Dimanche 29 mai 7 29 /05 /Mai 05:34

 J’ai commencé à délirer grave. J’avais dans la tronche les visions les plus hardos, de mecs poilus quand soudain...-"désir accompli, je suis la Fée Clochette!"

Ça sentait fort, mais pas dégueu...(journée du sniff oblige...)

 

 

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J’aime bien baiser dans la nature !

 

http://www.gai-eros.org/w/index.php/_L'%C3%A9clate-cul_du_Lub%C3%A9ron  

Je n’ai pas tout le temps envie de sauter un trou ou de me faire entuber, mais quand ça me prend, je suis prêt à toutes les expériences. J’aime le hard, la vulgarité, la déprave quand je suis en chaleur. Ne comptez donc pas sur moi pour vous faire de la littérature. Garez-vous, car vous allez prendre une giclouse en pleine gueule à lire trop près!

Me décrire vite fait: trente ans, boule à zéro, 1m73 pour 65kg, beau petit cul rond, chatte ouverte, bite de dix-sept, toujours suintante de jus, musclé en salle, yeux noirs, comme mes poils, que je rase au cul et aux couilles. Ça vous va? C’était en juillet, près de Lourmarin, au pied du Lubéron, où je prenais deux semaines de vacances chez ma sœur. Région superbe, soleil, calme, mistral aussi. Et puis Aix et même Marseille, en bagnole, c’est vite fait, et là, on peut trouver du mâle en cas de besoin urgent.

Ça faisait quatre jours que j’étais là, à rien foutre, à me la couler douce, mais je commençais à avoir envie de tringler un minou. J’étais parti me balader sur la crête du Lubéron. Là-haut, c’est génial, on voit loin, les cèdres rabotés par le mistral, les buissons arrondis... Ça m’a pris. Fallait que je me pogne. L’envie de me purger, de me l’essorer, j’avais rien d’autre sous la main que la “Veuve”. Je me suis écarté de la route, serpentant entre les épais buissons ronds sur le versant sud. J’aime bien m’exhiber, mais pas devant n'importe quoi! Putain, la gaule. J’étais en bermuda lycra noir Nike, sans slip. Devant, c’était une vraie toile de tente. Je me suis assis contre un arbre et j’ai fermé les yeux en commençant à m’astiquer le jonc. Ça suffisait pas. Ça devait être la chaleur, mais moi j’étais en plein rut, l’envie démente de me faire éclater la chatte par un beau membre noueux, l’envie d’en sucer une belle, de me faire claquer le cul! Je me suis allongé au soleil, à me branlotter et à me chatouiller les pointes avec des doigts mouillés de salive, les jambes très écartées. J’ai commencé à me doigter le fion. Il avait envie d’un manche, tellement ça s’est ouvert vite! À côté de moi, il y avait des buissons piquants dont je ne sais pas le nom. Ça m’a donné une idée salace, plutôt SM. J’en ai cueilli une branche, et j’ai commencé à m’en caresser doucement les yecous. Le putain de pied! C’était bon, on aurait dit une barbe d’un mâle, d’une bête sauvage en train de me renifler les valseuses.

J’ai commencé à délirer grave. J’avais dans la tronche les visions les plus hardos, de mecs poilus, fous de désir, en train de s’enculer en criant, de se fouetter, de s’attacher, des bites, des grosses teubs au méat ouvert, envoyant des litres et des litres de purée d’homme dans des gueules extasiées! Comme je vous le dis. Je me suis mis à parler tout seul en me tortillant comme une femelle insatiable: “Ouais, je veux un mâle, j’ai envie de me faire sauter, bordel, une grosse pine dans le fion, me faire niquer à mort...”

— Et ma pine, ça t’irait?

Mordu par un cobra, ça n’aurait pas été pire. Surprise totale. Je me suis retourné, au bord de la panique. Un mec était là, la braguette ouverte, la teub à l’air, en train de ricaner.

— Dis donc, je croyais que t’avais envie de t’en prendre une, c’est pas ce que tu disais? Tu vois, désir accompli, je suis la Fée Clochette!

Ça m’a fait rigoler. J’ai évalué la bête comme nous autres experts en mecs savons faire, en un clin d’œil. Massif, large, musclé, un peu bedonnant, dans les quarante-cinq, sanguin, pas très beau de gueule, très bronzé, très brun, grosse moustache. Et la pine, vous allez me dire? Un gros boudin veineux, gros gland large en corolle, bien dur, bien raide. Tant pis pour la gueule, il avait l’air trop mâle pour que ça ne me fasse pas mouiller de désir.

— Alors, ça y est? T’as fini d’évaluer la marchandise?

— Généralement, c’est moi qui choisis! OK? Et j’ai choisi...

Afin de le démontrer, je me suis jeté sur son gros pieu. Slurp, slurp, la bonne friandise! Ça sentait fort, mais pas dégueu. Juste ce qu’il fallait pour m’électriser les sens. Ah, l’odeur du mâle en rut, rien de tel pour démarrer la machine à jouir! Je suis un bon pompeur, je sais bien vidanger les burnes les plus rebelles. J’y vais des lèvres, de la langue, je m’enfonce le morceau gorge profonde, je taquine le gland, je suçote, j’aspire et je salive bien tout le manche avant de m’attaquer aux valseuses velues, humides de sueur. D’ailleurs, les compliments n’ont pas tarder à fuser: “Saloooope! Tu suces mieux qu’une pute! Tu devrais donner des leçons à ma morue de bonne femme! Elle a jamais fait la différence entre un braquemart et une banane!” J’étais fixé, c’était un hétéro en manque de, disons de “tendresse”, et qui ne crachait pas sur l’occasion, même si c’était un mec. Je me doutais bien, que pour me renvoyer la politesse, ça serait ceinture. Monsieur allait se faire vidanger, mais moi, je serais obligé de me palucher pour me faire du bien. Bon, j’avais le fion qui me démangeait, ça tombait bien. Et puis, du foutre d’hétéro, ça se refuse pas!

Pour l’instant, ma bête était en train de gémir et de m’appeler de jolis noms d’oiseaux en m’imposant son rythme d’une poigne décidée sur mon crâne rasé. Il était vraiment du genre primate, à peine humain, j’exagère à peine. Et ça m’excitait! Rien, pas une once de raffinement, il voulait tout me lâcher, un point c’est tout. Je me suis relevé d’un coup:

— Et mon cul, t'as pas envie d'y fourrer ta viande, gros porc? Je lui ai dit en écartant mes demi-lunes.

— Sale morue, t'as envie de te faire enfiler, hein? Je m'en vais te fourrer le boyau, ma salope!

— Ouais, mais avant, préso! OK?

Il a dû croire que je parlais martien, jusqu’à ce que j’enveloppe moi-même sa pine d’une capote. Vraiment con, le mec! Pas plus de 60 de Q.I., et encore... J’ai craché dessus un bon paquet de salive, je me suis arc-bouté à un arbre, bien cambré, et je lui ai précisé:

— T’y vas mollo, un cul, c’est pas une chatte! T’as pas envie qu’on m’emmène aux urgences?

Il était peut-être con comme un manche, mais son manche, il savait s’en servir! J’ai été baisé comme une reine, limé dans les règles de l’art. Il a pris son temps, c’était pas un précoce qui vous gicle la sauce dans les trente secondes! Moi, je me branlais d’une main en même temps. Il m’insultait, mais j’arrivais à toujours trouver plus salace à lui dire. Quand il s’est mis à accélérer, en sortant de plus en plus sa pine pour me la rentrer bien au fond du bide, j’ai senti que j’allais me payer un orgasme de première. Il soufflait dans mon cou, c’était bon, j’étais secoué comme un pantin. J’ai joui brutalement contre le tronc de l’arbre, hors de moi. Ça m’a fait me contracter et me distendre le sphincter en saccades autour de son pieu. Rien de tel pour faire cracher un mec, ce qu’il a fait en braillant.

Il a déculé aussi sec, il a retiré la capote: c’était plein à craquer! Ah, il avait besoin de se les vider depuis un bon paquet de temps, faut croire! Il a jeté ça par terre, et il est parti aussi sec en se rebraguettant. “On dit merci!”, je lui ai lancé. Mais bon, j’avais eu ma dose, je m’étais bien éclaté. Ah, ces maris mal baisés!

épilogue :

[en Luberon,] Lorsque vous vous branlez dans la nature et que vous vous croyez bien cachés, regardez bien derrière chaque arbre s’il n’y a pas un mec en train de mater, et s’il y en a un, gueulez à pleins poumons qu’il vous faut une pine! C’est le conseil d’un vicelard.

 

 

Par MAURICE02013 - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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