Une fois de plus, comme dans les vestiaires, j’avais en face de moi son corps longiligne à la peau mate et imberbe, si on excepte une fine toison pubienne que manifestement il commençait à entretenir.

— Allonge-toi bien, mec, jambes serrées!

Puis il se mit à genoux sur moi, sa queue à hauteur de la mienne.

— Putain, dis-je, qu’est ce que tu fous? On va pas faire des trucs de... des trucs de pédés?

— Oh, ça je le fais depuis un an et je me crois pas plus pédé que toi... et même si je l’étais, si ON l’était, qu’est-ce que ça pourrait foutre si ça fait du bien? Tu sais, ça s’attrape pas!

Sa main s’avança et chopa nos deux bites, unies sous la même pression. J’avais le souffle coupé de bonheur de sentir contre la mienne ce morceau chaud qui palpitait. Il nous tripotait, en commentant:

— Finalement la tienne est plus longue, oh pas de beaucoup! Et un peu plus épaisse aussi... mais je décalotte mieux, on dirait... Fais voir tes couilles (il les caressait). Ah elles remontent à fond, les miennes pendent un peu... Tu devrais te tailler la touffe un peu, le zob a l’air un peu plus long. Et moi, je me rase les couilles (rire). Remarque, t’as pas grand chose dessus!

Il aperçut le tube de crème qui m’avait servi à soulager les échauffements que j’avais eus sur le visage, dont je ne me servais plus...

— Ouais! Avec ça, ça glissera mieux!

Il nous enduisit, pendant que je suffoquais de plaisir...

— OK, Loïc, on doit être à égalité: t’as déjà juté donc en principe t’es moins excité, mais c’est ma main qui agit, pas la tienne: ça doit compenser. Je branle les deux queues collées l’une à l’autre et le premier qui crache a perdu...

Le contact de sa tige, la douceur de sa main qui enserrait les deux bites bien lubrifiées, la subtile variation qu’il imprimait dans la pression, ses caresses faites avec l’autre main sur les couilles ou les abdos, ça me rendait dingue et je voulais que ça dure, que ça dure éternellement... Mais comme il l’avait dit, nous étions excités tous deux et au bout de quelques minutes, nous explosâmes de façon absolument synchrone.

— Merde! dit-il en rigolant... Faut recommencer, égalité!

Il gardait nos bites serrées à la base pour éviter qu’elles ne ramollissent, tout en continuant ses caresses, tantôt sur moi tantôt sur lui... Ça dura quelques minutes, puis il reprit son mouvement de va-et-vient. Là, ce fut plus long, il fut obligé d’insister, d’accélérer le mouvement. Je le voyais en sueur, bouche pincée, ses abdos crispés, haletant... Cette fois, de peu, c’est lui qui jouit avant moi, en criant de joie...

— Merde, j’ai perdu, rigola-t-il. C’est quoi mon gage?

J’étais complètement désinhibé.

— Pauvre vieux, t’es condamné à refaire ça demain, rigolé-je en même temps que lui, qui par jeu prenait un air boudeur.

Puis j’ajoutai, après une longue hésitation:

— Martin, euhh, s’il te plait...

— Oui?

— Je dois puer le foutre à cinq mètres et c’est mon père qui me lave. Ça t’emmerderait de m’aider à prendre une douche? Sinon il va se poser des questions.

— OK mais comment tu fais?

— D’habitude, il me protège les bandages avec des sacs en plastique qu’il ferme au sparadrap et me lave dans la baignoire; mais sous la douche, ça doit pouvoir le faire...

— Bah y’a pas de lézard! En plus je la prendrai avec toi, parce que j’en ai bien besoin aussi...

Il goûta une des traces de sperme sur sa poitrine...

— Tiens, ton foutre est moins salé que le mien!

Je rougis un peu, parce que je n’avais jamais goûté à ma semence.

— OK mec, on y va?

Après avoir bien protégé mes «poupées», il se glissa avec moi sous la douche et me savonna tendrement. J’étais vidé, donc je ne rebandais plus mais j’adorais ces sensations que j’essayais de lui rendre en me collant à lui. Ses lèvres s’approchèrent doucement des miennes... Une seconde après nos langues s’entremêlaient dans un baiser farouche, le second de ma vie - le premier avait été avec une fille, dans une soirée. Il dura une éternité...

— Martin, dis-je... Ça me fout les boules quand mon vieux me lave et que je bande devant lui; en plus je crois qu’il est encore plus gêné que moi. Ça t’emmerde si je lui demande que tu me le fasses?

— Pas de lézard, Loïc, si tu crois qu’il va pas se douter d’un truc. Tu vas présenter ça comment?

— Facile! Je lui dirai la vérité, qu’on se douche ensemble au sport, que j’ai l’habitude depuis des années. Mais tu sais, je crois qu’il sera soulagé, il est aussi emmerdé que moi. Tu restes dîner ce soir? On en causera avec mes vieux. Bon là faut que tu me sèches et que tu me passes mon jogging: le VSL vient me chercher dans un quart d’heure pour changer mes pansements. Tu m’accompagnes? Ça dure qu’une demi-heure et au retour on causera avec eux...

— D’acc! Le temps de passer un coup de fil chez moi pour prévenir ma mère...

Ils discutèrent un peu puis il revint:

— Elle est d’accord si je peux rester dormir chez toi: elle ne veut pas que je traverse la ville de nuit.

— Pas de lézard, tu l’as déjà fait...

Je rougis... Il avait souvent dormi à mes côtés mais jamais nous ne nous étions touchés... Une question me trottait par la tête... Il fallait que je me libère.

— Martin, tu crois que... je suis pédé? Parce que j’ai jamais joui comme tout à l’heure, tu sais...

Il me regarda, sérieusement, cette fois.

— Loïc, tu sais... Moi ça, je le fais souvent avec un mec. Ça m’empêche pas de triquer en pensant aux filles. Et... Bon jure-moi de garder le secret... L’année dernière... la mère de Luc a déliré et elle m’a dépucelé. Crois-moi, j’ai pas eu de mal à lui faire l’amour trois fois de suite alors que j’avais que quatorze ans et demi et j’ai adoré ça. Si j’ai pas recommencé c’est qu’elle a plus jamais voulu... et je flashe grave sur des filles! Moi je sais que je suis bi! Et toi, t’as fait des trucs avec une nana?

Je rougis.

— Rien encore... Cathy m’a bien branché à la soirée de mon anniversaire, on s’est même roulé un palot, elle m’a tripoté la bosse et moi ses seins, j’étais fou d’excitation, mais j’ai pas osé...

— Bah on dirait que t’es bi aussi, rigola-t-il. Et très con parce t’as une gueule d’ange et un petit corps d’athlète, et en plus tu hais te fringuer, et t’es pas con. Je vois bien comment elles te matent. T’as déjà raté de sacrées occases, je suis sûr. Bon, au final c’est génial! À nous les nanas et quand on n’en aura pas, on se fera plaisir ensemble. De toute façon, Loïc, ajouta-t-il plus bas, enfin sérieux, t’es mon meilleur ami, avec ou sans le sexe. Mais je crois qu’on oubliera jamais cet après-midi, quoiqu’il arrive.

On s’embrassait quand la sonnette retentit. C’était l’ambulancier. FIN

 A TOUS LES COMPLEXéS :  

Sois bon envers toi-même.

Tu es un enfant de l’univers, tout comme les arbres et les étoiles: tu as le droit d’être ici. Et même si cela n’est pas clair en toi, sois assuré que tout se passe dans l’univers selon ses règles propres. Par conséquent, sois en paix avec ton Dieu, quelle que soit en toi son image. Et par-delà tes peines et tes aspirations, au milieu de la confusion de la vie, sois en paix avec ton âme. Max Erhmann Le manuscrit de Baltimore.1927

 

 

Par LOIC2007 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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