PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 06:58

education sentimentale dire que Phil est «le 'meilleur' élève de Jérôme» c'est entrer dans leur système de pensée : le plaisir -disons la baise- avant tout et le refus par avance du chantage affectif de l'amour.

Image associée Image associée Plus envie..d'avoir envie !

(Phil a ètè le rôti appétissant que se réservait, 4 ans à l'avance, le prof bisex'-un-peu-pédo ! ) 

 

A mes 14 ans, j'ai surpris mon prof de tennis, Jérôme, en train de sauter une nana dans les vestiaires, j'ai  remarqué son corps sec, musclé avec quelques poils noirs sur le torse et une belle bite d'au moins 19 cm par 4 cm dont il savait très bien se servir et qui faisait hurler de plaisir sa partenaire, j'ai bandé immédiatement, je me suis branlé en les regardant, Au moment où il a éjaculé dans sa chatte, il m'a vu et m'a fait un clin d'œil, j'ai moi-même éjaculé dans ma main  

 

Image associée

 et j'ai bu mon sperme, il m'a vu. Depuis, sachant que j'avais cours de tennis, je me branlais comme un fou à chaque fois et j'avalais ma semence. Mon prof, Jérôme, n'a jamais reparlé de cet épisode mais je suis devenu son « meilleur » élève.

 

 

 

  Merci Cyrillo ton site est une mine de réflexion(s) homosexuelle(s) Premier épisode https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Roland-Garros.php

 

ICI C'EST LE 5 EME  épisode https://cyrillo.biz/histoire-gay-2015-Roland-Garros-06.php

 

  Dépucelage à Roland Garos extrait du 5e épisode "un an après" 

 

 

26 juin 2015, ce jour-là  j'ai 19 ans depuis un mois, je suis en vacances pour quelques jours encore et j'ai été reçu avec mention à mes examens de fin d'année. J'ai fêté l'évènement avec ma famille à midi et avec mes potes en boite le soir et la nuit. On avait commencé par un bar, histoire de picoler un peu et d'attendre l'heure d'aller s'éclater. C'était cool, on se marrait bien mais je pensais à Jérôme. L'an dernier, pour mes 18 ans, il m'offrait un ticket pour la finale de Roland Garros, un ticket pour me dépuceler et faire de moi une salope bien soumise et accro à sa bite. Il m'avait baisé un nombre incalculable de fois dans toutes les positions possibles et dans des lieux parfois insolites (au fond d'une impasse contre les bennes à ordures d'un restaurant, dans une salle de cinéma, …) ou « dangereux » (son lit conjugal alors que sa femme était en train de jardiner à quelques mètres de nous ou bien sur le canapé chez moi tandis que mes parents étaient montés dormir à l'étage au-dessus du salon). Chaque fois, j'avais eu un orgasme anal et il m'avait soit fécondé soit rempli la bouche.

L'an dernier, j'avais également fait la connaissance de Pierre, frère de Jérôme, un autre « serial baiseur ». Ils m'avaient tous les deux pris en double plusieurs fois. La première, jour de mon dépucelage, avait été la plus douloureuse, la plus originale était sans doute celle du 14 juillet 2014, ils me déchiraient le cul pendant le feu d'artifice que je voyais depuis la vitre arrière de la voiture de Pierre, je crois qu'on a joui tous les trois au moment du bouquet final, tout un symbole ! Nous sommes ensuite allés au bal populaire retrouver nos familles respectives, leur sperme coulait de mon trou pendant que je dansais, je les voyais rire en me matant.

Les deux mois d'été 2014, j'ai travaillé au club de tennis. Là, Jérôme m'a sauté à peu près tous les jours. Je me demande comment on ne s'est jamais fait surprendre ;  j'avais, des fois, du sperme sur la gueule et dans les cheveux, sur le torse ou sur le ventre, ça tâchait mon T-shirt et, la plupart du temps, mon short avait une auréole au cul. Début août, j'ai baisé toute une nuit avec un bel hétéro, Thomas, méga bien monté, tandis que Jérôme se tapait sa femme au même moment.

Début septembre, j'ai quitté Brive pour aller à Toulouse suivre des études supérieures. Ma vie sexuelle s'est calmée d'un coup mais les retrouvailles avec Jérôme étaient chaudes. L'excuse du tennis marchait toujours, j'avoue ne pas avoir beaucoup usé les cordes de ma raquette ; certaines fois, je rentrais crevé chez mes parents en leur disant que Jérôme m'avait encore mis cher ou bien que j'en avais plein le cul !

Au début de l'année 2015, Jérôme (prof de sport pour adultes) a commencé à me parler de Baptiste, un nouveau jeune client de 18 ans. Quand je l'ai vu, j'ai su qu'il allait être le suivant sur la liste.  Image associée Image associéeUn petit mec tout fin avec un beau petit cul, blondinet, yeux bleus, super gentil et souriant, pas du tout efféminé, extrêmement puceau et en admiration devant Jérôme, on aurait dit moi l'année dernière ! J'en ai parlé à Jérôme en lui disant que ça m'était bien égal qu'il se l'envoie pourvu qu'il continue à s'occuper de moi de temps en temps, ce qu'il a fait immédiatement histoire de me rassurer et de se vider une fois plus les couilles. C'est là que j'ai compris que nous n'éprouvions aucun sentiment amoureux l'un pour l'autre mais une attirance sexuelle très forte. Nous avons d'ailleurs continué à nous faire du bien.
A Pâques, les cloches m'ont apporté un beau cadeau : alors que Jérôme était en vacances avec sa femme et ses enfants, Pierre a eu la bonne idée de rendre visite à ses parents, il avait pensé à apporter sa valise de godes. Il est passé me chercher un soir pour une virée « entre mecs » comme il a dit à mes parents. Ils ont souri, nous ont recommandé d'être prudents, ma mère a dit que deux beaux mecs comme nous allaient sûrement faire des ravages, elle m'a fait un clin d'œil en me demandant de ne pas la faire grand-mère trop tôt. Je lui ai rendu son sourire complice et son clin d'œil.
Dans la voiture, Pierre m'a dit :
-       « Je ne savais pas que tu t'étais fait greffer un utérus et des ovaires, ça m'excite encore plus mais il va falloir que je fasse gaffe de pas te mettre en cloque ».
-       « Arrête tes conneries, je leur dirai un jour, quand ce sera le bon moment, en attendant tu peux me remplir de litres de sperme. »
-       « J'y compte bien, surtout que, sans le savoir, ta mère m'a donné l'autorisation de te baiser. Faut jamais décevoir sa maman ! »
Je ne suis rentré que le surlendemain en fin de matinée, rempli à bloc, le cul défoncé et la mâchoire déboitée ! On avait passé plus de trente heures ensemble chez Jérôme (Pierre possède un double des clés), on a picolé, on a un peu joué au tennis, on s'est bien marrés mais surtout, on a baisé comme des fous. En plus de ses coups de bite, j'ai pour ainsi dire redécouvert sa panoplie de « jouets ». La première fois j'étais complètement bourré, je n'avais que quelques flashs. Je me les suis tous repris dans la bouche et dans le cul, j'en ai eu un énorme dans la bouche et deux dans le cul en même temps tandis que je branlais Pierre et ma queue en même temps, une vraie dépravation ! J'ai eu le privilège d'inaugurer le dernier : noir, 20cm par 7, avec position vibrante ou mouvement de spirale avec des petits picots en latex sur toute la longueur. Jouissif, un vrai bonheur !!! Au retour, mes parents m'ont trouvé une tête de déterré et une démarche de « canard », j'ai eu des courbatures pendant 4 jours, j'ai parlé d'une cuite avec gueule de bois et d'un petit claquage au tennis pour couper court.

Voilà que le tournoi de Roland Garros 2015 est arrivé. Jérôme y est allé avec Baptiste, j'ai regardé la finale à la télé opposant Djokovitch et son vainqueur, le Suisse Wawrinka, un super match auquel j'aurais adoré assister. J'avais du mal à me concentrer sur les échanges et la technique, je ne pouvais pas m'empêcher de me remémorer la finale de l'an dernier et je pensais que, dans les gradins, il y avait sûrement un puceau de moins sur Terre qui assistait au spectacle avec un gros gode dans le cul. J'ai pensé à la soirée et la nuit qui l'attendaient avec Jérôme et Pierre, je me suis dit qu'ils avaient bien de la chance…

ON NE REECRIT PAS L'HISTOIRE  !  -lol-

J'ai revu Jérôme le samedi suivant, j'ai eu du mal à lui parler car nous étions tout un groupe de potes au restaurant. Assis en face de lui, Paul, a demandé si l'ambiance à la finale était sympa. Il a répondu :
-       « Pas mal, j'ai connu mieux ».
-       « Ça c'est pas bien passé ? » Ai-je rajouté.
-       « Disons qu'il y a eu des imprévus mais bon, ça aurait pu être pire ».
Il fallait que j'en sache plus. Le voyant partir aux toilettes, j'ai attendu deux minutes pour l'y rejoindre, là, je reprenais la conversation :
-       « Alors qu'est-ce qui s'est passé ? »
-       « M'en parle pas ! Ça commençait mal, Baptiste a flashé sur une meuf et il en est mordu, il ne m'a parlé que d'elle pendant tout le trajet. J'ai quand même pu lui dépuceler la bouche, il a bien voulu me faire une pipe pour voir ce que c'est, c'était bien moyen et, en plus, il a refusé d'avaler mon jus et il m'a fini en me branlant, j'ai juté sur mon ventre même pas sur sa gueule, ça m'a contrarié ! Arrivé à Meudon, j'ai voulu le faire picoler un peu pour qu'il se lâche mais il a voulu manger un truc pour éponger l'alcool, il a trouvé un morceau de gâteau dans lequel il y avait de la poudre de noisettes, ce con, il a fait un choc allergique. J'ai dû l'amener aux urgences de l'hôpital. Pierre était de service, c'est lui qui l'a réceptionné et qui s'en est occupé. Je ne suis pas allé à la finale, on est rentrés plus tôt que prévu,  Résultat de recherche d'images pour "JEUNE GAY FAIT LA GUEULE" depuis, il me fait la gueule. »
-       « Dis donc, t'as décroché le gros lot cette année ! »
Pour lui remonter le moral, je me suis approché de lui je lui ai mis la main au paquet et je l'ai embrassé. Déjà il commençait à bander et m'a demandé de lui faire une vraie pipe, ce que je me suis appliqué à faire, il m'a largué 5 gros jets dans la bouche. Je l'ai regardé, j'ai ouvert la bouche pour qu'il voit sa semence et j'ai tout avalé. On est revenu à table, personne ne s'était vraiment rendu compte de notre absence.

Quand on est sorti, Jérôme m'a demandé si je pouvais le ramener chez lui car il n'avait pas le courage de faire à pieds les 3 km. Bien sûr, j'acceptais, vingt minutes après, la voiture de mes parents était garée dans un petit chemin au milieu d'un bois à 10 km de Brive, j'étais torse nu, le jeans baissé sur les cuisses, allongé sur le ventre sur le siège arrière, le cul cambré et offert, Jérôme me bouffait la chatte en me faisant gémir de plaisir. Il m'a doigté longuement jusqu'à ce qu'il me procure un orgasme anal ; là, il m'a dit que ma chatte était assez ouverte et mouillée comme il l'aime pour l'accueillir, il m'a pénétré d'un coup sec jusqu'aux couilles et m'a baisé fortement pendant de longues minutes, il a fini par jouir en moi, j'ai craché moi aussi. Je lui ai dit :
-       « Je crois bien que tu ne m'avais pas baisé dans une voiture depuis le jour où tu m'as dépucelé. On en a fait des choses depuis, n'empêche c'était super excitant, comme un retour aux sources. »
-       « Carrément, mais ton trou n'a plus rien à voir avec celui que j'ai ouvert il y a un an. Et puis maintenant, tu as appris à bouger pour me donner encore plus de plaisir. Tu as été un très bon élève ! »
On s'est relevé, il a éclaté de rire en voyant mon jus sur le siège, il a dit :
-       « Ouh, papa va pas être content que son petit Phil ait souillé de son jus les sièges de sa belle voiture toute propre ».
Heureusement, j'avais une bouteille d'eau, j'ai essayé de tout nettoyer en espérant qu'aucune tâche ne resterait visible. Pendant que je m'activais à effacer toutes les traces, Jérôme, derrière moi, me proposait de rempiler au club de tennis pour les deux mois d'été en remplacement de Baptiste. J'ai tourné la tête vers lui pour le fixer, comme il attendait ma réponse, j'ai dit :
-       « Ok, seulement si les conditions sont les mêmes que l'an dernier. »
Il a pris mon cul dans ses mains et a répondu :
-       « Les mêmes avec, vu ton expérience, une petite augmentation des cadences. »
-       « Vantard !!! ». J'ai dit ça puis j'ai lentement passé ma langue sur mes lèvres.
Emloyant à dessein le féminin, ce salaud me dit : - «Allumeuse ! Je t'attends le lundi 6 juillet à 8h30 au club pour tester le matériel, on s'expliquera entre hommes ! ». (hum hum ! )

Pour moi, l'été 2015, comme celui de 2014, allait être caniculaire !!!  PHIL

 

  NB : aucune photo n'appartient à cavaillongay, toutes proviennent de stocks légaux 18+ du net . En cas de réclamation nous consulter. Merci


 

commentaire : "Et c'était comme si tout recommençait La vie, l'espérance et la liberté Avec le merveilleux Le miraculeux
Voyage de l'amour"
En savoir plus sur https://www.lacoccinelle.net/1195051-jean-ferrat-deux-enfants-au-soleil.html#MOl0zhvjTW89kkES.99

  Le TRIP de l'amour gay, c'est écrit pour nous ça ! et :

"J'aime son heureux caractère Tout' ses affaires Et c'est pour ça que Je dis que l'amour, Même sans amour C'est quand même l'amour ! Comprend qui peut ou comprend qui veut !" Boby Lapointe sur musique ados . com  cités par claudio

 

 

  Image associée une prochaine  heureuse "victime" de Phil ?  (fake photo,  Il  est beau !  c'est Léo Grasset, fameux YouTubeur  devant l'éternel ) 

 

Image associée Laurent aurait bien besoin lui aussi des leçons de tennis de Jérôme

 

 

Image associée à notre avis ce pourrait être Pierre, celui que Jérôme appelle 'frérot'  

 

 

Image associée il ne manque pas de candidats pour des leçons...

 

Image associée quand on se tient comme ça cela appelle une douce intervention

 

 

Image associée ça on vous l'a pas dit ! Image associée

 

 

 

 

Par PHIL sur CYRILLO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 2 décembre 7 02 /12 /Déc 14:09

Image associée QUOI JUPITER, CA VA PAS ? OHHH Comme les hommes, les chevaux ont besoin d’être compris, non seulement sur le plan physique et dans leurs besoins essentiels, mais aussi dans leur caractère, leur personnalité profonde et unique. 

 

      Les morts marchent souvent un certain temps avant de comprendre qu'ils sont bien morts.  ( Paolo Cuelho) Ainsi la France, ainsi son Président

De cavalier Force 1 : "Cela a duré des années."Il n’est pas beau, mon cheval. Il a trop de nœuds et de salières, les côtes plates, une queue de rat et des incisives d’Anglaise. Mais il m’attendrit. Je n’en reviens pas qu’il reste à mon service et se laisse, sans révolte, tourner et retourner.
Chaque fois que je l’attelle, je m’attends qu’il me dise : non, d’un signe brusque, et détale ou me décoche quelques coups de sabot.
    Mais non ! Il baisse et lève sa grosse tête comme pour remettre un chapeau d’aplomb, recule avec docilité entre les brancards.
Avant je ne lui ménageais ni l’avoine ni le maïs. Je le brossais les jours de parade comme le 14 juillet ou la foire de Cavaillon et Chateaurenard, jusqu’à ce que le poil brille comme une cerise de Venasque. Je peignais sa crinière, je tressais sa queue maigre afin qu'il paraisse et rende jaloux juqqu'au chef d'état américain. Je le flattais de la main et de la voix. J’épongeais ses yeux, je cirais ses pieds.
Est-ce que ça le touchait ?  Pour voir et parce qu'il me coûtait un pognon dingue, un jour j'ai remplacé le sac d'avoine par un sac d'oignons et le foin par un fagot d'orties tout en maintenant les réserves de nourriture dans la fénière. Mon cheval ne touchait ni les oignons ni les orties mais lorgnait sans arrêt les stocks. Un jour il se hissa à leur hauteur et éventra quelques sacs d'avoine sans préjudice de ma colère. Je lui fis les pires reproches et lui envoyai un palefrenier pour le battre..."   D'après Jules Renard avec qq importantesmodifications.

Comment un cheval se révolte et devient dangereux 

A tout prendre, c’est une idée plutôt rassurante. La plupart des cavaliers n’étant pas du style à découper leur cheval façon rondelles de saucisson parce qu’il a fait une bêtise, on se dit que cela ne peut pas nous arriver. Ouais ...        

 

Et pourtant…

 

Pourtant un cheval peut entrer en révolte pour avoir été maltraité. Il ne suffit pas de le raisonner faire semblant d'être gentil avec lui.       

Autrement dit, ce n’est pas parce que vous avez toujours une carotte à portée de main, un bâton dans l'autre, que votre cheval se mettra en quatre pour continuer à tirer la charge, histoire de vous faire plaisir.          

 En fait, de mon expérience, trois raisons peuvent expliquer qu’un cheval devienne dangereux pour son cavalier ou son propriétaire :

  Première raison : vous diminuez les rations de foin et d'avoine et, pour qu'il avance sans se rebiffer vous usez du bâton et du fouet tout en lui disant que les récoltes ont été mauvaises qu'ilvous côute un pognon dingue et que les fermiers ne vous ont pas payé le fermage  !        

 

          C’est de notre responsabilité de l’éviter. Un cheval battu, et qui a faim, à un moment décide qu’il doit répondre coûte que coûte

Une variante plus délicate est celle du cheval qui souffre parce qu’il a un problème physique quelconque adjoint à la faim comme aussi le manque de vétérinaire et qui cherche par tous les moyens, je dis bien tous, à le dire pour qu’on l’aide. Là, il faut comprendre le cheval, je ne dis pas à demi mot, mais sans mots du tout, ce qui n’est pas toujours évident.

 

Deuxième raison : qui fait quoi ?

 

Le cheval " sous-officier" a toujours dans l’idée qu’il pourrait bien être calife à la place du calife. Un tel cheval a besoin d’un " général ", une personne claire, équitable, qui lui fera découvrir le monde et qui lui donnera la possibilité de progresser. Dans ce cas, ce sera un cheval merveilleux.

Seulement voilà, face à un cavalier inexpérimenté, un tel cheval va rapidement considérer qu’il n’a aucune raison d’obéir. Si les ordres qu’il reçoit ne sont pas clairs, il le fera savoir avec insistance, comprenez par là avec énergie voire avec violence. Il aura vite fait de transformer une agréable croisière en " Les révoltés du Bounty ".

 

Troisième raison : J’suis mal dans ma peau, en coureur très beau… !

 

Comme les hommes, les chevaux ont besoin d’être compris, non seulement sur le plan physique et leur besoins essentiels, mais aussi dans leur caractère, leur personnalité profonde et unique.        

Si votre cheval ne trouve pas dans les conditions que vous lui offrez, ce qui est indispensable à son équilibre, alors il pourra selon son caractère, être triste, déclencher des maladies… ou exprimer son mal-être avec violence.       

 

C’est pour cela qu’il ne suffit pas d’être quelqu’un de bien, pour que le couple homme-cheval marche.

Entre homme et cheval, les divorces, cela peut aussi arriver…

      Bien vrai, je me suis inspiré d'écrits sur le cheval.

            Image associéeImage associée     

  Image associéeImage associée 

Image associée Résultat de recherche d'images pour "fouet contre chevaux" c'est pour qui le fouet, hein ?

Image associée mosaïque d'alexandre le grand à Pompéi.Image associée Un souci, Alex ?  C'est vrai ?        

 

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Par MANU EL - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 5 novembre 1 05 /11 /Nov 06:19

  certains ont d'autres tics comme se passer sans arrêt la main dans les cheveux ou sur la nuque...ou se ronger les ongles...moi je caresse et gratte les couilles et ma queue sans même chercher à la faire bander... 

 

Résultat de recherche d'images pour "assis à table il se gratte, il se caresse à l'insu de tous et toutes"

 

  Résultat de recherche d'images pour "assis à table il se gratte, il se caresse à l'insu de tous et toutes" 

    ça fait partie des  desImage associée notamment se toucher les couilles et le sexe !

 

Image associée Dans un film de Bertrand Blier (je crois) est citée la phrase suivante:
"Quand un homme se gratte les couilles, est-ce par plaisir ou parce que ça le démange?"  

Eprouvez-vous du plaisir à vous gratter les couilles  à l'insu des autres, de vos convives ?

  Résultat de recherche d'images pour "gif banquet" 

 

 Image associée Tandis que les autres n'y font pas attention

 Image associée et que tout le monde ne pense pas qu'à bouffer !  

  Aaaaaaah mais se gratter lui apportera du plaisir, et il le sait bien l'animal...  

Donc il s'empresse de se gratter parce qu'il sait que ça va lui apporter un plaisir absolument immédiat.

La démangeaison n'est qu'une excuse, une pseudo-raison dont le but ultime est une autorisation sociale et morale de se gratter les couilles pour éprouver un plaisir autorisé, justifié et surtout assuré!!

Si il savait que le grattage allait lui faire mal il ne le ferait pas, ou résisterait jusqu'à que la dite démangeaison en devienne plus douloureuse que le grattage. Tu suis ou tu te grattes?

En conclusion, c'est par plaisir...tiens ça me démange...

Humblement,
Elias

 

  Image associée  célébrissime entraîneur qui se touche les couilles et se sent les mains au cours des matchs 

-"Moi je pense  que la réponse est simple: Quand un homme se gratte les couilles, cela n'est ni par plaisir, ni par besoin, mais tout simplement pour tromper l'ennui!   

Moi j'avoue que oui, d'ailleurs dès que je me les gratte, je dois me retenir de bander tellement c'est good"

 

Scratching Balls

Dégueulasse pour certain(e)s, agréable pour ceux qui en profitent, se gratter les couilles reste une pratique à prohiber en public . Ce n’est pas poli de se toucher les parties devant des gens, un point c’est tout. On vous l'a dit étant petit. Et même s’il ne s’agit que d’un nécessaire replacement de l’appareil génital dans un sous-vêtement trop lâche. Croyez-moi, la sensation d’un gland (quel qu’il soit-lol-) contre sa cuisse n’a rien de plaisant durant la marche.   

Résultat de recherche d'images pour "gif il se gratte les couilles en parlant"

 

Sur la zone du scrotum, ce sac de peau contenant les testicules, le grattage peut revêtir plusieurs significations. Tout d’abord, une réelle démangeaison est possible, due au frottement, à la transpiration, etc. Ensuite, la main qui glisse dans le slip peut n’avoir d’autre but que d’imprégner les doigts de l’odeur rassurante du sexe. C’est mal vu, mais il me plaît de sentir l’odeur que sent mon partenaire. Et, vous les filles, ne faites pas les hypocrites, vous êtes nombreuses à renifler vos doigts quand ils sortent de votre culotte. On vous voit !

Cas typique de réajustement

Ci-dessus, cas typique de réajustement du "paquet"

-"Enervé ? Chépa. Pris d’une impérieuse envie bien mystérieuse, je me gratte, par période, les noix jusqu’au sang. La dernière fois remonte à plusieurs années, mais cela m’arrivait souvent à l’époque. Le matin et le soir sont propices à ce type de grattage. Une gratouille-sensation. Au début exquis, le prurit s’amplifie pour flirter avec la douleur. Cette fine frontière, le gratteur regrette de l’avoir franchie après la séance, car la sensibilité testiculaire devient vite un problème dans la vie d’un homme actif.

Lisez le témoignage de la femme de Gérard :

-"Rassurez-vous, mais ce type de démangeaison parle à un grand nombre d’hommes. Alors, ne jugez pas trop vite un homme qui se gratte les couilles, s’il vous plaît. Il peut ne pas savoir lui-même pourquoi il fait ça". 

-"non je me les gratte pas elles sont propres donc ca va de ce coté par contre j'adore me tripoter, tirer dessus"

    Soyons francs, quand une démangeaison cesse, on cesse de se gratter. Mais l’homme, lui, comme il ne cesse pas, il ne lui reste donc plus d’excuse, c’est forcément pour la même raison que votre chat, quand vous le gratouillez gentiment, surtout au bas ventre, se met à ronronner!

En conclusion, je dirais donc, que même si l’origine du geste peut parfois être parce que ça le démange, quand un homme se gratte les couilles, c’est surtout parce que c’est une habitude qui lui plaît. La réponse est donc indéniablement : par plaisir.

Parfois lorsqu'un homme réfléchit, il arrive qu'il se gratte distraitement la tête ou le menton ... pour se donner une contenance.
Mais quand il se gratte les couilles cela agit directement sur le cerveau !!!
En effet ce genre de Shia-tsu des testicules active la circulation sanguine irriguant ainsi tous les muscles du corps !!!
Cette action libérant par la même occasion quantité d'endorphines, permet à l'homme préhistorique de mieux appréhender les problèmes, l'esprit libéré de toute tension ... (je sais c'est un peu capilotracté tiré par les cheveux  )
j'ajouterais que pour réfléchir posément, on ne peut laisser un ou deux morpions vagabonder tranquillement dans son falzar !!! 

    Conclusion : l'homme se gratte les couilles pour réfléchir !!! joignant ainsi l'utile à l'agréable

 

    Moi, si je voulais avoir du plaisir à un moment ou un autre, je ferais sûrement d'autres choses que me gratter les couilles...

 

Réponse du psychologue après étude

A – les voluptueux… ils soupirent d’aise et insistent longuement.
B – les pragmatiques… le nécessaire mais pas plus
C – les épicuriens… ils espèrent la sensation de satisfaction que le gratouillage va leur procurer.
D – les prévoyants… toujours sur le pont, en éveil.
E – les étourdis… se grattent d’ailleurs n’importe quoi.
F – les facétieux… ils ne se contentent pas de faire chier la belle mère mais c’est leur cible de choix
G – les châtrés et les hypocrites… quoique les châtrés se grattent parfois pour avoir l’air de ne pas l’être.

 Sans vraie raison :

un geste machinal comme se gratter la tête, ou encore un geste qui permet de se donner une contenance et remettre chaque chose à la bonne place, comme quand les filles tripotent une mèche de leurs cheveux.

 

 

 

Lapoisse :  -"Moi, il y a un phénomène qui me rend perplexe dans le grattage de couilles,c'est que je me les gratte toujours de la main gauche, alors que pourtant je suis droitier. quelqu'un pourrait-il m'expliquer le pourquoi de la chose, bien marré de tout ce qui a été dit, super !" 

 

  NOTES :   Mettre sa main dans un slip calmerait les ardeurs sexuelles des hommes. C’est en tout cas ce qu’assure la revue Frontiers in psychology. Selon elle, le fait pour un homme de se toucher les organes, de manière non-sexuelle entendons-nous bien, libérerait de l'ocitocine , autrement dit l’«hormone du bonheur», là même qui est libérée par l’homme lorsqu’il embrasse son partenaire ou qu'il fait l'amour.  

Si ces hypothèses peuvent paraître farfelues voire sujettes à caution, elles constitueront dans tous les cas des arguments pour les hommes surpris la main dans le pantalon.

 

 

 

 

Résultat de recherche d'images pour "se branler sous la table en public à l'insu de tous et toutes" à moins que ...les initiatives n'aient une autre origine  

 Image associée Y a pas d'âge pour la perversité !

  Image associée  Vous pourriez bien être tenté d'en faire plus !

 

 

   

 

 


commentaire :

Par IKON O'KLAAST - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 26 octobre 5 26 /10 /Oct 23:38

    Image associéeQUE CE SOIT L'ISLAM OU LA RELIGION CHRETIENNE, L'ARMEE OU LE DJIHAD TOUS S'OPPOSENT A NOTRE BONHEUR ET IL NOUS FAUT LE CHERCHER DANS LE SECRET 

Ils sont beaux, malgré une peau assez claire, ils ont presque toujours une bite étonnamment noireImage associée


          "Je continue de faire juter plusieurs mecs tout au long de la nuit.  Un migrant syrien qui se dit bisexuel attire mon attention par son pénis extrêmement long. Il me dit que j’ai « un cul de femme ». J’apprécie. Par manque de temps, il ne jute pas, mais tient à rester en contact pour d’autres aventures prometteuses. Le meilleur moment de ces deux jours ce fut le moment où un syrien d’une quarantaine d’années m’ajouta sur Skype, probablement lui avait-on donné mon contact. -« Je dois vider mes couilles salope, allume ta cam ». Image associée  Bonnet sur la tête, un look très viril et un regard chaud comme la braise, ce mâle avait un torse avec une forte pilosité, il était rempli de poils noirs jusque sur ses épaules. Sans prévenir, il abaisse sa caméra. Le choc total ! Une queue monstrueuse, surtout en LARGEUR, et j’insiste là-dessus, j’en ai déjà vu mais celle-ci est exceptionnelle. Probablement 6 à 7 cm de large, peut-être 8 ? pour une longueur de plus de 20 cm. Je lui dis que je ne pense pas qu’elle pourrait rentrer dans mon cul. -« Tu vas la prendre jusqu’aux boules, kahba (قحبة )», rétorque-t-il en arabe. Son éjaculation était à la hauteur de sa queue géante. La nuit fut encore chaude, en réussissant à faire juter encore quelques mecs que je pensais être syriens eux aussi avant d’aller dormir, en repensant à ces 48 heures de folies où je suis devenu une vraie chienne dévouée, aimante et sincère.   

 

 

SLUT FOR REFUGEES

C'est en partie une histoire vraie. J'espere que vous l'apprécierez Je m'appelle Guillaume. J'ai 19 ans et je suis le fils unique d'une famille catholique et assez conservatrice. Mes parents ne savent pas que j'ai un penchant particulier pour les hommes, et c'est très bien comme ça.

Ils sont donc croyants et vont à l'église tous les dimanches. Depuis l'été 2015, la crise des migrants s'est accentuée, et les prêtres dans les églises ont été invités à proposer aux fidèles d'accueillir des migrants syriens chez eux. C'est ce que mes parents ont fait. Pour le meilleur et pour le pire visiblement.

Le 23 octobre, nous voilà donc en route mes parents et moi pour l'église afin de chercher les deux réfugiés syriens qui doivent venir habiter chez nous. A notre arrivée, le prêtre nous présente deux hommes, je dirais la quarantaine, typés orientaux. Ils ne se ressemblent pas plus que ca.

"-Ah bonjour. Voici donc Ahmed et Tarek. Ils ne parlent pas français, uniquement arabe et anglais. Je vous les confie. Que Dieu vous garde."

Sympa le prêtre, pas tres bavard. Enfin bon je réfléchis pendant que mon père leur montre la voiture et charge les maigres bagages dans le coffre. Mes parents ne parlent pas anglais, je suis donc le seul à pouvoir faire l'intermédiaire. Ca va être l'éclate totale ... En voiture je me retrouve donc derrière entre ces deux hommes virils. Le contraste est assez grand, entre les deux mâles barbus et moi, petit minet maigre sans un poil de barbe avec encore une peau de bébé. Ils sentent assez fort, visiblement le prêtre ne leur a pas proposé de douche depuis un bout de temps. J'avoue que c'est pas du tout mon genre d'homme, donc je ne fantasme pas sur eux.

Ma mère dit alors :

"- tu sais Guillaume, ils vont dormir dans la chambre d'amis, mais tu vas devoir partager ta salle de bain avec eux."

Et merde, j'y avais pas pensé à ça.

Les jours ont passé, ils logeaient à la maison sans vraiment être présents aux activités familiales. En fait, on ne les voyait pas beaucoup, ils passaient leur temps dans leur chambre ou dehors à sortir en ville.

Un jour, je me suis retrouvé seul dans l'appartement. Je n'avais pas baisé depuis longtemps et je bandais pour un rien. J'ai eu une envie de me branler assez forte. Je suis entré dans la chambre des syriens. Et ce que j'ai vu m'a excité au plus haut point. Des affaires sales partout sur le sol, et notamment des slips sales par terre. Je me suis assis sur leur lit et j'ai reniflé un slip qui avait été blanc. Il était plutôt jaunâtre maintenant, et il sentait très fort. Des traces de pisse, des poils noirs, et une odeur de jus et de pisse. Il ne m'en fallait pas plus pour me filer une gaule d'enfer. Ma bite de 14 cm en érection était dure comme jamais tandis que je reniflais. L'idée de poser mon nez et ma langue là où ces hommes avaient mis leur bite était tout bonnement jouissive. Je me branlais énergiquement jusqu'à cracher mon jus dans ma main. Evidement je le léchais pour ne pas en perdre une goutte. J'adore le goût du sperme, le mien particulièrement.

Souvent j'ai refait cette expérience tandis que j'étais seul à la maison. Tout du moins je pensais être seul. Un jour, Tarek est entré discrètement dans l'appartement et a passé sa tête par la porte. Il m'a vu avec son slip sur le nez et ma bite dans ma main.

La conversation qui suit a eu lieu en anglais, mais je vous la traduis.

"-qu'est ce que tu fais là ? T'es sérieux à renifler mon slip ? Ah mais en fait t'es un petit pd ? Je le savais en te voyant marcher comme une fatma dans ton jean hyper serré !

J'essayais de me justifier.

- Non mais je voulais voir si ton slip était sale pour le mettre à la machine.

- C'est ça prends moi pour un con. Je t'ai vu, et j'ai pris une photo avec mon portable. Tu veux que tes parents soient au courant de ce que tu fais ?

- Non s'il vous plaît, pas ça. Je ferai tout mais pas ça. Dis-je en sanglotant.

- Putain et tu pleures comme une meuf. Tu sais, j'ai pas baisé depuis longtemps, alors tu vas commencer par me sucer la bite."

Je tentai de refuser, mais il s'est approché et m'a forcé. Je ne faisais pas le poids, je pèse 50 kilos, lui beaucoup plus. Il m'a collé la tête contre son paquet, et même à travers son jean je pouvais sentir une odeur particulièrement excitante. Il a baissé son jean et son slip en même temps et sa lourde et grosse bite est venu taper contre ma joue. Je me suis pris une espèce de biffle sans que ca soit vraiment volontaire.

Sa bite était grosse, circoncise, et beaucoup plus imposante que mon petit zizi. J'ai alors ouvert la bouche sans trop savoir pourquoi j'obéissais, et j'ai sucé. C'était pas ma première fois loin de là, je suis gay donc j'ai déjà couché mais quand même. Ce mec me répugnait, mais sa bite m'excitait.

J'ai sucé docilement, jusqu'à ce qu'il éjacule partout sur mon visage et sur mes cheveux blonds. Je l'ai vu prendre une photo de mon visage souillé.

"- Ca c'est la preuve que t'es une salope. Si tu m'obéis tes parents ne verront rien. Mais Ahmed doit être au courant maintenant.

J'étais trop sonné pour répliquer quoi que ce soit.

-Allez dégage de ma chambre."

Plus les jours passaient, plus j'étais excité en repensant à ce qui venait de se passer.

Mes parents partirent pour une semaine en Italie. J'étais donc seul avec mes deux syriens dans l'appartement. A peine mes parents eurent-ils fermé la porte d'entrée, que Tarek gueula dans tout l'appartement :

"- Guillaume ! Come here...Viens ici !

Je me dépêchai de le rejoindre.

Il était là avec Ahmed. Ils parlaient en arabe, je comprenais rien du tout.

-Deshabille toi ! me lança Ahmed.

J'obéis jusqu'à me retrouver nu comme un ver.

- Putain regarde sa petite bite ! Il est ridicule, on dirait même pas un garçon.

- T'as raison, il est comme tous les européens.

Et ils rigolaient entre eux, j'été humilié et rouge de honte.

Ce jour là j'ai dû les sucer, mais également me faire enculer et boire beaucoup de jus.

Mais ce n'était pas terminé. J'ai dû leur préparer à manger, leur lécher les pieds, les aisselles transpirantes et devenir leur boniche.

Au fond j'aimais ça, être un larbin. Le lendemain, ce fut la même chose, si ce n'est que maintenant je n'avais plus le droit de m'habiller dans l'appartement. Je devais être nu tout le temps. Et puis Tarek a fouillé dans ma chambre et il a trouvé de l'argent. Il l'a pris, volé en quelque sorte. Mais je n'ai pas bronché. Le Lendemain ils m'ont demandé d'aller à la banque pour retirer de l'argent. Je l'ai fait, et j'ai dû leur donner.

Cette semaine fut éprouvante, je n'ai presque pas dormi, ils ne se lavaient plus, ils étaient sales et moi j'obéissais. Je faisais le ménage, la lessive, le repas, les courses, et je devais leur donner 50 euros par jour à chacun. Ils avaient des photos et des vidéos de moi, je n'avais pas le choix.

Ils m'ont même rasé entièrement, m'ont craché dessus, et une fois même pissé dessus.

J'étais humilié, mais à ma place de pute à migrants.

 .

 

 

 

 

 

 

 

  ce qu'on a été bien en fumant et après avoir fumé la chicha... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

bite dédiée à tous les jeunes tricheurs qui viennent nous visiter malgré les interdits

Devrais-je lentement me faire baiser par des queues de plus en plus grandes ? Daddy, c'est avec toi que je veux perdre ma virginité! et laisser ton énorme bite déchirer mon trou sans attendre jusqu'à ce qu'il ne soit plus jamais pareil, PLUS JAMAIS ET POUR TOUJOURS A TOI. Sinon j'ai envie d'une bite qu'elle soit poilue, musclée, fine et lisse, circoncise, ou non mais une biiiiiite : mon cul a faim ! 

 

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Par FISUNIK - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 08:11

Le dimanche matin, Frédéric, 32 ans, cuisinier, prend un long bain aux huiles essentielles et se fait un peu plaisir. « Pourquoi la douceur et les bonnes odeurs seraient-elles réservées aux femmes ? se demande-t-il. On peut être homme, hétéro, -un peu 'queer' quand même - pas obsédé par son image et apprécier de se faire du bien, non ? Je travaille toute la semaine dans un 'open space' à l' ambiance pas spécialement facile, voire plutôt difficile. Le dimanche matin, je prends soin de moi pendant une petite heure. » Frédéric souligne quand même que son bain est « à la lavande, pas à la rose », et que son masque à l’argile « est vendu en pharmacie ». Une précision en forme de détail qui signifie : -« je suis sûr que je ne suis pas le seul ».

 

  amoureux de soi ! 

le beau cuisinier...j'espère que tout le monde se trouve beau...juste pour soi, pas pour le monde

L'art du bain

  un rêve qui arrive tout seul à cheval sur  des souvenirs...  

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est-ce que nos doigts n'en viennent pas toujours là, de façon innée ? je sais que les innocents bébés se branlent dans leur berceau !

branler c'est branler et décoller aussi comme une fusée -lol- ...Image associée Image associée   Image associée

parfois, c'est tellement bon qu'on pense être en train de voler et toucher les étoiles avec les mains. Surtout quand on revit en rêve des histoires qu'on a vécues, bien réelles ; j'aime faire"replay", mais aussi faire "vivre" des histoires nouvelles,de celles qui ont commencé sur une rencontre et se sont arrêtées en bon chemin. 

Ainsi quand Philippe m'a lâché : -" Tu veux pas être Madame Deschaumes pour la nuit ? " -"..."j'avais bêtement répondu non en secouant la tête. Dans mes regrets, en rêve, je fais de lui le meilleur des amants. Ces pensées sont mêlées de reproches que je m'adresse de n'avoir pas assumé mon désir de peur que ça se sache ou que Philippe s'en vante comme il faisait avec Manu avec lequel il avait été en camping...Je n'avais qu'à faire comme Manu : plaisanter et faire semblant que ce soit arrivé, pour rire, alors que dès la proposition directe de Philippe je devais compendre que c'était vrai : ils avaient baisé dans le même duvet et, avec culot, ils avaient nargué celui qui les avait découverts couchés ensemble, nus sous le duvet  ("tu peux pas savoir comme c'est bon, comme ça détend" avait eu le culot de dire Manu ) voulant donner le change avec une vérité ....trop invraisemblable.

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Par LEO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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