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qui tient la cam ?
ils chuchotent de plaisir
- arrête tu vas me faire juter
- il est bon mon cul ?
- putain oui ! etc
IL VOULAIT ETRE NIQUE BARBACK...
pour sa fête c’est moi qui ai eu la surprise. Quant à la fête, on la lui a faite !
Il ne faut jamais rentrer à l’improviste chez soi, on ne sait jamais sur quoi on va tomber ! Je voulais faire une surprise à Céline (ma jeune femme
de vingt ans, nous sommes mariés depuis moins d’un an) pour sa fête et c’est moi qui ai eu la surprise. Quant à la fête, on la lui a faite !
J’arrive en avance et sans faire de bruit à l’appartement avec dans les mains le cadeau que je veux lui faire, une robe dont elle avait envie.
J’avance tout doucement dans l’entrée et j’entends du bruit, des voix ou plutôt des gémissements, des grincements. J’avance encore, ça vient de la chambre, puis j’entends très distinctement une
voix d’homme qui grogne comme :
– » Salope ! Putain. oh la salope !. je vais te foutre bordel. Je vais te défoncer le cul. » Et Céline qui râle :
– » Ouiiii ! ! ! Encoôôre ! ! ! Vas-yyyy ! ! ! Mets-moi tout dedans, je jouiiiis ! ! ! Ooooh ! ! !. Oh que c’est bon. Je jouis. Vas-y plus
fort !. »
La porte de notre chambre est entrebâillée et j’aperçois ma femme allongée sur notre lit, les jambes en l’air avec son cousin Julien qui se la tape
allégrement ! Et ils y vont les salauds, je suis juste bien placé pour bien voir ce qu’il lui fait : il lui fourre son énorme mandrin un coup dans le con, un coup dans le cul ! Et elle monte aux
rideaux, la pute ! Et je te la chevauche, et je te la baise, et je te l’encule ! Mais il va la défoncer, le pourri !
Je suis vert de rage mais je regarde et ça me fait drôle. Je la vois, avec son visage innocent de petite fille boudeuse, grimacer à chaque coup de
boutoir de son cousin mais je vois aussi son bassin aller au devant de sa bite et je l’entends. Je l’entends jouir, je l’entends lui hurler d’y aller à fond. Je la vois et ça me fait bander, j’ai
envie qu’il continue à la baiser devant moi. Il ne se gêne pas d’ailleurs, je me dis que je suis déjà cocu et ça me procure une étrange sensation pas déplaisante, plutôt de
l’excitation.
J’ai sorti ma queue et je me branle en le regardant aller et venir dans l’un ou l’autre de ses orifices C’est un monstre, le cousin Julien. Il
mesure au moins deux mètres pour une centaine de kilos tout en muscles, une brute, il me prend pour une tapette et m’appelle » ma chochotte » (ce qui me déplaît, quoique). Il a vingt
ans lui aussi et ils se connaissent depuis l’enfance. J’ai d’ailleurs pensé que c’était lui qui avait dépucelé ma femme mais non, d’après elle.
C’est lui qui s’aperçut de ma présence le premier, il me fit signe d’approcher et Céline me vit à son tour.
Elle eut un mouvement de panique mais elle était tellement au bord de l’orgasme qu’elle se laissa aller à sa jouissance devant moi pendant que
Julien éjaculait au fond de son con. Julien s’écarta sans un mot mais je bandais trop et j’avais envie et je l’ai pénétrée en m’enfonçant dans son vagin plein de foutre, puis j’ai changé de trou
et j’ai plongé ma verge dans son cul dilaté et j’ai déchargé.
à 19 ans, étais-je fou de ne pas vouloir montrer mon sexe à une femme !!!...
Appendicite en vue ! j’avais commencé à avoir quelques douleurs au côté droit de l’abdomen. Préparation avant l’opération cela nécessite un rasage de près du pubis.
....
L’aide soignante m’expliqua qu’elle allait devoir me raser avant l’opération. Moi, complètement crédule, je pensais qu’elle ne raserait que la région entourant l’endroit où on me couperait… Bref, pour moi, je ne pensais pas que cela irait très bas. Après m’avoir demandé de me mettre torse nu, elle ne put s’empêcher de faire une réflexion : « Il y a du boulot ! ». Elle me demanda alors de baisser mon pantalon. Je fus alors surpris car je pensais qu’elle ne devait raser que le haut du pubis. Je descendis alors mon pantalon de quelques centimètres, dévoilant un peu mon pubis mais prenant bien soin de
ne pas descendre trop bas. Elle me dit « Plus bas s’il vous plaît ». Je me sentis très mal à l’aise et je regrettai amèrement que ce ne fût pas un infirmier. Je baissais donc encore un peu plus mon pantalon, dévoilant la base de ma verge mais je ne voulus pas aller plus loin. L’aide soignante sembla gênée et me dit : « Baissez le complètement, jusqu’aux genoux, je dois tout raser pour l’opération. Il ne faut prendre aucun risque d’infection ». Désemparé, j’obéis alors à sa demande et je baissai mon pantalon de pyjama jusqu’aux genoux, dévoilant entièrement ma verge et mes testicules.
Je fus terriblement troublé, d’autant plus que je savais que j’avais des érections assez facilement, surtout si je me retrouvais nu devant quelqu’un (cela m’avait souvent joué des tours dans les vestiaires quand je faisais du sport). Je fis tout ce que je pus donc pour me contrôler. Elle commença alors son travail en me rasant le ventre et le torse. Le produit qu’elle utilise pour désinfecter brûlait énormément et d’une certaine façon, la souffrance me permit de mieux contrôler un éventuel début d’érection.
Si ça avait été un charmant infirmier, je crois que je n’aurais pas hésité à laisser mon sexe durcir complètement, mais là, c’était différent. Je n’aimais sentir les mains de cette femme toucher mon corps. Puis, elle attaqua les jambes jusqu’aux genoux. Finalement, elle arriva à la partie que je redoutais le plus. Elle commença d’abord avec mon pubis puis la base de ma verge. Elle dut la prendre plusieurs fois en main pour la changer de place ou pour mieux raser certains endroits. Mon sexe s’était un peu gonflé mais je réussis à contrôler, chose qui me paraissait incroyable… Puis, elle prit mes testicules et commença à les raser. Elle me dit « N’hésitez pas à crier si je vous fais mal ». J’étais terrorisé et je n’avais qu’une envie, que cela se termine. Je crois bien que cela a duré une bonne demi-heure… Ensuite, je pus enfin remonter mon pantalon de pyjama en attendant le départ pour la salle d’opération.
Arrivé en salle d’opération, je fus entouré de quatre personnes. Trois hommes et une femme. Je supposais qu’il devait y avoir l’anesthésiste et le chirurgien.[ le vêtement qu'on me fit porter ne cachait rien de mon anatomie...] La piqûre qu’on m’avait faite avant d’arriver en salle d’opération me faisait pas mal planer et fort heureusement, cela me permit de ne pas trop être gêné de montrer mon sexe désormais dénué de poils. Puis on m’endormit…
[ je n'ai aucun souvenir de mes rêves pendant l'anesthésie, pourtant j'ai une idée car le jeune anesthésiste, avant d'injecter le produit dans le cathéter me dit : " allez maintenant dodo, faites de beaux rêves..." Je crois que c'est de lui que j'ai pu rêver ]
Je me retrouvai ensuite en chambre quelques heures plus tard. Mon pyjama couvrait de nouveau mes parties intimes et durant les jours qui suivirent, je fis tout pour faire ma toilette moi-même. Je ne voulais pas qu’on me lave à cet endroit là… Et je ne voulais pas de nouveau montrer mon sexe à une femme…
Le chirurgien est passé le lendemain en sa compagnie. il a relevé le drap...bien sçur j'étais rouge... Se foutantpas mal de ma nudité et de ma gêne, ils me demandèrent "si j'avais des gaz" ...fou non ! J'aurais pas voulu aborder ces questions avec le choupinou-anesthésiste...
Je suis désormais attiré par les blouses vertes et
ah jouer au docteur(gay) avec l'interne ! (
(craquant celui-ci, n'est-ce pas ? )
attiré également par les gants de caoutchouc
est-ce qu'un docteur fait ça ?
Etes-vous sûrs qu'un docteur fait ça ?
pas de problème si je devais confier mon cul à ces mecs...
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