Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jean Genet a écrit "Un Captif Amoureux" et son amant était palestinien.
American director Michael Mayer's first feature-length movie about two men having a romantic, sexual relationship in an environment where you might not typically expect two men to have a romantic, sexual relationship.
Enlevé et tué par vengeance :
!!!
... -Ah! petit bonhomme, petit bonhomme j'aime entendre ce rire! Saint EX.
Un gay palestinien demande l’asile à Israël
«Chez moi en Palestine, tout le village me persécutait, on m’a même pourchassé afin de me battre. Ils ont failli me tuer. Je préfère rester en prison ici que rentrer là-bas» raconte dans le journal israélien Haaretz un jeune gay palestinien d’une vingtaine d’années.
La Cour suprême israélienne (photo) a ordonné à l’État de reconsidérer la reconduction vers les Territoires palestiniens de ce jeune homo en situation irrégulière en Israël. Le tribunal reconnaît, suite à la demande du jeune, que sa vie risque d’être en danger à cause de son homosexualité si on le reconduisait de force à Naplouse, sa ville natale.
Il a quitté Naplouze à douze ans et s’est réfugié en Israël suite aux violences et aux coups portés par son propre père. En arrivant à Tel Aviv, il a vécu de prostitution – il a même été l’un des témoins d’un film documentaire sur le sort des jeunes prostitués de cette ville.
En novembre 2009, une commission de l’État a pourtant déterminé que son expulsion ne présentait pas de danger, l’accusant notamment de petits délits et de prostitution.
Source: têtu
Ce Gay palestinien a accepté d'être photographié
Out in the Dark A Film Explores the Gay Relationship Between an Israeli and a Palestinian
Out in the Dark – a story about a Palestinian student named Nimer and his Israeli lawyer lover, Roy – is more of a gay Persepolis to Brokeback's triple-denim Disney drama. Set against the backdrop of Israeli-Palestinian relations – historically, not the best of relations – it explores the stigma of gay, inter-faith relationships between men from perhaps the two most notoriously opposed countries in the world.
I gave Michael a ring to speak about his film, being gay in Palestine and Israeli police corruption
Is there a gay nightlife scene in Palestine?
No actual gay clubs, but there are house parties. A few years ago, there were only
completely underground Palestinian gay nights in Tel Aviv, which are now fairly popular. They started at 5PM and ended by 11PM so that people could make it home in time without having to answer
for where they’d been.
I found the sex scenes surprisingly discreet – is there a reason why you exercised so much restraint as a director?
Relationships – including gay ones – are not just about the sex and passion. Yes, it was an important part of the movie. But I felt Roy and Nimer’s
love story would feel so much stronger if it was more than just another gay romance. That there’s a connection that goes beyond the physical. Those are the moments I wanted to show – intimacy and
tenderness, loving and caring. Yael and I discussed it a lot while we were writing the script; I was like, "They can have sex on the second date, but not the first."
EN MARGE
Israel Film Festival: Review of ‘The Invisible Men’ (VIDEO)
There are men in Israel who hide both their nationality and sexuality. They disguise themselves with Jewish star necklaces and live in unidentified apartments, working illegally doing odd jobs to get by. Their parents have threatened to kill them, and the Israeli police seeks to deport them. They are the Palestinian gay of Tel Aviv, the subject of director Yariv Mozer’s film “The Invisible Men,” currently playing at the Other Israel Film Festival in New York City.
Thirty-two year-old Louie has been hiding in Tel Aviv for the past 10 years. He’s been expelled countless times, but always manages to sneak back into the Israeli city. The scars across his cheek testify to his father’s commitment to hurt him for his sexuality. He’s been hiding his identity since the age of 8, when the sexual abuse of a cousin’s friend lead to his awakening as a gay individual. Louie believes himself to be alone.
He is not. Abdu, 24, and Faris, 23, have each been threatened by family, abused by police and on the run for years. Israel’s policy of expelling Palestinians who sneak into the country as potential militants also extends to those homosexual Arabs who would be killed by family members should they be deported to Palestine. Unfortunately, these men have nowhere else to go, unless they are lucky enough to be granted asylum abroad.
Outed in Ramallah and tortured by Palestinian police who believe him to be a Mossad spy because of his sexuality, Abdu is the lucky first to gain asylum status in the West. Louie struggles with his decision to leave his home, saying, "I want to breathe my culture, my land," but after being deported just days before his plane ticket, Louie too settles in Europe. Faris is the last to gain asylum, and cannot speak the name of his first boyfriend, who was murdered in Palestine.
That all three are now safe is the only reason Mozer is able to make his film. Their bravery, and Mozer’s self-conscious interference on behalf of his subjects (from almost getting arrested at the border to illegally sneaking into Ramallah), forms the compelling bedrock of “Invisible Men.” First-person footage and contemplative shots of sands and ocean provide the backdrop.
Vulnerable and sad, Mozer’s documentary is a beautifully restrained and straightforward examination of the issues. Mozer chooses his moments of action carefully, allowing the visual of Louie sleeping on a roof and using a public beach shower to brush his teeth to speak for itself. And yet, Louie and Abdu both miss the Middle East from their frosty new home somewhere in Europe. It is a testament to the powerful draw of a homeland, and the impossible situation that prohibits actually living there. It is an unintended cost of the conflict, and people like Louie are the collateral damage.
The Invisible Men Official Trailer- HQ
The Invisible Men
Synopsis
An untold side of the Israeli- Palestinian Conflict: gay Palestinians – Louie, Abdu and Fares – are hiding in Tel Aviv, and until they escape, they must remain ‘the invisible men’.
Wake me up 2014 je ne crois rien des affirmations qu'Israël serait le paradis des LGBT,mais bon !
2 images attendrissantes
Israël est l’une des sociétés les plus respectueuses dans le monde pour les lesbiennes, les gays, les bisexuels et les transgenres (LGBT). Dès 1960,
les couples homosexuels vivaient librement en Israël, sans crainte de persécution. La révolution gay des années 1980 a permis la pleine reconnaissance de leurs droits, ainsi que l’égalité
juridique et sociale aux personnes et aux familles LGBT. Aujourd’hui, Tel-Aviv est considérée comme la «capitale gay du Moyen-Orient». Cette communauté gay florissante joue un rôle important dans
la société israélienne.
Israël protège farouchement les droits de ses citoyens homosexuels, dont les représentants se situent dans tous les secteurs de la société
israélienne – ils servent ouvertement dans l’armée depuis 1993, ils sont au gouvernement, ils sont chefs d’entreprises… Mais il sont aussi très présents dans le monde du divertissement et de
l’art.
Le premier défilé annuel de la Gay Pride à Tel Aviv a été célébré en 1998. Depuis 2002, un défilé de la Gay Pride a été célébré dans les rues de
Jérusalem et d’autres villes partout en Israël. Aujourd’hui, le défilé de la fierté homosexuelle a lieu à Tel-Aviv. C’est le plus grand défilé gay-friendly du continent asiatique avec plus de
100.000 participants venus de la terre entière.
Le célèbre “Out Magazine” a nommé la pop star israélienne Ivri Lider, le réalisateur Eytan Fox, et star de la télé Assi Azar dans leur top-100 des
gays et lesbiennes inspirants.
La Loi :
Un amendement à la loi sur la diffamation et calomnie, promulguée en 1997, a élargi l’interdiction de proférer et de publier de la diffamation et de
la calomnie, motivés par l’orientation sexuelle d’une personne. Par ailleurs, la loi précise que cet acte appelant a la haine sera considéré comme un crime et la peine encourue sera donc
doublée.
Etre homo dans la société israélienne.
- Les Israéliens homos servent dans l’armée depuis 1993.
- La loi sur l’égalité des chances dans l’emploi de 1992 interdit la discrimination au travail en raison de l’orientation sexuelle.
- Les couples de même sexe détiennent les mêmes droits juridiques, privilèges et obligations que les couples hétérosexuels.
- Les citoyens gays peuvent devenir députés, juges, fonctionnaires. Un grand nombre de diplomates ouvertement gay représentent Israël à travers le
monde et leurs conjoints et enfants sont pleinement reconnus par le ministère des Affaires étrangères.
- Les parents de même sexe sont reconnus pour ce qu’ils sont – des parents – et à travers un processus d’adoption accessible, sont légalement pris
en charge comme une famille avec des pleins droits parentaux. Les couples de lesbiennes bénéficient des mêmes avantages sanitaires pour l’aide à la fécondité que les couples
hétérosexuels.
- Les homos et lesbiennes qui sont victimes de persécution dans tout le monde arabe cherchent souvent à obtenir l’asile en Israël.
Protection des familles gays.
- Les couples homosexuels bénéficient d’une reconnaissance par les tribunaux israéliens et ont droit à:
- Le droit d’adopter: les tribunaux de la famille reconnaissent pleinement les adoptions réalisées par des couples homosexuels.
- Reconnaissance du mariage: en l’absence de mariage civil en Israël, la Cour suprême israélienne reconnaît les mariages homosexuels célébrés à
l’étranger.
- Sécurité sociale: la loi israélienne met tous les couples au même niveau : que ce soient en matière d’impôt, de retraite, de veuvage ou encore de
services médicaux.
- Héritage: les tribunaux d’Israël, avec le consentement du procureur général, reconnaîssent pleinement le droit des conjoints de même sexe
d’hériter des biens de l’autre.
Droits des homosexuels en Israël.
- L’égalité des droits, privilèges et obligations
- Possibilités d’emploi égales
- Égalité de services civils et militaires
- Droit d’adoption
- Défense de la famille du même sexe
- Reconnaissance du mariage
Chronologie des gays israéliens…
1975: Création de la première association LGBT : Aguda.
1988: Début de la “Révolution Gay israélienne”.
1992: La Knesset interdit la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle au travail
1993: Force de Défense d’Israël (FDI) met en œuvre la politique anti-discriminatoire dans l’armée israélienne
1994: La Cour suprême accorde des prestations de conjoint aux couples de même sexe
1998: La superstar israélienne transsexuelle Dana International, remporte le concours Eurovision de la chanson
2000: La Cour suprême reconnaît les partenaires de même sexe comme parents adoptifs.
2002: Premier membre du Parlement israélien,ouvertement gay, est élu.
2004: La justice interdit au gouvernement d’expulser des partenaires étrangers illégaux des gays israéliens.
2006: Les mariages gays célébrés à l’étranger sont reconnus en Israël
2008: Les droits d’adoption sont accordés aux couples homosexuels
2010: le magazine Out reconnaît Tel Aviv comme la ville la plus gay-friendly du Moyen-Orient
2011: Un premier juge ouvertement gay est nommé
2011: Israël accueille la parade la plus grande du continent asiatique avec plus de 100.000 participants venus du monde entier
<!-- counter(current) --> personne(s) sur ce blog
Derniers Commentaires