Mercredi 6 janvier
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"ze" Chef-Scout est un expert en branle !...
— Parfait, me dit-il, ça te va plutôt bien. Ne t’inquiète pas, ici c’est une vie dans la nature, on est entre nous, entre scouts, naturellement et
sans tabou.
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Trois_semaines_dans_un_paradis_scout_(1) (& suite 2 )
— Tu es vierge?
— Oui, mais pas trop innocent, j’aime aussi mater et toucher!
— OK OK!
Il se leva et enleva son short et le posa sur le banc, il bandait très fortement il s’approcha de moi et me dit: «Laisse-toi aller.» Il trouvait le
ton et les mots qu’il fallait pour avoir une parfaite confiance,
Sa main se posa sur ma grosse bosse et il commença à me masser doucement. J’étais surpris, je le laissais faire grisé par ses mots et sa
délicatesse. Il posait la main la où il fallait. Quelle connaissance avait-il pour toucher très rapidement les points sensibles! Mon cœur battait très fort à présent, ses caresses étaient si
douces et si précises. Il commença à travers le short à me masturber en appuyant un peu sur mon gland d’un geste de la paume de la main qui partait du bas vers le haut. J’étais vraiment dans tous
mes états, incapable de sortir le moindre mot. Il prenait du temps, il appuyait là où il fallait et je sentais au bout des quelques minutes, des bouffées de volupté m’envahir. Mes fesses se
serraient, mon anus se tendait dans des contractions agréables.
Je me redressai un peu, il me regarda avec un très grand sourire sans rien dire non plus. Il bandait très fortement aussi, son gland était
maintenant complètement décalotté. Il se redressa un peu, moi j’étais sur le banc à moitié avachi. Il attrapa les bords de mon short et commença à le baisser en douceur. Pleinement consentant, je
levai mes fesses pour laisser passer l’élastique.
François était un expert en matière de masturbation! Il commença à me masturber à un endroit dont j’ignorais le plaisir que cela provoquait. De sa
main gauche il me massa entre les couilles et mon anus avec une douceur et quelques petites pressions du bout des doigts, tandis que sa main droite me massait le gland en profondeur qui tantôt il
pressait un peu, tantôt décalottait. Des bouffées très puissantes me venaient à présent du bas-ventre, un truc que je n’avais jamais connu. Je sentais monter le plaisir, et il me dit:
"Détends-toi bien et surtout laisse venir!" Cette très longue et lente masturbation me faisait connaître un orgasme lent et très progressif, complètement inconnu. Je me sentais très humide, je
mouillais je pense...
François se touchait aussi de temps à autre, je le regardais faire de temps en temps. Il commença à accélérer un peu le mouvement en massant très
fortement la base de ma queue et entre mes couilles. Je sentis monter un très très violent orgasme suivi de spasmes absolument incroyables qui venaient de l’intérieur, mais sans éjaculer. Je
poussais maintenant des petits râles et je sentis à ce moment la chaleur de mon sperme m’envahir le torse et le bas-ventre. Mon sperme me tombait dessus à grandes giclées, comme de grands traits
lourds qui s’abattaient.
Jamais je n’avais joui autant et éjaculé autant de sperme. Moi qui à 19 ans me croyais un expert en branlette, j’avais devant moi un mec qui m’avait
littéralement vidé. Les spasmes se calmaient maintenant, il ne sortait de toute façon plus rien, juste quelques spasmes secs continuaient un peu. J’étais couvert de mon sperme, hagard, complément
abruti, sans mot, vidé, fatigué brutalement. Mon sperme s’égouttait vers le bas et ruisselait maintenant.
François éjacula aussi seul, presque sur moi, une main posée sur mes fesses qu’il caressait, écartait, palpait, passait ses doigts... Il se vida
aussi et me regarda en me disant: «Tu vois, c’est un plaisir immense de faire ça à 2...» J’étais sans voix, je récupérais d’un truc complètement inouï; même ma première branlette ne m’avait pas
fait autant d’effet. Jamais on m’avait touché le trou du cul, je crois même que je n’aurais jamais laissé faire, trop de tabous, mais lui c’était passé tout seul en quelques mots.
François se leva et remit son short avec le sperme, sans même prendre la peine de s’essuyer. Je fis pareil d’ailleurs, moi qui étais si
soigneux.
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Jamais je n’avais joui autant et éjaculé autant de sperme. Moi qui à 19 ans me croyais un expert en branlette, j’avais
devant moi un mec qui m’avait littéralement vidé.
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