LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS

Samedi 28 juillet 6 28 /07 /Juil 08:35

on est beaux avec ces trumpiens de ricains qui veulent nous moraliser...on va voter Daesh pour lutter contre les fauxculs qui prétendent nous tenir en laisse. Daseh au moins c'est radical : ils vous pendent, vous précipitent d'un immeuble, vous décapitent...mais au moins ils disent ce qu'ils pensent !

 

VIDEO. La réponse hilarante de la maison Rubens face à la censure de nus sur Facebook

 

Par Jean-Baptiste Tournié @Culturebox

Mis à jour le 27/07/2018 à 14H56, publié le 27/07/2018 à 13H31

  TABLE RASE DU PASSE CULTUREL :

  LES GAFFAM RICAINS VEULENT REFAIRE LE MONDE A LEUR "GOUT"...BEN NE VOUS ETONNEZ PAS : DAESH AUSSI QUI REFUSE LES ARTS, LES IMAGES, même la façon de s'habiller, et de se tenir aux chiottes... -lol-  NDLR cavaillongay

 
                    

Cette nouvelle restriction était la goutte de trop. La maison Rubens à Anvers, agacée par la censure de "La Descente de Croix" de Rubens sur Facebook, a décidé de répondre à l'entreprise américaine avec une vidéo sarcastique, moquant la politique de censure du réseau social.

L'humour face à la censure

Dans la courte séquence, des agents de sécurité grimés d'un uniforme FBI (pour FaceBook Intelligence) demandent aux visiteurs du musée qui possèdent un compte Facebook de détourner les yeux des peintures de nus. Ces faux policiers de la nudité font tout pour préserver les chastes yeux des touristes en les réorientant vers des représentations moins "charnelles".

L'office de tourisme flamand a également manifesté son mécontentement en adressant une lettre ouverte à Mark Zuckerberg. Co-signée par plusieurs professionnels de l'art flamand, cette missive dénonce la difficulté grandissante à partager les travaux des grands maîtres de la peinture.

La diffusion de notre patrimoine culturel unique est à ce jour impossible sur le réseau social le plus populaire. Notre art y est qualifié d’indécent, voire de pornographique.

Le dilemme de la nudité

La politique sur la nudité sur Facebook n'épargne pas les oeuvres d'art. Elle interdit sans aucune discrimination toute photographie ou représentation des parties génitales, notamment les seins des filles plus âgées que des bébés. 

La "Descente de Croix" de Rubens est le troisième tableau a avoir été censuré par l'algorithme de Facebook, censé filtrer tout contenu à caractère pornographique. Le géant Californien avait aussi retiré les images de "La liberté guidant le peuple" de Delacroix ainsi que celle de "L'origine du monde" de Courbet.

Bien que la maison Rubens n'ait donné aucune suite judiciaire à l'affaire, certains internautes se sont insurgés face aux décisions de Facebook. Ainsi, un homme dont le compte avait été suspendu à cause d'une photo de "L'origine du monde" avait porté plainte contre le réseau social. Le plaignant n'avait pas gagné son combat contre le groupe de la Silicon Valley, puisqu'il avait été débouté lors du procès. 

Suce moi !...T'es pas vexé? alors on continue ! "Suivez notre page Facebook"  alors suce moi l'autre couille !

La rédaction vous recommande :
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"L'Origine du monde" censuré ! pourquoi Facebook risque une condamnation
Facebook Œuvre d'art et pornographie confondues? Le géant américain du net doit répondre ...

Par CULTUREBOX - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 27 juillet 5 27 /07 /Juil 15:56

De même que lorsqu'on se reconnaît dans un mouvement de protestation (je suis berlinois...etc ) Village People a créé quelque chose d'instantanément reconnaissable, quelque chose qui soit vraiment «à nous» - et qui est toujours lié à notre communauté - que cela nous plaise ou non

 

 Comment Village People a apporté l'homosexualité aux masses populaires

24-07-2018   Juno Dawson examine l'héritage durable du groupe disco emblématique.
Bien sûr pour que la culture gay se développe, se diffuse, s'amplifie et s'organise il a fallu qu'à la base et à l'époque il y ait un "marché" et le marché c'était nous, les GAYS  et les gens qui autour de nous étaient sympathisants, friendly comme ils disent. Et la sauce a pris. Le victorieux mouvement gay des années 2000 on ne va pas dire qu'il doit tout à Village People et YMCA, mais ies LGBT de 2018 (pile 60 ans après) leur doivent beaucoup.
Bien que le groupe soit largement considéré comme l'homosexualité gay la plus gay de tous les temps, nous devons nous poser la question: ont-ils fait plus de mal que de bien? Cette question me fait grincer des dents de même que les accords des intros démodées du groupe !  (Juno Dawson). Village People groupe pop par définition et par essence, éveillait musicalement la curiosité. 
  En 2001, je me présentais encore en tant que jeune gay à Bangor, au nord du Pays de Galles. Les lundi soirs au club de la Ligue étaient "Carwash", et, sans aucun doute, la mixtape lancerait des hits disco massifs Y.M.C.A de  "In The Navy" ou "Macho Man". Autant de mouvement dont on parle peu dans le public en France.

Mais plutôt que de me sentir fêté pour ma singularité, je me suis plutôt senti moqué lorsque les équipes sportives ont fait passer le groupe à 11, grossièrement en train de mâcher et d'épeler des mots avec leurs bras. En tant que tel, ma relation avec Village People est devenue, dirons-nous, tendue. Je vais vous laisser décider si elles ont été conçues pour les personnes LGBT + - ou au moins célébrer la vie queer.
 Des non gay ont flairé la bonne affaire et exploité le marché sans être de près ou de loin militants. Depuis les années soixante-dix, il y a eu un effet de porte tournante pour les membres, mais à ma connaissance, seuls deux membres du Village People étaient vraimenthomos: Filipe Rose (l'Amérindien) et Randy Jones (le cow-boy). Un peu à l'image des Pussycat Dolls, Village People étaient des danseurs formés autour du chanteur Victor Willis (le flic / officier de marine) qui, pour un temps, était marié à l'actrice du Cosby Show Phylicia Ayers-Allen (maintenant Rashad).

Le magicien-manipulateur derrière le groupe était le producteur de disco français Jacques Morali, et il était gay, donc davantage motivé. Il pouvait se prévaloir déjà d'un petit succès dans son domaine, il a été inspiré lors du bal gay "Les Mouches" au Greenwich Village de New York. En voyant les différentes tribus gaies - cuirs, uniformes, jock - il a décidé de former un groupe conçu pour attirer un public gay. C'était les années soixante-dix - ces derniers jours sans souci avant que le VIH et le sida ne prennent racine. Quand il a reçu une démo de la voix de Willis, Morali a décidé de servir d'appui et de pivot au projet.

Il est rare qu'une action artistique soit créée spécifiquement pour un public gay, mais Morali vise directement le public qui lui ressemble. Le premier single sorti par le groupe était "San Francisco" (1977), suivi de près par "I Am What I Am" et "Macho Man" (tous deux 1978) qui se révélèrent être le point de départ de leur percée. Il est difficile de savoir si Morali avait l'intention de se mouvoir de  Village People vers le grand public, mais ils l'ont fait et Y.M.C.A et In The Navy ont été d'énormes succès populaires - disques de platine au Royaume-Uni et aux États-Unis.
 

Morali est mort en 1991, mais a vécu assez pour voir le groupe décroître en popularité à côté de la musique disco. Ils ont tenté un come-back avec "Sex Over the Phone" de 1985 (interdit notamment par la BBC) mais, avec un line-up en constante évolution, le groupe est tombé dans des querelles juridiques sur qui pouvait, avait le droit de se produire sous le nom Village People et revendiquer ce nom !

Aujourd'hui, certains membres originaux se produisent toujours en tant que Sixuvus, et Willis a gagné une bataille de plusieurs décennies pour recevoir des droits d'auteur.

Mais on ne peut nier qu'ils ont laissé un héritage. Morali, brièvement, a créé quelque chose de instantanément reconnaissable, quelque chose qui était vraiment «à nous» - et qui est toujours lié à notre communauté - que cela nous plaise ou non.

Et si l'équipe de rugby de l'université de Bangor était prête à simuler le sexe anal sur le dancefloor du temps de Y.M.C.A,-lol- peut-être que les gens de Village People ont vraiment fait accepter les homosexuels aux masses populaires.

 

Par JUNO DAWSON & claudio - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 27 juillet 5 27 /07 /Juil 05:15

    Image associée volver! Ne pas faire souffrir mes parents parce que j’étais malheureux et refusais de dire pourquoi. J’aurais voulu être moi plus tôt. Dès le début de ma vie   Un texte déterminant.

Le texte que j’aurais voulu lire quand j’avais onze ans…

Mais qui, en ce temps-là aurait-il (elle)pu m'aider ???

Publié sur AlorsVoilà le 21 avril 2018 par Baptiste Beaulieu. les photos en couleurs ont été ajoutées par cavaillongay  

Image associée

    …et, aussi, durant mes études de médecine, quand certains et certaines se permettaient des réflexions d’une violence inouïe vis-à-vis de certains patients concernés par le sujet. Voilà pourquoi je le publie ici, pour les étudiantes et étudiants qui me lisent, et parce que certains et certaines d’entre vous [qui me lisent] n’ont pas Facebook

Alors voilà, j’aurais voulu avoir un amoureux. Au primaire, au collège, au lycée. Avoir une belle histoire. Une histoire d’enfant. J’aurais voulu avoir droit à ça. Les mots qui s’échangent sous les tables. Le coeur qui bat plus fort. Les secrets qu’on garde à table, quand on vous pince la joue en vous demandant si on a une amoureuse. J’aurais voulu profiter de ma jeunesse. Ne pas tricher toutes ces années. Ne pas mentir. Ne pas faire semblant. Être qui je suis plus tôt. L’être et l’être heureux. Fier. Et montrer l’étendue des talents que me confère cette identité. Ma sensibilité. Ma joie de vivre. Mon envie folle d’écrire.    

Illustration de l'auteur 

J’aurais voulu ne pas me contraindre, ne pas faire semblant pour être “comme les autres”. Ne pas faire souffrir mes parents parce que j’étais malheureux et refusais de dire pourquoi. J’aurais voulu être moi plus tôt. Avoir ce que les autres avaient. Ne pas rire quand j’entendais des blagues méchantes visant celles et ceux qui avaient mille fois mon courage d’être ce qu’ils étaient, sans honte, avec fierté.

    Résultat de recherche d'images pour "teen boy in tears royalty free"Comme ce garçon, à l’école, il s’appelait Nathan. Il était gentil, doux, et pourtant ses gestes, sa voix, son identité, bref ce qu’il était de franc, de vrai, d’authentique, étaient moqués parce qu’on lui collait l’étiquette homo sur le front et qu’il n’a jamais démenti. Parce qu’il a toujours relevé la tête. Il m’a fallu des années pour comprendre combien il était plus libre que beaucoup d’entre nous, libre d’être qui il était et de témoigner par sa seule existence de l’extraordinaire diversité du genre humain.

Résultat de recherche d'images pour "teen boy in tears royalty free" c'est toi qui étais laid !

Vous voyez j’aurais voulu ne jamais me moquer de Nathan avec les autres, devant les autres, pour que les autres ne me soupçonnent jamais d’être qui j’étais. J’aurais voulu ne pas rire de ce garçon, j’aurais voulu ne pas le faire pleurer.  

J’aurais voulu être amoureux, enfant. Avoir ce que vous avez tous et toutes eu, enfant.

Qui va me rendre ces années perdues ? Ce qui aurait pu être et n’a jamais eu lieu ? Qui me rendra ce qu’on m’a pris ? Et à ce Nathan ? Qui lui rendra justice ? La vérité c’est que j’ai mal. Que j’ai de la colère contre les gens qui nous font ça. Qui nous font faire ça, qui nous rendent comme ça. Ces mêmes gens qui prétendent se battre pour les enfants et qui pourtant mettent dans nos bouches des mots aussi violents.

illustration de l'auteur 

Mais l’homophobie ce n’est pas seulement quelqu’un qui crie « À mort les PD ! ».

L’homophobie c’est aussi des millions d’existences contraintes, de petits bonheurs universels gâchés, de destinées retardées. Des millions de gens qui ont vécu, vivent, et vivront une autre existence que la leur, une autre vie que la leur, qui marcheront à côté d’eux-mêmes, qui passeront à côté de ce que, au fond, ils étaient destinés à connaître, à aimer, et chérir, et jouir. Ce que nous voulons toutes et tous. Une vie à nous. Une vie qui nous ressemble et nous appartienne.

                                                                                                             Le Temps Retrouvé ?     illustration de l'auteur 

Image associée Maintenant que je suis grand J’ai accepté qui je suis et je suis heureux avec cette personne.  

L’homophobie, la lesbophobie, la transphobie, c’est d’abord des ombres et des millions de vies ratées.

Je suis gay.

J’ai accepté qui je suis et je suis heureux avec cette personne.

Et ceux qui pensent que cela n’a pas à être dit, que l’affirmation d’une orientation sexuelle/identité de genre relève de quelque chose de personnel, ceux-là je les envie car ils ignorent la violence qu’il y a à vivre dans un monde où votre différence est au mieux passée sous silence ou moquée, au pire combattue, psychiatrisée comme aux États-Unis, frappée comme en France, emprisonnée comme en Tunisie, ou déportée dans des camps comme en Tchétchénie.

Ces gens qui ignorent le courage qu’il faut pour accomplir un geste aussi anodin que tenir la main de la personne qu’on aime dans la rue.

illustration de l'auteur   

Je rêve d’un jour où les personnes gays, lesbiennes, bi ou transgenres n’auront plus à exprimer publiquement leur appartenance à une population sociologiquement minorisée.

Profiter de la visibilité qui est la mienne en tant que romancier pour dire publiquement qui je suis et qui j’aime est un acte éminemment politique.

Politique !  illustration de l'auteur 

Oui, la vocation des coming-out n’est rien moins que la visibilité et l’acceptation totale et sans condition d’au moins 5% de la population humaine.

Rien qu’ici, en France, nous parlons d’environ 3 millions de Françaises et de Français.

Ce jour viendra.

Alors nous n’aurons plus à sortir du placard, parce qu’il n’y aura plus de placard.

Alors nous n’aurons plus peur d’être qui nous sommes : le vivant visage de l’extraordinaire diversité du genre humain.

J’y crois, moi, à cette réconciliation.

                                                                                                                                            illustration de l'auteur 

Et si je parle aujourd’hui, si je confie quelque chose que d’aucuns considèrent comme relevant de la vie privée, c’est parce que je veux dire à celles et ceux qui ont peur comme j’ai eu peur, qui ont mal comme j’ai eu mal, qui sont moqués comme ce Nathan a pu être moqué :

Tu as le droit de t’aimer comme tu es, tu as le droit de vivre fièrement avec celui ou celle que tu aimes, tu as le droit d’exister sans honte, sans culpabilité, tu as le droit de revendiquer ton identité et ta place dans ce monde.

Tu as le droit d’être gay, lesbienne, transgenre, d’accepter qui tu es et d’être heureux ou heureuse avec cette personne.

Tu as le droit.

TU AS LE DROIT.

Vraiment.

Le DROIT !  illustration de l'auteur 

(Toutes ces photos sont tirées de banques d’images qui archivent des photos de personnes LGBT+ dans le but de rendre visible la réalité de tant de couples invisibilisés ou condamnés à la clandestinité par la société de leurs époques) il y a eu 103 commentaires sur facebook

La ballade de l'enfant gris

 

  2.Lucas-qui-ne-s'appelle-pas-Lucas, sauf pour nous :

 

     -"Je pense que j'étais prédestiné à être gay dès l'âge de 5 ans. J'avais un petit copain, on aimait bien jouer au "Papa et au papa" et se faire des bisous… Au lycée, j'ai mis un terme à un rendez-vous avec un mec pour pouvoir rentrer à temps et regarder Koh-Lanta. J'avais prétexté devoir rentrer tôt car ma mère m'attendait. Mais j'avais eu une bonne raison de le faire : il me mettait terriblement mal à l'aise si vous voyez ce que je veux dire. 

J'aimerais pouvoir revenir en arrière et tout changer dans ma vie. Absolument tout. Mais je pense que c'est assez universel comme souhait.

Lucas est le prénom que j'aurais aimé porter.

Parfois, il m'arrive de faire pipi assis. J'adore faire pipi assis quand j'ai la flemme de me tenir debout, c'est reposant, particulièrement confortable puis ça demande vraiment aucun effort quoi.[faut-il se l'interdire ?]

Pour mes 17 ans, j'étais tellement ivre que j'ai fini par me vomir dessus alors que je dormais. [pourquoi se saoûler ? Là est la question]

Image associée

Au cours de ma vie, j'ai failli mourir  je suis tombé malade , avec tout ça, j'ai des tas de cicatrices trop sexy sur le corps. Parfois, j'ai des pulsions et je me mets à danser tout nu dans ma chambre. [C'est bizarre hein ? ]  

 

 Réponses aux  questions du site :

1. Est-ce que t’y crois, toi, au destin ? 

Je ne crois pas exactement au destin, en l'idée que tout est écrit et qu'on ne puisse rien n'y changer. Mais je crois en la manifestation de déterminismes sociaux, culturels et personnels qui régissent nos actions et fondent notre psychologie. Notre libre arbitre n'est pas absolu. Cependant, je crois aux miracles et pense aussi que rien n'est figé, que tout peut basculer d'un moment à un autre. #NoDestiny 

3. Es-tu attiré par le pouvoir ? 

Absolument pas. Je ferais un bien piètre chef. Je suis trop gentil et bienveillant pour être attiré par le pouvoir. Si je l'avais, je serais du genre à regretter toutes les décisions difficiles que j'aurais à prendre. Après bien sûr, comme tout le monde, j'aimerais qu'on me mange dans la main et qu'on approuve chacune de mes actions mais ça, c'est pas possible. #LucasPresident -lol- 

4. Pourquoi joues-tu le jeu de répondre à ce test ? 

Parce-que je ne refuse aucune invitation. Non, c'est pas vrai. Ça m'amuse et si ça peut permettre à ceux qui lisent ce post d'en apprendre un peu plus sur moi, autrement qu'à travers la rédaction d'une de mes nombreuses mésaventures, remises en questions ou petites névroses, alors c'est super. #Serieux !

5. Comment et quand as-tu connu ce blog ?

De la même façon que j'ai connu tous les autres : en me perdant sur la pédé-blogosphère et quand... ça je ne saurais pas dire précisément, peu de temps après avoir ouvert mon blog sans doute. #Pedeblog

7. Que penses-tu des contes de fées ? 

C'était sympa à regarder/lire quand j'étais gosse. Maintenant, ça me fait ni chaud, ni froid. Ce ne sont que des histoires censées inculquer les bonnes manières et la morale à de petits individus, ça s'arrête là. Par contre, j'adore quand des contes de fées sont ré-adaptés en fonction de problématiques adultes et contemporaines, comme l'adaptation théâtrale du conte de Cendrillon par Pommerat. On leur donne bien souvent un aspect beaucoup plus sombre et c'est ce qui me plaît. #Darkness 

8. Quel est ton art de prédilection ?

Difficile à dire. Mais j'aurais plutôt tendance à dire, le théâtre. #Theatre 

9. Est-ce que ton entourage aura tout connu de toi, à ta mort ? 

Non, mais je pense que c'est valable pour tout le monde. Nous avons tous nos petits secrets, des choses qu'on ne souhaite pas voir révélées au grand jour. Donc non, le jour de ma mort, mon entourage n'aura pas tout connu de moi, c'est une certitude. #JardinSecret

10. Était-ce mieux avant ?  

Je vais faire comme si cette question concernait ma vie. Oui, c'était mieux avant. #Nostalgia

11. Quelle est la première et prochainechose que tu dois réaliser ?  

Réussir ma vie. Mais tel que je me connais, c'est pas gagné. #NoDestiny ...

 Tu Doisrépondre à 11 nouvelles questions :
1. Quel a été le moment le plus embarrassant de toute ta vie ? 

 

2. Un génie t'offre trois voeux. Tu choisis quoi ?
6. On t'annonce qu'il te reste 24h à vivre, qu'est-ce que tu fais ? ,,,etc bof ! Laisse béton"¤ 
 


COMMENTAIRE: "En son temps, Brel aurait-il fait sien le combat LGBT ? 'Non, Jef, t'es pas tout seul. Mais arrête de pleurer. Comme ça, devant tout l'monde. Parce qu'une demi-vieille. Parce qu'une fausse blonde. T'a relaissé tomber' "  

 Tu fais le malin, mais, ok, c'est un peu nunuche de te dire ça, mais,

Image associéeChahuter un camarade gay, ok, mais avant, mets-toi à sa place !    

 

 

Par BAPTISTE BEAULIEU - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 06:42

Djihad : "... D'après plusieurs témoins, une foule importante a assisté à cette exécution publique. La victime est un adolescent homosexuel de 15 ans.(archives) © DR."

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... D'après plusieurs témoins, une foule importante a assisté à cette exécution publique. La victime est un adolescent homosexuel de 15 ans.(archives) © DR.

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L'Etat islamique poursuit ses horreurs: Encore un homosexuel jeté d'un immeuble

PLUS UN MOT SVP !

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Photos] Etat islamique : Nouvelle exécution d'homosexuels jetés du toit d'...

NON! PLUS UN MOT...SILENCE  RECUEILLEMENT !   et c'est pas seulement parce qu'is sont  étaient homos...   


commentaire : " et c'est au Bataclan qu'il demande la parole ? " claudio

 

 

Par LENET - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 26 mai 6 26 /05 /Mai 05:21

il y a le Dr Frank Mugisha

Figure emblématique du combat des LGBT en Ouganda

       

Frank MugishaPhoto prise par © SMUG
       

Rencontré le 15 août dernier lors de la Conférence nationale «Réalités LGBTTIQA2S : nos luttes, nos victoires, nos défis», durant Fierté Canada, qui s’est déroulée du 15 au 17 août, le Dr Frank Mugisha, directeur général du groupe Sexual Minorities of Uganda (SMUG), une organisation de défense des droits LGBT, a pris quelques minutes pour nous parler de l’Ouganda, de la manière dont sont traités les LGBT dans ce pays, et les combats menés parfois avec succès.

 
Si vous suivez l’actualité LGBT, alors vous avez déjà entendu parler de l’Ouganda, un petit pays d’Afrique de l’Ouest, avec tout de même plus de 41 millions d’habitants. Pourquoi ? Parce que le 26 janvier 2011, le militant et cofondateur de SMUG, David Kato Kisule est lâchement assassiné chez lui, à coups répétés de marteau. Quelque temps auparavant, un média local, le Rolling Stone, publiait les noms et adresses des gens engagés dans la lutte des droits LGBT, une centaine en tout, le nom de David Kato Kisule y figurait. «David était un ami proche, ce fut une grande perte, mais pas seulement pour moi, mais pour tout le mouvement. En même temps, le décès de David nous a galvanisés encore plus», commente le Dr Mugisha.
 
Le Dr Frank Mugisha a reçu plusieurs prix pour sa lutte, dont le Thorolf Rafto Memorial Prize (en 2011) ainsi que le Prix Robert F. Kennedy des droits de l’homme (aussi en 2011). Il a reçu un doctorat honorifique de l’Université de Gand en Belgique.
 
Assise à côté du Dr Mugisha, Nancy Nicol, réalisatrice de plusieurs documentaires, dont And Still We Rise (film de 2015 sur le combat mené par SMUG contre le projet de loi antihomosexuel du gouvernement du président ougandais Yoweri Museveni et qui prévoyait jusqu’à la peine de mort),  et professeure à l’Université York de Toronto. Mme Nicol hoche la tête. Elle acquiesce.  «Le film [And Still We Rise] raconte l’histoire de mon ami David, de son assassinat, mais c’est aussi l’histoire en marche, il parle aussi du travail qui a été accompli, de ce qui peut être amélioré si on s’y met, si on se réunit», estime le Dr Frank Mugisha. 
 
En Ouganda, tout est sujet de lutte. Même le fait de vouloir enregistrer son association afin qu’elle soit légalement reconnue, fait débat. «Nous poursuivons l’État simplement pour nous enregistrer, pour avoir droit de faire des représentations, de la sensibilisation, même de parler de problèmes de santé et de maladies comme le VIH. Nous argumentons que la constitution ougan-daise protège la vie privée des gens, donc on va utiliser ça en cour contre le gouvernement», explique le Dr Mugisha. «Mais il y a eu de tels cas ailleurs en Afrique et cela a eu du succès, comme au Botswana et encore récemment au Kenya, mais il faut de la persévérance», rajoute Nancy Nicol. 
 
«And Still We Rise, malgré tout ce qui s’est passé et la mort de David Kato, donne de l’espoir, il fournit une meilleure compréhension de la situation en Ouganda. Lorsque les gens le regardent, ils peuvent voir comment cela a mené à une lutte qui a réussie […] Des fois, il y a des gens qui sont arrêtés et on les oublie, mais pas ici, ce n’est pas le cas parce qu’on ne les oublie pas, on se mobilise malgré les nombreux obstacles. Ce n’est pas facile, mais on l’a fait et on le fait encore. C’est çà dont le film parle», rajoute une autre militante du SMUG, Junic Onukuri. «Le documentaire raconte le mouvement, la lutte et la résistance des gens [aux lois antihomosexuelles] et à la société ougandaise conservatrice. Le film apporte un éclairage sur le courage de ces gens qui, malgré par exemple la mort de David Keto, ont continué le combat sans abandonner», évoque Nancy Nicol.
 
L’influence des Églises évangéliques
On ne se l’imagine pas, nous au Québec et au Canada, mais depuis quelques décennies maintenant, les Églises évangéliques américaines, avec leur ultra conservatisme religieux, se sont implantées en Ouganda, pays à majorité chrétienne. Les pasteurs comme on en voit souvent en Amérique – l’actuel vice-président Mike Pence des États-Unis est d’ailleurs issu de cette mouvance religieuse – y sont à présent légion et propose un christianisme dogmatique et fermé aux personnes LGBT. 
 
«Ces Églises et leurs pasteurs propagent beaucoup de haine à l’égard des LGBT qu’ils condamnent avec vigueur, continue le Dr Mugisha. Lorsqu’on ne peut louer un local, lorsqu’on ne peut pas se réunir, lorsqu’on ne peut pas tenir une marche de la Fierté, c’est en grande partie le résultat des prêches des pasteurs évangéliques occidentaux. Les Ougandais sont profondément chrétiens et ils écoutent ces prédicateurs. En théorie, nous avons la liberté de parole et de réunion, mais la réalité est toute autre, nous vivons dans une société ultra conservatrice où il est difficile de faire quoi que ce soit. Les évangéliques font beaucoup de dommages dans la société, les gens ne le savent pas à l’extérieur de l’Ouganda, ils soufflent la haine. On se doit de sensibiliser les LGBT partout du genre de travail que font ces pasteurs […]»  
 
C’est sous l’impulsion de tels prédicateurs proches du gouvernement du président Museveni, que la loi antihomosexuelle prévoyant la prison à vie pour toutes personnes LGBT et qui enjoignait à tout autre individu de les dénoncer sous peine de prison, avait été promulguée en 2013 et ce, malgré le tollé de multiples pays et organisations internationales. Finalement, c’est la Cour constitutionnelle qui l’a invalidée, en août 2014. Bien sûr, le SMUG était en première ligne. «Nous avons bâti une coalition sur les droits humains avec une cinquantaine d’organisations de la société civile. Donc, nous travaillons activement à forger des alliances. Nous avons eu du succès en termes d’appuis locaux, c’est pourquoi il y a eu un certain backlash [suite à l’annulation de cette loi], mais moins que ce que nous aurions pensé», de commenter le Dr Mugisha. Mais ce n’est pas fini car, comme les militants le disaient, on ne sait jamais quand une nouvelle loi restrictive pourrait être à nouveau introduite au parlement.
 
Les soutiens internationaux
Le 26 novembre 2016, lors due Sommet de la Francophonie, à Antananarivo (Madagascar), le premier ministre canadien Justin Trudeau y fait une dé-claration fracassante sur le fait que beaucoup de pays en Afrique ne reconnaissent pas les droits des minorités sexuelles ! Il n’y a pas à dire, il bousculait ainsi les tabous… Qu’est-ce qu’en pense ce militant ? «Des discours comme ceux de Trudeau peuvent avoir un certain impact. Cela est très légitime de faire de telles déclarations [devant une assemblée avec des chefs d’États]. Cela peut amener certains dirigeants à réfléchir», de dire le Dr. Mugisha. Mais concrètement, est-ce que cela donne quelque chose pour les LGBT ? «Il y a plusieurs choses à dire à ce sujet.  Si un premier ministre comme Trudeau le fait sur la scène internationale, c’est que c’est important. Donc, c’est une question de visibilité de la cause. Ensuite, c’est une question de relations bilatérales et de liens étroits avec un pays, qu’ils soient commerciaux ou autres et jusqu’à quel point est-on capable d’influencer ce pays… Ce sont des choses qu’il faut considérer», note le directeur général du SMUG. 
 
«Nous avons reçu beaucoup d’appuis, le film en est un de ces soutiens. Nous avons gagné des appuis partout dans le monde et, pour nous, c’est une protection. En raison de la collaboration de nos partenaires internationaux, il devient de plus en plus difficile pour le gouvernement d’exercer des discriminations. Mais c’est toujours une question de visibilité, si l’on devient visible, on devient en même temps une cible. Alors on doit poursuivre le travail de coopération», souligne le Dr Mugisha. Mais comment peut-on, par exemple ici au Québec, au Canada, aider SMUG ? «En nous contactant directement, en travaillant avec nous par différents moyens, en diffusant ce que nous faisons, en donnant de la visibilité à nos luttes. […] Des gens sont parfois arrêtés, torturés, il faut que cela se sache, c’est la visibilité qui nous rend plus fort», affirme-t-il avec un sourire comme seuls les Africains peuvent le faire.
Site du SMUG :  sexualminoritiesuganda.com

Dernière mise à jour le 17 avril 2018

 


commentaire : "et en plus il est beau le Dr gay...ce qui ne gâte rien ! "

"merde, ils sont aussi pires que Kadirov, le copain de  Poutine"

Par FUGUES - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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