RECIT ILLUSTRE TOTALPOST
...me faire sauter par ma meuf!
— Alors c'est ça que tu voulais?
J'ai le souffle coupé et suis incapable de dire quoi que ce soit. Pour seule réplique, je gémis; je ne
sais si c'est d'horreur ou de bonheur. Mon corps répond pour moi, car sans même m'en apercevoir, je tends mon cul de plus belle et écarte les cuisses. J'invite Lucia à me
sodomiser.
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LUCIA UNE FEMME QUI M'AIME PD
Lucia n'est pas très contente. Je l'entends raconter toute l'histoire au téléphone pendant que je lave mon
string, cul nu, dans le lavabo de la salle de bain. Ça me fout les boules. Bon, j'ai merdé, c'est le cas de le dire. J'ai eu la flemme de bien me laver après être allé aux chiottes et j'ai un peu
souillé mon string sans m'en apercevoir et au moment de baiser, ça a pas du tout plu à Lucia.
— Tu comprends, il a une taille de guêpe mais un cul tellement proéminent que les slips ou les caleçons, ça dure
pas trois semaines. Je lui fais porter des strings pour éviter les déchirures; en plus, son joli petit cul est super bien mis en valeur; c'est assez excitant. Mais il faut trouver une solution
pour l'hygiène parce que là, ça craint. J'sais pas trop quoi faire.
Je suis un peu mortifié parce que je présume que c'est une copine que je connais aussi et bon, côté intimité, ça
le fait pas vraiment. Lucia écoute attentivement en faisant des "hum, hum" à intervalle régulier... Je me demande ce que peut bien raconter la copine.
— C'est une super idée, je vais tout de suite la mettre en pratique. J'te laisse, à plus.
Lucia raccroche, prend son sac, me lance qu'elle va faire quelques courses vite fait et part comme une
furie.
Le temps de finir mon lavage, de me doucher, de me changer et de lire un peu le journal, Lucia est déjà de
retour avec un gros paquet à la main. Je la sens très excitée; ça m'intrigue car en général ça veut dire des plans très hot en perspective.
— Désolé, chérie pour tout à l'heure, mais y'avait pas de quoi en faire un foin, je dis.
— T'en faits pas Poussin, je crois que j'ai la solution et que tu vas adorer.
Je la regarde perplexe; je farfouille discrètement dans le sac pendant qu'elle boit un verre d'eau et va prendre
une douche rapide (il fait très chaud cet automne). Je sors au hasard un premier truc avec de la tuyauterie en plastique. C'est un nécessaire à lavement. Je vois le plan. Je suis pas très chaud
mais en même temps, ça m'excite un peu parce que je vois bien où ça pourrait nous conduire et ça me plairait assez. Je commence à lire la notice. Y faut remplir une poche, s'enfoncer une canule,
se remplir le cul avec l'eau de la poche, garder, relâcher, recommencer. Je relis une seconde fois parce que c'est sûr que je vais devoir m'y coller... à moins de refuser de me prêter à ce jeu
dégradant, c'est aussi possible. Je regarde à nouveau dans le sac et je vois plein d'autres trucs; je plonge la main et en sors un au hasard; ça me fait bander aussitôt. C'est un plug, un petit
gode. Ah, elle sait que j'aime quand elle me met deux ou trois doigts dans l'anus, la bougresse! C'est pas étonnant qu'elle ait pensé au plug. Et le lavement, ça doit être pour s'assurer que je
suis super clean avant d'enfiler le plug. Ouais, je vais me mettre au lavement immédiatement.
— Je vois que tu as lu la notice... me dit Lucia au sortir de sa douche. Allez, va essayer ton nouveau jouet et
revient pour que je t'inspecte quand tu auras fini.
Je me lève d'un bond, tout excité, et me précipite dans la salle de bain avec le nécessaire à lavement et ferme
la porte à clef. Je m'en fais trois à la suite; ça fait un peu mal, mais c'est bon. C'est surtout un peu long. Une fois terminé, j'ai l'étrange sensation d'être encore plus à poil et encore plus
offert pour ma copine. C'est assez excitant. Je vais la voir dans le salon après avoir enfilé mon string. Lucia est assise dans le canapé.
— Alors, ça t'a plu?
— Pas mal.
— Viens t'allonger sur mes genoux que je vois ça.
Je sens que ça va vite devenir coquin. Et je m'allonge de tout mon long sur le canapé au travers des genoux de
ma maîtresse en tendant mon cul. Elle m'inspecte l'anus en prenant son temps.
— Parfait, se contente t-elle de dire.
Puis je sens un liquide froid dans l'anus et un doigt, puis deux me pénétrer. Elle sait que j'aime ça; je me
laisse faire, totalement passif. J'anticipe le plug et tente de me détendre au maximum.
— Oh, oui, tu sais ce que tu vas prendre, tu l'as vu; ça te fait frétiller le cul? hein?
— Vas-y, plugue-moi, je dis presque suppliant.
Elle baisse très lentement mon string puis finit par m'enfoncer le plug. Je résiste à peine, ressent une toute
petite douleur et le plug rentre en moi avec une grande facilité. Je gémis profondément. Je bande comme un forcené. Ça m'excite comme jamais. Lucia me remet le string qui maintient bien le plug
dans mon anus.
— Voilà, un lavement tous les jours et le plug. C'est ce que tu vas faire à partir d'aujourd'hui.
— Oui, Lucia, je réponds bêtement.
— Lève-toi et marche!
Elle ordonne. Je le fais et je suis très focalisé sur mon cul et le petit limage que ça me procure en marchant;
j'aime bien la sensation d'avoir un truc dans le cul; ça me fait bander sec.
— Il faut que tu t'habitues et que ça devienne naturel. Tiens, mets ça et on va aller se promener un
peu.
J'ouvre la bouche pour protester parce que je me sens chaud et j'ai plutôt envie que ma petite amie s'occupe de
moi. Mais l'idée de sortir comme ça m'excite aussi. Lucia me lance mon short jaune en toile de spi, beaucoup trop échancré pour une promenade. Je l'enfile et range ma queue sur le côté pour
camoufler mon érection; la toile un peu lâche a son avantage. L'inconvénient, c'est qu'elle flotte à l'arrière et remonte sur mon cul. J'enfile mes flip-flop et me dirige vers la porte pour
rejoindre Lucia qui m'attend.
— Tu vas pas sortir torse nu, elle dit. Tu vas affoler toutes les minettes.
— Ah ouais, je réponds.
J'ai pourtant une furieuse envie de ne rien avoir sur ma peau. Je ne sens pas le short en spi et j'ai
l'impression d'être cul nul, ce qui m'excite. Je serais bien sorti à oualp, mais bon ça se fait pas. Je prends un débardeur taille 16 ans que j'explose littéralement. J'aime bien parce que mes
tétons ressortent sous le tissu distendu et que mon ventre reste à l'air.
— Ça va? Je demande.
— C'est combien la passe? Lucia réplique en me pinçant fortement les deux seins qui pointent à travers le
tissu.
Je pousse un cri ambigu et lui répond que je suis tellement en chaleur que je baise gratis.
Nous sortons et commençons à marcher dans la rue. Je tends un peu mon cul en anticipation de la caresse de Lucia
dont j'ai furieusement envie. Elle prend son temps et finit par glisser sa main sous la toile de spi. Je tressaute. Je ne peux m'empêcher de remuer le cul pour mieux sentir sa main sur mes
fesses. Elle me caresse et je pousse un gémissement incontrôlé. Soudain, elle s'empare de la base du plug et le retire un peu avant de le renfoncer doucement. Je gémis à nouveau. Elle répète
l'opération tout doucement à plusieurs reprises.
— On rentre? je lui dis. J'en peux plus.
— Pourquoi faire?
— Je veux que tu me sautes putain. Rentre me sauter, s'te plaît.
— Ah? T'es devenue une vraie chienne, dis moi.
— Arrête, c'est toi qui m'as mis dans cet état... maintenant assumes. T'es le mec du couple, tu le sais bien;
moi je suis une petite lopette qui obéit à sa maîtresse et putain, ça m'excite grave! Alors on rentre et tu vas me baiser comme jamais.
— Ok, si tu insistes.
Elle me dit en accélérant subitement le va-et-vient du plug.
— Arrête putain, je supplie... je vais jouir en pleine rue.
Nous retournons à l'appartement. Nous nous embrassons fougueusement dès les escaliers; quand je franchis le
seuil, je n'ai déjà plus que mon string et mon plug sur moi. Lucia me tires par les cheveux et m'embrasse en me mordant la lèvre inférieure. Je suis dans un état second. Elle me pince violement
le sein droit et je pousse un cri en essayant de me dégager. Je prends une bonne baffe dans la tronche et, déséquilibré, tombe à terre. Je rampe jusqu'à ses pieds que je lèche. Elle me donne des
petits coups de pieds dans le ventre jusqu'à ce que je me retrouve à quatre pattes cul tendu. Je jute comme un fou.
— Bouge pas.
J'attends, fébrile, ma queue pulsant contre mon ventre. Une minute qui semble infinie passe et Lucia s'approche
derrière moi. Je me retourne pour jeter un oeil; elle porte une ceinture avec un gros gode. C'est le choc. Je vais me faire sauter par ma meuf!
— Alors c'est ça que tu voulais?
J'ai le souffle coupé et suis incapable de dire quoi que ce soit. Pour seule réplique, je gémis; je ne sais si
c'est d'horreur ou de bonheur. Mon corps répond pour moi, car sans même m'en apercevoir, je tends mon cul de plus belle et écarte les cuisses. J'invite Lucia à me sodomiser. Elle retire mon plug
et me graisse le fion avec du lubrifiant puis présente l'énorme gland de sa queue contre mon anus. Elle s'enfonce d'un coup. Je pousse un cri de surprise ou de douleur, je ne sais pas trop. Le
gode me pénètre entièrement et commence à me limer. En fait, je n'ai pas trop mal. Bien vite, j'ai une sensation extraordinaire entre le chatouillement et quelque chose qui ressemble à un massage
du gland avant la jouissance sauf que c'est localisé ailleurs et que ça dure longtemps. C'est indescriptible et j'ai envie que ça ne s'arrête jamais. J'ai l'impression de jouir depuis dix minutes
sans discontinuer ou presque alors que je ne me branle même pas. Ma queue continue à pulser comme une folle. Je m'effondre sous les coups de boutoirs de Lucia qui m'écrase de tout son poids,
entraînée par ma propre chute. Elle se relève et retire le gode de mon cul. J'ondule du bassin pour me frotter la queue contre le sol. Je jouis en hurlant comme jamais. Je reste sans bouger un
grand sourire aux lèvres de contentement. Je crois que j'ai découvert mon point G...
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