entrée dans le nirvana 1.
Inédit et c'est à suivre ...
LUI--- Son air à la fois sévère et doux m'envoyait des décharges dans le plexus solaire qui se répandaient dans mon ventre jusque dans mon sexe. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi. Seule l'existence d'un fluide chamanique ou magique pourrait l'expliquer. Il y avait aussi son odeur. Non, je
devrais dire parfum, mais ça émanait directement de lui, aromatique.. et strictement humain.
MOI Cette musique et ces paroles me
hantaient : «J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se referment
Elle me dit "quel étage" et sa voix me fait quitter la terre ferme
Alors, les chiffres dansent, tout se mélange
Je suis en tête-à-tête avec un ange
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls dans cet ascenseur
Elle arrange ses cheveux, j'ai le coeur juste au bord des yeux
Et sans la regarder je sens la chaleur d'un autre langage
Alors, les yeux rivés sur les étages
Pourvu que rien n'arrête le voyage
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls dans cet ascenseur, dans cet ascenseur
J'arrive à me glisser juste avant que les portes ne se referment
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls dans cet ascenseur, en apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures, en apesanteur
Pourvu qu'on soit les seuls dans cet ascenseur »*
Et c'est autant un souhait qu'une crainte
Depuis, chaque nuit, je fais des rêves étranges. Des rêves érotiques comme je n’en avais jamais fait. Des sexes d’homme au repos. Je les
caresse pour les faire bander et chaque fois, alors que je vais pouvoir les faire me pénétrer, le sperme jaillit et s’étale en flaques inutiles. Je crie : « Un enfant, faites-moi un
enfant ! » Lancé, je crie maintenant de peur et de plaisir. Allez plus loin.
LUI «- Plus loin mon
enfant ? Comment ça ? » .
MOI « - Tout ! j'accepte tout, je veux tout...toute la longueur ! je veux savoir ! »
LUI « - Pourquoi veux-tu savoir ? . tu te souviens
du plaisir que tu as eu de nos fantaisies et tu veux y regoûter n'est-ce pas...en mieux...en plus fort en plus vrai, n'est-ce pas ? tout de suite... ou dans un proche avenir,n'est-ce pas ?
». Sa voix suave et chaleureuse se grave directement dans mes tripes..
« - Oui, tout ! »
« - même l'inconnu, le "jamais atteint" ? même celui que n'approuveraient pas vos parents ? »
« - Oui, tout ! tout ! tout ! » Maintenant je suppliais.
Ma mémoire rejetait le souvenir de mes angoisses
passées, des mauvaises pensées à des conséquences indésirables...
«- Il va falloir bien du gel ...et respirer à fond ....les poppers... les poppers les poppers » je l'entendais comme
dans un rêve, il était caressant...plus rien ne pouvait rien arrêter...et on était seuls, absolument seuls cette fois...
...
Quand, la dernière fois, Jacky, comptant sur une surprise, avait abaissé le dernier rempart de tissu et que je me
retrouvai à quelques centimètres d’un mandrin qui pendait le long des cuisses, cette bite au repos d'abord me parut sortie de l'impossible.
La mienne qui fait déjà 19 cm en érection sur 4 de large paraissait dérisoire. J’en restais baba. Comme un imbécile je ne trouvai à dire qu'un
stupide :
- " Ca alors ! C’est de la queue ! "
Son sexe bien séparé de sa fourrure. Énorme, gros, long, des poils sur une bonne longueur de la hampe avec un gland gros en
proportion. En fait il était épais aussi, mais ça ne comptait pas autant que sa longueur. Si vous voulez évaluer sa mesure pensez qu'étalé sur mon ventre il touchait sous mes côtes.
Jacky qui fut le témoin de la première rencontre me demanda : - " tu voudrais te la prendre ?
goûte-la ! "
Malgré ma terreur j’obéis et appuyai mes lèvres sur le pieu qui venait d’apparaître. Ce pieu semble fait de chair, il palpite. C’est en
réalité une énorme verge et mes deux mains qui s’appuient, recouvrent à peine le gland. "
Son engin tape contre ses cuisses à chaque mouvement.
Bien qu'il joue les guides Jacky conserve un regard curieux sur ce sexe inhabituel vraiment hors norme, et surtout curieux de ce qui va se
passer. Je sens, au bout de quelques instants, que mon entrecuisse s’est soudain replacée, les lèvres de mon anus se sont dilatées et gonflées sous l'effet du violent désir. Je sens aussi
qu'il s'ouvre tout seul et doit révéler cette belle couleur rouge vermillon de l'intérieur, de la chair vive et à vif, il se peut qu'il soit tout ruisselant de mouille, et autant bandé
et crispé que ! J'imagine le contact étroit entre ma chair et SA chair. J'en reçois un message brûlant et immora.
LUI l’a aussi remarqué et sa bite semble de plus en plus lourde et longue mais elle pend
toujours. Jacky approche donc sa main et saisit cette bite douce et chaude. Il me suggère de cette voix amicale, paternelle et satanique :
- " Met toi à genoux, tu seras plus à ton aise pour tâter le morceau ! "
Je suis sûr que vous, vous rigolez devant le comique de cette situation mais moi, je suis subjugué. La queue a pris vie et fait des soubresauts dans
sa main. Je me mets donc à genoux et commence à caresser ce gode vivant taille XXL. A chaque caresse sur son gland, je le vois prendre du volume. Les veines saillantes forment un lacis enchevêtré
sous la peau tendue. Il est devenu d’une grosseur monstrueuse et encore plus désirable....
---
comme ça ? non, il faut imaginer plus long, beaucoup plus long
Je sentais que ça plaisait à Jacky d'orchestrer l'opération.
et moi je le ressentais comme mon témoin protecteur susceptible d'arrêter si nécessaire. Il me positionna en vue de la suite. Le sexe
était en "demi-molle" mais, avec du lube il pouvait rentrer. Le voilà sur ma rondelle. Jacky le maintient. Doucement, doucement, je sens déjà le bout du sexe prendre place à lintérieur de
mon tube, déjà, je crois, mes yeux commençaient à se révulser, je voyais trouble. Sans ça j'aurais eu du mal à le supporter mais ce que j'appelle "plaisir" rejetait très
loin l'idée de douleur fatalement présente...Juste pour tester l'efficacité de Jacky je dis :
-Arrêtez ! J'ai mal !
Sans déculer on marqua une courte pause. Je n'insistai pas et me tus.
Ils ne mécoutaient plus déjà. LUI continuait à me l'enfoncer, difficilement mais ça rentrait et ça distendait à mort mon
boyau, je le sentais de plus en plus dur et gonflé, jessayais de l'aider en me détendant pour qu'il ne me fasse pas trop mal, il continua à me pénétrer. Un bon morceau est déjà bien
dedans, il continua à avancer, petit à petit jusquau moment où je leur fis signe darrêter !
Plus de peur que de mal mais je dis : - Je n'en peux plus ! On va arrêter ici ! j'arrive pas à...
Mais nos sexes ne nous obéissent plus une fois entrés et font ce que leur nature leur impose...quite à violer. dun
coup sec et brutal, il me pénétra plus profondément ! Toute cette immense chose est maintenant pénétrée complètement dans mon cul.
Cette bite prenait la place encore libre auparavant dans mon intestin et mes organes.. J'exhalais de l'air par ma bouche haletante. Bien que shooté
je dis :
-Ahh Jacky ! ohh ! Je ne pouvais pas m'empêcher de manifester la grande douleur que j'avais sentie ! jai crié fort pendant cet acte brutal et
rapide ! Je sentais un tronc d'arbre enfoncé dans mon cul. Au début, son gland juste enfoncé on était encore à 40 cm l'un de l'autre, mais maintenant il me tenait par les épaules et commençait à
me baiser en va et vient mais doucement, profondément évidemment.
-Continue dit Jacky surexcité, dans ce rythme !
-Oui chéri, ça te plait nest ce pas ? Tu veux que je te baise plus vite que ça ?
-Non, continues comme ça dans ce rythme, c'est bon, c'est excitant, mais pas plus ... !
LUI a initié un mouvement qu'il ne faisait pas auparavant cela semblait agir en rotations douces qui
provoquaient en moi des vibrations intenses mais petites et arythmiques puis longues et soutenues puis de nouveau et tout de suite longues, ténues et après intenses et une fois dans
l'autre lâchait un type de décharge électrique qui contractait mon sphincter, ces petits chocs étaient trop nombreux et j'ai commencé à gèmir de plaisir, parcouru d'ondes et de frissons
et me tordant les mains , Mon anus dilaté à bloc et "électrocuté" me demandait à grands cris intérieurs de retirer le monstre inséré en mon intestin et j'étais sans
pouvoir faire rien, les minutes passaient, j' essayais de le dissimuler mais chaque décharge m'ébranlait. Jacky s'est offert à m'aider, je lui ai dit dans une voix inconnue
et féminine ne sachant si j'étais en danger ou en sécurité, ne voulant pas que ça cesse," Non, j suis sûr que ça va aller, merci" Je ne pouvais que murmurer, chuchoter...celui qui dirigeait
mes pas immobiles me caressait partout d'un air étonné de mon état, frôlant mes mains...Forcément je lui trouvais l'air hypocrite... Il a dit "Tu peux me dire ce qu'il t'arrive ? " Puis, "si
tu te voyais, tu parais complètement shooté ". Justement, c'est la descente qui était trop brutale. Je serais bien resté dans cet état, voire mieux et plus ...
On arrêta là, déçus peut-être, mais je sentais que ce n'était que partie remise...peut-être sans Jacky...
à suivre...sans Jacky
* Alana Filippi, Calogero, Gioacchino 2002
ARRËTE-MOI QUAND TU SENS CHAUD A LA GORGE...
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