RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES

Samedi 19 mars 6 19 /03 /Mars 19:04

et il y a aussi des malheureux parmi les gays de chez-nous

 

La famille menacée de coupure de courant restera au chaud

Soulagement pour la famille Di Trapani, menacée d'une coupure d'électricité, qui a passé finalement l'hiver au chaud avec ses deux enfants de 3 et 5 ans. Photo philippe laurenson oui mais, après ?

 

Contenu payant La Provence édition Sud Vaucluse

 La famille menacée de coupure de courant restera au chaud

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L'habitation considérée comme illicite est reliée depuis cinq ans à un compteur provisoire. Le maire accorde un délai jusqu'à la fin de l'hiver.

QUESTION : et ensuite  ?  

 

 

Par LA PROVENCE - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 3 mars 4 03 /03 /Mars 18:13

PROCTOLOGIE  comment ça marche !       

 

  ouvrir les yeux sur le service qu'ils rendent  

  "L’examen proctologique étant source d’angoisse et de gène pour le patient, il est préférable de pratiquer l’examen en décubitus latéral"plutôt qu’en position genu-pectorale"   

 

décubitus latéral



Figure 1 Position de Sims (avec l’autorisation de McNeil SGP).



Figure 2 Genu pectoral

 (avec l’autorisation de McNeil SGP).

 

 

 



Figure 3 Abcès.



Figure 4 Incision 1.



Figure 5 Incision 2.



Figure 6 Lésions péri-anale de la maladie de Verneuil.



Figure 7 Thrombose hémorroïdaire externe.



Figure 8 Thrombose hémorroïdaire/anesthésie locale.



Figure 9 Thrombose hémorroïdaire/excision.



Figure 10 Fissure anale aiguë.



Figure 11 Primo-infection herpétique ano-périnéale.

 

 

 

Par proktos medikos - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 05:54
il voulait vivre la jouissance du corps. Par un soir de pluie, il alla rejoindre ses amis au bistro et c'est à cette occasion qu'il fit la rencontre d'un prostitué mâle. Il l'emmena chez lui et garda comme souvenir de cette nuit une maladie vénérienne (syphilis) qui le fit mourir trop jeune (à 31 ans).
  Description de cette image, également commentée ci-après   Schubert avait écrit cette oeuvre musicale (12 lieder) : "un voyage d'hiver "; ci-dessous la photo du film est de Vincent Dieutre, l'auteur inspiré du célèbre compositeur:    
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Résultat de recherche d'images pour "mon voyage d'hiver vincent dieutre"    Résultat de recherche d'images pour "mon voyage d'hiver vincent dieutre"
Le cycle du Voyage d'hiver ou Winterreise est sans doute le plus beau recueil de lieder de Franz Schubert. Par sa densité et son dramatisme, l'œuvre dépasse tout ce qu'il a produit dans le genre. Schubert a trente-et-un ans. Il commence le cycle en février 1827 pour les douze premiers lieder et lorsqu'il en découvre les autres durant l'été, il le complète d'un second cahier, achevé et mis au propre en octobre de la même année.Et il meurt l'année suivante.
Résultat de recherche d'images pour "mon voyage d'hiver vincent dieutre"    Vincent Dieutre, un beau vieux maintenant...il en parle et de la difficulté pour les gays de vivre ouvertement leur amour.
Afficher l'image d'origineouah ! moi ça me coupe...le souffle !  ndlr
 
  
 
 ON LIT EN MARGE
 si vous voulez approfondir votre culture ciné intéressez-vous à notre contemporain, Vincent Dieutre cinéaste (il est gay).
Il m'a accroché quand, dans son interview, il a dit, à peu près, mais tellement mieux que moi : "le bonheur, c'est après qu'on réalise... " (son compagnon, plus âgé est disparu maintenant"  A écouter ci-dessous :  
 
 Ca fait jouir toutes ces vérités qu'il décline tranquillement. Il va, ci-dessous, présenter ce qu'il considère comme important dans son oeuvre. Beaucoup de choses sur l'homosexualité vécue et assumée :
Par claudio - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 05:03
Suis-je une icône d'orient Qu'on vénère en redoutant Un accident ? Ne sois pas si prudent Bouscule-moi un peu, étouffe-moi de baisers J'veux qu'tu m'fasses voir des étoiles Bouscule-moi un peu, arrête de t'excuser, C'est quand tu m'lâches que j'ai mal Bouscule-moi un peu, chavire-moi de bonheur Fais-moi manquer d'oxygène Bouscule-moi un peu, chahute-moi sur ton cœur N'aie pas peur, c'est quand tu m'serres à peine Que tu me malmènes.  Elsa dans Douce Violence 1992 
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Un bon coup de pinceau !   
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Au coin d'une ride, Thibaut Lambert
Publié le 17 Septembre 2014 par Jean Yves Alt
S'il est un thème rarement fréquenté dans la bande dessinée, c'est l'existence cachée des vieillards, encore plus quand ceux-ci sont homosexuels. Non pas l'image fastueuse du patriarche débordant de sagesse qui a droit de cité dans la mesure où il propose une vision optimiste du futur, mais les « vieux » dans leur réalité, hantés par l'ennui, la peur et la solitude.
 
Les personnages d' « Au coin d'une ride » épuisent leur « dernier âge » dans une maison de retraite.
 
Georges et Eric ne s'échinent pas à paraître jeunes. Ils sont encore alertes physiquement. Mais la maladie d'Alzheimer a rendu Georges irascible et violent. Son compagnon Eric, plus jeune, a décidé, à contrecœur, de le placer dans une maison de retraite.
 
Chaque pensionnaire doit prendre conscience que vivre, c'est accepter que l'amour des garçons (ou des filles) ne soit pas seulement cet élan ensoleillé vers la beauté et la jeunesse, mais une banale étape vers la vieillesse.
 
Au coin d'une ride, Thibaut Lambert
Publié le 17 Septembre 2014 par Jean Yves Alt
 
 
 
Le directeur demande à Eric de cacher l'orientation sexuelle de Georges aux autres résidants, ce qui conduit à quelques quiproquos.
 
 
 
Comment continuer alors à montrer son affection ?
 
 
 
Malgré la séparation, il y a continuité de l'amour (au sens d'un besoin toujours vivant d'une communion des corps, des sentiments...) : le temps et le vieillissement ne sont pas synonymes de la destruction irréversible du désirAfficher l'image d'origine "s'il suffisait qu'on s'aime...".
 
 
 
 
Afficher l'image d'origine   
tiré par 2 boeufs...quelle veine !
vaut mieux ça que 2 beaufs  !!!       
 
« Au coin d'une ride » n'est pas un livre de morale. Bien loin de la seule confession d'un vieux couple homosexuel, c'est l'aveu récurrent de l'horreur de la séparation accentuée par la maladie.
 
Livre terrible, « Au coin d'une ride » est aussi (et peut-être surtout) un livre empli de tendresse. On est saisi par l'émotion lorsque les deux hommes, Georges et Eric, essaient de trouver une nouvelle voie, malgré leur séparation physique.
 
Thibault Lambert fait entrer en littérature ces héros sans avenir qui s'accrochent désespérément à une identité qui leur a été arrachée.
 
 
 
 
PHOTOS DU NET, emprunt aussi à CULTURE & DEBATS http://culture-et-debats.over-blog.com/article-370134.html 
 
Par THIBAULT LAMBERT - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 22 février 1 22 /02 /Fév 05:37

dans les camps nazis   Triangle rose : L’enfer des homos   

 


édité en 2012

 

 

Triangle rose : L'enfer des homos

Partie d’un oubli terrible de l’Histoire, cet album incontournable adresse un message fort, en particulier lorsque sont évoquées des conséquences tragiques dans notre France contemporaine.

 

En tant que journaliste, on a beau vouloir donner un avis le plus argumenté possible, on est toujours influencé par sa propre histoire. Personnellement, j’avais 12-13 ans, lorsque j’ai lu Ça, un roman de Stephen King, mettant en scène un monstre-clown qui se nourrissait d’une ville telle un vivier perpétuel de victimes et qui attisait la haine entre ses citoyens. Je fus principalement marqué par une phrase, utilisée par le romancier pour démontrer l’ambiance de la ville : « Sida, train de Dieu pour l’enfer des homos ! »

Le chapitre est composé d’autres « réflexions anti-homosexuelles à la [même] logique glaciale » [sic] sensées poser le climat de la bonne ville de Derry juste avant le tabassage d’un « pédé »[re-sic] dans les règles de l’art, et se conclut par une exécution odieuse. Loin de se porter garant de telles exactions, Stephen King voulait surtout s’en faire l’écho, et utilisait ces termes très durs pour stigmatiser ces faits.

Si cette phrase m’a marqué, c’est que je ne me doutais pas à cet âge que l’on puisse être à la fois aussi imbu de soi-même, fanatisé et dans la haine de l’autre, pour imaginer que son Dieu (quel qu’il soit) ait créé une maladie aussi horrible pour éradiquer des personnes simplement à la recherche de leur bonheur et leur bien-être, comme tout un chacun.

« Ce n’est qu’un livre, me rassurais-je, Il fallait bien expliquer la dépravation initiée par le monstre pour que Stephen King construise son récit : de tels sentiments ne pourraient aller jusqu’à de telles extrémités dans la réalité. »

J’étais encore naïf.

Une plongée dans l’Allemagne des années 1930

Michel Dufranne, scénariste de Football, Souvenirs de la Grande Armée, Helldorado, la Guilde et qui également adapté la Bible, Candide, Dracula et Beowulf, a publié il y a quelques semaines un one-shot de 140 pages de petit format, intitulé Triangle rose.

Le pitch en est simple, bien que la thématique n’ait jamais été traitée en bande dessinée : de nos jours, une bande de lycéens doit réaliser un travail sur la Seconde Guerre mondiale, et envisage d’aller interviewer l’arrière-grand-père de l’un des leurs plutôt de réaliser un copié-collé issu de Wikipedia. S’ensuit la chronologie authentique d’un Berlinois homosexuel de 1932 à 1946 : les débuts du régime hitlérien, la persécution, les camps. Puis la fuite en France, où il découvre une autre réalité.

Tout le récit est basé sur un article légal, dénommé « le paragraphe 175 », dont les origines remontent à 1794, date de la promulgation d’une loi prussienne condamnant l’homosexualité masculine qui a été ensuite étendue, notamment à partir de 1935, au reste de l’Allemagne. « Les Homosexuels sont alors considérés comme un péril pour la race », expliquent les auteurs sur le rabat de la quatrième de couverture, car ils « refusent de se reproduire ». Pourchassés, ils seront parmi les premiers à subir l’univers concentrationnaire et, ]placés en bas de la hiérarchie des prisonniers, leur taux de mortalité sera d’ailleurs bien plus élevé que celui de leurs co-détenus.

« J’ai découvert le sujet du Paragraphe 175 il y a plus de 20 ans, dans un contexte chargé d’émotion, nous explique Michel Dufranne. Il m’a donc fallu deux décennies pour devenir scénariste et me dire que j’avais peut-être quelque chose à raconter sur le sujet. Entre-temps, j’ai vraiment eu le temps de me documenter, car si nous n’écrivions pas une thèse - nous laissons cela aux chercheurs et aux historiens -, nous tentions seulement d’écrire une "belle" histoire avec un fort contenu historique, à l’instar de ce que font les "maîtres ès récits historiques" que sont Fabien Nury et Kris. Mais il me semblait impossible d’apporter une vraie force à la narration et aux émotions s’il n’y avait pas eu en toile de fond un "corpus historique" solide. »

C’est un des grands points forts du récit : cette construction ultra-documentée. Le contexte historique, sans être poussif, est très présent : dates, lieux, journaux, moments-clé... On ne peut nier l’authenticité des faits. Cette inexorable et injuste descente aux enfers n’en prend alors que plus de poids, grâce au témoignage du personnage principal. « Malheureusement, tout est vrai !!, confirme le scénariste. Et encore, j’ai passé sous silence certaines horreurs que j’ai pu découvrir dans les témoignages. »

Triangle rose : L'enfer des homos
Avant la persécution, une éphémère période de salut

Un album incontournable

Malgré tous ses avantages (superbe reconstitution de l’époque, scénario ciselé, documentation ultra-rigoureuse, empathie du personnage principal, absence de temps mort...), le récit fait glisser le lecteur dans une horreur pernicieuse et sournoise, car on la retrouve partout, en particulier dans le regard des personnes dont on aurait pu croire qu’elles regretteraient leurs erreurs. C’est d’ailleurs le message fort de l’album : il ne diabolise pas les nazis, mais plutôt l’intolérance, symptôme d’un malaise général.

« La crise des années 1930 aidant, chacun se cachait dans son intolérance et se sentait proche d’idées simplistes et populistes "gorgées d’espoir", analyse Dufranne. Une phrase a été très importante pour moi lorsque je me suis mis à rédiger le projet : Heinz Heiger, dans son témoignage, remarquait que ses années de camp étaient "moins pénibles" que l’étiquette qu’il dut porter aux yeux de ses voisins après la guerre, de "PD des camps". »

Le fait de sentir cette culpabilité nous déstabilise, mais on désire s’en détacher, car ces Allemands de l’avant et après-guerre, nous semblent bien éloignés. On est pourtant encore plus décontenancés d’apprendre l’inflluence du paragraphe 175 jusqu’en France, en 1985 et plus tard, avec comme conséquence des actes et des mots répugnants. Impossible alors de ne pas se sentir concerné par le contenu de Triangle rose. À commencer par l’image-choc du suicide en ouverture de l’épilogue !

« Cette image fait écho aux propos de Joseph Bialot dans sa préface de "C’est en hiver que les jours rallongent". Discutant avec un autre survivant des camps et s’étonnant de voir des arbres aux abords de barbelés qu’ils ne connaissaient que trop bien, son ami a cette phrase incroyable : "Les arbres ont continué à pousser après notre mort !" Ce "lapsus" a une portée incroyable et tend bien à montrer que l’appareil répressif nazi a volé bien des vies. », nous explique encore Dufranne.

 

 

Par n'oublie pas DAESCH - Publié dans : RECONNAISSANCE(S) &TRANSMISSION DE MESSAGES PRIVES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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