Je rentre dans la taverne avec une seule idée en tête: baiser avec un inconnu. Cette taverne est situé dans un des quartiers très mal famés . Je ne m’en soucie pas, ce soir, je suis à la recherche de sensations fortes. Et de la manière que je suis vêtu, il n'y aura aucun doute dans la tête de tous ces gars qui seront dans la taverne parce que j’affiche très bien ce que je recherche.
Je suis un jeune homme de 19 ans, grandeur normale avec un corps bien musclé, sans être de style culturiste. Une chevelure noire bouclée qui me vient à la hauteur des épaules. On me dit viril, je dégage selon plusieurs, beaucoup de sensualité. Je porte un pantalon de cuir noir, ajusté sur ma peau, moulant mes formes, surtout mes fesses et mon entrejambe. Ces hommes vont me trouver irrésistible. Je suis si provocant que rien ne m’arrête ou me fait peur.
Des bottes de cow-boy, torse nu, mon habillement les aidera à deviner que je serai accessible, un homme à la recherche de sexe. Je ne porte pas de slip, je ne veux surtout pas cacher ce que je veux tant leur montrer. Je suis à la recherche de sensations fortes, du sexe viril, vite fait, juste une bonne botte sans histoires ni sentiments, tout ce que je veux, c’est une belle queue en moi, et, ce soir, n’importe quelle queue peut faire l’affaire. Je ne veux même pas attacher un visage à l’acte, surtout ne rien savoir de sa vie à lui, tout ce que je recherche c’est une bonne baise sans aucune attache ni histoire, que du sexe viril.
Je vois tout de suite ce que je recherche, il joue au billard en face du bar. Il a l’allure d’un dur, d'un gars de bicycle, un tee-shirt blanc moule sa poitrine de gars qui aime s'exercer régulièrement avec des altères et la veste de cuir noire lui donne encore plus un air de vrai dur. Des jeans serrés et la fameuse chaîne qui retient son portefeuille suspendu en toute évidence à sa taille, lui révèle tout ce que je veux savoir de lui. Oui, que je me dis, lui, c’est un vrai dur, comme je me l’imaginais, exactement le genre que je recherche.
Mentalement, je ne suis pas en état pour aucune discussion, je ne veux surtout pas perdre du temps à jouer le jeu de la séduction ni le rituel de la drague. Je ne veux rien savoir de sa vie à lui. J’ai seulement envie de ressentir sa verge bien dur me pistonner le cul.
En marchant directement jusqu’à lui, je sais trop bien que tous ces durs à cuire me désirent. Il est costaud, plus grand que je croyais, mais, je sais qu’il fera l’affaire. Je lui murmure quelque chose à l’oreille. Il dépose sa baguette sur la table de billard et me suit. Pour nous rendre à l'extérieur, nous devons retraverser tout le bar devant ces hommes qui me déshabillent des yeux. Je continue ma démarche provocante jusqu'à ce que je disparaisse dans la rue sombre.
Les bruits des klaxons au loin de taxis et de toutes ces autos qui poursuivent leurs folles courses sont les seules sons qui perturbent la nuit. Je marche jusqu’au coin de la rue, il suit tout près de moi. Je vais vers un coin sombre près du mur de la ruelle. Je m’appue contre ce mur, il connaît son rôle, nous n'avons pas besoin de se dire un seul mot. Il réagit rudement, il me prend les poignets et il les immobilise au dessus de ma tête, il m’embrasse sans aucune délicatesse, sa barbe de quelques jours irrite ma peau. Je lui retourne son baiser, ma langue plonge dans sa bouche, suçant la sienne, il me serre de toutes ses forces contre son corps, je ressens la bosse de sa verge en érection qui palpite contre mes cuisses.
Mon cul commence à mouiller, je reconnaîs cette douce chaleur qui monte à l'intérieur de mon corps. Je me sens si vivant pendant que chacun de ses nerfs réagit dans son corps au rythme fou de ses désirs. Je reconnais ces sensations qu’il déclenche dans mon anus qui se contracte. Il descend son zipper d’un coup sec, avec bruit, déclenchant en moi ces moments de jouissance si anticipée.
De ses mains impatientes, il caresse mon torse. Sa peau rude écorche la mienne. Je pousse des gémissements. Sans délicatesse, ses mains me pincent et me griffent les mamelons. Mes souffrances deviennent plaisirs. Je le supplie pour qu'il enfonce sa queue en moi, pour qu'il me pistonne de son membre viril et qu'il me bourre le cul comme le salop que je suis.
Il arrête l'étreinte, s’éloigne un peu de moi, il admire mon corps pendant que mes yeux se font suppliant. De ses mains, il joue avec sa ceinture, il défait la boucle, la détache. Il sort sa queue qui est dur comme fer. Elle n’est pas très longue mais bien grosse. le macho se rapproche de moi et sans ménagement il m’empoigne les poignets et il les attache en les liant avec sa ceinture. Pendant un moment, ses yeux fixent les miens.
Il ne parle pas mais son regard est très dur. Il pose ses mains sur mes épaules et soutenant toujours mon regard, il me dit, ou plutôt m’ordonne: "Suce!" À peine ai-je le temps de m’accroupir que ses mains se pose sur ma tête et m’enfoncent sa queue dans la bouche. Ce sont ses mains qui guide le rythme et je m’efforce de le sucer du mieux que je le peux. Sa queue entre et sort de ma bouche, m’étouffant presque mais d’entendre ses grognements de plaisir m’excite au plus au point.
Sans doute satisfait de sa pipe, il me relève et me retourne brusquement face au mur pendant que je pousse des cris plaintifs. Je cambre encore plus mes fesses, mon corps a si besoin du sien. Je le sens bouger derrière moi, il me descend d’un coup sec mon pantalon jusqu’à mes chevilles, ses mains impatientes se promènent sur mes fesses et caressent mon anus déjà bien éveillé. Le macho tient son pénis d’une main et il en frotte le gland contre mon trou et sans avertissement, il l'enfonce profondément en moi d'un seul coup de rein. Je crie de douleur, je me sens comme si je venais d’être coupé en deux.
Son membre viril me pistonne à longs coups, je crie en poussant mes fesses contre son corps viril comme si mon cul voulait l'avaler en entier. Il ne fait plus du tout attention à ce que je veux. Lui, il ne pense qu'à me défoncer, m’entendre hurler de plaisir. Il me pistonne, de son gros pénis, il me lime de toutes ses forces. À chaque nouveau coup, ses testicules frappent contre les miennes. Je me donne sans aucune retenue, j’ai envie de sentir sa verge en moi, je lui laisse faire tout ce qu'il désir de moi.
Il m'empoigne par les hanches et il me tire brusquement contre sa queue pour que je la sente bien qui vibre en moi, tout son corps se démène dans une chevauchée sauvage tout le temps qu'il me pistonne. Je suis chatouillé par des gouttes de sueurs qui coulent du front de mon amant dans la craque de mes fesses et chacune des gouttes déclenche une nouvelle vague de plaisirs.
J’aime ces sensations violentes que sa verge me cause pendant qu’il est à l'intérieur. Je sens venir l’orgasme, il le sait lui aussi. Je crois deviner qu'il va me donner un dernier grand coup, profond, viril. Au lieu de cela, il me fait attendre, il veut me tester, le macho veut que j’en redemande, que je le supplie. Je pousse du bassin pour tenter de m'enfoncer son pénis encore plus profond dans mon cul, mais, je m’aperçois qu’au lieu de me pénétrer, le macho se retire complètement. J’en pleure, j’ai tant besoin de cette queue en moi.
Il se tient immobile en face de moi, le pénis à la main, le macho se masturbe pendant que je le regarde, il jouit de me voir le supplier comme le vrai salop que je suis pendant que je viens près de s'évanouir tellement je suis fou de frustration. Il me pogne par les épaules et sans ménagement, il plonge sa verge au plus profond de moi, et, il arrête complètement de bouger. Je gémis sous la douleur, mais, cette douleur devient jouissance. J’en oublie de respirer pendant que je m’aperçois que je n’ai plus le contrôle de mon corps, mon anus se contracte tout autour de son sexe.
Il me pistonne en me ramonant à grands coups tout l’int�rieur de mon cul, il veut me défoncer comme jamais. Il me secoue les épaules en me donnant un dernier grand coup de butoir tout en lâchant un cri animal. Il se retire de moi et il éjacule sur mon dos. Je sens son sperme couler dans ma craque des fesses. J’ai des gémissements d’homme en chaleur pendant que son pénis, toujours en érection, malgré le fait qu’il a éjaculé abondamment, se repose dans la craque de mes fesses, bougeant de haut en bas.
Il me prend de nouveau par la taille et il m'oblige à me pencher la tête au niveau du sol. Aussitôt, je panique, j’essaie de voir ce qui se passe, mais en l’espace un clin d'œil, sans aucun avertissement et sans aucun préliminaire, il m’enfonce de nouveau son pénis dur comme fer dans l'anus, la douleur devient insupportable, je crois que je vais m'évanouir. Sa queue m’a défoncé si brutalement l’anus, avec encore plus de force que je n’aurait jamais cru possible. Les sons de ses gémissements sont étouffés par les sons ambiants, pour quelques secondes tout l’intérieur de mon corps semble momentanément paralysé sous cette charge de cavalerie, je souffre mais la douleur me réveille et se transforme de nouveau en plaisir. J’entends mes propres gémissements qui augmentent au même rythme que cette force qui me pénètre.
Je sens la main du macho qui prend possession de ma queue et commence à me branler. Je commence à jouir au même rythme que ce pénis qui abuse de mon cul. Je pousse encore plus mes fesses contre les assauts de son membre pour qu’il sache que je le veux, mais, lui le savait déjà, il sait que j’ai si besoin de ressentir son gros membre en moi. Je sens sa main qui abandonne momentanément ma queue pour se promener sur mon torse et venir pincer mes mamelons. Je frissonne sous tous ces plaisirs qui montent dans mon corps. C’est plus fort que moi, mon cul bouge d'un bord à l'autre suivant chaque mouvement de son pénis en moi.
Je sens monter en moi comme la puissance d’un volcan qui serait près à faire éruption, ce qui me fait perdre tout control. Je ressens son pénis qui palpite à pleine force, m'ouvrant et me labourant l'intérieur. Je n’en peux plus, ma jouissance est devenu trop forte. Son pénis me fait presque mal lorsqu'il crache son sperme pour une deuxième fois tout au fond de moi et que je gicle violemment à mon tour. Nous gémissons tous les deux tellement notre jouissance nous a ébranlé.
Il se lève en m’aidant à me relever, il retire son pénis du refuge étroit de mon anus. Il s’éloigne un peu de moi en tenant son pénis dans sa main, il le masturbe délicatement pour en faire ressortir les dernières gouttes pendant qu’il doit prendre de profondes respirations. Il revient vers moi et me détache les poignets. La ceinture a laissé des profondes marques rouges à mes poignets et il est certain que ces blessures me laisseront des bleus.
Le temps d’un clin d’œil, on se regarde dans les yeux, on sait qu’on ne se reverra jamais. Je vais partir de mon côté et lui du sien, j’ai eu ce que je voulais et lui aussi. Il s’éloigne de moi et revient vers moi pour m’embrasser sur la bouche. Je le remercie pour cette bonne baise et il disparaît au coin de la rue.
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