déjà, ça vaut-il le coup de se (faire ) piquer la bite pour bander une ( petite) heure ?
Produit : papaverine (vendu sur internet)
Première partie
Je suis à la retraite depuis plusieurs années.
L'été, je fais du vélo et l'hiver, depuis que j'ai cessé de faire du ski alpin, je prends de longues marches pendant que mon épouse travaille sur
des chiffres de huit heures.
Je me suis fait un tracé de marche d'une cinquantaine de minutes par des rues très peu fréquentées et je le parcours quelques fois par
semaine.
Je n'ai jamais rien remarqué de spécial lors de mes randonnées jusqu'à ce qu'un jour, où la température était un peu plus froide, il m'arrive
l'aventure suivante.
Je marche seul dans une section un peu plus isolée de mon parcours lorsque j'entends un homme m'interpeller:
« Excusez-moi monsieur! Il fait froid aujourd'hui et il vente en plus: voulez-vous entrer vous réchauffer un peu? »
Je jette un coup d'œil en sa direction: l'homme qui m'interpelle est en robe de chambre, il me semble âgé dans la cinquantaine avancée et il se
trouve dans l'embrasure de la porte de sa maison.
« Je suis bien habillé, je n'ai pas froid. Merci quand même de votre offre. »
« Ça fait plusieurs fois que je vous vois passer devant chez moi. J'aimerais faire connaissance avec vous. Accepteriez-vous d'entrer pour prendre un
breuvage chaud avec moi? »
« Je ne peux décliner une telle invitation: ça me fait plaisir d'accepter votre offre. »
Je m'approche de la maison et je me dirige vers l'entrée.
L'homme ouvre grande la porte: il s'esquive pour me laisser entrer et il referme aussitôt la porte derrière lui.
« Dehors, juste en robe de chambre et en pantoufle, vous ne devez pas avoir très chaud. »
« Non, effectivement, ce n'est pas très chaud. »
Je me retrouve dans le vestibule avec l'homme.
« Voulez-vous retirer vos bottes. »
« Certainement. »
J'enlève mes bottes.
« Enlevez votre casque et votre parka.
J'enlève mes vêtements.
L'homme me tend un cintre.
Je pends mon linge à un des crochets qui sont fixés au mur. Je replace mes cheveux devant un miroir qui est accroché au mur dans le
vestibule
L'homme ouvre la seconde porte et il me dit:
« Entrez! »
La seconde porte donne dans le salon.
Je passe du vestibule au salon.
« Venez vous asseoir. »
L'homme m'indique un divan
« Prenez place. »
J'obtempère à l'invitation et je m'assois sur un bout du divan.
L'homme s'assied dans un fauteuil légèrement décalé du divan.
« Voulez-vous que je vous présente mon épouse? »
« Avec plaisir! »
« Hélène! »
« Oui, chérie! »
« Tu sais, l'homme qui passe fréquemment devant chez nous et dont nous avons parlé l'autre jour? »
« Oui! »
« Je viens de le faire entrer et nous sommes dans le salon. Viens que je te le présente. »
« Donne-moi quelques minutes pour que je me pomponne un peu et j'arrive. »
« Chérie, ne te mets pas trop belle. »
« Mon amour, tu sais que je t'aime et que je ne voudrais surtout pas te décevoir devant ce monsieur. »
« Prends le temps qu'il te faut, je vais faire plus ample connaissance avec lui. »
« J'arrive dans quelques minutes! »
L'homme s'adresse à moi:
« Pourrais-je connaître votre prénom? »
« Bien sur! C'est Claude. »
« Le mien, c'est Richard. Vous ne devez pas demeurer très loin d'ici? »
« À une dizaine de minutes à pied. »
« Vous avez quel âge? »
« J'ai soixante dix ans. »
« Vous ne le paraissez pas? »
« Merci! Vous, vous êtes beaucoup plus jeune que moi. »
« J'ai cinquante neuf ans. »
« Pourquoi vous intéressez-vous à moi? »
« C'est surtout mon épouse qui s'intéresse à vous. »
« Pourquoi? »
« Je vais lui laisser le soin de vous l'expliquer. »
« Vous êtes marié? »
« Oui, depuis quarante six ans! »
« Excusez ma franchise, mais faites-vous toujours l'amour avec votre femme? »
« Vous êtes vraiment indiscret? »
« Soyez bien à l'aise de me répondre ou non? »
« Non, je ne fais plus l'amour avec ma femme. »
« Votre femme ne vous excite plus? »
« Richard, vous voulez que je sois franc avec vous? »
« Oui, en contrepartie, Claude, je vous assure de ma plus stricte confidentialité. »
« J'ai eu toutes sortes d'expériences sexuelles non conventionnelles depuis que 'ai déménagé dans le sud pour mon travail. Faire l'amour avec
mon épouse ne m'excitait plus. »
« Vous avez eu des expériences sexuelles non conventionnelles avec d'autres femmes? »
« Oui, je me suis lié d'amitié avec une prostituée que j'ai fréquentée pendant plus d'un an! »
« Vous avez fait l'amour avec cette femme? »
« Non. c'était une relation purement sadomasochiste. Elle me faisait souffrir et jouir. »
«Où vous rencontriez-vous? »
« Dans différentes chambres d'hôtel. »
« Pourquoi avez-vous cessé de la fréquenter? »
« Ça m'avait coûté une petite fortune. »
« Qu'avez-vous fait par la suite pour continuer à satisfaire vos fantasmes? »
« J'ai rencontré à l'occasion des Maitresses, mais encore là l'argent était en cause. Je me suis donc dirigé vers des cinémas pornos. »
« Il n'y a que des hommes dans ces salles de cinémas, non ? »
«Exact! »
« Ne rougissez pas de ce que vous avez pu faire: vous avez eu des relations sexuelles avec des hommes? »
« Oui, à quelques reprises. »
« Vous considérez-vous comme homosexuel? »
« Non, plutôt comme bisexuel. »
« Quelles sortes de relations sexuelles avez-vous eues avec des hommes? »
« Je me suis laissé toucher par des hommes, je me suis laisser masturber, je me suis même laisser sucer jusqu'à l'éjaculation. »
« Vous vous êtes toujours laissé faire par des hommes ou si vous avez pris certaines initiatives? »
« Je me suis toujours laissé faire et c'est ce que j'aimais »
« Vous n'avez jamais eu de relations sexuelles complètes avec des hommes? »
« Que voulez-vous dire par relations sexuelles complètes? »
« Vous n'avez jamais été sodomisé par des hommes? »
« Non! »
« Vous n'avez jamais été sodomisé? »
« J'ai été sodomisé quelquefois avec un strap-on dildo par la prostituée que je fréquentais. »
« Accepteriez qu'un homme vous sodomise? »
Les propos tenus lors de notre conversation commence vraiment à nous exciter.
Je passe, le plus discrètement possible, une main sur la braguette de mon pantalon pour toucher à mon pénis qui commence à bander.
« Notre conversation vous excite? »
« Tout comme vous! »
Richard ne se cache même pas pour glisser de plus en plus fréquemment, une main sous les pans de sa robe de chambre pour toucher à son
pénis.
Nos regards se croisent: je n'ose pas l'affronter: je baisse les yeux.
« J'accepterais qu'un homme me sodomise dans un endroit propice à une telle relation sexuelle mais à condition que cet homme m'excite préalablement
par des caresses
« Qu'est-ce que vous considérez comme un endroit propice? »
« Une chambre d'hôtel ou encore un endroit dans la maison d'un homme qui m'aurait invité chez lui sous un prétexte quelconque. »
« Quels seraient les endroits que vous jugeriez non propices? »
« Par exemple, dans la salle de visionnement ou dans les toilettes d'un cinéma porno ou encore dans une cabine de PeepShow. »
« Et si c'était la femme de l'homme qui veux vous sodomiser qui vous préparait à l'acte sexuel? »
« Elle est belle? »
« C'est une très belle femme de cinquante et un ans qui aime se faire sodomiser par des amants inconnus »
« Par une femme qui se prénomme Hélène? »
Au moment où je termine cette phrase, une magnifique femme fait son entrée au salon.
Elle est bien coiffée, maquillée et vêtue d'une longue robe de chambre en velours bleu foncé.
Elle doit mesurer environ 1, 70m et pour moins de 60kg.
Elle porte des mules dont le dessus est tressé de fin fil de soie or et qui laissent voir la beauté de ses pieds et de ses orteils graciles dont les
ongles sont couvert de vernis bleu foncé.
« Comme tu es belle, ma chérie! »
« Madame, vous êtes magnifique! »
« Chérie, il s'appelle Claude: c'est l'homme qui est passé devant la maison à quelques reprises et dont nous avons parlé. »
« Claude, soyez le bienvenu! »
Hélène s'assied sur le divan, à coté de moi.
« En me basant sur les dires de votre mari, ce n'est pas par hasard que vous m'avez invité à entrer chez vous? »
« Nous vous avons regardé passer devant chez nous à quelques reprises.
Nous avons trouvé que vous sembliez être un bel homme et nous avons jugé qu'il pouvait être intéressant de vous inviter chez nous pour......
»
« D'après les propos de votre mari, je commence à me douter du pourquoi..... de cette invitation. »
«J'ai entendu la conversation que vous venez d'avoir avec mon mari et je constate que votre vie sexuelle a été bien remplie.
Vous aimez que les femmes vous fassent souffrir, vous acceptez qu'elles vous sodomisent avec un membre artificiel.
Vous acceptez également que les hommes se servent de vous pour assouvir leurs besoins sexuels mais aucun ne vous a encore sodomisé. »
« C'est exact madame. »
« Vous voulez m'appeler Hélène? Je vais t'appeler Claude »
« Bien sur, Hélène, que je le veux! »
« Tu as également mentionné à mon mari que tu accepterais de te faire sodomiser par un homme dans un endroit propice à condition que cet homme te
prépare à la sodomie ou encore que ce soit une belle femme qui te prépare à cet acte sexuel. »
« C'est vrai! »
« Me trouves-tu assez belle pour que je te prépare à te faire enculer par mon mari? »
« Oui! »
« Tu accepterais de partager notre chambre à coucher? »
« Bien sur! »
« Claude, j'ai un fantasme très particulier: j'aime me faire sodomiser par un homme pendant que cet homme se fait enculer par mon mari: tu
accepterais de satisfaire mon fantasme? »
« Je voudrais tellement satisfaire ton fantasme, mais mon pénis ne devient pas assez rigide pour pouvoir te sodomiser. »
« Je possède tout ce qu'il faut pour que ton pénis devienne rigide comme une barre de fer. »
« J'ai déjà essayé le Viagra et même le Cialis pour bander, mais sans succès. »
« As-tu déjà eu une injection pour dilater les veines de ton pénis? »
« Oui, lors d'un examen médical. »
« Et? »
« C'est vrai, cette fois là, j'ai bandé comme jamais. »
« C'est ce genre d'injection que mon mari va te faire parce que lui, il veux que tu satisfasses son fantasme. »
« Quel est le fantasme de ton mari? »
« C'est d'enculer le plus profondément et le plus douloureusement possible l'homme pendant qu'il me sodomise et de l'entendre se lamenter avant
qu'il éjacule dans ses entrailles. Tu pourrais être cet homme? »
« Oui. je vais lui permettre d'assouvir son fantasme »
« J'espère que cette injection dans mon pénis va permettre de le faire durcir assez pour que je puisse le pointer sur la rosace de ton cul et
le faire pénétrer très lentement mais très profondément à l'intérieur de tes intestins.»
« Tu n'es pas attendu chez toi avant quelques heures? »
« J'ai tout mon temps. »
« Avant de passer à notre chambre, je voudrais tout de même que tu passes par la salle de bains. Je veux que tu te donnes un Fleet* : tu connais ça?
»
« Oui, je connais ça pour en avoir déjà utilisé à quelques occasions. »
« Tu prendras ensuite une douche, tu mettras le caleçon propre de mon mari qui j'y ai déposé et tu revêtiras sa seconde robe de chambre que j'ai
accroché derrière la porte de la salle de bains. Tu viendras ensuite nous rejoindre dans notre chambre à coucher. Ça te va? »
« C'est parfait! »
« Chérie, pendant que Claude va passer par la salle de bain afin de se mettre en condition pour nous satisfaire, si tu allais dans la chambre à
coucher pour faire le nécessaire ....
- ah, viens Claude : notre chambre à coucher est juste en face. »
« Je te suis. »
2e partie
Hélène me guide jusqu'à la salle de bains.
Une fois à l'intérieur, Hélène se glisse derrière moi et referme la
porte.
« Claude, tu m'excites! Baisse ton pantalon. »
« Tu es sérieuse? »
« Je ne te le dirai pas deux fois. »
Je détache la ceinture de mon pantalon, je déboutonne le bouton du haut, je baisse le fermoir éclair de ma braguette et je maintien mon pantalon en
place avec une main.
Nos regards se croisent: le désir, la passion se lisent dans nos yeux.
Hélène sourit: elle me fait « Oui » de la tête.
Je laisse choir mon pantalon par terre.
Le désir que j'éprouve pour cette femme est évident: une bosse est prédominante dans le devant de mon caleçon.
Hélène passe le revers de sa main gauche contre cette bosse prédominante.
Je la prends par les épaules: je tente de coller mes lèvres contre les siennes, mais elle esquive mon geste.
« Claude, pas si vite, pas trop vite ! »
Du revers de sa main gauche, elle augmente la pression contre le devant de mon caleçon »
« Hélène, je te désire. »
« Claude, je sais que tu me désires et je te désire aussi. Je veux que tu le fasses pénétrer dans mon cul et que ça atteigne le fond de mes
entrailles. »
« Ah, Hélène, Hélène! »
« Je veux que tu saches une chose : Richard aussi te désire et je sais
très bien qu'en ce moment, il est en train de se masturber en imaginant ce qui va se passer, un peu plus tard, dans notre chambre à coucher. »
« Je sais qu'il va me sodomiser mais laisse-moi t'embrasser »
« Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre. »
« Juste un bisou ! »
« Plus tard Claude, pendant le temps des préparatifs et le temps que Richard va prendre pour t'injecter un liquide dans le pénis afin qu'il soit
assez rigide pour me sodomiser, tu pourras m'embrasser faire tout ce que tu veux avec tout mon corps : mes orteils, mes pieds, mes jambes.... »
« Tes seins? »
Hélène glisse sa main sous le bord de mon caleçon et elle prend mon pénis et le serre.
« Viens près du bain. »
« Retire ton pantalon. »
Hélène prend mon pantalon et va le pendre au même crochet que la robe
de chambre de Richard que je dois porter après ma douche.
Hélène revient se placer face à moi.
« Agenouille-toi ! »
Je m'exécute.
Hélène s'avance très près de moi.
Elle pose le bout de son pied gauche sur le bord du bain.
Je pose ma main droite sur son pied.
« Enlève ta main: je ne veux pas que tu me touches sans qu'auparavant, je t'en aie donné l'autorisation. »
« Hélène! »
« Enlève ta main. »
Fixant du regard ses orteils graciles et vernis d'un bleu foncé, je porte
sa mule à mon nez pour en humer l'odeur:
«Comme ça sent bon, Hélène! »
« Pose immédiatement ma mule par terre: ton geste mérite une punition. »
« Excuse-moi, mais ton corps m'excite tellement! »
« Tu dois apprendre à te contrôler sinon.... »
« Je vais essayer de me contrôler mais.... »
« C'est Richard qui va se charger de te punir quand tu seras dans notre chambre à coucher. »
« Je me soumettrai à la punition que mon geste mérite. »
Je redirige ensuite mon regard vers les orteils qui m'excitent tant.
Hélène se penche vers l'avant: elle est presque au-dessus de moi.
« Ton pénis, il est en érection?»
« Oui »
« Baisse le devant de ton caleçon que je puisse le voir. »
Je baisse le devant de mon caleçon: mon pénis en érection pointe vers Hélène.
« Tu as une bonne érection, mais elle ne serait pas suffisante pour m'enculer: par contre, j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Je passe ma main droite autour de mon pénis pour en sentitr l'érection.
« Tu veux te masturber?»
« Puisque tu ne veux pas que je te touche, j'aimerais que tu me permettes de me masturber. »
« Masturbe-toi, mais, il ne faudrait surtout pas que tu te fasses éjaculer. »
Je commence très lentement à me masturber.
Je me masturbe un peu plus vite.
« Contrôle-toi svp »
Je réduis la cadence.
Elle continue à monter tranquillement le bas de sa robe de chambre: mon regard suit son mouvement.
Elle dégage sa jambe, le coté de son mollet, son genou, le bas de sa cuisse et finalement le haut de sa cuisse sans toutefois me permettre
d'entrevoir son triangle d'amour.
« Maintenant, cesse de te masturber: je ne veux surtout pas que tu éjacules. »
« Ferme les yeux. »
Je ferme les yeux.
J'entends des froissements de matériel.
Je sens qu'Hélène modifie sa position.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Du matériel frôle les deux cotés de ma tête.
J'imagine que c'est sa robe de chambre qui me frôle.
Je commence à sentir une odeur légèrement enivrante.
Cette odeur se fait de plus en plus précise et enivrante.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Des chairs humides touchent les deux cotés du bout de mon nez.
Je n'ose imaginer que ce sont l'intérieur de ses lèvres vaginales qui me touchent.
« Ne bouges pas tes mains et n'ouvre pas les yeux. »
« Hélène, tu es sans pitié! »
« Respire par le nez: c'est ça, respire l'odeur de mes parties les plus intimes. »
« Hélène, l'odeur de tes parties intimes hummmmmmmmhhhhh. »
Je sens que mon nez glisse de plus en plus profondément entre ses lèvres vaginales. Il est rendu à un point tel que je doive respirer par la
bouche.
Entre deux respirations je demande à Hélène:
« Permets-moi de poser mes mains sur tes fesses! »
« Il n'en n'est pas question: montre-moi que je peux te pousser à bout sans que tu perdes le contrôle de tes sens. »
« Comment veux-tu que je ne perde pas le contrôle de mes sens quand je devine très bien ce que tu me fais subir? »
« Tu veux que je cesse? »
« Non, Hélène! »
Je sens que mon nez quitte tranquillement son étau.
Elle pose son pied gauche par terre et elle se dégage de moi.
Elle laisse sa robe de chambre reprendre sa position normale.
Mes genoux me font mal. Je n'aime pas ce rappel de mon âge !
Je m'aide à me relever en m'appuyant sur le bord du bain.
Hélène me sourit.
Je vais aller retrouver mon mari et l'aider un peu avant qu'on aille dans la chambre.
Quand tu le verras, ne soit pas gêné: il est parfaitement au courant de ce que je fais dans la salle de bains quand j'accompagne un
visiteur.
« A tout de suite, n'attends pas qu'on vienne te chercher. Le Fleet est sur le bord du lavabo:
C'est pour toi, tu l'utilises. »
« Merci! »
« Après le Fleet, tu prends une douche ou un bain selon ton désir puis tu vas voir sur le même meuble que j'y ai placé un caleçon propre de
mon mari.
Il va t'aller, mais il est spécial.
Tu vas remarquer qu'il y a un trou rond sur le devant: tu dois absolument y passer ton pénis.
Prends tout ton temps puis tu viens nous rejoindre dans notre chambre à coucher.
Nous t'y attendrons . À tout à l'heure. »
Hélène me donne un rapide baiser sur les lèvres puis elle quitte la salle de bains.
j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Et là...
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