En vacances tu dois "lutter"tous les jours...c'est la vie !
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En vacances tu dois "lutter"tous les jours...c'est la vie !
et qu'il dans ce pays où l'amour est roi
la hutte des "tortures"et de la transformation pouvait ressembler à celle-ci
sauf que dans ce village les gens allaient nus.
[...]— C'est un grand honneur pour moi.
— Je sais que tu le mérites, le veux-tu ?
— Oui,
— Tu dois savoir que c'est très douloureux, plus douloureux que ce que tu as connu jusqu'ici, mais tu as appris que des douleurs rendent fort. Veux-tu savoir comment ça se passera ?
— Non, Chef, je te fais entièrement confiance, je sais que tu veux mon bien.
— C'est bien. Quant à toi, Taeyel, tu es un excellent garçon, je pense aussi à te donner les mêmes pouvoirs quand tu seras plus grand. Je voudrais que tu accompagnes ton ami dans les souffrances qu'il va endurer pour accueillir ces pouvoirs. Je te préviens que ce sera horrible, que tu auras mal pour ton ami, que tu sentiras dans ta chair ce qu'il endure. Si tu te décides à l'accompagner et de le soutenir, tu devras rester présent jusqu'à ce qu'il ait obtenu les pouvoirs de la main. Le veux-tu, Taeyel ?
— Oui, chef, je le veux et je soutiendrai mon ami quoi qu'il m'en coûte.
— C'est bien, Taeyel. Je vous appellerai tous les deux quand je me serai préparé à te transmettre mes pouvoirs.
Lors de notre passage dans la hutte, nous avons mis Vesni au courant de la décision du chef, il en était content, mais bien vite, il mit ses mains sur ma joue en me disant : « tu devras être très courageux, un tel privilège se mérite. Le chef doit enfoncer dans chaque testicule cinq fines pointes de bois qui auront été trempées dans une préparation de plantes que seuls les initiés connaissent.
Bien sûr, si on voit ça comme ça, l'hygiène et la stérilisation assurées par des feuilles d'arbres de la forêt... Bon c'est un conte. Allez, on sourit ! |
Toujours sceptique ? OK .Il n'empêche...vous connaissez le bois bandé aphrodisiaque des africains ? Le pillage de la flore et de la pharmacopée de ces contrées par les firmes comme Sanofi...etc? Un article suit sur la "pharmacie" des indigènes de la forêt.
-- C'est excessivement douloureux, on te donnera une boisson très forte et on te fera fumer un cigare, cela endormira ton esprit, mais cela restera très douloureux. Je voulais te le dire pour que tu te prépares ».
Les jours qui suivirent, Taeyel et moi ne sortions presque plus de la chambre, nous encourageant mutuellement, il était devenu très mûr depuis le traitement, j'avais l'impression de ne plus avoir un petit garçon de treize ans, mais un adulte d'au moins seize ans. Nous ne faisions plus l'amour qu'à nous deux, parfois jusqu'à dix fois par jour, et sortions pour la nourriture, nos besoins corporels et l'imposition des mains par Vesni.
Le chef nous fit venir.
— Jacques, es-tu toujours prêt ?
— Oui.
— Taeyel, es-tu toujours prêt ?
— Oui.
— Jacques, ce que je ne t'ai pas dit, c'est que, si tu mérites les pouvoirs grâce à ton courage, tu pourras emporter avec toi ce qu'il faut pour transmettre tes pouvoirs à quatre personnes de ton choix, tu devras les sélectionner avec la plus grande prudence, car ces pouvoirs sont inestimables.
— Merci, chef.
— Taeyel, ce soir, tu devras faire jouir Jacques un maximum de fois, au plus il sera vidé de sa semence, au moins il souffrira, je compte sur toi. Demain matin, tu viendras ici chercher un bol contenant une boisson forte, ainsi qu'un cigare comme nous en fumons ici, mais beaucoup plus fort, et avec ces cordes, tu lui lieras ses mains au-dessus du lit, et les pieds, jambes écartées aux pieds du lit. Quand il sera prêt, tu viendras me chercher.
— Oui, je le ferai.
— Chef, accepterais-tu que cela soit filmé par Vesni ?
— Oui, Jacques. L'entretien est terminé.
Nous allâmes chez Vesni, il était d'accord, il est venu dans ma chambre pour que je lui apprenne le maniement de la caméra.
Toute la nuit, Taeyel m'a masturbé, m'a sucé, m'a fait le pénétrer, il m'a fait éjaculer douze fois en une nuit. Nous n'avions pas fermé l'oeil quand le soleil s'est levé. Taeyel me quitta et revint avec un bol*, un cigare, du feu et des cordes. Je dus vider le bol en une fois, la bouche et mon oesophage brûlaient, tellement c'était fort, ma tête commença à tourner.* Taeyel alluma le cigare puis me le donna à fumer. Je me sentais quitter mon corps, ma vue s'est brouillée, et après avoir inhalé la dernière bouffée du cigare, mon corps est tombé comme une masse sur le lit. *
Il est probable que la drogue contenue dans le bol soit de l' L'ayahuasca (voir article "drogues") Vision reproduite par un patient.
Taeyel fixa mes mains aux pieds de la tête de lit, écarta mes jambes et fixa mes pieds, avant d'aller chercher le chef.
Quand celui-ci pénétra dans la tente, il vérifia que je ne puisse me détacher. Il prit une bande de tissu assez large qu'il fit passer sous le lit, puis au-dessus de mon ventre, et il la noua, après avoir serré très fort. Il me demanda de bouger, mais j'étais totalement immobilisé.
Il demanda à Taeyel de s'asseoir à côté de ma tête, le regard dirigé vers mon entrejambe, pour qu'il puisse voir ce que le chef allait faire. Vesni entra, prit la caméra et commença à filmer.
Le chef passa une pommade sur mes bourses, et les massa fermement. Malgré la pommade qui semblait rendre mes testicules insensibles, je criais quand il me les pressait fortement. Quand il put les presser sans que je crie, il prit un outil que je ne pus reconnaître, et incisa mes bourses sur chaque côté. Taeyel put voir apparaître mes testicules à l'air libre.
Le chef prit un premier bâton, le trempa dans une fiole, fit un signe à Taeyel qui me pressa très fortement la tête, et une douleur intolérable me fit hurler à la mort, il avait enfoncé le premier bâton dans mon testicule droit.
J'entendais à l'extérieur des mains frapper en cadence. La douleur mit plus de cinq minutes pour redevenir supportable.
Il passa au testicule gauche et m'enfonça un autre bâton, ça faisait tellement mal que je me suis évanoui. Je me réveillai trop vite, quand il enfonça le second bâton dans le testicule droit, je hurlais, j'appelais maman, je pleurais, je suppliais pour que ça s'arrête, les larmes de Taeyel tombaient sur mon visage.
L'un après l'autre, il enfonça les autres bâtons. Sachant la souffrance que cela occasionnait, je tâchais de m'y préparer, pour mieux résister à la douleur, mais je hurlais et pleurais toujours autant, je sentais la vie me quitter, seules les mains de Taeyel sur mon visage me donnaient la force de vivre et d'endurer.
Le dernier bâton fut enfoncé, il les laissa en place plus d'une demi-heure, la douleur s'atténuait mais restait très forte, Taeyel m'a embrassé sur la bouche tout ce temps.
Puis, les bâtons furent retirés doucement l'un après l'autre, il fit couler un liquide sur mes testicules, puis referma les incisions des bourses avec un genre de fil qu'il passait après avoir percé la peau avec une très fine baguette, il refit couler le même liquide, puis entoura mes bourses avec les feuilles d'un arbre.
Taeyel put me détacher, le chef prit ma tête entre ses mains, écarta les paupières de chaque oeil, vérifia mes yeux injectés de sang. Il fit coucher Taeyel à côté de moi, prit ma main et la déposa sur son sexe. Le visage de Taeyel changea, je sentais la chaleur passer de ma main au pénis de Taeyel, son sexe durcit et il a éjaculé dans ma main, tandis que je le regardais dans les yeux, je portai ma main à mes lèvres, et suçai chaque doigt.
Le chef a souri, il m'a dit « Maintenant, tu es un fort parmi les forts », puis il a quitté la chambre en compagnie de Vesni, les bruits des mains s'arrêtèrent, puis on entendit une salve d'applaudissements.
Taeyel s'est collé à moi, et nous avons dormi jusqu'au lendemain soir.
Quand je me suis réveillé, toute douleur avait disparu, et Taeyel n'était plus là. Peu de temps après il revint, me fit boire un bol d'un liquide au goût inconnu, il retira les feuilles qui entouraient mon sexe, puis palpa mes bourses, je me préparais à avoir mal sous sa main, mais je ne ressentis rien, il en fut heureux, et vint se coucher sur moi pour m'embrasser.
Puis il se leva, me prit par la main et m'emmena dans la hutte du chef. A mon passage, tous ceux qu'on croisait m'applaudissaient et touchaient ma peau en souriant chaleureusement.
Le chef me fit approcher, il vérifia si sa suture avait tenu et si tout était parfaitement propre, puis il se leva, prit ma main, la posa sur son sexe. Je vis son visage changer, son sexe a durci et il a joui dans ma main que je portai à sa bouche, à la mienne et à celle de Taeyel.
Le chef appela Vesni et trois autres hommes, qui devaient attendre dehors. Il prit ma tête et m'embrassa sur la bouche, il ouvrit ses lèvres et moi aussi, ce baiser fort dura cinq minutes, puis il me tourna vers Vesni, à qui je mis la main, et qui m'embrassa à son tour, puis ce fut au tour des trois autres.
Taeyel pleurait en silence de me voir si heureux et si intégré dans le village.
Suite amazonie 3.
La pansexualité semble être ce qui règne dans ce village
Taeyel pleurait en silence de me voir si heureux et si intégré dans le village.
Je ne pouvais pas faire l'amour avant trois jours, mais la présence de Taeyel comblait toutes mes attentes.
Je commençais à penser que dans trois semaines, j'allais devoir quitter le village, et que je ne verrais peut-être plus jamais mon adorable Taeyel auquel je m'attachais de plus en plus.
J'essayais de trouver une solution, ah, si je pouvais contacter papa et lui demander son avis, mais impossible, je devais me débrouiller seul comme un grand. L'imposition des mains de Vesni m'avait rendu lucide et plus déterminé, j'allais emmener Taeyel avec moi en France, s'il était d'accord.
Je lui en ai parlé, il s'est mis à pleurer à chaudes larmes dans mes bras, en me disant « j'avais si peur de te perdre ».
Je lui ai expliqué que ce n'était pas gagné, qu'il fallait que le chef soit d'accord, que mon papa devait nous aider et que l'on ne me laisserait peut-être pas sortir du pays avec un enfant mineur, même si dans sa tête, il était mûr comme un adulte.
Il sauta sur ma bouche, me lécha les lèvres, le visage, moi, j'ouvrais la bouche pour attraper sa langue et l'emprisonner entre mes lèvres, il se jouait de moi, rigolant à qui mieux mieux. Quand nos langues se sont trouvées, la puissance de ce baiser était si fort que nous avons joui sans nous toucher. Il m'a lavé de sa langue et je l'ai lavé.
Nous sommes allés voir le chef et lui avons demandé. Il ne voyait de son côté aucun problème, surtout que Taeyel n'avait plus ses parents, qui avaient été emportés par une maladie quand il avait dix ans.
Je parlai de papa et de l'impossibilité de le contacter, il me dit d'écrire une lettre, et qu'il enverrait un homme du village vers la ville la plus proche.
Le soir, j'écrivis la lettre sous les yeux ahuris de Taeyel, qui savait que l'écriture était utilisée par les gens des villes, mais qui ne l'avait jamais vu de ses propres yeux.
Je ne cachai rien à papa, ni le fait que je me sois découvert bisexuel, ni rien de ce qui s'était passé dans ce village, ni le fait que j'étais éperdument amoureux de ce petit gars.
Je lui demandai s'il voulait nous aider et si oui, comment. Je lui dis que je lui téléphonerais dans moins de trois semaines, aussitôt que je serais dans l'hôtel et que Taeyel sera avec moi.
Je signai, Jacques qui t'aime.
Je pris la main de Taeyel, glissai le stylo entre ses doigts, et de ma main, guidai la sienne pour qu'il écrive. Moi aussi, Taeyel.
Sur un autre papier adressé au directeur de l'hôtel où j'avais logé, je lui demandais de faire parvenir la lettre par télécopie au numéro du bureau de papa, et y glissai un billet d'une valeur certaine.
Au lever du soleil, nous étions chez le chef, le villageois, un homme d'une quarantaine d'années du nom de Tukaro, avec qui j'avais déjà fait l'amour, nous nous appréciions, cet homme était déjà là, nu, mais ses vêtements étaient à portée de main.
Je savais qu'il parlait assez bien portugais, je lui expliquai ce que j'attendais de lui, lui proposant d'aller dans l'hôtel dont je lui ai donné le nom et de demander le directeur.
Il glissa précautionneusement les papiers dans un sac, se leva, demanda que je lui mette la main, il a joui en gémissant, puis il a voulu me prendre et que je le prenne, je n'ai bien sûr pas hésité, et nous avons fait l'amour devant Taeyel et le chef. Puis Taeyel vint contre moi et entoura mon torse de ses bras, tandis que Tukaro s'habillait et partait, je caressais les cheveux de Taeyel.
— Chef, puis-je te parler seul à seul ?
— Taeyel, veux-tu sortir, dit le chef.
Il n'avait pas l'air heureux d'être écarté ainsi, mais je lui fis un bisou en lui disant de ne pas s'inquiéter.
— Chef, je te remercie pour tout ce que tu fais pour nous.
— Jacques, j'ai beaucoup d'amour à donner à ceux qui savent l'apprécier.
— Je voudrais te parler d'une chose avant d'en parler à Taeyel.
— Tu as envie qu'il accède aux pouvoirs de la main ?
— Comment as-tu pu deviner ?
— Si je suis chef, c'est parce que je comprends les hommes que je côtoie.
— Pardonne-moi de t'avoir sous-estimé.
— Ce n'est rien, Jacques, ta peuplade n'est pas la mienne et nous avons des sensibilités différentes.
— Et pour Taeyel ?
— Je te donnerai ma réponse au lever du soleil, viens seul.
— J'y serai.
— Voudrais-tu faire l'amour avec moi ?
— Si Taeyel peut être présent, oui.
— J'admire ton amour et tu viens de me prouver le respect sans limite que tu as pour lui.
— Taeyel, tu peux entrer.
— Taeyel, je voudrais faire l'amour avec Jacques, tu veux bien ?
— Bien sûr, je vais vous laisser.
— Tu peux rester, si tu veux, dit le chef.
— Tu me ferais plaisir en restant, ajoutai-je.
Il sourit et s'assit, je lui mis la main, et fut pris d'un orgasme fulgurant. Je touchai le chef, le fis jouir, puis il fit de même avec moi.
Nous commençâmes à nous faire l'amour, passant par tous les gestes de l'amour entre hommes, je fis un clin d'oeil au chef auquel il répondit, et j'appelai Taeyel à venir nous rejoindre. Nous avons fait l'amour à trois pendant plus d'une heure, les orgasmes se sont succédé, on ne les a pas comptés, nous étions pleins de sperme.
Le chef est sorti et a appelé deux jeunes filles pour venir nous laver, elles sont arrivées, et avec un tissu trempé dans de l'eau tiède, ont effacé les traces de notre plaisir.
Le chef nous offrit un bol d'une boisson sirupeuse, mais exceptionnelle.
Quand il nous congédia, il me dit :
— Jacques, à demain.
Arrivé dans ma chambre, Taeyel me demanda ce qui s'était dit en son absence, et pourquoi je devais retourner chez le chef. Je l'ai supplié de me faire confiance et de ne pas m'en vouloir d'être secret.
Il accepta et me fit tendrement l'amour et je pus le lui rendre. Les trois jours d'abstinence n'ont vraiment pas été nécessaires.
Ce jour-là, nous sommes restés ensemble et avons fait l'amour uniquement avec des jeunes filles et des femmes. Nous avons commencé par les deux filles qui nous avaient lavés chez le chef.
Taeyel voulut ensuite m'emmener chez Kirna.
— Tu l'aimes ? lui demandai-je.
— Elle sait très bien faire l'amour, et je l'aime fort.
— Elle est là, regarde !
— Kirna, viens, s'il te plaît.
Elle s'approcha avec un grand sourire et me félicita, d'être devenu un fort parmi les forts.
— Je te remercie, Kirna. Nous aimerions tous deux faire l'amour avec toi, tu veux bien ?
Elle nous prit par la main et nous entraîna à l'ombre d'un arbre. Nous avons fait l'amour à trois, Taeyel et moi l'avons fait crier un nombre incalculable de fois, elle était insatiable. Nous avons joui dans sa bouche, son vagin et son anus plusieurs fois aussi, nous avons bu toute la liqueur que son jeune sexe pouvait nous donner, puis nous sommes allés à la rivière pour nous laver.
Au moment de nous quitter, elle a pris Taeyel dans ses bras.
— Taeyel, je sais que tu vas partir, j'en serai en même temps très triste et très heureuse, je te souhaite tout le bonheur que la vie peut t'apporter.
Taeyel et Kirna se sont embrassés, partageant tout l'amour qui emplissait leur coeur, je me suis éloigné quelque peu pour leur laisser ce moment d'intimité. Taeyel m'a rejoint dix minutes plus tard, il pleurait. Je l'ai serré dans mes bras et j'ai pleuré avec lui.
Nous sommes restés ainsi très longtemps avant d'aller nous nourrir et de faire l'amour avec d'autres femmes, jeunes et âgées.
Le lendemain matin, je me suis rendu seul chez le chef.
— Chef, as-tu pensé à ma demande ?
— Oui, Jacques, j'ai pris conseil de Vesni et des trois autres hommes forts. Nous n'avons jamais fait cela avec un adulte aussi jeune, nous avons peur qu'il ne supporte pas cela.
— Je comprendrai que tu ne veuilles pas, chef.
— Je n'ai pas dit ça, je suis prêt à accepter, mais il faut que son envie et sa détermination soient beaucoup plus fortes que celle que tu as eues.
— Puis-je lui en parler, alors ?
— Oui, mais je dois te dire autre chose.
— Je t'écoute.
— Jacques, c'est toi qui le feras.
— Chef, ne me demande pas ça, je ne pourrais pas.
— Réfléchis bien, Jacques, quand tu seras dans ton pays, tu seras amené à le faire quatre fois, et je ne serai pas là pour te guider. Si Taeyel veut devenir un fort parmi les forts, tu officieras, et je serai à tes côtés.
— Chef, tu me troubles, je ne m'imagine pas lui infliger moi-même une telle souffrance.
— Jacques, ton coeur et ton corps doivent être forts, amener Taeyel au statut d'homme fort parmi les forts serait pour toi une preuve de force et d'amour, que décides-tu ?
Je me mis à pleurer, il me caressa les cheveux. Après un long temps, je relevai la tête, mes larmes avaient séché, je le regardai dans les yeux et lui dis un seul mot.
— OUI.
— Taeyel, vu son âge et sa taille, aura six bâtons au lieu de dix. Revenez me voir quand Taeyel aura pris sa décision.
Taeyel m'attendait à l'entrée de ma chambre, curieux et inquiet.
— Viens, Taeyel, asseyons-nous, viens entre mes jambes.
Il se positionna bien contre moi, et ses bras au-dessus de mes cuisses qu'il caressait tandis que caressais son sexe.
— Mon Taeyel, tu sais que je t'aime, tu n'es pas qu'un simple ami, je suis amoureux de toi.
— Moi aussi, Jacques, depuis la première seconde où je t'ai vu.
— Tu vas bientôt quitter le village et les gens que tu connais pour venir avec moi dans un pays que tu ne connais pas.
— Je sais tout ça, Jacques, on en a déjà parlé.
— J'aurais voulu que tu emportes avec toi quelque chose d'ici que tu garderas toute ta vie.
— Un objet ?
— Non, une force.
— Tu parles du pouvoir des mains ?
— Oui, Taeyel, mais ne me réponds pas de suite, prends ton temps.
— Le chef ne voudra jamais, je n'ai pas l'âge.
— Il serait d'accord, aimerais-tu devenir un fort parmi les forts ?
— Ce serait magnifique, et puis je pourrais te mettre la main et faire l'amour dix fois par jour.
— Mais tu sais aussi ce que ça exige de toi, tu as vu comment ça s'est passé avec moi.
— Oui, Jacques, je sais tout ça, et les images défilent encore dans ma tête.
— Je ne veux pas te forcer, Mon Taeyel, c'est une décision importante, d'une part le pouvoir des mains et le plaisir que tu pourras procurer aux autres en leur permettant de multiples orgasmes, mais d'autre part, tu as vu, deux heures de souffrance terrible.
— Je veux devenir un fort parmi les forts, mais à une condition.
— Laquelle ?
— C'est toi qui le feras.
— ...
— Jacques, pourquoi pleures-tu, tu ne veux pas ?
— Je n'ai pas envie de te faire autant mal.
— Tu me le feras par amour, ce sera pour moi une preuve de ton amour.
— Je sais tout ça, car le chef a décidé que ce serait moi qui devrais te le faire.
— Ben voilà, on est d'accord !
— Taeyel, j'ai peur de perdre ton amour. Et si tu m'en voulais de t'avoir fait autant souffrir ?
— Jacques, je sais que j'aurai moins mal si ce sont tes mains plutôt que celles du chef.
— Le crois-tu vraiment ?
— Oui, j'en suis sûr.
— J'espère être à la hauteur.
— Tu le seras. Demain, on va chez le chef.
— Il m'a dit que tu dois être totalement déterminé à aller jusqu'au bout. Une fois le premier bâton enfoncé, il y en aura, vu ta taille, cinq autres.
— Je serai fort.
— Sais-tu que j'ai voulu mourir, tellement ça faisait mal ?
— Je le sais, je l'ai vu, et je sais aussi que c'est notre amour qui t'a donné le courage nécessaire.
— Crois-tu que notre amour te permettra de t'accrocher, comme moi je l'ai fait ?
— OUI.
Sa réponse était définitive et sans appel, comme la mienne au chef tout à l'heure, je l'ai pris dans mes bras, nous sommes couchés, collés l'un à l'autre, sans prononcer un seul mot, jusque midi.
Après avoir mangé un peu, nous nous sommes promenés dans le village, nous avons fait l'amour rien qu'avec des hommes, je leur mettais la main, et puis nous nous donnions du plaisir.
Les voir éjaculer sous mes doigts me remplissait du bonheur que je leur donnais, qu'ils soient tout jeunes ou très vieux.
Nous sommes rentrés épuisés, mais nous avons encore fait l'amour deux fois.
Kirna.
Taeyel voulut ensuite m'emmener chez Kirna. — Tu l'aimes ? lui demandai-je. — Elle sait très bien faire l'amour, et je l'aime fort. — Elle est là, regarde ! — Kirna, viens, s'il te plaît. Elle s'approcha avec un grand sourire et me félicita, d'être devenu un fort parmi les forts. — Je te remercie, Kirna. Nous aimerions tous deux faire l'amour avec toi, tu veux bien ? Elle nous prit par la main et nous entraîna à l'ombre d'un arbre. Nous avons fait l'amour à trois, Taeyel et moi l'avons fait crier un nombre incalculable de fois, elle était insatiable.
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Contre l'aliénation
Christophe Maé - On S'attache |
J'ai pas le style,
Pourtant pas hostile
Mais c'est pas pour moi le costard uniforme
J'ai pas l'intégral,
Du gendre idéal,
J'aurai toujours l'impression qu'on m'espionne,
Pourtant pas contre l'amour,
Je s'rais même plutôt pour,
mais c'est pas pour autant qu'il faut
Refrain:
Qu'on s'attache
Et qu'on s'empoisonne
Avec une flèche
Qui nous illusionne
Faut pas qu'on s'attache
Et qu'on s'emprisonne,
Mais rien empêche
Que l'on s'abandonne...NON
D'un chef de file
J'en ai pas le profil
Mais sur l'oreiller j'aime pas qu'on me questionne
Je suis pas James Bond
Entouré de belles blondes, (nan nan nan)
J'envie même pas les hommes qui papillonnent
Pourtant pas contre l'amour
J'attends plutôt mon tour,
Mais c'est pas pour autant qu'il faut
Refrain
Qu'on s'attache
Et qu'on s'enpoisonne
Avec une flèche
Qui nous illusionne
Faut pas qu'on s'attache
Et qu'on s'emprisonne,
Mais rien empêche
Que l'on s'abandonne...NON
On le sait bien
Le quotidien, ça me tue, ça me tient,
ça me fait mal
Rien de plus normal,
Mais tu t'enfiles dans le file
Mais faut pas qu'tu dépasses
A chaque fois, qu'tu resquilles, mais t'es qui ?
T'es pas normal
On s'attache
Et on s'empoisonne
Avec une flèche
Qui nous illusionne-Faut pas non
Qu'on s'attache
Et qu'on s'emprisonne
Mais rien n'empêche
Que l'on s'abandonne...FAUX !
Qu'on s'attache
Et qu'on s'empoisonne
Avec une flèche
Qui nous illusionne-Faut pas...non
Qu'on s'attache
Et qu'on s'emprisonne,
Mais rien n'empêche
Que l'on s'abandonne...non, non !
Après tout je ne suis qu'un homme
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Suite Amazonie 4/4
Après avoir mangé un peu, nous nous sommes promenés dans le village, nous avons fait l'amour rien qu'avec des hommes, je leur mettais la main, et puis nous nous donnions du plaisir.
Les voir éjaculer sous mes doigts me remplissait du bonheur que je leur donnais, qu'ils soient tout jeunes ou très vieux.
Nous sommes rentrés épuisés, mais nous avons encore fait l'amour deux fois.
Le lendemain, Taeyel me réveilla, et m'entraîna chez le chef. Il nous attendait, il connaissait le caractère de Taeyel.
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— Que veux-tu, Taeyel ?
— Je veux devenir un fort parmi les forts.
— Pourquoi, Taeyel ?
— Pour pouvoir rendre des hommes heureux.
— C'est tout ?
— Aussi pour rendre Jacques, mon amour, heureux.
— Tu as vu comme Jacques a souffert ?
— Oui, j'ai tout vu, ce que tu lui as fait, j'ai entendu ses cris de douleur, je l'ai entendu hurler, je l'ai vu pleurer, j'ai senti qu'il a voulu mourir.
— Crois-tu pouvoir endurer les mêmes souffrances ?
— Oui, tu sais que je suis fort.
— Tu l'es en effet. Jacques te fera donc accéder au statut de fort parmi les forts. Je le préparerai à officier aujourd'hui, et ce soir, il te préparera en vidant ton corps de ta semence. Ce sera pour demain matin. Jacques, je veux te voir ici dans une heure, l'entretien est terminé.
Nous sommes sortis, Taeyel m'a sauté au cou, enlaçant mes reins de ses jambes, je l'ai soutenu par les fesses, tout en l'empalant sur ma verge, et nous nous sommes promenés ainsi dans tout le village. La nouvelle était déjà connue de tous, ils et elles venaient nous encourager, qui par un bisou, qui par une caresse dans le dos ou sur les fesses, ils savaient que l'épreuve allait être très difficile pour tous les deux.
J'ai laissé Taeyel, après l'avoir touché et sucé, pour rejoindre le chef, et, toute la journée, il m'a expliqué tous les gestes, tous les moyens possibles pour limiter la douleur autant que possible, il me montra les outils, leur fonction, la manière de les utiliser, les produits à utiliser, et en quelle quantité.
Quand je ressortis, j'étais plein des enseignements du chef, je les gravais de manière indélébile dans ma mémoire pour n'oublier aucun détail, aucun conseil.
Je retrouvai Taeyel sur la place du village, il prenait sauvagement un adulte de dix-huit ans qui aimait ça et en redemandait. Je le suivis dans ses autres ébats sexuels, il se fit sucer par un adulte de 70 ans et il le remercia en l'embrassant fougueusement. Il prit aussi par derrière des adultes de son âge, tandis que moi, je les suçais.
Toute la soirée, je l'ai fait éjaculer jusqu'à ce qu'il n'ait plus de sperme. Je me suis couché pour dormir, je devais être en forme pour le grand jour, je fis venir Kirna, qui s'est occupée de le garder vide toute la nuit.
Au lever du soleil, ils étaient toujours occupés. Je partis chez le chef, et revins pour les préparatifs. Taeyel me demanda si Kirna pouvait rester pendant le don du pouvoir des mains, qu'elle serait forte et qu'il lui avait tout dit de ce qui allait se passer, et sans savoir si cela faisait partie des traditions, j'acceptai. Après avoir fait boire et fumer Taeyel, je l'attachai au lit et repartis chez le chef.
Je lui ai parlé de Kirna, il était choqué, car jamais une fille ou femme n'avait assisté à un transfert de pouvoir, mais il se plia à ma décision, il me donna le matériel nécessaire et m'accompagna auprès de Taeyel.
Vesni était prêt avec la caméra.
Je ne vous raconterai pas en détail ce qui s'est passé, j'en serais incapable, ce fut le pire moment de ma vie, et les souffrances que j'avais endurées auparavant n'étaient rien face à ces heures où j'ai dû enfoncer un à un les bâtonnets dans les testicules de mon Taeyel, j'ai pleuré en permanence, et le chef essuyait mes larmes. Au lieu de dix bâtonnets, il y en avait six, mais c'étaient six de trop. Ses hurlements me déchiraient, je voulais tout arrêter, mais il fallait que j'aille jusqu'au bout. Les battements de mains à l'extérieur m'ont mis en transe, c'est ce qui m'a permis de tenir. Kirna était une fille très courageuse, elle pleurait tout en encourageant Taeyel, elle couvrait son visage de baisers, Taeyel enfonçait ses ongles dans les bras de Kirna tellement fort qu'elle en saignait, elle ne diait rien.
Quand tout fut fini, le chef s'approcha de Taeyel, mit sa main sur son propre sexe, qui durcit très vite, et il éjacula, il sourit à Taeyel et à moi, lui dit « Taeyel, tu es maintenant un fort parmi les forts » puis sortit.
Taeyel pleurait toujours, Kirna et moi nous sommes couchés à ses côtés, et l'avons caressé jusqu'à ce qu'il trouve enfin le sommeil.
Le lendemain, la première chose qu'il fit, c'est me mettre la main, avec le résultat que vous imaginez, Kirna riait de bon coeur.
Il voulut me prendre en bouche, suça ma jouissance, puis il embrassa Kirna, lui donnant mon sperme, puis il demanda à Kirna de s'occuper de moi, elle vint me sucer, puis s'empala sur ma verge, et je jouis en elle.
Nous nous sommes rendormis jusqu'au soir.
Le chef est venu, il a retiré les feuilles et en a remis d'autres toutes fraîches, il me dit que j'avais été parfait.
Taeyel prit ma tête dans ses mains, et nous nous sommes embrassés pendant une heure, tandis que Kirna nous faisait des bisous partout.
Le lendemain, le chef revint pour changer les feuilles et s'assurer qu'il n'y avait aucune infection.
Le soir-même, Taeyel me demanda de lui mettre ma main, et il a joui sans aucune douleur.
Le lendemain, Taeyel et Kirna faisaient l'amour, enfin, on a fait l'amour à trois.
Taeyel fut vite la coqueluche de tous les adultes, tous lui demandaient qu'il leur mette la main, et s'ensuivaient de mémorables ébats sexuels.
Le chef du village lui-même appelait souvent Taeyel, tout heureux de retrouver des forces sexuelles par la main d'un aussi jeune adulte.
Quand Tukaro, le messager revint de la ville, je me précipitai vers lui pour lui demander s'il avait pu envoyer mon message. Il me tendit une enveloppe, et m'expliqua que le directeur de l'hôtel lui avait offert de manger et de passer la nuit dans une très belle chambre, et que le lendemain matin, il lui avait donné cette enveloppe, précisant que mon père avait répondu.
Je lui sautai au cou et l'embrassai avec la langue, puis je courus m'isoler pour lire la réponse de papa.
Il m'assurait de tout son amour, il acceptait mon amour pour les hommes, il comprenait que je sois tombé amoureux de Taeyel, en me précisant : si tu l'aimes, c'est qu'il le mérite, et maman et moi, on l'aime déjà, même sans le connaître, il avait déjà effectué des démarches, il serait à l'hôtel le jour où Taeyel et moi arriverions. Il me précisa quand même que Taeyel ne pourrait pas repartir en France directement avec nous, il y avait des tonnes de paperasses à remplir, des accords à obtenir, mais que ça ne durerait pas plus de trois mois.
Il avait signé : Papa qui vous aime tous les deux. Et maman en-dessous : Taeyel, je t'aime autant que Jacques.
Je fonçai vers Taeyel en train de mettre la main à un adulte de seize ans, je le pris dans mes bras et, sans lui demander son avis, je l'emmenai dans ma chambre et lui expliquai tout.
Nous pleurions tous deux de joie. Nous avons fait l'amour pendant des heures, nous mettant réciproquement la main, quand nous faiblissions. Nous nous sommes endormis quand le soleil s'est levé.
Vers midi, le chef est entré dans ma chambre, un peu fâché, et il avait raison, je l'avais oublié, je lui ai demandé humblement de m'excuser, il m'a souri affectueusement.
Je lui ai traduit littéralement le contenu de la lettre de papa. Ses yeux se mouillèrent et tout ce qu'il put dire, c'est : « tu as de la chance d'être entouré d'autant d'amour, et je sais que Taeyel n'en manquera pas non plus ».
Nous avons fait l'amour avec lui, et Kirna nous a rejoints et a pu participer à nos ébats.
Nos derniers jours de présence dans le village furent très difficiles, l'imminence du départ assombrissait le coeur de tous les villageois, leur Taeyel allait partir, ainsi que le petit Jacques, pour eux venu de nulle part, tous deux allaient sortir de leur vie.
Taeyel et moi avons fait l'amour avec chaque adulte du village, sans exception. Nous avons pris dans nos bras tous les enfants qui avaient les larmes aux yeux, nous avions à coeur de consoler leurs âmes tristes.
C'est dur de partir quand on est aimé et quand on aime. Le jour du grand départ, Taeyel et moi avons embrassé affectueusement chacun et chacune, tout le monde pleurait.
Nous nous sommes habillés, avons pris notre sac, avons remercié le chef qui nous a pris par la main pour nous mener, avec Tukaro, aux limites du village, nos pas étaient cadencés par les battements de mains de tous les villageois.
Une fois hors de portée, nous nous sommes embrassés tous les trois, et avons poursuivi notre route avec Tukaro sans nous retourner, nous n'aurions pas pu.
Après deux jours de marche et une demi-journée d'autocar, ou plutôt de camion, nous étions tous trois devant l'hôtel. Papa était là, il nous embrassa tous les trois, et nous avons mangé un repas si bon qu'il a calmé notre tristesse toujours présente.
Papa avait réservé une chambre avec deux grands lits, je me suis approché de lui, pour lui faire comprendre que nous devions et avions envie de faire honneur à notre Tukaro, à celui qui nous avait guidés pour nous ramener à cette ville. Papa me répondit, tout simplement : « Faites comme si je n'étais pas là ».
Il s'est couché en boxer dans un des lits et nous regardait, tout simplement. Nous avons remercié notre guide du mieux que nous pouvions, nous offrant à ses envies, lui proposant de répondre aux nôtres. Papa regardait sans rien dire, sans aucune once de reproche ou d'étonnement dans ses yeux.
J'ai dormi avec Taeyel, Tukaro avec papa ; au matin, papa était nu et dans les bras de Tukaro.
Taeyel n'a pas pu revenir avec nous directement, papa avait trouvé une famille d'accueil et je suis rentré avec papa en France. Un mois et demi plus tard, papa a fait l'aller-retour au Brésil et est revenu avec Taeyel.
Mes parents avaient officiellement adopté Taeyel, et avaient totalement accepté ma bisexualité, ils l'avaient depuis longtemps devinée et avaient attendu que je leur en parle. En attendant l'arrivée de Taeyel, on a arrangé ma chambre pour qu'elle puisse nous accueillir tous les deux dans un très grand lit.
Le vendredi de son arrivée, je trépignais avec maman dans le grand hall des arrivées. Nous sommes tombés dans les bras l'un de l'autre, en pleurs. Mes parents étaient vraiment formidables, et Taeyel s'est senti immédiatement chez lui, comme s'il y était né.
Officiellement, j'avais un petit frère, et dans l'intimité, j'avais mon amour.
Il a été scolarisé, ce ne fut pas facile pour lui, mais il dépassa toutes nos espérances. Il devint petit à petit un magnifique adolescent, il faisait beaucoup de sport.
Il pensait souvent à Kirna, et ils s'échangeaient des lettres, lues par le chef, avec la longue attente due à l'isolement du village et aux rares contacts entre celui-ci et la « civilisation ».En fait, il était amoureux autant d'elle que de moi.
J'en parlai à papa, qui écrivit à Kirna, et se mit en place un projet à l'insu de Taeyel, Kirna allait être officiellement adoptée par un de mes oncles, mais allait vivre avec nous.
Le jour où elle arriva, on banda les yeux de Taeyel dès qu'il eut franchi la porte de la maison. On l'emmena au salon, Kirna était debout, on les mit face à face, c'est moi qui ai retiré le bandeau, et Taeyel s'est évanoui en la voyant. On a dû appeler un médecin.
Pendant plusieurs jours, j'ai dormi sur le canapé du salon, je ne voyais Taeyel que pour lui mettre la main.
Puis ils m'invitèrent à revenir dans ma chambre, et on a partagé le même lit et nos corps tous les soirs qui suivirent.
La suite, vous la comprenez : Taeyel et Kirna se sont mariés, et moi, j'ai eu la chance de rencontrer ma femme. Ensemble nous avons eu Thierry, notre garçon.
Encore maintenant, je fais régulièrement l'amour avec Taeyel, et parfois à trois avec Kirna. Maman n'a jamais participé, mais elle était souvent présente.
Depuis que papa s'est arrêté de parler, un silence de mort s'est abattu sur nous. Que dire, que penser ? Y a-t-il quelque chose à dire, à penser ? Je regarde mon Petit coeur, son visage est comme figé, il est hébété. Papa nous a confié les parties les plus intimes de son histoire, mon Petit coeur doit assimiler tout ça, et je le comprends. Personne ne dit rien, le soleil s'est couché depuis bien longtemps. Seuls la clarté de la pleine lune et le faible projecteur qui éclaire la piscine nous permettent de voir que tous les yeux sont humides.
Mon Petit coeur fond soudainement en larmes, se précipite sur les genoux de papa , ils se prennent dans les bras et pleurent tous les deux, je m'approche de maman et lui fais un gros câlin. Ce moment d'une intensité exceptionnelle appartient à papa et à mon Petit coeur, maman et moi partons au salon, échangeons notre ressenti suite à la narration de papa, ce n'est que deux heures plus tard qu'ils nous rejoignent, main dans la main, mais surtout en souriant de bonheur.
On ne mange pas, ce soir-là, personne ne pense à son estomac. Dans les chambres, aucune activité, aucun gémissement, aucun cri, tous les quatre digèrent en silence le récit de papa, surtout mon Petit coeur. Pour lui, Taeyel et Kirna étaient un oncle et une tante adoptés dont il ne savait pas grand-chose, maintenant, il sait tout, il comprend certains silences, certains sous-entendus, les absences courtes mais régulières de papa.
Personne ne dort beaucoup, cette nuit-là. Régulièrement, mon Petit coeur, lové dans mes bras, se met à pleurer, je le console, lui caresse les cheveux, et il se calme. Il ne pleure pas de tristesse, mais il se sent comme devant un mur qu'on a monté devant lui, ce mur lui paraît beau, plein de couleurs-bonheurs, mais il doit l'escalader, pour devenir lui aussi superman du sexe, il doit faire sien tout ce que son papa a vécu.
une victime de plus du "jeu du foulard"
"La télévision était allumée sur les Simpson, ses devoirs étaient ouverts sur son bureau, son goûter à côté. Il était là, au milieu de ses
jouets. Et puis, je me suis souvenue des 'symptômes' qu'il avait eus deux-trois semaines avant sa mort.
Dorian se plaignait de maux de tête, de vertiges, lui qui n'était malade qu'une fois par an. Il devait souvent s'allonger. Il me disait 'je ne me
sens pas bien'. Le généraliste chez qui je l'ai emmené m'a dit qu'il n'avait rien. Je me suis souvenue aussi que sa ceinture de peignoir n'était jamais sur le peignoir. Il devait déjà "jouer" à
ce jeu-là, tout cela, c'étaient des signes avant-coureurs."
Des "jeux connus" aux dangers méconnus |
Combien d'enfants ont déjà joué à ces "jeux" ? S'agit-il d'un phénomène isolé ou au contraire très répandu ? Où se déroulent ces "jeux" ? Les enfants ont-ils conscience des risques
encourus ? L'APEAS a posé la question aux 6-15
ans*. |
Cette idée que "pendu on bande" hante les esprits
Au Moyen Âge, les condamnés étaient exécutés nus, et l'on voyait le membre viril entrer en érection et éjaculer, pendant que le pubis des femmes gonflait et bleuissait par accumulation de sang. Le signe de la Croix viendrait de cet état des suppliciés. Les muscles se décontractaient et la vessie ainsi que l'intestin pouvaient se vider. Lors de la montée du puritanisme, en certains lieux il fut décidé d'émasculer les condamnés et de faire porter une jupe aux condamnées Une pendaison incomplète (sans chute) est toujours une « pendaison lente », durant laquelle la mort ne survient qu'au bout de longues minutes, parfois plus de dix, et le condamné est secoué de spasmes, ses jambes cherchant désespérément un appui. Appelé « Gigoter au bout de la corde » ou encore « danse des pendus », ce spectacle réjouissait les nombreux spectateurs des pendaisons publiques. D'autre part,
L'ASPHYXIE EROTIQUE VOLONTAIRE
Cette pratique peut être dangereuse, même lorsqu'elle est pratiquée de manière responsable. En 1995 elle était jugée responsable de 250 à 1 000 morts par an aux USA . Des cas ont aussi été rapportés en Scandinavie et en Allemagne.
La MORT arrive souvent lorsque la perte de conscience causée par l'asphyxie amène à la perte de contrôle de la strangulation, ce qui fait que l'asphyxie n'est pas interrompue et que la personne décède. Pratiquer l'asphyxie érotique seul augmente les risques. Souvent, les victimes avaient prévu un mécanisme de secours qui a lui aussi fait défaut. Dans certains cas, le corps de la personne asphyxiophilique est retrouvé nu, avec des magazines pornographiques à proximité, voire des vibromasseurs et autres jouets sexuels ou avec la preuve d'un orgasme ayant précédé la mor. Sont découvertes aussi, lors des morts accidentelles, des traces d'autres activités paraphiliques telles que fétichisme, travestissement et le masochisme. La grande majorité des morts par asphyxie érotique sont des hommes. Parmi tous les cas recensés en au Canada entre 1974et 1987 , seulement un sur 117 concernait une femme même si quelques autres femmes ont aussi été retrouvées mortes de la même manière L'âge moyen de ces morts est le milieu de la vingtaine, mais des adolescents ont aussi été retrouvés morts ainsi que des hommes de 70 ans[13],[5].
Jeu sexuel fatal pour David Carradine
Dans quelles circonstances est mort David Carradine? Alors que l’on penchait vers la thèse du suicide dans un premier temps, de nouveaux éléments démontrent qu’il serait mort au cours d’un jeu sexuel risqué. Peut-être en présence d’autres personnes.
Les dernières informations révélées par la police de Bangkok sur les circonstances de la mort de David Carradine laissent croire à une fin plutôt gênante pour l’interprète de Kung-Fu. Alors que les autorités de la capitale thaïlandaise avaient évoqué à un suicide, après que l’acteur de 72 ans ait été retrouvé pendu dans sa chambre d’hôtel, la thèse d’un jeu sexuel fatal est à présent privilégiée. Un accident dans lequel pourrait être impliqué une, ou plusieurs autres personnes.
«Une corde était attachée autour de son cou et une autre à son organe sexuel, et les deux étaient reliées ensemble et pendues à la penderie», a déclaré ce matin le lieutenant-général Worapong Siewpreecha. David Carradine serait donc, selon l’hypothèse la plus probable, mort d’asphyxie érotique. Une pratique qui consiste à priver d'oxygène le cerveau afin stimuler la plaisir sexuel et décupler l’effet de l’orgasme. Une technique popularisée par les magazines pornographiques sado-masochistes et qui seraient à l’origine de centaines de morts par an aux Etats-Unis.
«Dans ces circonstances, nous ne pouvons pas être sûrs qu'il a commis un suicide, mais il a pu mourir d'un «"accident de masturbation"», a ajouté le représentant de la police métropolitaine de Bangkok, lors de sa conférence de presse. Car selon les enquêteurs les cameras de surveillance ont montré que personne n’était entré ou sorti de la chambre de David Carradine. En outre, aucune blessure, ni marque quelconque n’ont été trouvée sur le corps du comédien.
Pour la police, il serait donc mort seul. Mais Chuck Binder, le manager du Bill de «Kill Bill», aurait révélé au site américain TMZ.com, David Carradine aurait été retrouvé les mains attachées dans le dos. Ce qui permet de supputer qu’il ne pouvait se mettre seul dans cette position. De plus, l’entourage du comédien affirme que l’hôtel aurait trainé les pieds pour fournir les bandes vidéo à la police de Bangkok. Il n’en fallait pas plus rendre un peu plus crédible la présence d'un tiers.
Tout le monde avait cru à un suicide dans un premier temps.
Cependant, il pourrait s’agir en fait d’un accident « auto-érotique ».
« Une corde était attachée autour de son cou et une autre à son organe sexuel, et les deux étaient reliées ensemble et pendues à la penderie », a déclaré le général Worapong Siewpreecha de la police métropolitaine de Bangkok.
« Dans ces circonstances, nous ne pouvons pas être sûrs qu’il a commis un suicide, mais il a pu mourir (d’un accident) de masturbation », a-t-il affirmé.
Carradine était à Bangkok pour le tournage d’un film, Strech, réalisé par Charles de Meaux et produit par la société française MK2. Son décès est survenu trois jours avant la fin du tournage.
Porntip Rojanasunan, experte légiste qui travaille pour le ministère thaïlandais de la Justice, a déclaré que le décès avait apparemment été causé par un « accident auto-érotique ».
Après le jeu du foulard qui fait des ravages dramatiques chez les enfants, voici la branlette avec une corde autour du cou ! Bref, dans tous les cas, il vaut mieux éviter tout ce qui est foulard et corde à enrouler autour de son cou, sous peine de mourir assez bêtement…
Pendu… Et pas que par le cou !!!… Bref,
un jeu sexuel qui aurait mal tourné… Fils du légendaire John Carradine, acteur fordien mémorable, il s'était fait connaître grâce à la série Kung Fu qui fut une révélation pour beaucoup
d'apprentis Bruce Lee… Par la suite, David Carradine apparaitra entre autres dans les excellents Le Privé d'Altman, L'œuf du serpent de Bergman ou The Long
Riders de Walter Hill. En 1976, il interprète même le rôle de Woody Guthrie dans En route pour la gloire, biopic signé Hal Ashby. Séries télé, films de seconde zone, la suite de sa
carrière ne fut guère brillante jusqu'en 2003 lorsque Quentin Tarantino embarque le héros de Kung Fu dans sa saga Kill Bill. David Carradine chantonne ici dans
l'obscur Roadside Prophets réalisé en 1992 par le non moins obscur Abbe Wool :
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