SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES

Jeudi 9 juin 4 09 /06 /Juin 22:03

  paiement en nature...ma sextape leur donnait trop d'idées......   

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Posted: 8 février 2015

Un soir de semaine. Je prends le métro comme d’habitude pour rentrer chez moi et je remarque un jeune rebeu au crâne rasé et à l’air pas commode qui me dévisage. Il est trop sexy mais j’ose pas trop allumer dans les transports en commun donc je fais mine de rien et je continue de m’amuser avec un jeu vidéo récemment chargé sur mon portable. Soudain, alors que les portes du métro s’ouvrent, je vois le rebeu s’approcher brutalement de moi. Il m’a tiré mon portable et s’est barré en courant. Les boules ! Je te passe la galère de se retrouver sans tél… Ce qui m’a travaillé surtout, c’est que j’avais rien vérouillé au niveau de l’écran d’accueil et que j’avais absolument tout dessus. Mes accès mails et Facebook, mon répertoire avec tous mes plans culs réguliers mais aussi mes photos x où je montrais ma chatte pour exciter les mâles sur les applis et des vidéos qu’un de mes domis* avaient filmées et où on me voit me faire baiser par plusieurs mecs… J’ai pas dormi tranquille, j’étais deg…*

Le lendemain, quand je me connecte à mon Facebook [sur l'ordi], quelle n’est pas ma surprise quand je remarque que j’ai un nouveau message qui a été envoyé par… moi-même ! Le mec qui m’avait volé mon portable avait été sur mon compte et cherchais à entrer en contact avec moi. Son message : « Salut mec, c’est moi que t’as vu dans le métro. Jfais jamais sa mais j’ai vu tes vidéos sur le tel : t’as l’air de kiffer la queue  ! Si tu veux récupérer ton tel viens à cette adresse …». J’avoue, je savais pas trop quoi faire… J’avais pas encore été au poste de Police pour déclarer le vol. Le fait que le gars me parlait de mes vidéos où je me faisais chienner m’avait excité : je supposais qu’il avait envie de me niquer et que c’est pour ça qu’il m’avait contacté. En même temps lui aussi prenait un risque en me filant son adresse… Ce que j’ai fait était risqué mais je suis allé au rendez-vous.

20h devant un immeuble de banlieue, il caille. Je tremble de froid mais aussi parce que je balise : je sais absolument pas ce qui va m’arriver ! Et là je vois arriver mon voleur avec un autre mec et je l’entends dire en rigolant « T’as vu je t’avais dit qu’il viendrait ! ». Le mec du métro arrive vers moi et m’ordonne : « Viens, suis-nous ! ». On marche 15 minutes au milieu de la cité et on entre dans un immeuble. On prend un ascenseur tous les trois, je baisse la tête. « Tu flippes ou quoi ? » me lance le voleur en se marrant. Je réponds que oui un peu. « T’as raison de flipper, on va tellement t’enculer comme une pute que tu pourras plus marcher pour rentrer chez toi ». Je me suis retrouvé avec une énorme gaule dans le pantalon. Son pote l’a remarqué : « Putain regarde comme elle bande la salope ! ». L’ascenseur s’ouvre et le pote me tire par les oreilles. On arrive dans un petit studio miteux en bordel. Il me jette au sol. J’ose pas bouger. Le voleur sort de sa poche mon portable et me dit : « Tu veux le récupérer ? ». Je fais signe de la tête que oui. « J’ai pas entendu, tu veux le récupérer ton tel la salope ? ». Je réponds timidement « Oui ». « C’est quoi tes vidéos sur ton tel là ? T’es une grosse chienne en fait ? Tu te fais niquer par des rebeus, t’aimes ça ? ». A ce moment-là, je sais vraiment plus ce qui se passe. Je bande car la situation m’excite et en même temps j’ai un peu peur… Je me mets à genoux, je les regarde et je dis « Je vous vide les couilles si vous voulez ». Ils se marrent et se regardent. Le voleur lance à son pote « T’as vu ça ? On a pécho le gros lot là, on a rien besoin de dire elle veut déjà nous vider les couilles ». Puis il m’attrape par le col et me demande en me filant une petite claque : « Tu crois que tu les mérites nos bites ? ». Je me mets à tirer ma langue de façon bien vulgaire. Il me crache un gros mollard dans la gueule et me jette à nouveau au sol. Quand je relève la tête je vois qu’ils ont baissé leur froc. Leurs deux grosses queues sont offertes, devant moi, et attendent que je les pompe. Je me mets au boulot.

Alors que je me régale en tétant une teub après l’autre, je résiste pas à l’envie de sortir ma propre bite pour me branler et savourer à fond mon plaisir. Mais le voleur m’interdit de me toucher. « T’as cru que t’étais là pour te faire plaize ? T’es là pour nous vider, bosse et te touche pas ! ». Il me dit ça en me tapant avec son zob sur la face, de façon super violente. J’obéis et continue de vidanger… Après quelques minutes, son pote bouge. Il se met derrière moi et me défroque brutalement. Il me mollarde le cul et me fout plein de fessées : « Cambre sale tepu, cambre ! Voilààà c’est bien salope !». Le voleur me recadre en même temps « Oh t’arrêtes pas,continue de sucer !». Alors que je pompe du mieux que je peux sa délicieuse bite hyper raide, j’entends son pote enfiler une capote. Il prend pas le temps de me lubrifier davantage et rentre comme un bourrin dans mon cul. Ca fait trop mal, j’ai l’impression de me prendre la plus grosse bite de ma vie dans le fion. Je peux même pas crier parce que j’ai encore la tige du voleur qui me baise la gueule. Des larmes coulent sur mon visage alors que je suis en train de me faire ravager la rondelle à sec. Et puis, petit à petit j’ai envie de couiner de plaisir. On m’avait jamais troué de façon aussi hard je crois. Je comprends que je ne suis pas au bout de mon délicieux supplice quand le voleur demande à son pote : « Elle est bonne sa chatte ? Y a de la place pour moi, elle mouille ? ». Et mon enculeur de répondre : « Elle est serrée j’comprends pas, mais vient on va l’ouvrir. Doit y avoir de la place pour deux ». Ma gueule est libérée, je sens maintenant le lascar qui est en train d’essayer de me fourrer en mode double sodo. Une double sodo à sec : imagine le délire ! Il lâche une rafale de mollards et il arrive à rentrer en moi lui aussi. Je hurle comme jamais, je n’ose pas bouger. Vu que je gueule trop fort, l’un des deux gars me fout une claque puis met sa main sur ma bouche. Ils me cassent le boule comme des bêtes et grognent de plaisir. Je sens leurs grosses queues qui bougent à l’intérieur de moi, à des cadences différentes. La sensation physique est dingue, je suis en transe, je veux qu’ils continuent. L’un des deux se retire, l’autre me cartonne à fond : la double sodo m’a dilatté à mort. Ils m’enculent à tour de rôle et se parlent entre eux en arabe. Je ne comprends rien mais je me prends un orgasme anal de folie. Je vois du jus sortir tout seul de ma bite alors que je ne la caresse même pas !

Le voleur surgit à nouveau face à moi, reste immobile. Je penche ma tête et lèche ses skets sales. Il me met un pied sur la gueule et dit à son pote « Déchire-la sérieux, elle aime trop ça ! Regarde moi cette pute ! ». Je décrasse les skets, il les retire et me file ses panards. Son pote crie : il vient de gicler entre deux coups de teub dans mon fion. « Putain la salope ! » je l’entends dire, essoufflé. Il saisit mon tel et me filme alors que je vénère le voleur. « Vas-y encule le que je lui fasse une vidéo en plus pour sa collection à cette salope ! ». Il s’exécute. Je me sens comme un moins que rien, du jus continue de sortir automatiquement de ma queue. Je n’ose pas réclamer « Encore » mais j’ai envie de le faire : comment j’aime me faire niquer fort comme ça, en étant dominé à 200% ! Le voleur jouit à son tour. Je reste sans bouger au sol à côté des deux capotes usagées pleines de foutre. Il me siffle : « Viens là, à 4 pattes !». J’obéis et me déplace en rampant comme un toutou. Il pose mon tél au sol. « T’as été un bon bâtard j’te rends ton tel tu vois j’suis sympa ». J’ose répondre « Merci maître ». Je vois que ça le surprend. « Putain sérieux j’ai jamais vu une salope comme toi… T’as bien kiffé je le vois». Et là j’hallucine : il me propose de rester avec lui et son pote et de fumer un pétard ! Ils se racontent leur vie, me passent le joint, continuent de se marrer entre eux. Ca dure une bonne heure, ils parlent, ils parlent, et fument encore et encore. Puis d’un coup le voleur me tire l’oreille : « Vas-y suce encore mon pote ». J’obéis, je pompe. « Allez c’est bon tu peux sortir ta bite et te branler pendant que tu suces. T’es notre salope maintenant, on est trankil ». C’est reparti pour un tour mais cette fois ils sont plus cool : ils me laissent kiffer, me mollardent bien le cul avant de me niquer à nouveau. Ils finissent par me gicler sur le visage, me tendent un vieux Kleenex pour que je m’essuie.

Je suis tout sonné et ne sait pas quoi faire, comment réagir. Le voleur me lance « T’es dispo samedi pour nous vider ? ». Je réponds que oui. « Vas-y note mon tél ». Je le note. Alors que je m’apprête à repartir, il me chope : « On compte sur toi. T’as vu on est réglo on t’a rendu ton tél et on t’as bien niqué. Tu nous balances pas, tu viens samedi et si tu fais bien ta salope on ramène des potes. T’auras pleins de bites comme t’aimes. OK ? ». Je fais signe de la tête que oui. Le samedi suivant, peur de rien, j’y retourne. Ils ont invité un pote et ils me niquent à trois, à tour de rôle. Après ils m’invitent à rester et à leur lécher leurs panards pendant qu’ils se matent une série. Le voleur me caresse alors que je lui suce les orteils « C’est bien ma salope ! J’te kiff t’obéis comme un clebs ». Crois-le ou non mais depuis on se revoit régulièrement.

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Aziz, c’est son prénom, est devenu un drôle de pote, assez tendre et gentil avec moi quand il ne me met pas à la dispo de ses amis racailles pour me faire défoncer les trous. C’est un de mecs auquels j’aime le plus me soumettre.

quand c'est pas du fric qu'ils cherchent ils peuvent être assez adorables

 

mon tél et ses sextapes ça leur a donné des idées....

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Par SAMIR'A' - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 9 juin 4 09 /06 /Juin 05:24

ça donne du boulot !

regardez-le se pâmer ce con !

 



ils pensent qu'à profiter !

Par BOTTOMX - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 9 juin 4 09 /06 /Juin 04:29

-lol-

Par FREQUENCY - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 7 juin 2 07 /06 /Juin 02:13

il me suce pour que mon cul perde toute réticence et volonté d'opposition

With his enormous boycock stuck in my mouth, I worried that Dad would decide to enter him before I’d made it squirt. It wasn’t the potential deep-throating I feared, if Dad got so rough it would force Joey’s enviable tool that far in, but I knew that...

 

 

 

Par DUNETT - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 05:34

 J’ai commencé à délirer grave. J’avais dans la tronche les visions les plus hardos, de mecs poilus quand soudain...-"désir accompli, je suis la Fée Clochette!"

Ça sentait fort, mais pas dégueu...(journée du sniff oblige...)

 

 

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J’aime bien baiser dans la nature !

 

http://www.gai-eros.org/w/index.php/_L'%C3%A9clate-cul_du_Lub%C3%A9ron  

Je n’ai pas tout le temps envie de sauter un trou ou de me faire entuber, mais quand ça me prend, je suis prêt à toutes les expériences. J’aime le hard, la vulgarité, la déprave quand je suis en chaleur. Ne comptez donc pas sur moi pour vous faire de la littérature. Garez-vous, car vous allez prendre une giclouse en pleine gueule à lire trop près!

Me décrire vite fait: trente ans, boule à zéro, 1m73 pour 65kg, beau petit cul rond, chatte ouverte, bite de dix-sept, toujours suintante de jus, musclé en salle, yeux noirs, comme mes poils, que je rase au cul et aux couilles. Ça vous va? C’était en juillet, près de Lourmarin, au pied du Lubéron, où je prenais deux semaines de vacances chez ma sœur. Région superbe, soleil, calme, mistral aussi. Et puis Aix et même Marseille, en bagnole, c’est vite fait, et là, on peut trouver du mâle en cas de besoin urgent.

Ça faisait quatre jours que j’étais là, à rien foutre, à me la couler douce, mais je commençais à avoir envie de tringler un minou. J’étais parti me balader sur la crête du Lubéron. Là-haut, c’est génial, on voit loin, les cèdres rabotés par le mistral, les buissons arrondis... Ça m’a pris. Fallait que je me pogne. L’envie de me purger, de me l’essorer, j’avais rien d’autre sous la main que la “Veuve”. Je me suis écarté de la route, serpentant entre les épais buissons ronds sur le versant sud. J’aime bien m’exhiber, mais pas devant n'importe quoi! Putain, la gaule. J’étais en bermuda lycra noir Nike, sans slip. Devant, c’était une vraie toile de tente. Je me suis assis contre un arbre et j’ai fermé les yeux en commençant à m’astiquer le jonc. Ça suffisait pas. Ça devait être la chaleur, mais moi j’étais en plein rut, l’envie démente de me faire éclater la chatte par un beau membre noueux, l’envie d’en sucer une belle, de me faire claquer le cul! Je me suis allongé au soleil, à me branlotter et à me chatouiller les pointes avec des doigts mouillés de salive, les jambes très écartées. J’ai commencé à me doigter le fion. Il avait envie d’un manche, tellement ça s’est ouvert vite! À côté de moi, il y avait des buissons piquants dont je ne sais pas le nom. Ça m’a donné une idée salace, plutôt SM. J’en ai cueilli une branche, et j’ai commencé à m’en caresser doucement les yecous. Le putain de pied! C’était bon, on aurait dit une barbe d’un mâle, d’une bête sauvage en train de me renifler les valseuses.

J’ai commencé à délirer grave. J’avais dans la tronche les visions les plus hardos, de mecs poilus, fous de désir, en train de s’enculer en criant, de se fouetter, de s’attacher, des bites, des grosses teubs au méat ouvert, envoyant des litres et des litres de purée d’homme dans des gueules extasiées! Comme je vous le dis. Je me suis mis à parler tout seul en me tortillant comme une femelle insatiable: “Ouais, je veux un mâle, j’ai envie de me faire sauter, bordel, une grosse pine dans le fion, me faire niquer à mort...”

— Et ma pine, ça t’irait?

Mordu par un cobra, ça n’aurait pas été pire. Surprise totale. Je me suis retourné, au bord de la panique. Un mec était là, la braguette ouverte, la teub à l’air, en train de ricaner.

— Dis donc, je croyais que t’avais envie de t’en prendre une, c’est pas ce que tu disais? Tu vois, désir accompli, je suis la Fée Clochette!

Ça m’a fait rigoler. J’ai évalué la bête comme nous autres experts en mecs savons faire, en un clin d’œil. Massif, large, musclé, un peu bedonnant, dans les quarante-cinq, sanguin, pas très beau de gueule, très bronzé, très brun, grosse moustache. Et la pine, vous allez me dire? Un gros boudin veineux, gros gland large en corolle, bien dur, bien raide. Tant pis pour la gueule, il avait l’air trop mâle pour que ça ne me fasse pas mouiller de désir.

— Alors, ça y est? T’as fini d’évaluer la marchandise?

— Généralement, c’est moi qui choisis! OK? Et j’ai choisi...

Afin de le démontrer, je me suis jeté sur son gros pieu. Slurp, slurp, la bonne friandise! Ça sentait fort, mais pas dégueu. Juste ce qu’il fallait pour m’électriser les sens. Ah, l’odeur du mâle en rut, rien de tel pour démarrer la machine à jouir! Je suis un bon pompeur, je sais bien vidanger les burnes les plus rebelles. J’y vais des lèvres, de la langue, je m’enfonce le morceau gorge profonde, je taquine le gland, je suçote, j’aspire et je salive bien tout le manche avant de m’attaquer aux valseuses velues, humides de sueur. D’ailleurs, les compliments n’ont pas tarder à fuser: “Saloooope! Tu suces mieux qu’une pute! Tu devrais donner des leçons à ma morue de bonne femme! Elle a jamais fait la différence entre un braquemart et une banane!” J’étais fixé, c’était un hétéro en manque de, disons de “tendresse”, et qui ne crachait pas sur l’occasion, même si c’était un mec. Je me doutais bien, que pour me renvoyer la politesse, ça serait ceinture. Monsieur allait se faire vidanger, mais moi, je serais obligé de me palucher pour me faire du bien. Bon, j’avais le fion qui me démangeait, ça tombait bien. Et puis, du foutre d’hétéro, ça se refuse pas!

Pour l’instant, ma bête était en train de gémir et de m’appeler de jolis noms d’oiseaux en m’imposant son rythme d’une poigne décidée sur mon crâne rasé. Il était vraiment du genre primate, à peine humain, j’exagère à peine. Et ça m’excitait! Rien, pas une once de raffinement, il voulait tout me lâcher, un point c’est tout. Je me suis relevé d’un coup:

— Et mon cul, t'as pas envie d'y fourrer ta viande, gros porc? Je lui ai dit en écartant mes demi-lunes.

— Sale morue, t'as envie de te faire enfiler, hein? Je m'en vais te fourrer le boyau, ma salope!

— Ouais, mais avant, préso! OK?

Il a dû croire que je parlais martien, jusqu’à ce que j’enveloppe moi-même sa pine d’une capote. Vraiment con, le mec! Pas plus de 60 de Q.I., et encore... J’ai craché dessus un bon paquet de salive, je me suis arc-bouté à un arbre, bien cambré, et je lui ai précisé:

— T’y vas mollo, un cul, c’est pas une chatte! T’as pas envie qu’on m’emmène aux urgences?

Il était peut-être con comme un manche, mais son manche, il savait s’en servir! J’ai été baisé comme une reine, limé dans les règles de l’art. Il a pris son temps, c’était pas un précoce qui vous gicle la sauce dans les trente secondes! Moi, je me branlais d’une main en même temps. Il m’insultait, mais j’arrivais à toujours trouver plus salace à lui dire. Quand il s’est mis à accélérer, en sortant de plus en plus sa pine pour me la rentrer bien au fond du bide, j’ai senti que j’allais me payer un orgasme de première. Il soufflait dans mon cou, c’était bon, j’étais secoué comme un pantin. J’ai joui brutalement contre le tronc de l’arbre, hors de moi. Ça m’a fait me contracter et me distendre le sphincter en saccades autour de son pieu. Rien de tel pour faire cracher un mec, ce qu’il a fait en braillant.

Il a déculé aussi sec, il a retiré la capote: c’était plein à craquer! Ah, il avait besoin de se les vider depuis un bon paquet de temps, faut croire! Il a jeté ça par terre, et il est parti aussi sec en se rebraguettant. “On dit merci!”, je lui ai lancé. Mais bon, j’avais eu ma dose, je m’étais bien éclaté. Ah, ces maris mal baisés!

épilogue :

[en Luberon,] Lorsque vous vous branlez dans la nature et que vous vous croyez bien cachés, regardez bien derrière chaque arbre s’il n’y a pas un mec en train de mater, et s’il y en a un, gueulez à pleins poumons qu’il vous faut une pine! C’est le conseil d’un vicelard.

 

 

Par MAURICE02013 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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