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Jacques dispose d'un pouvoir surnaturel et en a fait profiter sa famille. L'imposition de ses mains procure
érections et orgasmes prodigieux. Tout cela provient d'un temps où Jacques a visité ce peuple étrange et merveilleux : les Guaranis
"La Terre Sans Mal"
Documentation Les tribus amazoniennes
ont un mode d’être, de penser et d’agir qui vise à préserver un monde fait d’« ordre, d’harmonie, et de beauté » – selon les
Indiens Ojibwé des Grands Lacs – qui nous rapproche du premier état de la Création que les Tupi-Guarani appellent la « Terre sans mal ». Comme le rêve, l’usage de psychotropes
parfois réservés aux seuls chamans (champignons hallucinogènes, takweni...), ou d’un usage collectif (bière de manioc, ayahuasca, peyotl...), permet, dans une transe contrôlée, l’accès à
ces paradis perdus qui, du point de vue des peuples traditionnels, ne sont en rien « artificiels ».
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Un mode de construction qui révèle la simplicité d'un mode de vie.
— Dis, Papa, tu peux nous dire d'où vient ce pouvoir particulier que tu as dans tes mains ?
— Je pense que vous avez le droit de le savoir, je vous raconte.
Quand j'ai eu dix-huit ans, mon père qui tient un magazine d'informations, m'a proposé de faire un beau voyage
en Amérique du sud pour mes deux mois de vacances, en contrepartie, il m'a demandé de m'intéresser à un peuple, et surtout un village, du nom de Kayamura, qui vit de manière plus que retirée dans
la forêt brésilienne, ce village fait partie du grand peuple Guarani, qu'on retrouve aujourd'hui disséminé au Brésil, en Argentine, au Paraguay, et en Uruguay.
Ce village luttait férocement pour garder son indépendance, et perpétuer ses coutumes. Par je ne sais quel
biais, et sur l'assurance que le reportage que je ferais chez eux ne leur porte aucun préjudice, ils acceptèrent ma présence parmi eux pendant deux mois, à la condition que je respecte leurs
coutumes et leur façon de vivre, ce que j'acceptai.
Heureusement que papa avait su s'assurer les services d'un excellent guide, lui-même Guarani, mais vivant en
ville, à quelques dizaines de kilomètres du village. Pendant le trajet, qui dura plusieurs jours, je pus mettre à profit mon apprentissage scolaire du portugais et de l'espagnol, pratiqués
couramment par mon guide, qui s'appelle Guaracy, un nom qui veut dire soleil.
Il m'a inculqué les rudiments de la langue de son peuple, et comme j'ai toujours été doué pour les langues
étrangères, mon apprentissage a progressé au-delà de ses espérances. Quand il parlait de son peuple, son visage exprimait une profonde fierté mêlée de respect.
Nous sommes arrivés le cinquième jour, je fus étonné de les voir entièrement nus, du plus jeune au plus vieux.
Je fus cordialement accueilli, et bien vite des enfants, filles et garçons, m'ont dévêtu, prenant leur temps pour ne pas me brusquer, attendant de voir sur mon visage une forme d'assentiment.
Quand je fus entièrement nu, n'étant pas habitué à ma nudité en groupe, mon sexe fut pris d'une érection phénoménale, je me mis à rougir, tous, enfants et adultes l'avaient vu, et même parfois
regardaient, surtout les petits garçons, mais personne ne fit quelque remarque que ce soit, trouvant cela absolument dans l'ordre des choses et de la nature humaine.
Leur indifférence à ce sujet me permit, après vingt minutes, de relâcher la pression, et à mon pénis de
retrouver sa position au repos.
Les premiers jours furent consacrés à l'apprentissage de nouveaux mots, les enfants étant mes meilleurs
professeurs, ils m'emmenaient visiter les habitations construites de rondins et de feuilles, donnaient un nom à chaque chose, il en fut de même dans la forêt, pour les plantes et les fleurs. En
peu de jours, je pus commencer à comprendre certaines conversations et pus, souvent avec difficulté, leur répondre. Parfois ils se mettaient à rire, quand j'étais à côté de la plaque, ayant mal
compris leur question, mais ces rires n'étaient pas moqueurs, mais affectueux, et ils m'expliquaient leur propos avec d'autres mots, d'autres tournures de phrase. J'ai eu l'impression qu'ils
faisaient tout ce qu'ils pouvaient pour savoir où j'en étais dans la connaissance de cette langue, particulièrement imagée et ayant beaucoup de métaphores faisant allusion à la
nature.
Ils m'autorisèrent très vite à prendre des photos, à filmer, en précisant que je pouvais absolument tout mettre
en boîte, mais me firent promettre que je ne ferais des images aucun usage en leur défaveur. Je dus faire cette promesse d'une manière surprenante, je dus me lever, me mettre face au chef du
village, il posa sa main sur mon sexe et je dus prononcer distinctement les mots de cet engagement à les respecter, étonnamment, je ne bandais aucunement.
Je commençai donc mon reportage, prenant des photos à qui mieux mieux. Papa m'avait fait emporter un nombre
impressionnant de rouleaux de pellicule, le numérique n'existait pas en ce temps-là.
Je constatais que la sexualité était assez libre chez eux, en pleine journée, des cris d'amour résonnaient, en
provenance de l'une ou l'autre hutte, je voyais aussi les enfants se toucher à l'entrejambe, enfants de sexe opposé ou du même sexe, nombreux étaient ceux, parmi les ados et les adultes, qui se
promenaient, le sexe dressé, ou qui se caressaient plus longuement eux-mêmes, ou un ou une autre pour arriver à la jouissance, cris de plaisir chez les filles, émission de sperme chez les
garçons, personne n'y faisait plus attention que ça.
Leur mode de vie offre une solution radicale à l'éducation
sexuelle. Imaginons. Je ne le propose pas, mais...si les enfants de nos contrées "civilisées" étaient, dès leur plus jeune âge, "au courant de tout". Moi j'imagine la différence que
ça aurait fait pour mon cas...
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Ces attouchements se passaient également chez les adultes, entre hommes, entre femmes, et entre un homme et une
femme. Par contre, personne ne me touchait, et quand je demandais pourquoi, on me dit d'attendre, sans autre explication.
Attention décrochez si la suite vous paraît
insupportable. Dites-vous bien que ne vous comprends. Pour ma part j'ai continué à lire parce que je m'intéresse à Jacques et au mystère de son aventure au milieu de ce peuple
plus évolué que nous (de mon point de vue)...Imaginez ce que serait une vie libérée de tous ce fratras sexuel qui nous embarrasse...Et ces problèmes de genre, d'orientation sexuelle
fixe...
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Le septième jour, un très beau garçon d'environ douze à quatorze ans, douze pour sa figure enfantine et quatorze
pour son sexe assez imposant, me prit par la main et m'emmena dans la demeure du chef de village, je voulus m'asseoir, mais le garçon me dit de rester debout.
Le chef me dit qu'il m'avait observé tous les jours depuis mon arrivée, et que mes réactions faisaient qu'il
pouvait m'accorder son entière confiance, il me demanda si j'acceptais d'être accueilli comme membre à part entière du village, j'acceptai bien sûr cet honneur.
Il m'expliqua brièvement
comment cette intronisation allait se passer, pour que je puisse, en connaissance de cause, confirmer
mon souhait d'être accepté par eux.
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Je serais d'abord débarrassé définitivement de tous mes poils, du cou jusqu'aux pieds ; le jour suivant, je le
passerais au centre du village, entouré de victuailles et de boisson. A l'approche de qui que ce soit, j'aurais à me mettre debout, mains sur la tête, et tout le village aurait droit à toucher
toutes les parties de mon corps, parties sexuelles y comprises, et qu'ainsi, ma soumission complète à tous leurs gestes, à tous leurs désirs, serait le gage de mon souhait d'intégration,
j'acceptai.
Il posa sa main sur mon sexe et me fit répéter mon souhait d'accepter toutes les règles en vigueur dans ce
village. Une douce chaleur envahit mon corps, mais le chef retira bien vite sa main.
Je remerciai le chef et le garçon prit ma main pour me ramener dans ma hutte. Deux filles et deux garçons que
j'estimais dans les seize ans m'y attendaient, mon lit était entouré de petites vasques dans lesquelles une mèche brûlait, alimentée par ce qui devait être une huile parfumée. Le jeune garçon me
fit me coucher, et les quatre grands s'approchèrent de moi, c'est là que je me rendis compte d'une chose qui ne m'avait pas frappé outre mesure, dans ce village, tous les habitants, sans
exception, étaient totalement glabres.
Huit mains m'enduisirent d'huile et la firent pénétrer ma peau par de lents et longs massages, chaque parcelle
de mon corps y passa, sauf le bout de ma verge dépourvue bien sûr de poils, je ne bandais pas et le jeune garçon la prit par le prépuce pour la garder verticale, tandis que d'autres mains
enduisaient d'huile la base de ma verge et les testicules, je dus me retourner sur le ventre, et tout mon corps y passa, dos, fesses, et même tous les alentours de mon anus en furent enduits. Je
fus remis sur le dos, et précautionneusement, mon visage en fut enduit également. Les mains s'arrêtèrent, les ados se sont assis à même le sol, et pendant une demi-heure, le jeune garçon, qui
s'était assis derrière moi en tailleur, souleva ma tête et la déposa sur ses cuisses ouvertes, et il me caressa des doigts le front, les tempes, le nez. Je sentais dans mon cou que son pénis, que
j'avais trouvé de taille respectable pour son âge, était dur, et quand il débandait, il me prenait la tête, lui imprimant quelques mouvements de rotation et de pression, jusqu'à ce qu'il durcisse
à nouveau, puis il reprenait ses douces caresses.
Suite à cela, les quatre ados, me lavèrent à l'eau tiède, et lorsque je regardai mon corps, plus aucune trace de
pilosité, j'étais imberbe comme un bébé, même mon visage était doux, comme si je n'avais jamais eu de barbe. Depuis cette époque, je suis toujours démuni de tout poil et je ne dois jamais me
raser.
Le jeune garçon fut envoyé se reposer, tandis qu'un jeune homme qui devait avoir mon âge pénétra ma chambre, il
me caressa sur tout le corps, et quand il vit que ses caresses faisaient de l'effet, il posa sa main sur mon entrejambe, qui chauffa immédiatement, j'ai senti l'orgasme arriver, j'étais partagé
entre le fait de le vouloir et de ne pas exprimer les plaisirs de mon corps à un inconnu, fût-il très beau. Il comprit mon dilemme et embrassa délicatement mon front, ce geste me poussa à me
laisser aller. Quand l'orgasme arriva, je constatai que je ne pouvais pas jouir, j'ouvris grand les yeux et il retira sa main.
Il prit ensuite la mienne mit mes doigts autour de ma verge bien dure, et par quelques va-et-vient, me fit
comprendre que je devais me masturber. Je ne l'avais jamais fait devant quelqu'un, j'étais encore puceau à l'époque, mais je décidai de me laisser aller. Le plaisir qui montait en moi était plus
fort que lors de mes plaisirs solitaires, et j'éjaculai sur mon torse, mon ventre, les dernières gouttes coulant sur ma main.
Le garçon me nettoya de sa bouche et de sa langue, en prenant tout son temps, puis il enduisit ma verge d'une
huile particulièrement odorante avant d'y reposer sa main, et les sensations vécues précédemment reprirent, mais plus intenses, avec toujours cette impression de ne pouvoir
éjaculer.
Quand il retira sa main, je voulus me masturber moi-même, mais il m'en empêcha, et c'est lui qui, d'une main
habile, m'a amené à l'orgasme. Pour la première fois de ma vie, une autre main que la mienne m'avait fait jouir. Comme pour la fois précédente, il récupéra sur ma peau toutes les traces de ma
jouissance.
Je m'étonnais d'avoir pu éjaculer autant de sperme en deux fois aussi rapprochées dans le temps, mais me
tus.
Il remit de l'huile sur la verge, et recommença le processus, mais cette fois-ci, il laissa sa main plus
longtemps, l'impossibilité d'éjaculer devenait douloureuse, j'eus en même temps une envie d'uriner, mais rien ne sortait. Je me suis mis à gémir, et après dix secondes, il retira sa main. Je
voulais me masturber, mais j'attendais qu'il m'y autorise.
Il approcha de mon sexe, non pas sa main, mais sa bouche, et me fit connaître pour la première fois de ma vie le
bonheur de la fellation.
Il m'a laissé reprendre des forces, remit de l'huile, puis posa sa main. La chaleur fut plus forte, la douleur
au moment venu aussi, cela devint à la limite du supportable, mais lui, en fonction de mes gémissements, qui parfois étaient des cris, retirait un peu sa main ou l'appuyait plus fort, il dosait.
Je dus reconnaître que ce n'était pas de la douleur pure, mais plutôt un subtil mélange de souffrance et de plaisir. Il me lâcha enfin, se mit à quatre pattes au-dessus de moi, son pénis à
hauteur de ma bouche, je n'avais jamais mis un pénis en bouche, mais je ne pouvais décemment pas lui refuser ce plaisir qu'il m'avait donné, je le léchai donc, le décalottai, puis le pris en
bouche, tandis que lui faisait de même. Je m'habituai bien vite à la texture et à la légère odeur qui en émanait, et commençai à faire coulisser mes lèvres sur son organe que je considérai comme
gâté par dame nature. Nos mouvements se sont accélérés, et nous avons joui tous les deux, il a tout pris en bouche, et j'ai avalé pour la première fois du sperme, et ce n'était pas le mien. Il se
releva, approcha sa bouche, passa sa langue sur mes lèvres, je compris le message et fis de même, nos bouches se sont ouvertes, nos langues se sont touchées, nous avons mélangé dans nos bouches,
son sperme et le mien, sa salive et la mienne.
Quand il se releva, je vis que le jeune garçon de tout à l'heure était là, il tenait la main d'une fille de son
âge et qu'ils nous observaient.
Le jeune qui m'avait procuré tous ces plaisirs, m'embrassa sur le bout du nez et partit. Les deux enfants me
firent me coucher sur le ventre, ils s'allongèrent à mes côtés, tournés vers moi, et ils m'ont caressé le dos, jusqu'à ce que je m'endorme.
Quand je me suis réveillé tôt le lendemain, ils n'étaient plus là. Mon beau grand jeune homme de la nuit entra,
se positionna entre mes jambes, mit la paume de ses mains sur mes testicules, les doigts entourant mon sexe, sans bouger, la même chaleur envahit mon sexe, se propageant à tout mon corps, et
quand elle arriva dans la tête et aux orteils du pied, mon sexe se releva, durcit comme je n'avais jamais connu, et j'éjaculai une quantité impressionnante de sperme. Puis il
sortit.
Les quatre jeunes qui m'avaient épilé la veille entrèrent, me lavèrent le corps entièrement, puis me massèrent
avec une huile très douce. Ils m'entraînèrent à l'extérieur, me firent asseoir au milieu de ce qu'on pourrait appeler la place du village, ils me firent manger des fruits et d'autres mets, me
firent avaler une boisson que je ne connaissais pas, puis, me laissèrent seul.
Le village se réveillait petit à petit, les villageois venaient me saluer, je suivis les recommandations à
chaque fois et me levai à leur approche, parfois ils me serraient le bras ou la main, parfois ils caressaient mon visage, mon torse, mon dos.
Tous les membres du village en âge de marcher sont venus près de moi, l'un après l'autre. Les plus petits
déposaient une main sur mon genou, puis repartaient jouer, pour les autres, c'était de la tête à la ceinture, personne ne me toucha entre ceinture et genoux, ni devant, ni derrière.
Vers midi, les quatre ados de seize ans apportèrent de la nourriture et des boissons, et nous avons mangé en
silence tous les cinq. Puis ils placèrent un bandeau sur mes yeux, me plongeant dans une obscurité complète et me rappelèrent de me lever, jambes légèrement écartées, dès que j'entendais un bruit
de pas, et de mettre les mains sur la tête, je leur fis signe que j'avais compris, et ils me laissèrent.
Aussitôt que je percevais un pas ou une voix, je me levais, écartais mes pieds et mettais les mains sur la tête.
Les caresses se sont faites plus précises et visaient progressivement plus l'espace ceinture-genoux, qui avait été épargné ce matin. Des mains de tous styles m'ont caressé : douces, rugueuses,
fermes, caressantes, grandes, petites, et même très petites ; les caresses aussi étaient toutes différentes, soit rapides, soit lentes, légères ou appuyées, linéaires ou rotatives. Je sentais que
je bandais de plus en plus, des mains dont j'ignorais tout du propriétaire, effleurèrent d'abord ma verge, mes testicules, puis cela devint plus appuyé, des doigts entourèrent mon pénis, d'autres
s'emparèrent de mes testicules, les caressèrent, les faisant rouler sous leur doigts, de deux doigts, on me décalottait puis recalottait, des doigts s'insinuaient entre mes fesses, les
écartaient, d'autres doigts me caressaient l'anus, ou essaient d'y entrer. Régulièrement, le jeune garçon que je reconnus à la voix, enduisait mes fesses, mon anus et mon sexe d'huile, puis
s'asseyait.
Les caresses devinrent lentes masturbations, plusieurs mains me touchaient en même temps, faisant grimper mon
excitation, le premier orgasme est arrivé, puissant, et je n'ai pas su où mon sperme avait atterri.
Après mon éjaculation, les mains se sont faites plus douces, me flattant, comme pour me féliciter, cela me
permettait de débander, mais aussitôt d'autres mains prenaient le relais. J'ai éjaculé plusieurs fois en suivant, j'appris par la suite que ce n'était pas moins de dix fois sur un
après-midi.
Des doigts s'insinuaient de plus en plus dans mon anus, qui les acceptait de plus en plus facilement, d'un
doigt, c'en est passé à deux, puis trois, pour en arriver à une main, heureusement une très petite main qui y entra complètement. Cette caresse à l'intérieur de mon intimité me fit jouir, bien
entendu, mais la main y est restée, malaxant et caressant mes muqueuses.
Par devant, les doigts sont devenus bouches, des bouches tout aussi différentes que les mains, j'aurais voulu
voir qui me procurait autant de plaisir, mais mon bandeau m'en empêchait.
Le sperme que j'éjaculais ne partait plus sur le sol, il était avalé par une ou plusieurs bouches. Je souhaitais
leur rendre ce plaisir, et l'occasion m'en fut bien vite donnée, on me fit mettre à genoux, on me fit lécher des sexes de femmes, de jeunes filles, toutes avaient un goût différent, je dus, ou
pus sucer des sexes d'hommes de toutes dimensions, de toutes formes, chacun avec sa fragrance unique. Leur seul point commun est qu'il me donnèrent tous leur sperme à boire, même les plus petits
pénis, ce qui me rassura, je n'aurais jamais pu accepter l'idée d'avoir sucé un enfant, je me serais senti sale et ignoble toute ma vie.
Une voix au loin fit s'arrêter subitement toutes les caresses, la main qui était toujours en moi se retira
doucement, le jeune garçon défit mon bandeau, et je pus voir tout le village en cercle autour de moi. Une table fut apportée, on m'y fit coucher sur le dos. Le beau jeune homme de ce matin
s'approcha de moi, le sexe en pleine érection, particulièrement long, il déposa sa main sur le mien, douleur et plaisir se mêlèrent très vite, je hurlais, je voulais éjaculer, mais c'était
impossible, je le suppliais d'arrêter, mais, les yeux dans les yeux, il ne tenait pas compte de mes plaintes, il dosait mes perceptions entre ces deux extrêmes.
Une musique rythmée se fit entendre, et tous les villageois, du plus jeune au plus âgé, se mirent à battre des
mains en rythme, je devenais fou, j' aurais voulu arracher cette main de mon sexe, mais je ne le pouvais pas, et j'ai compris plus tard qu'en fait je ne le voulais pas moi-même.
Après plus de dix minutes, il retira sa main, me laissant récupérer un peu, tandis que les quatre ados, me
prirent les mains, soulevèrent mes jambes en me faisant glisser jusqu'au bord de la table, puis gardèrent mes jambes les plus ouvertes et relevées possible, ma nudité intime était ainsi exposée
aux regards de tous. Mon amant s'accroupit entre mes jambes et commença à me lécher l'anus jusqu'à ce que mes gémissements fussent audibles de tout le village, puis il approcha sa verge de mon
anus, et s'enfonça lentement, mais sûrement, sans s'arrêter. Je n'eus aucun mal, mes muscles se resserrèrent autour de ce cylindre, voulant l'emprisonner en moi. Toute douleur a disparu, faisant
place à une sensation de bien-être, il commença à aller et venir au rythme des battements de tout le village, je bandais comme jamais, les battements de mains s'accélérèrent, le sexe de mon amant
aussi, tandis qu'il s'enfonçait de plus en plus profondément, appuyant sur un endroit sensible qui me faisait ressentir une sensation inconnue dans mes bourses et jusqu'à l'extrême bout de mon
gland.
Ce qui n'était qu'applaudissements lents au départ est devenu rythme effréné, et mon amant me limait à une
vitesse qui me rendait fou, je ne tardai pas à éjaculer dans un long hurlement, ce qui le fit jouir aussi, j'ai senti son sperme m'inonder le ventre. Il resta en moi, attendant que je me calme,
sous les applaudissements redevenus lents de tous, cela recommença encore deux fois, et chaque fois, j'éjaculais.
Mon amant, que j'appris plus tard s'appeler Vesni, se retira doucement de mon fondement, et vint me présenter
son sexe à nettoyer. Bien qu'un peu dégoûté, je m'y appliquai, pour le remercier du plaisir qu'il m'avait donné.
Tous s'éloignèrent de moi, la musique reprit et une grande fête commença pour tout le village.
Seul restait près de moi le jeune garçon qui se mit à me nettoyer de mon sperme, mais quand il voulut lécher mon
anus, je voulus le repousser, le considérant comme un enfant, mais il répondit « je peux, le chef te dira ».Je le laissai donc faire, il me léchait, puis posait sa bouche ouverte, sur la mienne
que j'ouvris aussi, et il laissait y glisser un mélange de sa salive et de mon sperme.
Quand ce fut fait, son amie s'approcha aussi, et tous deux me lavèrent avec une huile douce et parfumée étalée
avec leurs quatre mains. Puis ils me prirent par la main et me conduisirent auprès du chef du village qui me donna l'accolade pour me féliciter d'avoir brillamment passé toutes les épreuves du
jour, il me déclara membre à part entière du village.
Il m'expliqua les règles en vigueur, principalement au niveau sexuel.
Tous les adultes peuvent caresser, embrasser, et faire l'amour avec n'importe quel autre adulte, homme ou femme,
à la condition qu'ils soient tous deux consentants.
En ce qui concerne les plus jeunes, ça se passe comme ceci : les enfants entre eux peuvent avoir les mêmes
gestes et jeux que les adultes entre eux. Quand un enfant devient adolescent, même s'il n'a que onze ans et qu'il éjacule pour la première fois, il doit venir chez moi, et me montrer lui-même en
se caressant qu'il peut donner la vie.
Six mois plus tard, il peut demander à être considéré comme un adulte et avoir le même droit qu'eux à toutes les
activités sexuelles de ceux-ci et avec eux, comme entre eux, mais il ne peut plus toucher les enfants, quel que soit leur âge. A tout moment, ils peuvent venir me voir et demander que plus
personne ne puisse toucher leur corps provisoirement. Enfin, un jeune adulte étant plus faible et fragile physiquement, c'est au plus âgé à respecter ce jeune corps et s'empêcher de tout acte qui
pourrait faire souffrir le plus jeune.
Il me dit aussi que si un jeune ado n'a pas encore le statut d'adulte et s'il essaie d'obtenir les faveurs d'un
adulte, il est très sévèrement puni, et lorsqu'il sera en mesure de faire sa demande pour devenir adulte, il devra attendre un an au lieu de six mois, les enfants le savent, et ce n'est jamais
arrivé. Ses paroles me rassurèrent.
Par contre, si un adulte, jeune ou âgé, a des gestes sexuels vis-à-vis d'un non-adulte, il est très sévèrement
battu, suite à cela, il ne peut plus mettre un pied dans le village pendant un an. Après un an, il doit passer une épreuve, on fait venir des enfants, il doit jouer avec eux pendant une heure, et
s'il manifeste une érection, on lui coupe l'entièreté du sexe dans d'insupportables souffrances qui parfois entraînent la mort.
Je fis comprendre au chef du village que j'avais bien compris et que je me conformerais à ces règles simples et
de pur bon sens.
Je me retournai vers le jeune garçon, puis regardai le chef, qui me dit oui, puis je regardai la jeune fille et
le chef me fit signe que oui aussi.
Il m'expliqua :
— Certains deviennent adultes très tard, seize ou dix-sept ans, tandis que d'autres le deviennent très jeunes,
même onze ans, ça doit t'étonner, on m'a dit que dans certains pays, le sexe n'est permis qu'à 13, 14, 15 ou 16 ans, si pas plus, mais sache que dans notre village, les enfants sont confrontés
depuis tout petits à la vision de la sexualité de tout le village, et ainsi, ils savent que c'est tout à fait naturel.
Tes amis, Tayel et Kirna, sont devenus adultes à onze ans, ils en ont maintenant treize.
C'est ainsi que j'appris que ce beau garçon s'appelait Tayel.
Il m'expliqua aussi, qu'une fois ayant acquis le statut d'adulte, ils recevaient , à leur demande, dans les mois
ou années qui suivent un traitement spécial qui les faisait grandir en maturité et augmentait durablement leurs possibilités sexuelles.
Les deux jeunes me prirent les mains et me conduisirent à la fête. C'est là que j'appris à danser, à chanter, et
à faire l'amour en public. Enfants entre eux, ados entre eux, adultes entre eux et parfois adultes âgés et adultes jeunes.
Tayel resta toute la soirée près de moi, assis entre mes jambes ouvertes, et caressant mon ventre avec son
dos.
Il se leva quand Vesni s'approcha de nous, il me fit me lever, il mit mon sexe en bouche, puis se retourna en se
penchant en avant, je compris vite et me mis à lui lécher les fesses. Quand je le sentis prêt, j'approchai mon gland et, par petites poussées, je pus l'y entrer, ce qui lui arracha un cri, puis
petit à petit, il m'accueillit entièrement en lui. Quand il fut habitué, il poussa ses fesses en arrière, et je commençai de longs va-et-vient, qui semblaient le ravir, je le masturbais en même
temps, et quand il jouit, son anus se resserra, et je jouis moi-même abondamment dans son corps. Il me fit coucher sur le dos, plaça sa main sur mon sexe, et la même chaleur m'apporta un second
orgasme avec éjaculation, il se pencha et me dit à l'oreille, « merci Jacques, j'ai quinze ans et c'était la première fois, merci ».
J'avais donc été dépucelé par un ado de quinze ans, je n'en revenais pas.
On s'assit côte à côte, main sur l'épaule. Devant nous, Tayel et Kirna étaient debout, Vesni leur fit un signe,
et les deux petits jeunes s'embrassaient, se léchaient sur tout le corps, suçant les mamelons encore petits de la jeune fille, ils se sont couchés en 69, se sont léchés et sucés, puis ils ont
fait l'amour dans la position du missionnaire, j'étais étonné de la douceur de Tayel qui voulait apporter du plaisir à Kirna, avant de jouir lui-même. Leurs gémissements firent place à des cris
de plaisir, avant que leur bouche émette le cri signifiant l'orgasme.
Taeyel vint se coucher devant nous, Vesni posa la main sur le sexe du jeune, celui-ci commença à trembler de
tous ses membres, il se tortillait de plus en plus, puis, sans émettre un seul cri, il éjacula à nouveau. Vesni nous quitta, puis je nettoyai le jeune corps avec ma langue et allai l'embrasser
chaque fois, il restait bouche ouverte.
Je l'embrassai ensuite profondément, il mit ses bras autour de mon cou, puis je le soulevai de terre et le
réinstallai entre mes jambes comme tout à l'heure. Je lui ai caressé le ventre, et quand il a plus écarté les jambes je me suis saisi de son sexe pour le caresser. Après une demi-heure de
caresses, il a retourné son bras derrière son dos, a pris ma verge en mains pour y faire des va-et-vient,j'accentuai mes mouvements sur lui et il a joui assez vite, j'étais étonné de la quantité
de sperme pouvant sortir d'un aussi jeune homme, surtout qu'il venait de jouir deux fois.
Il se leva, se retourna, me fit me coucher sur le dos, se coucha entre mes jambes, et il m'a sucé à toute
vitesse, quand j'ai voulu repousser sa tête, il s'est accroché et a bu tout mon sperme. Il s'est ensuite couché sur moi, m'a embrassé, et ma donné une partie du sperme que je lui avais donné. Il
est resté longtemps couché sur moi, les enfants qui passaient lui caressaient les cheveux, le dos, les fesses et les cuisses, comme pour le féliciter.
Il s'est endormi ainsi, et moi, je me sentais vidé. La fête continuait à battre son plein, je me suis redressé,
je l'ai pris dans mes bras et l'ai couché sur mon lit. Il s'est lové contre moi et nous avons dormi jusque bien tard le lendemain matin.
C'est sa petite copine qui est venue le réveiller en le suçant, elle a gardé son sperme en bouche, puis est
venue en donner une part dans la bouche de Tayel, une part dans la mienne, puis, elle s'est envolée. Tayel m'a pris en bouche et m'a amené rapidement à l'orgasme, il a tout avalé, cette fois
encore. Il me dit qu'il allait dormir avec moi jusqu'à la fin de mon séjour.
Les jours suivants, j'ai continué mon reportage, j'ai pu constater que, depuis mon intronisation, plus personne
ne se cachait pour faire l'amour, ça se faisait au vu de tous, enfants et adultes.
J'ai fait l'amour avec tous ceux qui en avaient aussi envie, jeunes garçons et jeunes filles, hommes et femmes
mûrs, hommes et femmes âgés dont la vitalité et la beauté du corps n'avaient rien à envier aux plus jeunes.
Un jour, j'ai été sodomisé neuf fois, par des sexes de tous âges.
Une chose m'intriguait, il y avait une hutte un peu à l'écart du village, et d'où sortaient régulièrement des
gémissements et des cris, parfois même des hurlements, j'en parlai à Taeyel qui m'a répondu qu'il ne pouvait rien me dire, que le chef m'expliquerait.
J'avais remarqué aussi que mes possibilités sexuelles re-diminuaient, que je ne pouvais plus avoir que trois
orgasmes par jour, je suis allé chez Vesni pour qu'il me mette la main, il n'a pas voulu, et m'a dit d'attendre que le chef m'appelle pour m'en parler.
J'étais déçu, et dès ce jour, pour assouvir mes besoins de sexe, je demandai à tous les hommes de me prendre par
derrière, par devant, et souvent les deux en même temps, ce qui les arrangeait bien, surtout les tout jeunes qui étaient insatiables et récupéraient à une vitesse incroyable. Un garçon de
quatorze ans m'a pris quatre fois dans la même journée.
Un jour, alors que je ne m'y attendais pas, Tayel me prit par la main et m'emmena auprès du chef du village. Il
me fit asseoir, et Taeyel vint entre mes jambes, plaçant ma main sur son sexe, lui, passa ses mains au-dessus de mes jambes et caressait mes cuisses.
— Tu as des questions pour moi ?
— Oui, chef, Vesni m'avait rendu fort, sexuellement, mais maintenant je ne vais plus bien.
— Voudrais-tu redevenir fort ?
— Oui, bien sûr.
l'offre :
— Je t'ai dit l'autre jour que les enfants qui devenaient des adultes avaient droit à un traitement
spécial.
— Oui, je m'en rappelle.
— Voudrais-tu suivre ce même traitement, toi aussi ?
— Oui, s'il te plaît.
— Tu dois savoir que ça peut faire mal, très mal.
— Je sais, je l'ai senti avec Vesni.
— Ce que tu as vécu avec Vesni n'est rien à côté de ce que tu vas ressentir, c'est un mélange de douleur
et de plaisir très intenses, mais il te rend durablement fort sexuellement et dans la tête.
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— Ce sont les cris que j'ai entendus venant de la hutte là-bas ?
— Oui, le veux-tu toujours ?
— Oui, je le veux.
— A quel âge as-tu éjaculé pour la première fois ?
— A douze ans.
— C'est bien, lève-toi, masturbe-toi devant moi, récupère ta semence dans ta main et donne-la moi à
boire.
Je me suis exécuté, et le chef a avalé mon sperme et léché ma main.
— Assieds-toi, et toi, Taeyel, tu es un tout jeune adulte, souhaites-tu toi aussi le traitement ?
— Oh oui, s'il te plaît.
— Lève-toi, et fais comme ton ami Jacques.
Il se masturba et donna son sperme au chef qui avala tout.
— Asseyez-vous.
Nous nous sommes rassis comme précédemment.
— Vous recevrez votre traitement ensemble chaque matin et chaque soir dans la hutte, c'est Vesni qui s'occupera
de chacun d'entre vous.
— Oui, nous le ferons.
— Autre chose, Jacques, as-tu déjà pénétré Taeyel ?
— Non, j'ai trop peur de lui faire mal, je pense que mon sexe est trop gros pour lui.
— Taeyel, viens près de moi et penche-toi en avant.
Le chef mouilla ses doigts et lui enfonça ses doigts dans le derrière de Taeyel, qui ne dit rien, ça ne semblait
pas lui faire mal.
— Taeyel est grand assez pour te recevoir, à partir d'aujourd'hui, tu peux le faire.
Je vis Taeyel bondir de joie.
— Taeyel, mets-toi à quatre pattes, et toi, Jacques, prends Taeyel.
Je fis avec grand plaisir ce qui m'avait été demandé, je pus pénétrer Taeyel beaucoup plus facilement que je ne
l'aurais cru, Taeyel poussait des gémissements de plaisir. Je devins plus viril dans mes gestes, Taeyel criait du plaisir de me sentir en lui, il arriva à l'orgasme, serrant son petit cul, et
j'éjaculai en force dans son petit trou.
— Jacques, prends Taeyel dans tes bras, et dans ta hutte, il te prendra. Je veux que chaque jour, vous vous
preniez mutuellement au moins une fois. L'entretien est terminé.
Une fois dans la chambre, Taeyel m'a fait l'amour, parfois tendrement, parfois brutalement, nous avons joui en
même temps avant de nous endormir.
Le lendemain, Vesni est venu nous chercher pour nous conduire à la hutte et le traitement commença, je ne vous
détaillerai pas ce que j'ai vécu. Ce qui cependant me faisait de la peine, c'était de voir la douleur et les pleurs sur le visage de Taeyel, ainsi que de l'entendre crier et hurler la barre de
bois (spécial ?) utilisée était longue et énorme.. Je lui tenais très fort la main. Il en allait de même pour lui. Quand Vesni retirait ses mains, nous devions nous prendre l'un l'autre
successivement devant Vesni, tandis qu'il s'occupait du suivant que nous entendions crier.
Le traitement dura une semaine entière, et à entendre les cris qui venaient de la hutte à toute heure du jour,
nous savions que nous n'étions pas les seuls à suivre le traitement, et cela nous encourageait.
Des adultes de tout âge allaient régulièrement dans la hutte, du plus jeune de onze ans au plus vieux de 78
ans.
Quand le traitement fut terminé, le chef du village nous appela tous les deux, il fit venir Taeyel, prit son
sexe en bouche, lui mit la main jusqu'à éjaculation, avala tout et sembla satisfait de la réaction du garçon et du sperme qu'il émit, puis ce fut moi qu'il fit jouir ainsi dans sa
bouche.
— À partir d'aujourd'hui, vous irez une fois par jour dans la hutte pour vous faire jouir par
Vesni.
— Oui, chef.
Taeyel et moi fîmes l'amour plusieurs fois par jour, et au-dehors, nous allions avec filles et garçons toute la
journée.
Le passage quotidien chez Vesni permettait d'entretenir notre puissance sexuelle.
Je continuais bien sûr mon reportage. Un jour, le chef du village me fit aller auprès de lui, Taeyel
m'accompagnait. On s'assit comme d'habitude.
— Jacques, tu m'apparais comme un homme assoiffé de sexe, mais très bon et très respectueux des autres, aucun
homme, aucune femme ne s'est plaint de toi, aucun enfant n'est venu me dire que tu aurais eu un geste indélicat.
Je voudrais te proposer le pouvoir des mains que Vesni, moi-même et quelques autres possédons ici, tu
pourras l'utiliser dans ton pays, quand tu nous auras quittés. Je sais que tu ne pourras qu'en faire bon usage. Le désires-tu ?
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— C'est un grand honneur pour moi.
— Je sais que tu le mérites, le veux-tu ?
— Oui,
à suivre AMAZONIE 2
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