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extrait d'1 SITE DE JEUNE ESCORT italien
ça doit rendre fous les clients en recherche de "chair fraîche" YUMMY FLESH comme disent les anglo-saxons
oum mon petit ! t'es encore + beau en noir et blanc
romance pas exclue...se dégoter un pilote de ligne par exemple ....
ça n 'exclut d'aucune façon de paraître un peu posé
t'es un ange et tu es prêt à t'envoler, voire à convoler -lol-
se demander si les poses osées sont les bienvenues sur le site. Vrai que certains s'en foutent qu'on ait été ou non un trou à bites avant la rencontre
yummy flesh !
autres sites...
les métis ça vous branche ? Alessandro montre certains de ses collègues escorts comme lui et...ça le met, lui, à son avantage -lol-
NDLR__________________________________________________________________________________________________
pour Alessandro la sécurité ce serait ça : assurer les plaisirs et la compagnie entre les vols d'un pilote de ligne dont il serait le choupinou gâté :
ET POURQUOI PAS / tous les avantages ! voler avec lui vers d'autres cieux lui offrirait la détente dont il a besoin !
il en rêve depuis tout petit à Catane...Brasov. (fake photo from the web)
aujourd'hui un gars stylé qui soit à la fois un père et la réplique de David Bowie ...jeune !
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commentaires : "sois béni alex', sois prudent, fais du fric et mets-le de côté" Domi (ancien escort)
Les garçons dans la prostitution de rue à Milan: voilà qui ils sont et pourquoi ils le font Piazza di Trento :
L'histoire d'Alexandre, 19 ans: arrivé de Roumanie avec le rêve de la mode et a fini sur les trottoirs
MILAN - Alessandro avec ses juste dix-neuf ans est le plus jeune garçon de ceux qui se prostituent dans la zone autour de la Piazza Trento Milan. «Là il y a des garçons d'au plus vingt-cinq -vingt-huit ans,» dit-il tout en regardant attentivement les voitures dont les conducteurs passent et draguent. «Les clients cherchent seulement les jeunes garçons et la première chose qu'ils vous disent, en baissant la vitre, est: quel âge as-tu ? Je dis toujours que j'ai dix-huit ans, bien que j'aie un an de plus, parce que je sais ce qui les excite. "
DE LA ROUMANIE A LA ROUTE - Ce garçon fragile et timide est arrivé de Roumanie il y a quatre mois, quelques amis lui avaient dit qu'à Milan en te prostituant tu pouvais gagner de l'argent. Bon, maintenant il appartient au grand groupe de gars qui vendent leur corps dans la rue. En fait ils sont des dizaines sinon des centaines dispersés autour de la ville. Ca va des étrangers aux nombreux Italiens, peu à peu délaissant les trottoirs pour se hasarder à louer un appartement, mettre des photos sur l'un des nombreux sites Internet offrant du sexe pour de l'argent, et n'avoir qu'à attendre que le téléphone sonne.
ZONES - Piazza Trento, le marché de gros et North Park sont quelques-unes des zones de nuit où on peut voir des jeunes vêtus avec les derniers vêtements à la mode ados qui, à première vue, peuvent passer pour des lycéens et qui tendent à "travailler" assez tôt dans la nuit. Les clients, comme dit par Alexandre, sont composés de cinquante pour cent d'hommes mariés qui ont des enfants du même âge que moi. Ou alors des clients formés par de nombreux enfants de riches qui s'ennuient. La quasi-totalité consomme de la cocaïne. "Ils veulent aussi me payer des sniffs de coca - dit Alexander - mais je n'aime pas parce que ça me déprime encore plus." Quand une voiture de luxe ralentit dans une de ces zones, les garçons qui se prostituent surgissent soudain comme poussent des champignons. Combien d'entre eux comme Alexander -le prénom a été changé- sont arrivés à Milan poursuivant le même rêve : faire partie du monde de la mode, devenir mannequin ou modèle. Une fois épuisées les réserves d'épargne ou abandonnés par des "protecteurs" sans scrupules, le passage des salons au trottoir est rapide. Il a également réussi à acheter les jeans Armani et quand il peut il envoie de l'argent à la famille. Il a aussi ouvert un site web avec ses photos, dans lequel son corps longiligne et son sourire à la fois candide et malicieux rivalisent avec les images des autres "escorts", qui possèdent aussi un physique sculpté par la gymn
SUR LE WEB - l'hébergeur internet le plus populaire est le «Bunga bunga Boy". Je les ai appelés et j'ai découvert que beaucoup de ceux qui s'offrent sur le web sont des garçons italiens. Ils facturent entre 50 et 150 euros pour une heure de sexe dans leur appartement et ils prétendent que c'est leur première fois !. Un Italien - modèle brésilien- à qui on a demandé s'il est prêt à participer à une fête sexuelle répond: «Je vais souvent à des parties dans les salles de séjour, si vous voulez le portable des autres gars". Au moins tous les gars demandent alors entre 300 et 400 euros.
ASSOCIATION - La seule association qui tente d'aider ces gars-là pour changer leur vie est le CEAS (Ambrosiano Solidarity Center).
Ils travaillent sur ce projet depuis 2003. Au parc Lambro, où se trouve l'un de leurs principaux bureaux, on t'explique que «ces jeunes ont souvent à surmonter d'extrêmes
difficultés. On leur prodigue des conseils. On leur dit de se faire tester pour les maladies sexuellement transmissibles. " Pendant ce temps Alessandro comme tant d'autres garçons a continué
à peupler de sa présence ce monde d'ombres dans la nuit : les jeunes, qui sont encore de grands ados, tirant une vie sans l'avenir, en dessous du seuil de pauvreté,
face à l'indifférence générale et audésir de certains.
Reportage de Ruben H. Oliva
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commentaire :
vente à des pédos, commerce d'organes ? En mars prochain L'ASSO TRAJECTOIRES en partenariat avec l’Unicef Grande-Bretagne et le soutien de la Fondation EDF, devrait publier les conclusions d’une enquête sociologique sur les mineurs isolés étrangers (MIE) présents dans la région de Calais, mais c'est toute l'étendue européenne et turque qui sont concernés
CRISE DES RÉFUGIÉS Selon Europol, près de 10.000 mineurs réfugiés auraient disparu ces 18 derniers mois...
Publié le 01.02.2016 à 18:19 par Helene Sergent 20minutes
Le chiffre est conséquent et pourrait pourtant être sous-évalué.Selon Brian Donald, responsable chezEuropol, l’agence européenne de coordination policière, près de 10.000 enfants migrants non accompagnés ont disparu en Europe sur les 18 à 24 derniers mois.En 2015 un million de migrants sont arrivés en Europe parmi eux des Syriens, des Irakiens et des Erythréens fuyant la guerre. 27 % d’entre eux seraient mineurs, soit près de 300.000 enfants. Si tous ne voyagent pas seuls, a tenu à rappeler Brian Donald, une grande partie seraient livrés à eux-mêmes.
Pour Leonard Doyle, porte-parole de l'association internationale pour les migrations, OIM), cette situation découle d’un manque de coopération entre les Etats européens : « Les problèmes de fonctionnement internes en Europe encouragent les réfugiés à passer très vite d’un pays à un autre. De plus les centres d’enregistrement sont ouverts et peu surveillés, les mineurs peuvent être en contact avec n’importe qui. »
Par « n’importe qui », le porte-parole entend, notamment, avec les réseaux mafieux. Olivier Peyroux, sociologue et auteur de " la traite des êtres humains dans les zonzs de conflits" pour Caritas, il faut distinguer les réseaux de passeurs, très organisés, à l’image des narcotrafiquants, et les formes d’exploitation individuelles, moins structurées.
« Certains mineurs vont être réquisitionnés pour servir de '"mules" et transporter de la drogue, d’autres vont être contraints de travailler et certaines jeunes filles vont être mariées avec l’accord de leur famille, notamment en Turquie, pensant ainsi les mettre à l’abri, mais les exposant en fait à une situation d’exploitation sexuelle », détaille-t-il.
Si certains arrivent seuls, d’autres perdent leur accompagnateur – un oncle, une tante, un ami de la famille – en cours de route et s’exposent davantage aux réseaux criminels. Mais le chiffre de 10.000 enfants disparus s’explique également par la législation propre aux Etats européens.
« En Allemagne, les réfugiés doivent s’inscrire dans un centre de demandeurs d’asile. Lorsqu’ils sont affiliés à un centre, ils sont contraints de rester dans une zone géographique délimitée. Or beaucoup d’enfants souhaitent rejoindre un membre de la famille qui se trouve déjà dans le pays, mais pas forcément dans la zone du centre auquel ils sont affiliés. Ils disparaissent alors des radars », explique Olivier Peyroux.
Si les chiffres publiés par Europol n’ont rien de nouveau, dénoncent plusieurs associations, ils ont le mérite de « réveiller un certain nombre de consciences endormies », assure Pierre Henry Directeur de France Terre dAsile.
Au-delà du constat alarmant, Olivier Peyroux s’inquiète du manque d’ambition des politiques de protection des mineurs réfugiés : « Sur ces enfants, on a très peu d’information, on ne sait pas combien ils sont exactement et on ne connaît pas bien les risques auxquels ils sont exposés. La question de leur prise en charge et de leur protection est très peu abordée par les Etats, c’est une sorte de no man’s land ».
Un manque que tente de résorber le milieu associatif. En mars prochain, L'association Trajectoires ,en partenariat avec l’Unicef Grande-Bretagne et le soutien de la Fondation EDF, devrait publier les conclusions d’une enquête sociologique sur les mineurs isolés étrangers (MIE) présents dans la Zone Nord de la France.
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commentaires :
10.000 enfants perdus, volés, violés, exploités... une étoile de gagnée, une étoile de perdue au Michelin... des joueurs de foot qui changent de club à coup de millions... un chat en feu jeté d'une fenêtre... une actrice avoue avoir mangé de l'humain... l'humain est une énigme pour moi..#internettine | 01.02.2016 à 19:04
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