du Venezuela les yeux dans les yeux et quels beaux sourires ! ET RECUEILLEMENT, COMMUNION AU MOMENT SUPREME
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du Venezuela les yeux dans les yeux et quels beaux sourires ! ET RECUEILLEMENT, COMMUNION AU MOMENT SUPREME
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t'as pas eu même l'idée de l'enculer ?
regarde toi-même comme c'était tentant à ce moment et tout le lube naturel que tu lui offrais....elle aumoins elle parle et toi tu dis rien...
A comme Alexandre B comme baise C comme cocu !-lol-
Coté couple, j’adore mon mari et nous vivons le parfait amour malgré les années qui passent,
sauf …. Au niveau sexuel ! Et pour en avoir discuté avec des amies, je sais que je ne suis pas la seule dans ce cas là !
Jusqu’à la quarantaine, je m’en contentais, mais les performances de nos maris à l’approche de
la quarantaine ne s’améliorent pas, je vous assure, on se demande même s'ils ne nous poussent pas à les rendre « cocu » par leur nullité
au lit ? Je croyais que notre couple était une exception de ce coté là, mais toutes mes amies disent ou ne contredisent pas (pour les plus prudes) cet état de fait.
Ils ne savent que nous parler de d’autres mecs pendant l’acte, à se demander si ce ne sont pas
eux qui ont envies de se les taper ? (c’est une boutade), dire qu’ils voudraient nous voir baiser par un autre (bien vite oublié dès la fin
de l’acte)… Sans parler que leur virilité semble être inexistante au lit, je dirais même qu’ils nous
seraient plutôt « soumis », tous les actes et paroles légèrement autoritaires ou dominants
semblant augmenter leur excitation ???? Bref, beaucoup de femmes mariées comme moi reconnaitront la description de leur vie sexuelle, avouez
messieurs quece n’est pas l’idéal pour nous.
Quoi qu’il en soit, ce que je vais vous confier n’excuse pas mes écarts, mais peut les expliquer
J’essaie de garder les pieds sur terre, certaines de mes amies font le choix de se lancer à corps perdu dans le sexe en multipliant les expériences, je ne souhaite pas faire ce choix, j’aime mon mari et
jamais je ne voudrais pas lui infliger l’humiliation d’être cocu au regard de tous. Je fais tout mon possible pour limiter mes écarts, donc
je reste malgré tout une épouse aimante et fidèle.
Sauf cette soirée d’été où je n’ai pu me retenir, et où la discrétion était très minime.
Nous étions invités par un couple d’amis pour un barbecue à leur mobil home sur un camping.
Amis de mon mari surtout, l’homme était une relation de travail, ils se rencontrent fréquemment lors de séminaires, mon mari ayant eu
l’occasion de dormir chez
eux à quelques reprises. Pour ma part, c’était la première fois que je rencontrais ce couple.
La cinquantaine pour lui, et sa compagne a 39 ans (il avait divorcé deux fois me semble t-il), une jolie femme d’ailleurs, contrairement
à lui, le genre d’homme imbu de sa personne qui a tout vu, tout fait, comme vous l’avez compris, je ne l’appréciais pas plus que ça.
Le mobil home était spacieux et très classe, tout le confort nécessaire, avec une terrasse en
bois très grande, le tout sur un emplacement ombragé et beaucoup plus étendu que dans mes souvenirs de camping de ma jeunesse. Puis un second
emplacement
accolé ou logeait son fils dans une tente, contrairement à son père, le fils avait du prendre
du coté de la mère, beau garçon d’une vingtaine d’années, bien bâti, assez costaud et musclé, bref un beau mec. Par contre coté caractère,
c’était son père tout
craché, une haute image de lui-même, très hautain, en plus beau mec, persuadé que toutes les
filles sont à ses pieds. Pour amplifier son arrogance, son père l’ayant obligé à participer à la soirée, il tirait la gueule, ce
qui avait pour effet d’accentuer son coté agressif dès qu’il sortait une phrase.
Une soirée pas très agréable, obligé d’écouter tous les exploits de monsieur, nous en mettant
plein la vue, le tout avec la visite guidée du camping, bien évidemment tout sentait la super classe dans ce camping, bref limite une soirée
d’humiliation.
Heureusement, sa compagne était, quant à elle très agréable, même si un petit sentiment de supériorité pouvait ressortir de temps en temps.
Donc, une première partie apéro, rien à voir avec l’idée de l’apéro camping, plutôt style
petit four … puis le barbecue (à gaz, règle de sécurité oblige), le tout arrosé de bon vin et très couteux, ça on l'a su !
Je ne m’amusais pas vraiment, mon mari semblait être en phase avec ce type, alors j’ai bu,
plus pour noyer cette soirée au début, puis je me suis quand même aperçu que ce petit con s’amusait à me remplir mon verre, sauf que j’ai mis
du temps à m’en rendre compte.
A la fin du repas, promenade dans les dunes ! Super, j’avais trop bu, en plus il fallait
marcher, cette soirée était plus que galère.
Personne n’avait remarqué mon état trop alcoolisé, sauf le fils qui matait mon décolleté
en souriant, descendant son regard sur mes cuisses sans aucune retenue.
Il faisait chaud, j’avais un top assez décolleté avec une petite jupe blanche légère et des
petits escarpins pas très hauts.
Mais me lever pour me taper 30 mn, voir plus de balade me paraissait difficile. Je simule un
coup de fatigue et décline l’invitation à la promenade, leur laissantentendre que je préférais rester ici pour me reposer.
Je m’attendais à une inquiétude de l’assemblée, mais pas du tout, ça n’avait pas l’air de choquer personne et encore moins de remettre en question la balade ! Pire encore, je m’attendais à ce que
la maitresse de maison, par politesse, reste avec moi, pas du tout ! Seule parole de soutien de notre hôte :
- Allez-vous allonger, vu l’heure vous n’allez pas rentrer ce soir, on a de la place, vous
dormirez dans la tente d’Alexandre, il dormira dans le mobil home avec nous, hein Alexandre ça te rappellera des souvenirs.
Moi gênée et pas du tout d’accord pour me taper un petit déjeuner avec eux, une soirée c’est
largement suffisant, je m’apprêtais à décliner son invitation quand mon mari me devance :
- C’est gentil à toi, ça m'évitera un retrait de permis, ils sont partout en été !
Ouhaou, et moi alors ? tout le monde se fout de mon avis !
Et ils prennent la direction de la sortie !!! Je me retrouve toute seule comme une conne, mais
pas vraiment seule, je vois Alexandre revenir. Il monte sur la terrasse
et me dit :
- Ca me saoûle les dunes, je préfère rester avec toi
Il me regarde avec un sourire moqueur, il est beau mec, mais je déteste son attitude.
Il s’assoit face à moi, me scrute de bas en haut avec un regard obscène et me dit :
- T’es vraiment fatiguée ou tu voulais être seule avec moi ?
Moi :
- N’importe quoi, tu te prends pour qui, tu sais très bien que j’ai trop bu, c’est
tout
Alexandre :
- Quand on ne sait pas boire, on évite … Bon on fait quoi tous les deux
Moi :
- Tous les deux, j’ai peut-être trop bu, mais faut pas rêver
Alexandre
- C’est toi qui rêve, pas moi, je suis sûr que tu me kiffes, hein ?
Il se prenait vraiment pour un dieu ce mec, il croit quoi, que je vais lui sauter dessus, il
m’énervait et je ne voulais pas poursuivre cette discussion.
Moi :
- Arrête tes bêtises, je vais aller me coucher puisqu’on dort ici, il y aurait une serviette
pour prendre une douche
Alexandre :
- Ouais, dans la salle de bain, viens je t’accompagne
Moi :
- Tu arrêtes maintenant, une serviette c’est tout, j’irai au bloc sanitaire, ok ?
Mon ton était ferme, il semble l’avoir compris, il rentre dans le mobil home, ressort avec une
serviette, la pose sur le dossier de la chaise, ainsi qu’un gel douche qu’il lance sur la table, visiblement vexé, et me dit :
- Tiens la voilà ta serviette, je vais sur l’ordi, vient pas me saoûler, tu as eu ta
chance
Et il rentre dans le mobil home en refermant la porte derrière lui. Pour qui il se prend ce
petit con !
Au moins le sujet est clos, je prends la serviette, le gel douche et me dirige vers les
douches du bloc le plus près.
La douche me fait un bien fou et me remet les idées en place. Mais au moment de me rhabiller …
C’est vrai je n’ais pas de rechange … je ne vais pas remettre les mêmes sous vêtements … de toute façon je vais me coucher après. Alors je
décide de ne remettre que ma jupe et mon top, mes sous vêtements cachés dans la serviette que
j’enroule. Mes seins pointent un peu, pas très discret, mais il fait sombre et malgré l’éclairage du camping, je n’ai pas des kilomètres à parcourir.
Je me dépêche, arrive à l’entrée de la tente, j’entre … le Bazar, des vêtements partout … bon
il ne me reste plus qu’à ranger tout ça sommairement pour pouvoir me coucher. Il me faut bien 10 mn avant de pouvoir y voir plus clair, ouf
c’est fini, je
tombe sur le matelas trop heureuse de pouvoir enfin m’allonger.
A peine allongée, j’aperçois furtivement Alexandre à l’entrée de la tente, à peine le
temps de le voir qu’il se lance sur le lit à coté de moi.
Je reste sur ma surprise, il se met sur le coté, et m’embrasse direct !!! Je n’ai même pas le temps de dire quoi que ce soit, que sa main soulève ma jupe ! Il se redresse
légèrement avec un sourire jusqu’aux oreilles, et me dit :
- T’a même pas de culotte, t’es une vrai petite cochonne toi
Tout se passe tellement vite que je ne sais pas quoi répondre, il me tétanise, non pas tout à
fait, pour être franche, je suis excitée par cette spontanéité et par lui.
Il se met à genoux sur le matelas, ôte son tee-shirt me regarde l’air vainqueur :
- Ca te plaît, hein, tu va pouvoir en profiter petite salope
Il est bien foutu, ça c’est sur, j’adore, je ne réponds toujours pas, bloquée par la situation. Il enlève son bermuda, toujours avec ce sourire suffisant, puis son boxer.
Il bande comme un taureau, une bite de belle dimension sans être énorme, mais bien droite et
dure. Il voit mon regard parcourant son corps et son sexe, il sait très bien que je n’opposerai aucune résistance, mon envie doit se voir
dans mon regard.
Alexandre ne perd pas de temps, il lève ma jupe, se couche sur moi et me prend sans autre
préliminaire. Je ne peux m’empêcher de sortir un petit cri de surprise et satisfaction, il accélère ses coups, se redresse un peu pour bien
apercevoir mon excitation à chacun de
ses coups.
Oui c’est un vrai petit con hautain et sur de lui, mais qu’est qu’il baise bien, il me fait
crier comme une folle, il ne peut s’empêcher de montrer son coté victorieux :
- Tu cries comme une vrai chienne toi, espèce de salope tu voulais que je te baise,
hein
Je me lâche enfin :
- Oui c’est bon, tu es beau Alexandre
- Je sais salope, soulève le haut, montre tes nichons salope
Je m’exécute immédiatement en lâchant un « oui »
- Tu cries toi, c’est trop bon, t’es en manque ou quoi
- Humm … Alexandre … baise moi … continuse... ouiiiiiiiiiiiiii
Il en peut plus lui aussi, je le sens, il ne parle plus, sa jouissance est au maximum, il va
venir, ces coups deviennent plus rapprochés, humm je viens aussi, ouiiii je jouis et au même moment je sens son sperme rentrer en moi, humm
c’est bon, il s’allonge sur
moi, je profite au maximum de cette jouissance en caressant ses fesses, son dos, c’est délicieux, je cherche sa bouche, je l’embrasse de toute mes forces le serrant contre moi …. Je suis aux
anges avec lui.
Tout d’un coup, des voix, non !!! Ils reviennent !!! Ils sont déjà là, j’entends le père
d’Alexandre dire :
- Elle doit dormir
Pas le temps de réagir que je vois mon mari à l’entrée de la tente, moi allongé sur le
dos, seins nu la jupe relevé sur le ventre, Alexandre à coté complètement nu !!! Il ne dit
rien, repart.
Pendant qu’Alexandre se rhabille, j’entends mon mari dire aux autres :
- Oui elle dort, je vais en faire autant
Alexandre sort discrètement en passant derrière le mobil home, personne ne s’étant inquiété de
son absence à lui, ils devaient le croire avec des copains.
Mon mari revient, il n’a pas l’air fâché mais surpris, il s’allonge à coté de moi, je ne sais
pas quoi faire, ne sachant pas qu’elle va être sa réaction, sa première parole :
- Il t’a baisé ?
Difficile de nier, même si je suis gênée, je ne peux que répondre « oui », ne cherchant pas
non plus à inventer des excuses à mon acte, je suis sa femme, c’est déjà assez humiliant pour lui, je ne vais pas en rajouter avec des
mensonges. Sa réponse était
inattendue :
- Tu as aimé ? Tu as joui ?
Je m’attendais pas à de telles questions, le ton n’est pas méchant, je dirais interrogateur
seulement, sans plus !!!
Moi :
- Heu oui j’ai joui
Mon mari :
- C’est le principal, il faudrait peut-être que t’aille prendre une douche, non ?
Il regardait le sperme qui coulait de mon sexe, je ne sais quoi lui répondre, je me lève en
attrapant la serviette que j’avais posée à coté du matelas, et là je l’entends
me dire :
- Eh ma chérie, tu ne m’embrasse pas ?
Je suis décontenancée, je me penche vers lui, l’embrasse et il me dit :
- Je t’aime
????? Si je m’attendais, il vient de me retrouver avec un mec qui venait de baiser sa
femme, et lui il semble content et me dit « je t’aime » !!!!!!!!!!!!!!!
Je rentre dans la douche, la tête toute retournée, je n’ai même pas pris le gel-douche, peu
importe, je reste sous le jet, je n’ai plus envie de bouger, j’essaye de me vider la tête et j’entends une voix qui m’appelle, c’est mon mari
?
Je réponds « je suis là »
Il me demande d’ouvrir la porte, c’est peut-être mieux, une réconciliation sous la douche je
sais faire, il va avoir le droit au grand jeu pour me faire pardonner, j’ouvre la porte, et là surprise, c’est Alexandre suivi de mon mari,
ils rentrent tous les deux, mon mari referme la porte derrière eux.
Heureusement que les douches sont grandes avec un premier espace permettant de se
changer. Mais je ne comprends rien, je vois Alexandre hyper détendu, il se met à poil, je
regarde mon mari et lui dis :
- C’est quoi ça
Mon mari :
- Il a le droit de prendre une douche lui aussi, on a discuté tous les deux, il m’a dit que tu
criais comme une vraie salope, je voudrais bien voir ça
Je n’ai pas le temps de répondre qu’Alexandre m’embrasse et me dit :
- T’inquiète, il veut voir sa femme se faire baiser
Et Alexandre me prend pour la seconde fois, debout dans la douche, appuyé à la paroi, je me
laisse faire fixant du regard mon mari, des petit cris sortant de ma bouche, ça semble l’exciter, il sort sa bite et commence à se branler,
Alexandre accélère en me traitant de salope malgré la présence de mon mari. Je ne veux pas prendre de plaisir
comme ça, pas devant mon mari qui se branle en me regardant me faire prendre, mais c’est plus
fort que moi, il baise bien ce petit con.
Je reste énervée par la vision de mon mari qui se branle en me regardant me faire baiser et
traiter de tous les noms, Alexandre semble stimulé par la situation, baiser une femme devant son mari, quel scénario excitant pour un type
comme lui persuadé d' être supérieur aux autres. Ces paroles le démontrent :
- Montre à ton mari comment tu jouis avec un vrai mec salope !
Ce n’est pas vrai, il m’excite ce mec, humm, mon mari est prêts à jouir, je vois son visage
béat nous regardant, les mots m’échappent :
- Tu ne sais que te branler
A mes paroles, Alexandre tourne la tête et l’aperçoit éjaculant au sol, il en rigole, se
retire, me retourne vers mon mari, mes mains tombent de chaque coté de la douche
pour me retenir, Alexandre appuie sur mon dos pour que je me cambre bien, je fais face
à mon mari tout penaud me regardant, et là je sens la bite d’Alexandre s’enfoncer d’un coup
violent dans mon sexe, m’enlevant un cri que je n’arrive pas à retenir.
Il me prend violemment, je pousse des cris de jouissance, il me lève la tête par les cheveux
en s’adressant à mon mari :
- Regarde-la ta femme, elle aime ça se faire baiser comme une chienne
Mon mari regarde, mieux encore il rebande, Alexandre en rajoute à chacun de mes cris :
- Branle toi, regarde comment je la baise ta femme
Il rajoute à mon intention :
- Allez salope, dis-lui que c’est bon, dis-le petite garce, je veux t’entendre lui
dire
Je regarde mon mari dans les yeux avec un certain dédain et je lui dis :
- Oui c’est bon Alexandre, baise moi bien, montre lui
Alexandre ne prend plus de ménagement, il me défonce littéralement la chatte, je crie comme
jamais, face à mon mari, je jouis devant lui comme la dernière des salopes.
Alexandre se retire, je suis exténuée, je m’asseois au sol, mais Alexandre n’a pas terminé, il
se branle face à moi et me gicle sur le Corps, j’en prends partout, sur les cuisses, le ventre, les seins, le visage …
Puis il regarde fièrement mon mari prêt à gicler pour la seconde fois, et lui dis :
- Tu ne veux pas me la nettoyer quand même
Je n’en croyais pas mes yeux, à ces paroles, le regard de mon mari s’est porté sur la bite
d’Alexandre et il a giclé !!!!!!
Alexandre a pris ses vêtements et est ressorti, nous sommes resté là comme deux idiots.
Mon mari s’est déshabillé, a allumé la douche et m’a dit :
- On en a besoin, non
On s’est douché tous les deux, on a fini par s’embrasser et se dire je t’aime, peut- être que
ce genre de situation nous permettra à tous les deux de faire face à notre problème sexuel.
__________________________________EPILOGUE___________________________________________
Au risque décevoir certains lecteurs, le début de l’histoire est réel, Je suis bien restée
seule avec Alexandre, il m’a bien fait du « rentre dedans », mais ça n’a pas été aussi loin, je n’ai pas couché avec lui.
Il me plaisait et m’attirait, j’ai fantasmé sur lui, d’ailleurs la suite n’est que mon fantasme sur lequel je me suis touchée avec plaisir en l’imaginant.
La dernière partie avec mon mari qui me surprend avec Alexandre et la douche est une petite
vengeance vis-à-vis de lui et les autres incapables de satisfaire leur femme comme de vrai mec. Depuis que je l’ai vu n’opposer aucune
résistance à cet inconnu qui s’est masturbé sur moi à la plage, j’avais envie d’être un peu plus méchante en secret avec mon mari.
C’est l’avantage de l’anonymat
moi je compte 4 gay passifs volontaires bien plus de baiseurs "prêts à se sacrifier"sans savoir à qui ils ont fait un bébé -lol- vidéo : cliquer sur la flèche ou, à défaut, sur l'image puis sur "lecture"
et les jockstraps s'entassaient à terre
on dit ça des marseillais...mais les napolitains pas moins et pas que les footballeurs, tous les mecs ...Pourquoi autant d'hommes se reniflent-ils les couilles ?
17 June 2016 // 14:04 PM Screenshot: Youtube
Même les hommes les plus élégants ont bien du mal à cacher le fait qu’ils descendent des primates. Dimanche dernier, l’entraîneur de l’équipe d’Allemagne Joachim Löw s’est longuement plongé la main dans le pantalon, avant de la renifler avec un plaisir non-feint. C’est un habitué de ce genre de comportements : il lui arrive régulièrement d’être filmé en train de manger ses crottes de nez, mais aussi de se renifler. Et manifestement, ça ne change pas au cours des grandes compétitions internationales.
L’attaquant allemand Lukas Podolski, en conférence de presse, est venu au secours de son entraîneur en se montrant franc et direct : « à mon avis, 80% d’entre vous se reniflent les couilles, et moi aussi d’ailleurs. Et c’est parfaitement ok ! » S’il le dit, c’est que ça doit être vrai.
Dans la foulée, il s’est passé deux choses. D’abord, une discussion sobrement intitulée « Pourquoi les mecs aiment se gratter les couilles et sentir leurs doigts ensuite ? » est apparue sur Reddit. Ensuite, on n’a pu que constater que les premiers résultats de recherche liés à Löw sur Google renvoyaient tous à cet épisode.
Il n’y a que les hommes qui aient une telle passion pour l’odeur de leurs propres parties génitales. Dans les discussions sur le sujet qu’on trouve sur Internet, les confessions s’accompagnent parfois de tentatives d’explication : « je me gratte les couilles, je sens, et comme ça je sais si je dois me laver », dit un homme, tandis qu’un autre avoue que « j’aime l’odeur, tout simplement ». Une autre explication assez répandue veut que les adeptes de cette pratique cherchent à s’assurer que « tout est bien en place. »
Au niveau scientifique, le sujet a jusqu’ici était plutôt négligé. Étonnamment, aucun chercheur ne s’est demandé quelle pouvait être la valeur heuristique de sentir notre propre corps, et il n’existe pas vraiment d’études sur le sujet. Il m’a fallu passer plusieurs coups de fil à des biologistes, des zoologues et des psychologues avant de finalement obtenir une réponse plus ou moins satisfaisante.
« Les hommes se reniflent souvent les mains, mais la plupart du temps ils ne s’en rendent même pas compte », explique le zoologue Konrad Lehmann, de l’université d’Iéna. Quand je lui rétorque que « moi, je ne le fais pas », il me répond sèchement : « vous en êtes sûre ? »
« Une étude a monté qu’après une poignée de mains avec une personne du même sexe, les hommes ont tendance à se sentir la main droite, alors qu’après avoir serré la main d’une personne de l’autre sexe ils se sentent plutôt la main gauche », poursuit Lehmann. On ne sait pas encore exactement pourquoi, sur le plan biologique, mais l’étude menée par les neuroscientifiques Idan Frumin et Noam Sobel l’interprète comme une forme d’auto-examen. Le fait qu’on sente plutôt la main inutilisée après avoir serré la main d’une personne du sexe opposé tient, selon les chercheurs, à l’exigence de découvrir avant tout les odeurs de notre propre sexe.
Une autre explication possible peut à l’inverse être exclue : dans la plupart des cas, le geste de se sentir les mains en lui-même n’a rien d’embarrassant, c’est scientifiquement prouvé. Il y a même de bonnes raisons de le faire sur le plan biologique. Se renifler la main, chez les êtres humains, participe de la connaissance de soi et permet de se prendre comme point de comparaison pour des situations et des rencontres futures. Se toucher les parties génitales sert à renforcer l’odorat, car c’est là (et sous les aisselles) que se trouve la majeure partie des glandes odoriférantes. Au final, les êtres humains se reniflent de façon plutôt intensive.
Du point de vue de la biologie évolutive, il y a même une autre hypothèse : « chez les primates, les odeurs servent à tester les affinités sexuelles. Pour un individu, sa propre odeur est une unité de mesure de celle de l’autre », explique Peter Kappeler, biologiste et anthropologue au centre d’étude des primates de Gottingen. « Celui qui connaît bien sa propre odeur peut plus facilement mesurer ses affinités avec les autres primates. » En revanche, Kappeler ne sait pas si cela vaut aussi pour les humains.
Il faut dire que par rapport aux autres animaux, les êtres humains n’ont pas un odorat très développé. Les odeurs ont toutefois une grosse influence sur nous.L'odeur des larmes des femmes par exemple, susciterait l’appétit sexuel des hommes, et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de la manière dont les odeurs agissent sur notre espèce.
Joachim Löw ne sait sans doute pas lui-même pourquoi il s’est touché les couilles avant de se sentir les doigts en plein match. Peut-être est-ce vraiment une habitude héritée de nos lointains ancêtres.
Grand classe !
passé dans "on n n'est pas couché "
tout ça ce sont des odeurs sexuelles...même les bébés le font et certaines mères -idiotes- leur tapent sur les mains
et pas que ses propres odeurs...
ludo (merci) : "moi mon copain de sexe il me touche l'anus et se sent les doigts avant de me baiser, j'ai toujours pensé que cette odeur l'excite! "
Aussi ça me gêne, mais je sais que quand j'ai mangé du poisson, ma bite peut sentir le poisson...ça vous arrête ? ...de poisson -lol-
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