[dans ce délicieux accent] Alain me dit : "Si je te disais que j'ai le goût de voir ce que c'est avec un autre gars, ... ?"
les 24 h de sodome & gomorrhe -lol-
dans la multitude québécoise les élèves coquins du CEGEP*
ce texte a été coupé en sorte qu'après avoir profité des illustrations, tu aies envie de le lire sur le site ci-dessous :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Alain,_ligot%C3%A9_et_soumis_au_plaisir
Mon récit est authentique et n'a rien à voir avec la fiction. C'était en 1985. J'étudiais au Cégep de St-Laurent, au nord-ouest de Montréal, et je
m'y étais affiché sans gêne comme gay, et j'étais même membre du comité gays et lesbiennes du Cégep. Plusieurs filles étaient surprises par cela, car j'avais l'air plutôt hétéro, et ça les
décevait car elles me trouvaient plutôt de leur goût.
Tout a commencé en septembre, dans la première semaine de ma deuxième année au Cégep. J'ai découvert qu'Alain M. était dans mes classes d'éducation
physique et de français cette session-là. J'avais connu Alain l'année précédente. Comme moi, il avait alors 18 ans. Il était la coqueluche des filles, et était réputé pour ses aventures avec
plusieurs d'entre elles. D'ailleurs, 2 parmi mes copines du Cégep avaient avoué avoir baisé avec lui au printemps dernier, et il était selon elles un excellent et superbe baiseur. Pourtant, Alain
était un gars absolument pas prétentieux, ni arrogant. Il était très simple, ne cherchait pas à se faire remarquer, et il y avait même chez lui un brin de timidité. Mais il faut dire que son
physique était des plus avantageux : 5'10", environ 170 lbs, Alain avait un corps solide et peu poilu (ce que j'ai pu découvrir dans le vestiaire avant les cours d'éducation physique), avec
des épaules, un torse et des cuisses de nageur. Le regard un peu brumeux à travers ses yeux bruns, des cheveux brun foncés et mi-longs, il était tout simplement irrésistible, et j'ai fantasmé sur
lui dès que je l'ai connu.
Mais bien sûr, à cause de sa réputation de tombeur de filles, j'avais la certitude qu'il était inaccessible pour un gay affiché comme moi. Nous
parlions ensemble de temps en temps, il était même sympathique avec moi et le fait qu'il savait que j'étais gay ne le dérangeait pas du tout. À ce sujet, il me disait que pour lui, il faut "vivre
et laisser vivre". D'ailleurs, je l'aidais parfois dans les cours de français, qui était sa matière faible.
À la troisième semaine de la rentrée au Cégep, Alain me demande de lui donner un coup de main dans les exercices devant préparer à un examen de
français. Bien sûr, j'accepte volontiers. On se donne donc rendez-vous pour le même jour, à l'heure du lunch. Ce moment arrivé, on travaille durant une heure sur la matière des cours, puis Alain
me demande subrepticement si je voudrais prendre une bière avec lui, après les cours, pour jaser un peu plus. Un peu surpris mais enchanté en même temps, je lui réponds positivement.
Alain m'attend comme convenu à la sortie des cours, à 17h30. Je me demandais bien pourquoi il voulait qu'on "jase un peu plus", mais honnêtement, je
n'avais pas même osé penser à ce qui s'est effectivement déroulé durant la conversation qu'on allait avoir. Dis moi où, quand, comment, je
suis ton homme. Je veux juste essayer par curiosité, mais n'en parle pas à personne de ce que je te demande en ce moment, ni si on fait quelque chose ensemble." Un peu gêné au début, j'assure
Alain que je serai très discret, mais je lui dis que ça me fait hésiter, car je m'entends bien avec lui et que je ne voudrais pas que si on fait quelque chose ça nuise à notre relation amicale.
Alain m'assure que ça ne nuira à rien, et me répète : "Dis moi où, quand, comment, je suis ton homme". ...Pour
surmonter mes doutes, je téléphone à Yves, un ami gay du Cégep mais qui, lui, n'est pas affiché comme tel, afin de lui demander conseil. Yves a 22 ans, et est encore plus expérimenté que
moi, alors je me dis qu'il m'aidera bien à voir quoi faire. Yves sourit et me dit : "C'est pas compliqué, tu vas voir.
Pour initier un gars hétéro, ça peut être une bonne idée de faire ça comme si on le kidnappait. Bien sûr, ça doit être volontaire de sa part et il doit jouer le jeu. L'idée est
qu'il se déshabille et se mette en caleçon. Après on l'attache, et puis il n'a qu'à se laisser faire. Une fois attaché, il ne peut plus rien faire, et il est comme notre étalon. Il plonge en se
laissant attacher, puis il a ensuite juste à boire la tasse au complet. Ça peut paraître un peu flyé, mais ça peut être pas mal trippant, pas juste pour nous mais surtout pour Alain s'il est
d'accord."
Je réponds que l'idée me semble super, mais il faudra vérifier si Alain veut, premièrement, qu'un autre gars soit dans le coup, et aussi jouer le
jeu d'être kidnappé. Je téléphone tout de suite à Alain et lui demande ce qu'il en pense. Alain éclate d'abord de rire, puis il me dit : "Ouais, c'est vraiment flyé ! Mais ça a l'air
pas mal cool. C'est qui l'autre gars ?". Je lui réponds qu'il ne peut pas le savoir, et précise même que si on le fait, il devra avoir les yeux bandés pour ne pas le reconnaître. ...
Alain me dit: "OK ! C'est pour quand ?" Je lui réponds que je le lui dirai dans les prochains jours, le temps de préparer
notre plan.
Dès que je raccroche, Yves et moi sommes fous de joie. Yves me dit qu'on peut très bien faire ça chez lui, dès le vendredi soir de cette même
semaine. Il habite seul dans une maison semi-détachée comprenant un sous-sol, ce qui convient parfaitement. Il n'a qu'à acheter de la corde et à installer quelques petites choses, et ça y est. On
se donne donc rendez-vous pour vendredi soir chez lui, tout en nous promettant de nous téléphoner régulièrement pour préparer les détails de notre plan de "kidnapping".
je rencontre Alain au Cégep et lui annonce que c'est pour vendredi soir, soit le surlendemain. Je lui donnerai plus de détails
plus tard sur ce qu'il devra faire dès le début de son "kidnapping". Alain a l'air plutôt amusé par tout cela, et il se dit totalement disposé à faire tout ce que je voudrai qu'il fasse. Je
conviens avec lui que le jour même de son "kidnapping", il en saura un peu plus long.
Entre temps, Yves et moi nous préparons fébrilement. Il ne nous faut que peu de temps pour tout mettre au point. Le vendredi arrive, et je rencontre
Alain en début d'après-midi et je l'invite à prendre une marche dehors sur le terrain du Cégep. Je lui donne l'adresse d'Yves (il ne savait pas qu'Yves habite à cette adresse et il ne le connaît
que plutôt vaguement). Puis je lui explique qu'une fois arrivé, il ne doit pas dire un mot et rester en silence. Tout ce qu'il doit faire est d'arriver à cet endroit à 22h pile, de sonner, et ce
sera moi qui lui ouvrirai la porte. Il devra entrer à reculons sans tenter de regarder derrière lui, et c'est à partir de ce moment qu'il sera "kidnappé". Je précise qu'à cet instant je lui
banderai les yeux car il ne doit pas pouvoir voir mon comparse ni savoir chez qui il se trouvera, et qu'il sera aussi attaché juste avant d'être emmené dans la pièce où il sera maintenu en
captivité. J'insiste encore sur le fait qu'il ne doit pas dire un mot quand il arrivera, et qu'il doit faire tout ce qui lui sera demandé sans poser de question.
Je demande à Alain si tout ça lui convient et s'il comprend ce qui est attendu de lui. Il me répond en riant : "OK, pas de
problèmes ! Je serai là puis vous n'aurez qu'à m'enlever ! C'est juste drôle de savoir que je vais me faire enlever volontairement !" Nous nous quittons alors, non sans
que je lui rappelle d'arriver bien à l'heure.
En début de soirée, je me rends chez Yves pour l'aider dans les derniers préparatifs. Puis nous n'avons plus qu'à attendre l'arrivée d'Alain. Quinze
minutes avant l'heure prévue, je me mets à guetter par la fenêtre. Et quelques minutes avant 22h, j'aperçois enfin la voiture d'Alain. Il se gare près de la maison, puis je le vois approcher à
pied. Il est vêtu d'un t-shirt blanc, d'un short bermuda et d'espadrilles, sans chaussettes. Je me dirige vers la porte, puis j'attends qu'il sonne.
Dès que la sonnette retentit, j'ouvre la porte. Tel que convenu, Alain a le dos tourné et, sans dire un mot tel que je le lui avais consigné, il
entre à reculons, pour qu'il ne puisse pas voir Yves. Je l'arrête après quelques pas et le maintient dans l'entrée. Je referme la porte et je lui bande aussitôt les yeux avec une bande de tissu
blanc. J'avais en fait découpé un vieux t-shirt blanc pour fabriquer ce bandeau. Maintenant, il est certain qu'Alain ne verra pas le visage d'Yves, et nous pouvons passer au reste.
Je dis à Alain qu'il doit maintenant se mettre en caleçon, en précisant que c'est le seul vêtement qu'il pourra porter le temps qu'il est avec nous
et que ses autres vêtements seront confisqués sous clé. Toujours silencieux, Alain s'exécute sans rechigner. Il retire son t-shirt et ses espadrilles, puis il défait le bouton de la taille de son
bermuda et il fait glisser celui-ci le long de ses jambes, pour ensuite lever chacune de celles-ci pour dégager ses chevilles. Yves prend les vêtements d'Alain au fur et à mesure que celui-ci les
enlève, pour les ranger plus tard dans une armoire verrouillée.
Le corps d'Alain est tout simplement superbe en petit caleçon. C'est en fait un slip bleu marine, d'allure très sexy et ayant la
même forme qu'un maillot de bain Speedo, enveloppant et se moulant parfaitement avec ses fesses et son sexe....Alain est toujours calme et
silencieux, et il coopère volontiers en prenant soin de maintenir ses poignets dans cette position jusqu'à ce qu'ils se maintiennent fermement l'un sur l'autre par la corde qu'Yves enroule autour
d'eux et qui se resserre de plus en plus fermement. Puis, d'un geste sec, Yves fait un nœud final.... C'est sûr qu'on a le goût de profiter
de ton corps maintenant, mais c'est mieux si on te laisse prendre le temps de bien sentir ta condition de captif. ......nous le guidons à l'étage du dessus. Bien entendu, le fait que ses yeux étaient bandés fait que monter l'escalier est aussi laborieux que quand nous
l'avons fait descendre.
... une chaîne, cadenassée à un crochet vissé au plafond, et à l'autre bout de laquelle il a pu cadenasser le collier de
cuir qu'Alain porte au cou. ...
Je m'allonge le long de son corps et, doucement, je caresse d'abord son torse imberbe mais aux formes si viriles, et palpe ses épaules fermes et sa
nuque solide, pour ensuite caresser à deux mains sa chevelure épaisse. Je sens son corps comme étant pleinement mien, il est mon objet, mon jouet dont je peux me servir à ma guise. Sublime
sensation que celle-là, jusqu'alors inégalée. C'est alors que je découvre combien il est bon de caresser un gars ligoté : je sens avec délices le corps d'Alain se tortiller sous mes
caresses, subissant la contrainte que lui imposent les liens qui maintiennent ses poignets au bas de son dos et ses chevilles réunies. Je me sens ainsi pleinement en contrôle d'Alain et en
possession de son corps ligoté. Cela me rend généreux sensuellement, et la privation de mouvements que lui imposent les cordes qui lui lient les poignets et les chevilles se traduit en moi par un
élan consacré à lui donner les plus exquis plaisirs, en d'autres mots de lui procurer une jouissance digne de le faire monter au septième ciel.
Je mordille légèrement ses oreilles et embrasse son cou. Et, peu à peu, je commence une longue descente à coups de petits baisers le long de son
torse, donc vers l'objet de ma convoitise qui, sous le petit caleçon, laissait deviner sa forme déjà raidie par le désir. Mes lèvres s'attardent alors autour du nombril, donc à quelques
centimètres à peine du but ultime. Puis je poursuis bien lentement ma descente vers le caleçon et son attrayant contenu. Après tout, ligoté comme il l'est, il ne peut que se contenter d'attendre
et de recevoir...
J'effleure du bout de mes doigts le long des contours de la taille et des cuisses de son caleçon, tout en contemplant la forme du sexe d'Alain sous
le tissu bleu foncé. Le toucher du tissu doux et soyeux est une sensation bien agréable. Puis, je pénètre mes doigts sous l'élastique de la taille du petit caleçon de chaque côté des hanches
d'Alain, j'attends quelques secondes et, d'un geste sec, je baisse le caleçon jusqu'aux genoux. Le sexe d'Alain, maintenant entièrement offert à ma vue et raide de désir, me parait si beau et,
admiratif, je ressens à nouveau, mais encore plus intensément, qu'il mérite ma bouche. Je le caresse d'abord délicatement. La fermeté, la douceur et la chaleur du membre me sont fort agréables.
J'entends Alain pousser un premier mais faible gémissement.....
C'est à cet instant précis que je décide que le moment est venu de goûter le fruit de ma convoitise. Gardant une main sur le
membre d'Alain, ...Attentif aux réactions d'Alain, dont le corps se tortille de nouveau pour tenter de se libérer de ses liens, et dont la
respiration haletante exprime l'intensité de la jouissance qu'il "subit", je ressens toute la signification de "jouir du temps présent". ...Alain, dont les gémissements s'accentuent et la respiration devient de plus en plus saccadée, se cambre et est tendu par ses liens. Vraisemblablement, Alain
s'efforce de concentrer toute sa prodigieuse énergie à jouir du plaisir dont ma bouche le gratifie. Plus ma bouche s'active, plus je sens les chevilles et les bras d'Alain se tortiller pour se
défaire de leurs liens. De mon côté, la sueur envahit mon visage, sous le coup des efforts attentifs par lesquels je lui prodigue le plus intense des plaisirs. Avec les gémissements de plaisir
qu'Alain fait entendre, je constate que je me débrouille fort bien dans cette exquise tâche.
J'intensifie la "torture" qu'impose à Alain .... : "Franchement, jamais une fille
ne m'a fait ...Y a rien qui peut se comparer à ça."
J'ai dit à Alain que pour moi aussi, c'était très bon. Il a rit un peu, mais je peux voir son visage s'empourprer, peut-être parce qu'il prend
conscience du fait qu'il s'est de lui-même livré (pieds et poings liés) à un autre gars. Je lui annonce qu'il mérite maintenant un peu de repos, et que j'allais le laisser seul pour qu'il dorme
un peu, et qu'après, ce serait Yves qui viendrait prendre soin de lui. Alain sourit en entendant cet euphémisme mais ne dit mot, fidèle en cela à la consigne du silence à laquelle il est tenu.
...il a adoré jouer le jeu. Alain est ensuite retourné chez lui, non sans me remercier avec insistance de lui avoir fait vivre une telle
expérience.
Par la suite, Alain et moi sommes restés très bons amis. .... je lui étais reconnaissant de m'avoir fait confiance et, bien sûr, d'avoir pu
profiter de son corps superbe.
Tenté ? va sur :
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Alain,_ligot%C3%A9_et_soumis_au_plaisir
Pascal et yves sont -ils allés assez loin avec leur "victime" consentante ?
cavaillongay aurait une autre idée pour initier un hétéro ligoté et consentant
a-t-il eu le doigtage qu'il méritait ?
Alain n'a même pas eu droit à une pénétration...
lécher...et par force au
départ...
puis il y prend goût
avaler ça fait partie des réjouissances de nous autres gays...
lui faire voir que c'est nous qui maîtrisons son plaisir...
faire en sorte qu'Alain en redemande...
le mener au point qu'il la demande en implorant, la bite...
ne pas pouvoir s'opposer ou résister c'est bon ...
alterner les plaisirs...
faire mesurer à Alain tous les calibres ! par la bouche
et par le cul ...
observer sa gueule quand il se prend de bons coups de bite...
le plonger dans une extase irrésistible
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