PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét

Samedi 4 mai 6 04 /05 /Mai 21:28
Trey Pearson, 35 ans, a été le chanteur du populaire groupe de rock chrétien Everyday Sunday. Mais il a décidé de mettre sa carrière en jeu et de faire connaître à ses fans qu’il est gay. Photo courtoisie de Trey Pearson https://religionnews.com/2016/05/31/christian-rockstar-comes-out-as-gay-heres-the-letter-he-wrote-to-the-world/ 
Trey Pearson, 35, has been the lead singer of the popular Christian rock band "Everyday Sunday." But he decided to put his career on the line this week and admit to his faithful fans that he is gay. Photo courtesy of Trey Pearson
À tous mes fans et amis:

J'envie ceux qui n'ont même pas eu à se poser cette question de savoir si leur vie est en accord avec ce qu'ils sont réellement.
Ces derniers mois ont été les plus difficiles - mais ont également été les mois les plus libérateurs - de ma vie.

Pour faire court, je suis parvenu à me faire admettre à moi-même et à ma famille que je suis gay.

J'ai grandi dans un foyer chrétien très conservateur où on m'avait appris que mon orientation sexuelle était une question de décision dans laquelle j'aurais mis toute ma foi. Je n'avais jamais admis auparavant que j'étais gay. Je n'ai jamais voulu être gay. J'avais peur de ce que Dieu penserait de cela et de ce que toutes ces personnes que j'aimais penseraient de moi; donc ça ne s'est jamais présenté comme une option pour moi. Je réprime ces attractions pour les garçons et ces sentiments depuis l'adolescence. J'ai essayé toute ma vie d'être hétéro. J'ai épousé une fille et j'ai même deux beaux petits enfants. Ma fille Liv a six ans et mon fils Beckham deux ans.

Trey Pearson on the June 2016 cover of (614) Magazine.

Photo courtesy of (614) Magazine

 
Mais je me suis aussi rendu compte que beaucoup de temps s'était écoulé dans ma vie, à repousser, bloquer et ne pas vouloir tenir compte des vrais sentiments qui habitaient en moi, à mon insu. J'ai essayé de ne pas être gay pendant plus de 20 ans de ma vie.
En tant que fils de pasteur, adolescent éduqué de façon intensément chrétienne, j'ai trouvé beaucoup de réconfort dans la lecture de la bible et du prophète Samuel 
(1 Samuel 18-20) et dans l'intimité platonique de son fils Jonathan pour son ami David. J'ai fait mienne l'idée qu'une telle amitié masculine pourrait combler ce vide que je ressentais dans mon désir de compagnie que je trouvais naturel et que devait éprouver tout adolescent. J'ai toujours pensé que je devrais trouver normales ces amitiés intimes, et qu'alors ce serait suffisant.

Ensuite, j'ai pensé que tout viendrait naturellement lors de ma nuit de noces. Honnêtement, je n'avais même jamais fait l'amour avec une fille avant de me marier. Bien sûr, cela me semblait devoir être tout naturel. Essayer de ne pas être homosexuel n’a fait que susciter chez moi un désir d’intimité et une exigence dans les amitiés, ce qui a eu pour effet d'éloigner des amis qui ne ressentaient rien comme moi. Cela a abouti à un mariage où je ne pouvais ni aimer ni satisfaire ma femme de la manière dont elle en avait besoin. Malgré tout, j'ai essayé de me convaincre que c'était ce que Dieu voulait et que cela fonctionnerait comme chez les autres. Je pensais que tous les autres sentiments confus qui étaient en moi resteraient à l'écart si je pouvais faire l'amour correctement.

Quand Lauren et moi nous sommes mariés, je me suis engagé à l'aimer du mieux que je pouvais et j'avais la ferme intention de passer le reste de ma vie avec elle. Malgré tous nos efforts, cependant, j’ai fini par admettre que rien ne changerait ce que je suis.
J'ai des sentiments extrêmement mitigés et troublés au sujet des changements qui ont eu lieu dans ma vie. Bien que je regrette la façon dont on m'a appris à gérer ma jeunesse, à quel point cela m'a fait mal et à la douleur involontaire que j'ai causée à Lauren, je n'aurais pas l'amitié que j'ai maintenant avec elle et nous n'aurions pas nos deux incroyables beaux enfants. Mais si je continue d'essayer de minimiser cela, cela finira par lui faire encore plus mal.

Je ne pourrai jamais changer ma situation, et quelle que soit la santé de notre relation, cela ne changera jamais ce que je sais au fond de moi : que je suis gay. Lauren a été la personne la plus encourageante, compréhensive, aimante et bienveillante que je pourrais jamais demander, alors que je venais de faire face à cela. Et maintenant, j'essaie de comprendre comment devenir co-parent tout en étant son ami et comment élever nos enfants.

Ce n'est pas pour autant que je serais devenu mécréant. J'ai beaucoup progressé dans ma foi au cours de ces dernières années. Je pense que je devrais pouvoir affirmer pour moi-même comme pour d'autres homosexuels que Dieu nous aime. De même, je ne pouvais pas compter sur les autres pour qu’ils m’acceptent comme je suis jusqu’à ce que je sois admis dans la Communauté.


Je sais que j'ai un long chemin à parcourir. Mais si cette honnêteté avec moi-même à propos de qui je suis et de ce que Dieu m'a fait être ne constitue pas une paix qui dépasse l'entendement, alors je ne sais pas ce qui se passe. C'est comme si tout ce poids que j'avais porté toute ma vie s'était levé et que je n'avais jamais ressenti une telle liberté.

En partageant cela publiquement, je fais un pas de plus vers la santé et la complétude en m'acceptant moi-même et chaque partie de moi. Ce n’est pas seulement une idée que je suis gay. C'est ma vie. C'est moi qui suis authentique et réel avec moi-même et les autres. Cela fait partie de qui je suis.

J'espère que les gens entendront mon coeur et que je serai toujours aimé. Je suis toujours le même gars, avec le même cœur, qui veut aimer Dieu et aimer les gens avec tout ce que j'ai. C'est une partie de moi que je suis maintenant capable d'accepter, et maintenant c'est une partie de moi que vous connaissez aussi. J'ai confiance en Dieu pour aider l'amour à faire le reste.

- Trey
 
L'interview  de Trey Pearson  pour le  mag religieux RNS :
par Jonathan Merritt
 
«Je ne veux pas pleurer. Cela fait tellement longtemps que je suis en chemin. "

Trey Pearson, 35 ans, a été ému lors de notre première entrevue et il est facile de comprendre pourquoi. Au cours des 15 dernières années, il a été le chanteur du célèbre groupe de rock chrétien Everyday Sunday. Mais il a décidé de mettre sa carrière en jeu cette semaine et de reconnaître à ses fans qu’il est gay.

«J’ai finalement décidé de faire mon coming-out parce que je ne pouvais pas continuer à essayer d’être quelque chose que je n’étais pas», m’at-il dit.
 
Une rock star chrétienne révèle son homosexualité . Voici la lettre qu'il a écrite au monde entier
 
 
Depuis 2001, le DVD "Everyday Sunday" de Trey Pearson s'est vendu à environ 250 000 albums, et son album de 2009 a fait son chemin sur le très convoité Billboard 200. Il a fait des tournées dans les 50 États et 20 pays, jouant avec les meilleurs musiciens chrétiens tels que Toby Mac, Switchfoot, MercyMe, Jeremy Camp et d'autres. Photo courtoisie de Trey Pearson 

 


COMMENTAIRE :

 

 

 

l'amour est l'amour ❤
Les garçons aiment les garçons, les filles aiment les filles
  «Et je ne peux pas changer, même si j'ai essayé. Même si je voulais »

 

Cet article est exemplaire

Les jeunes gays cavaillonnais (et d'ailleurs) doivent bien réfléchir aujourd'hui pour leur bonheur de demain et ne pas lutter 20 ans de leur vie pour n'avoir que des regrets à gérer !  

  

  

 

Vu la casse pour les enfants et leur maman, beaucoup de bis sont restés le papa et l'époux bien sages... on en connaît !

 

 

Par TREY PEARSON - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 1 mai 3 01 /05 /Mai 08:00

Résultat de recherche d'images pour "coeur brisé" Image associée   Ca commence bien le plus souvent, mais ça brise le coeur de ne jamais se revoir !

Des fois je suis capable de me surprendre encore moi-même. Cette fois j’étais parti de chez moi vers 22h30 avec une furieuse envie d’avaler et de bien m’occuper du sexe d’un sympathique garçon. Je suis depuis plus de 45 minutes sur le parking d’un lieu de drague gayde l’est parisien (je ne sais pas s’il existe des lieux de dragues hétéros ??) . Les voitures passent et repassent, les conducteurs essayent de voir dans la lueur furtive des phares la tronche des mecs qui attendent...

suite desssous

 ça m'a fait penser que...

 

 

Image associée

POUR DIRE QU'IL Y A DES POINTS COMMUNS ENTRE DRAGUEURS DE NUIT, Un soir que je suis sorti de chez mon mec peu rassasié, mes pas m'ont automatiquement dirigé sur la drague proche. Là, de tasse en tasse, je suis arrivé à un endoit très glauque. Des préfabriqués désaffectés. Une sorte de squatt de SDF. Là-dedans on n'y voyait goutte. Y avait quelqu'un. On se devinait au toucher. Je me suis pas enfui ! En plus de la faim de sexe qui demeurait, le résultat de mes palpations m'a incité à rester. Maman ! Un régal en tout pour un plan entre inconnus de chez inconnu. Un souvenir charnel impérissable. Une bite grosse, extra dure et ardente et endurante dont je ne pourrai jamais dire la couleur. J'ai accepté le risque, tous les risques. Moi qui étais parti peu satisfait de chez mon pote, je suis reparti chez-moi comblé sans demander mon reste !

Lire directement tout le récit de hothothot sur cyrillo : https://cyrillo.biz/histoire/dose.htm

  


suite :

...Pour ceux qui ne connaissent pas les parkings de drague (ben oui, il y a des pov' petits qui ne possèdent pas de caisse) il y a plusieurs attitudes stéréotypes suivant le caractère des garçons en question. Les chiants qui ne savent pas ce qu’ils veulent, ils sont persuadés d’être tellement haut de gamme qu’ils espèrent tomber sur des clones de Vin DIESEL*. Ils ne sortent pas de leur voiture, gardent la vitre fermée, bref avec moi aucune chance que je rampe jusqu’à eux en tapotant comme un mendiant sur la vitre coté conducteur.

 

 

Les exhibs, ne me font pas rire car à 99.99% ils s’agit de vieux laiderons hyper moches et même des fois encore pire que tu peux imaginer. C’est sur les lieux de drague la nuit que j’ai vu les mecs les plus laids de ma life. Bref ce soir la j’étais arrivé trop tôt. Je sais bien pourtant que ma meilleure technique c’est d’attendre la fin de la nuit, vers 1h30 du mat. Les timides MAIS terriblement sexy osent alors des choses bien agréables. Il est maintenant 1h40 du mat, j’ai presque fini tout mon stock d’Hollywood (je ne fume plus depuis 9 mois, ouais super victoire). Le programme de radio FG est nullissime. Je suis seul, aucune autre voiture que la mienne sur le parking. Et enfin l’apparition tant espérée. Une Clio blanche banale se gare à quelque mètre de ma 106. Il éteint ses phares, le moteur. Le silence est pratiquement total. En tendant l’oreille on peut peut-être percevoir le bruit de l’autoroute A4. Je laisse passer une grosse minute sans rien faire, je ne tiens vraiment pas être le bouffon de service qui au moment ou il sort de sa caisse pour aller pécho le mec, regarde la bave au lèvre (bon j’en rajoute un peu je ne bave pas encore) la caisse du type se barrer en faisant crisser les cailloux grâce à un embrayage viril et décidé. Bon la minute est complètement passée. J’ouvre ma portière. STOP ! Ici il faut que je vous donne un conseil, style-genre le type : J’ai testé pour vous. Alors moi ma technique, c’est j’ouvre ma porte et je reste 1 longue seconde assis sur mon siège AVEC le plafonnier allumé avant de vraiment sortir de la caisse. Alors koi ? Ben le keum il va OBLIGATOIREMENT téma ma petite tronche. Bon alors si vous êtes un gros thon, no way pour vous. Oublier de suite, vous, vous devez trouver un autre truc spécial « je suis un gros thon, mais (ici mettre votre atout secret connu de vous seul) ».

Bon un appui sur la petite touche de ma clef verrouille simultanément et avec un beau bruit sec les accès de ma mémé, ben oui je fais dans l’anthropomorphisme. Pour calculer l’age de votre caisse en age humain il faut multiplier par 12. Donc ma caisse à 6 ans, soit en age humain 72 balais, c’est bien une mémé, non ? Rien de bouge dans la clio. Je vais direct à la vitre de sa porte coté conducteur, et je dis d’une voix (que j’espère assurée).

- Salut.
Bon je sais c’est pas super fort comme dialogue, mais si le type dans sa caisse fait « semblant » de consulter avec un intérêt passionné les sms qu’ils vient de recevoir, moi je ne vais pas ramper comme un esclave, je me tire.

Mais sans hésitation la porte de la Clio s’ouvre et descend ce que j’appelle (bon il faut être indulgent avec moi, allez soyez sympa pas trop de message d’insulte et de sortilège vaudou, merci) un « OHH Oui ».

J’ai 4 niveaux de cotation de keum. Les « bof » si vraiment il insiste je me laisse faire. Les « Je goûterais bien la bête » le type a un truc qui fait tilt dans mon brain mais je ne sais pourquoi, par contre ma teub elle, elle gonfle bien comme il faut. Les « OHH Oui », alors eux ils ont une stature et une gueule qui me font dire « OHH Oui » à TOUTES leurs demandes, je deviens très soumis et passif avec ce type de garçon qui possède la dose d’hormone nécessaire. Et en dernier les « RRRAAAHHHH lovely » eux finissent en général entre deux draps de coton.

- Salut, moi c’est nico, je suis actif, et toi tu suces ?
- OHH Oui. Pas de problème je suis là pour ça.

Selon la procédure habituelle, nous nous éloignons des caisses en entrant un peu dans le sous-bois. A ce niveau de contact les choses peuvent tout à fait merder grave, en effet le type sort sa teub et 10 mouches tombent raides mortes de suffocations à ses pieds ! Ah la ça ne va pas être possible. Mais la sainte patronne des joyeux en manque est de mon coté ce soir. Nico s’adosse à un arbre et me laisse me servir tout seul, comme au rayon frais à Carrefour. Il est déjà raide comme une pierre. Je parle de son pieu bien sur. Bon à ce moment je peux cracher mon chewing-gum, j’ai mieux à me mettre sur la langue, arf, arf, arf. Comme j’ai déjà testé le « presque » hétéro qui crache au bout d’une minute chrono (et je n’exagère pas du tout, demandé autour de vous je suis méga certain que vous trouverez un pote qui vous dira sa désillusion lorsque le mec top canon a rangé son matériel (encore gluant de salive et de jus) et est reparti vers sa caisse vous laissant comme un pov le sperme brûlant bloqué dans vos couilles). Je fais donc coulissé doucement entre mes lèvres avides son cylindre qui augmente de volume atteignant la taille que je kiffe bien. C'est-à-dire une taille qui me permet de bien la prendre en entier au fond de la gorge sans risquer la mort par asphyxie.

- Oh toi t’as une bonne bouche.

Que voulez-vous répondre à ce type de déclaration ? D’abord avec une bite dans la bouche mes possibilités de dialogue sont giga limité, je pourrai émettre un borborygme style « mummm, erchhhhhhhi, ». Je fais glisser mes dix doigts sur son ventre recouvert d’une douce toison, ses cuisses aussi ferme que massive apparaissent une fois que son fute tombe sur ses baskets. J’ose une incursion timide vers ses boules, il ne manifeste pas de réprobation. Je goûte complètement la saveur de sa teub qui garde sa raideur intacte. Je change régulièrement de cadence et ma langue entoure bien sa hampe je savoure la douceur extrême de son gland. Bref je prends bien mon iep.

- Ah oui c’est bon, avale là en entier, vas y à fond !

Il enserre de sa main droite sa queue et mes lèvres viennent déposer une bonne couche de salive sur son index à chaque va et viens. J’entendais son souffle devenir plus court et comme je voulais le garder encore un peu avec moi je quittais (ben oui il faut savoir prendre des décisions douloureuses!) son superbe engin pour me concentrer sur son torse, mes doigts et ma bouche commencent de concert une complète exploration. Je commence par bien lui lécher son ventre, en insistant juste ce qu’il faut sur son nombril. Ses abdos sont maintenant luisant d’humidité, il relève les bras et jette son haut de survèt par terre (cela doit être sa meuf qui fait la lessive). Les muscles de sa poitrine ne sont pas très développés mais par contre il a des épaules de rêves que je ne me lasse pas de tripoter. Au moment où mon visage redescend vers le bas il me fait le coup classique des coups de bites sur le visage, bon tout le monde sait que les « hétéros » regardent vraiment trop les films pornos de Marc Dorcel. Je pensais que les choses allaient se terminer comme d’hab à savoir je reprends ma pipe et 2 minutes plus tard il me crache son jus… Mais j’ai été méga étonné quand Nico ouvre son petit sac à dos et en extirpe un gode à pile !! Il tourne la base et le truc se met à vibrer comme mon Nokia ! Et à ce moment avec sa voix revolver il me sort :

- Tu me le fourre bien profond et crache dessus avant ok !

Me voilà en train de molarder grave sur le cylindre de couleur vert (bizarre je croyais que tout les godes étaient rose, en plus il a pas la forme d’une bite, c’est juste un cylindre lisse) en attendant Nico se dirige vers la table de pique-nique. Il enlève ses tennis, ses chaussettes, son slip et son fute, il lui reste juste son tee-shirt. Il s’allonge en relevant les cuisses qu’il bloque en mettant ses deux mains sous ses genoux. Quand même un peu timide, je pose le bout du gode sur sa rondelle et j’appuie très légèrement. 2eme surprise de la nuit, je ne rencontre pratiquement aucune résistance, et déjà 5Cm englouti sur les 20 de l’objet en plastique. Nico pousse un petit gémissement, et à ce moment il se lâche complètement car il me sort :

- Frappe moi les fesses avec la paume de ta main, tu peux me traiter de salope si tu veux !

C’est la première fois que je faisais un truc comme ça, super bizarre comme sensation. La première tape je l’ai fais gentil, et puis j’ai augmenté la force de mes claques pour voir si Nico allait réagir en me demandant de faire moins de bruit. En effet dans le silence de la nuit j’avais l’impression que le –clac- devait s’entendre hyper loin. Je lui faisais des claques avec juste la paume en écartant bien la main de façon à ce que mes doigts ne touchent pas sa fesse. Malgré la pénombre je pouvais voir que sa peau avait changé de couleur sur la zone ou j’appliquais ma main.

J’avais commencé depuis 2-3 minutes et donc j’avais du lui donner 10-15 baffes environ, et j’avais trouvé me semble t’il un bon compromis entre la tapette donné par une tapiole et la méga baffe qui n’aurait eu plus rien d’existante. Moi par contre j’étais excité par la petite contraction des muscles de Nico au moment ou ma paume frappait sa peau en produisant le son caractéristique de la baffe. Ses paupières se fermaient pendant une fraction de seconde. Bref je suppose qu’il avait un peu mal mais qu’un mec comme lui aurait plutôt crevé que de me l’avouer. Bon le truc des baffes me gavait un peu alors je lui pose les mains sur les épaules, il comprends que je veux qu’il change de position, et il se retourne m’offrant une super vue sur ses fesses et un magnifique dos musclé. Je reprends mon godage super motivé. Par contre son gode n’a pas de couilles donc je manque de prise pour bien lui bourrer le cul. Lorsque j’arrive à lui enfoncer presque à fond il grogne un peu. Je me couche sur son dos et j’arrive à le branler doucement d’une main, à le goder de l’autre, et je lui lèche le cou, je lui mordille les oreilles, je fais glisser mes lèvres sur la courbe appétissant de ses épaules. Son sexe est de nouveau bien raide et il n’arrête pas de geindre de plus en plus fort, je le retourne et je l’allonge complètement sur la table, j’engloutie sa bonne teub et j’ai bien fait de ne pas la laisser orpheline car quelques secondes après Nico, en poussant un puissant cri de bête, m’inonde ma bouche de son jus. Lorsque son zob a été bien nettoyé il m’a laissé continué à le sucer pendant que son volume diminuait un peu, hum c’était super bon. Il n’a pas fait mine de me donner un coup de main à l’endroit que vous pensez, et ben non faut pas rêver mon pov J. En le raccompagnant à sa caisse il me dit la phrase bateau giga bidon :

- A une prochaine !

Les points rouges de ses feux disparaissent me laissant un peu désemparé. Évidemment après un truc comme ça j’étais encore plus raide dingue excité qu’en arrivant, il fallait que je trouve quelqu’un. J’ai quand même attendu presque 30 minutes en disant putain à cette heure ils sont tous dans leur lit. Puis une caisse arrive, je sais au moment ou elle entre sur le parking que c’est bon pour moi. Je pouvais me planter grave avec ce type de prémonition, mais la voiture en question se gare juste à coté de ma caisse. Moi je voulais juste une bouche motivée donc j’attends qu’il sorte pour voir Mais rien. Par contre il avait éteint ses phares. Je me décide tant pis si c’est un vieux débris je me tire et je rentre me coucher.

Lorsque j’arrive au niveau de la vitre coté passager il ouvre direct la porte, c’est un jeune mec mais pas le style que j’aime, mais bon à cette heure je ne vais pas faire la fine bouche. Je capte de suite par contre la direction de son regard, je m’assois sur le siège et je baisse mon bermuda et sans un mot il me pompe. Bon allez il suce assez bien, mais son physique est trop efféminé pour moi, je ne le touche pas du tout. Lui il me passe les mains sur les cuisses, et moi quand même pour qu’il comprenne qu’il ne doit pas s’arrêter je lui pose ma main bien à plat sur la nuque. Il a une bouche bien chaude et il trouve le bon rythme tout seul, comme j’étais cho je passe (sans vraiment en avoir envie) ma main pour juste voir si il bandait un peu. Putain la surprise, je tombe sur un assez gros bâton et surtout le plus intéressant, la dureté du truc, incroyable. J’avais l’impression de toucher un os ! D’un seul coup ce petit keum devenait plus attrayant.

Il avait une fiat, et vous connaissez certainement la très sympathique caractéristique de cette marque, non ? Ben je vous laisse la découvrir vous-même. Nous avons décidé toujours sans prononcer un seul mot de nous débarrasser de nos fringues. Et j’ai pu goûter la tige. Alors je garde ce souvenir dans un coin de mon brain c’est la queue la plus dure que j’ai jamais eue en bouche. La quantité de son sperme m’a permis d’avoir la bouche bien pleine, je lui ai rendu la pareille. Bon nous avons échangé nos n°, il va falloir que j’arrive à lui faire jeter tout ses trucs de mylène et compagnie, c’est pas encore gagné. Il râle un peu lorsque je refuse qu’il porte ses polos roses fuschia. Mais j’adore lorsque me tient la main en la serrant bien fort, et je ne me lasse pas de ses bisous dans le cou. Plusieurs années après je me rappelle tout à fait que j’avais une grosse boule dans la gorge lorsque je l’ai déposé à CDG, son con de père venait d’accepter une mutation en Australie !

Tu clic ci-dessous et tu m’envoies un message, trop facile !

hothothot77@tsointsointsoin .com

et si personne répond t'auras un peu plus ton p'tit coeur brisé...Il t'a bien pilonné le cul et maintenant voilà il te pilonne le coeur à longueur de vie

Résultat de recherche d'images pour "coeur passé au pilon ou à la machine"il ne reviendra jamais

 

  commentaire :

 

 


 

 

  NOTES :

*Vin Diesel

 Image associée Elevé par une mère astrologue et un père adoptif professeur et directeur de théâtre, Vin Diesel monte sur les planches dès l'âge de sept ans dans le quartier new-yorkais de Greenwich Village. Tout en continuant le théâtre, avec la troupe de son père puis à Broadway, il étudie l'anglais et l'écriture artistique à l'Université de Hunter. Doté d'un physique impressionnant, il devient parallèlement videur dans certains établissements huppés de New York. En 1994, Vin Diesel se tourne résolument vers le cinéma en écrivant, produisant, réalisant et interprétant son court métrage Multi-Facial. Après un premier long remarqué, Strays, présenté au Festival de Sundance en 1997, il est contacté par Steven Spielberg pour le rôle d'Adrian Caparzo dans Il faut sauver le soldat Ryan (1998).


Sa carrière lancée, il prête sa voix rauque au Géant de fer (1999) dans le dessin animé éponyme de Brad Bird, puis s'illustre dans le drame indépendant Les Initiés, primé à Deauville en 2000, et le film de science-fiction Pitch Black (id.). Là, il incarne l'anti-héros nyctalope Richard Riddick, un rôle qu'il reprendra trois ans plus tard pour les besoins des Chroniques de Riddick. En 2001, il connaît un véritable triomphe avec le vrombissant Fast & furious, qui remporte 144 millions de dollars aux Etats-Unis pour un budget cinq fois moindre. Une réussite qui lui vaut l'entrée dans le club des acteurs au cachet s'élevant à plus de 10 millions de dollars par film, et le développement de nombreux projets sur son seul nom.


En 2002, Vin Diesel enrichit sa collection de rôles musclés avec le film d'action XXX et le polar Un homme à part. Trois ans après, l'acteur s'essaie à la comédie avec Baby-sittor et Jugez-moi coupable de Sidney Lumet, mais le public le plébiscite davantage dans un registre physique comme le prouve sa collaboration avec Mathieu Kassovitz pour le futuriste Babylon A.D. et son retour dans la saga Fast and Furious avec Fast & Furious 4 (2009), Fast & Furious 5 (2011), Fast & Furious 6 (2013), Fast & Furious 7 (2015) et Fast & Furious 8. Une saga de films extrêmement lucrative pour laquelle il s'investit aussi beaucoup au niveau de la production.


Acteur de franchises musclées, Vin Diesel se glisse parallèlement à nouveau dans la peau du tueur qui l'a rendu célèbre en la personne du redoutable Riddick (2013), double le personnage de Groot dans Les Gardiens de la Galaxie (2014) et reprend son personnage de sportif de l’extrême devenu agent d'élite dans xXx : Reactivated (2017).

Par HOTHOTHOT77 SUR CYRILLO - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 30 avril 2 30 /04 /Avr 13:01

  cavaillongay pour toutes ces vues  a refusé tout ce qui peut ressembler à un viol : on se donne ou on donne sinon  on est disqualifié        Elle va te défoncer l'oeillet, mon joli !! a susurré mon amant, en forçant ma rondelle. J'ai voulu pousser un cri, tellement la douleur était soudaine, mais, de sa main libre il m'a  bâillonné la bouche et mon hurlement a été étouffé.

J'ai senti que je m'ouvrais, et le sergent m'a dit que je n'étais qu'une salope, qu'il allait me la mettre jusqu'au fond, qu'il giclerait dans mes entrailles et que j'en voudrais encore

   rubberband     

 

 

Vous avez mal selon votre goût ? vous n'avez pas assez mal? 

Image associée   attends, tu vas aimer, tu vas voir

 

  Y a-t-il quelque chose de choquant à ce que nous allons dire ?  Des gars collent leur bite dans dans les fesses d’autres gars parce que cela leur fait dire «oui iiiiiiiiiiiiiii» et (espérons-le) ça leur fait avoir de super orgasmes et la plupart se foutent que ce soit à leur prostate qu'ils le doivent.  Ils baisent, ils jouissent et ne les emmerdez pas à chercher comment ça marche. 
Ca fait mal ! Bien sûr, ces gars éprouvent de l'excitation par la douleur! Mais faut il en faire une généralisation? Il y en a quand même qui cherchent à échapper à la douleur et utilisent des produits comme Anal Eze et d’autres lubrifiants /des crèmes /des sprays désensibilisants. Pour moi c'est con car la douleur fait partie de la baise homo.   

          

 rubberband   Image associéeil dit : «va doucement ! » Mais est-il sincère ou aime-t-il tant soit peu avoir mal ? ?

Image associée Image associée 

        super orgasme     

 " Quand j'ai senti qu'il allait se répandre en moi, j'ai serré mes sphincters pour qu'il me sente bien.
Sous cette caresse, son braquemart a lâché une purée qui m'a rendu dingue sexuellement. Un orgasme incroyablement fort m'a submergé et je me suis répandu contre le mur, en quelques jets énervés "    

Image associéeserré mes sphincters

 

 

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Image associée

  Je me relève et, avant qu'il ne reprenne ses esprits, je lui introduis direct mon bambou jusqu'aux couilles. Cette pénétration agit sur lui comme un coup de fouet. Il tente de se redresser, la bouche grande ouverte sans avoir pu émettre un son, stupéfait. Il ne bande plus mais je vois dans ses yeux un bonheur intense, une envie de résister à cette douleur subite qui l'a traversé lorsque ma bite large et épaisse lui a élargi la rondelle.  

Image associée "Je ne m'appartenais plus. Je n'étais plus qu'un cul qui en voulait toujours plus. Il m'a fait mettre dans les positions les plus incroyables et mon cul a été défoncé à tout bout de champ, me rendant dingue du sexe des hommes, mes pédés, mes frères". 

Image associée

 

Image associée

 

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  "Laurent souffle fort, halète, le temps que son petit cul se détende puis finit par s'allonger de nouveau.  Résultat de recherche d'images pour "gif gay porn fucked boy out of breath" Hors d'haleine et pourtant c'est pas Laurent qui se dépense !  

 


" Fabien…..baise moi, c'est trop bon "   oui, il en veut, c'est bien ce que j'avais pensé…
Je le coulisse alors une ou deux fois sur toute la longueur de ma queue. Ses yeux sont grands ouverts, son souffle court. Il profite pleinement de chaque coup de bite qu'il reçoit. J'augmente la cadence. A présent, ma queue glisse parfaitement dans ce petit trou qui s'offre à moi. Laurent apprécie de plus en plus et reprend bruyamment ses gémissements".Image associée

 

 

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 "Quelle vision :  tous nos vêtements jetés en panique au sol et la pièce saturée de nos odeurs masculines...Je captais une bonne part de sa force à travers mon trou de balle". 

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 "Fabien finit par jouir en moi en soufflant comme un cheval en rut.
Quel dommage d'avoir une capote! J'aurais bien aimé sentir son sperme chaud dans mes entrailles, mais bon, c'est comme ça, pas le choix, la prudence avant tout!
Il vient s'allonger à côté de moi, tout en sueur, et m'embrasse goulûment, me caressant le sexe débandé à cause de la sodomie.
Très vite ma queue reprend sa taille respectable. Il est vrai que je n'ai pas encore joui depuis mon arrivée.
Il me suce, me branle, me bouffe les couilles... Tout cela en même temps!
Il ne faut pas longtemps pour sentir la jouissance monter dans ma verge, et exploser littéralement en de longs jets saccadés et nourris.
Il prend tout dans sa bouche, en avale une bonne partie, tout en continuant à me branler vite et fort.
Je me souviens que deux minutes après l'éjaculation, il me branlait toujours.
Mon sexe n'était plus qu'une terminaison nerveuse, tout mes sens étaient en alerte, ma queue me brûlait de plaisir.
Et, là, j'ai eu un orgasme énoooorme!
Voilà, c'est sûr, je te rappellerai Fabien !" 

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Par KANETT - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 24 avril 3 24 /04 /Avr 07:53

      Si tu as jamais essayé de contraindre une anguille, tu as vu que de par sa lubrification corporelle, de par sa force, c'est impossible. Epidémie de poissons  dans le cul, là où on met des bites.

Au fait avez vous fait le rapprochement avec l'expression " avaler des couleuvres" ? -lol- 

Ce Brésilien a vécu avec un poisson, toujours vivant, mesurant 125 centimètres, dans le ventre.

Une anguille c'est tout en muscles, ça vibre, ça ondule de l'intérieur, c'est plus fort que toi si tu essaies de t'opposer à sa progression même si tu serres de toutes tes forces...  

 

  Résultat de recherche d'images pour "gif anguille, photo" 

Chine : un homme arrive aux urgences avec une anguille coincée dans l’anus

Par Alberto    Publié le samedi 18 novembre 2017      
                     Image associée  
        c'est gros-épais- vigoureux, glissant...ce que vous souhaitez, les gars, d'un pénis, mais...            
Chine
             c'est fort, musclé, entêté, puissant...ce qu'envient ou désirent beaucoup de gars que nous connaissons          
            
Attention , si vos avez l'imprudence de la placer à l'entrée de votre anus, jamais (suivant sa taille surtout) vous ne pourrez l'empêcher d'entrer et probablement d'aller très loin dans vos tripes.        
           

Nouvelle mode en Chine. De plus en plus d’hommes se présentent aux urgences avec des poissons coincés dans leurs anus.

L’anguille était toujours vivante

Le 10 novembre dernier, un homme âgé de 40 ans a été admis en urgence à l’hôpital universitaire de Nanchang, en Chine. Se plaignant de forts maux de ventre et après avoir passé un scanner, les médecins ont découvert une anguille toujours vivante dans son intestin.

Au terme d’une longue opération, les chirurgiens ont réussi à extirper l’animal du corps de l’homme. L’anguille était toujours vivante à sa sortie, mais a rendu l’âme peu après. Quant au patient, il a refusé d’expliquer comment l’anguille était rentrée dans son anus, rapporte Metro UK.

Un troisième cas en moins d’un an

En mai 2017, un homme s’était retrouvé à l’hôpital pour des douleurs au ventre. Il avait expliqué aux médecins, que lors d’un jeu sexuel, il s’était inséré une anguille vivante dans l’anus, mais qu’il n’a pas réussi à la ressortir. Heureusement, les chirurgiens avaient extrait l’anguille avec l’aide d’une pince. Le Chinois de 49 ans s’en était tiré sans séquelle, mais avec un très mauvais souvenir de sa soirée.

En mars 2017, toujours en Chine, un homme ivre s’était également présenté à l’hôpital après s’être introduit deux poissons dans l’anus. Une fois à l’intérieur, les deux loches avaient nagé dans ses intestins. Cependant, l’un des poissons avait percé la paroi de l’intestin(péritonite) et causé de graves douleurs abdominales.

Attention la vidéo peut choquer un public non averti

 

 

Publié le samedi 18 novembre 2017 à 18:20, modifications mardi 21 novembre 2017 à 13:30
Sujets associés Homosex 

Un homme accepté aux urgences avec une anguille dans l'anus

Dans le sud de la Chine, un patient est arrivé à l'hôpital avec, dans son système digestif, un drôle de locataire.

L'anguille mesurait environ 50 centimètresL'anguille mesurait environ 50 centimètresCrédit : Capture d'écran du site The Sun
        RaphaelBossePlatière  Raphaël Bosse-Platière   Journaliste RTL                               

"S'il vous plaît, s'il vous plaît, aidez-moi ! L'anguille bouge dans mon corps" se plaignait un homme arrivant aux urgences dans un hôpital de la province de Guangdong (sud de la Chine), rapporte le quotidien Britannique "The Sun".

Les médecins ont admis le patient en urgence, afin de lui retirer le poisson serpentiforme qu'il s'était vraisemblablement inséré dans l'anus. L'homme aurait tenté de reproduire une scène vue dans un film pornographique. Après plusieurs heures d'opération et un traitement intensif, les chirurgiens sont finalement arrivés à retirer le poisson d'une cinquantaine de centimètres de son système digestif. L'animal qui pesait près d'un demi-kilo, était remonté jusqu'à l'estomac de l'individu, à en juger par la radiographie.

              Ce patient sera poursuivi pour "cruauté" envers un animal

"L'anguille voulait simplement trouver la voie de sortie" explique un des membres de l'équipe médicale qui a opéré le patient, précisant que ce dernier aurait pu "se blesser beaucoup plus sérieusement, puisque les anguilles possèdent des dents, certes petites, mais très aiguisées".

 S'il est sorti vivant de cette "aventure", le poisson est mort quelques heures plus tard. "Une délivrance" pour l'animal croit savoir The Sun. L'homme, âgé de 39 ans, était célibataire selon le tabloïd anglais qui va jusqu'à le décrire comme étant un "accro du sexe". Un porte-parole de la police locale a fait savoir qu'il serait poursuivi pour "cruauté infligée à un animal".

En septembre dernier, un cas similaire s'était produit à Auckland en Nouvelle-Zélande. "Nos médecins et infirmières ont eu affaire à des gens présentant des objets étranges là où ils ne devraient pas être, mais une anguille, c'est la première fois" avait alors déclaré une infirmière au quotidien  
 New Zealand Herald.

 

 

 


Ce Brésilien a vécu avec un poisson, toujours vivant, mesurant 125 centimètres, dans le ventre.

   

Il vivait avec un poisson vivant d'1m25 dans le ventre

par buzger 

 
Ce Brésilien se plaignait de maux de ventre, les radios ont révélé un fait incroyable : l'homme vivait avec un poisson dans le ventre.

Un dipneuste, une sorte de poisson osseux long et mince, s'était tout simplement installé dans son ventre. On ne trouve ce genre de poisson vertébré qu'en Amérique du Sud, en Afrique et en Australie.

Hospitalisé en avril dernier, l'homme a décidé de porter plainte contre l'établissement.
L'opération de retrait s'était pourtant bien déroulée, mais les chirurgiens et infirmières se sont amusé à filmer la scène et à la diffuser sur les réseaux sociaux.

Le rire des internes et des professionnels, ainsi que les cris des infirmières sont tous enregistrés sur cette vidéo.
A la vue des commentaires et du nombre de partages, le Brésilien se retourne contre l'hôpital universitaire de Londrina.
Une enquête suit son cours pour découvrir la provenance de la fuite.

Le poisson, lui, a été euthanasié après l'opération.  

 

 


commentaire :

 

  fantasmagories

  en marge   

le Trou du Cul du Monde est rempli de pisse par un géant :

 

 

 

 

 

 

 

 

Par MANVICIOUS - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 15:35

Résultat de recherche d'images pour "Arthur Rimbaud" 17 ans ! aujourd'hui Verlaine pourrait être accusé de pédophilie, Rimbaud étant toutefois victime consentante

  Aujourd'hui, la vague féministe poussée à l'extrême a mis les hommes en infériorité. Je ne doute pas que les hommes prendront une revanche terrible.

La mère de Rimbaud était une mégère exigeante et conne. Pour s'être fait attendre, la réaction n'a pas tardé  : Le jeune Arthur fugue à 14 ans. Ne parlons pas du traumatisme du champ de bataille où il a presque sûrement vu le Dormeur du Val dont, au fond, je discerne qu'il a été le macabre amoureux, et, parmi les amis poètes parnassiens, il tombe dans les bras d'un homme bisexuel de 10 ans son aîné : Paul Verlaine.

 

ci-dessous un poème critique et ouvertement anti-femme et mysogine comme qui dirait : « que voyez-vous de beau dans un corps féminin? » Et quasiment : « Pouah, il est pourri, n'est-ce pas ? » A-t-on assez loué les perfections de ce tableau de Boticelli ! Après les conquêtes homo des années 2000, les femmes veulent aujourd'hui un rattrapage. l'apartheid sexuel ne concerne pas seulement les homos, ce que nous pourrions appeler une « gynophobie » sera-t-il bientôt un délit inscrit au code pénal comme le délit d'homophobie désigne les atteintes aux  gays,lesbiennes et trans ?   Zito  

 

 

Analyse du sonnet  d'Arthur Rimbaud : Vénus

 

 

Vénus anadyomène

Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête
De femme à cheveux bruns fortement pommadés
D'une vieille baignoire émerge, lente et bête,
Avec des déficits assez mal ravaudés ;

Puis le col gras et gris, les larges omoplates
Qui saillent ; le dos court qui rentre et qui ressort ;
Puis les rondeurs des reins semblent prendre l'essor ;
La graisse sous la peau paraît en feuilles plates ;

L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût
Horrible étrangement ; on remarque surtout
Des singularités qu'il faut voir à la loupe...

Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ;
- Et tout ce corps remue et tend sa large croupe
Belle hideusement d'un ulcère à l'anus.

   Arthur Rimbaud - Cahiers de Douai - 1870( Arthur a 16 ans) 



Notes :
* anadyomène : terme d'antiquité. Étymologie : en grec, celle qui sort de l'eau
* vert en fer blanc : les baignoires bon marché étaient fréquemment en zinc, peintes en vert
* ravaudés : raccommodés
* échine : colonne vertébrale, dos
* Clara : "illustre". Epithète traditionnellement associé aux noms de personnes célèbres et de dieux en latin
* croupe : familier : postérieur d'une personne
* ulcère : plaie qui ne cicatrise pas


Sandro Botticelli, La Naissance de Vénus




Annonce des axes

I. Une parodie

1. Le détournement du tableau vers la dérision
2. Un portrait dépréciatif


II. Une poésie nouvelle

1. Le désir de provoquer
2. L'invitation à une autre poésie




Commentaire littéraire

I. Une parodie

1. Le détournement du tableau vers la dérision

Le titre de ce sonnet, composé du nom propre « Vénus » et de l'adjectif savant, directement issu du grec, « anadyomène », qui signifie « qui sort de l'eau », semble annoncer un poème sérieux et à la gloire de cette Vénus. Le nom de vénus, déesse de l'amour, évoque féminité, beauté.
Dans ce titre, Rimbaud propose donc une reprise du motif de la naissance de Vénus, illustrée dès l'Antiquité par nombre de récits et de peinture (Apelle, Botticelli, Raphael, Titien,...).
L'attente du lecteur est déçue au premier vers du sonnet, puisque la Vénus est découverte sortant d'un « cercueil ». La traditionnelle conque de laquelle sort la Vénus est remplacée par Rimbaud par une « vieille baignoire » (vers 3) construite dans un matériel peu noble « vert en fer blanc » (vers 1), ce qui ne laisse pas atteindre au lecteur une Vénus aussi belle que prévue.

Le tableau que nous propose Rimbaud se présente donc d'emblée comme une parodie du motif original.
De même, la femme présentée ici contraste avec la beauté de la Vénus. La femme est vieillissante (« déficits assez mal ravaudés » vers 4), les « cheveux bruns » s'opposent au blond vénitien souvent attribué à Vénus. Le reste du poème s'attache à dresser un portrait disgracieux de la Vénus.
Dans ce poème, Rimbaud dresse un blason (court poème célébrant une partie du corps féminin ou évoquant le corps entier). Toutefois, le portrait qu'il réalise ainsi est particulièrement dépréciatif, faisant ainsi de son poème un contre-blason.

2. Un portrait dépréciatif

La Vénus est présentée comme une personne vieille : « cercueil » (vers 1), « déficits assez mal ravaudés » vers 4. L'expression « fortement pommadés » (vers 2) suggère des soins de beauté maladroits, incapables de lutter contre la laideur due à l'âge. De plus ce terme oppose le fard et l'artifice à la beauté naturelle, attribut de la déesse. L'allitération en [S] du vers 4 traduit l'amollissement de la chair.
Femme sans grâce : « lente et bête » (vers 3). Le terme « bête » peut également conférer une dimension animale à la femme.

La Vénus est présentée comme une personne grasse :
« gras et gris » (vers 5) => allitération en [gr] qui souligne le caractère dépréciatif .
« graisse sous la peau » (vers 8).
« large croupe » (vers 14)
L'allitération en [S] du deuxième quatrain illustre par la sonorité le flétrissement de la Vénus.
« feuilles plates » (vers 8) semble indiquer que la Vénus n'a pas les formes d'une belle femme.

Animalisation de la femme : « bête » vers 3, « échine » vers 9, « croupe » vers 13.

Le physique de cette femme n'est donc pas agréable, mais le goût et l'odorat sont aussi dépréciés : « le tout sent un goût / Horrible étrangement » (vers 9-10).

Le dernier vers du poème donne le bouquet final de cette description dépréciative : « ulcère à l'anus ».

 

 

 


 

NOTES sur Arthur Rimbaud :

 

enfance régentée par une mère “aussi inflexible que soixante-treize administrations à casquettes de plomb”. Lorsqu'il écrit ses vers, il n'a que 16 ans... Portrait de Rimbaud à 17 ans Crédits : Apic - Getty

Arthur Rimbaud  est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue »

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'avait pas payé son billet de train–, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour ».

 

Le dormeur du val

Arthur Rimbaud

C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Arthur Rimbaud

« Le dormeur du val » est un poème de Rimbaud issu d'un recueil intitulé Poésie, écrit en 1870. Il fut composé lors d'une fugue du jeune poète, alors âgé de 16 ans, alors que faisait rage la guerre franco-prussienne.

http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/article-arthur-rimbaud-le-dormeur-du-val-66801937.html

le dormeur du val

 

Moi, claudio, je déplore avec force qu'aucun prof de français dans ses analyses de textes n'ait fait, dans sa classe, le rapprochement de cette description funèbre, certes, mais quasi amoureuse de ce JEUNE ET ADOLESCENT SOLDAT, avec l'homosexualité du jeune Arthur. Encore un excès de bienpensance qui a nui à nos générations. "Homo ? Ah ? mais c'est pas important ! " Pas important que tu dis !  mais ce sont nos vies, notre affectivité, notre besoin de certitude que tu éludes...criminellement.  

Rimbaud mysogyne et pourtant :   Femmes et homos : des amitiés particulières

Moi j'ai un pote homo qui ne va -platoniquement- qu'avec des femmes, ne se sent bien qu'avec elles ... 

Homme cherche maman bis

Cet état fusionnel n’est pas sans rappeler le lien maternel. Ainsi Franck, parlant de son amie Frédérique : « Fred sait m’écouter sans juger, et elle répond à mes SOS, même quand je lui téléphone à 4 heures du matin en plein désarroi. Sa maison, c’est mon refuge. Depuis que ma mère est morte, je lui téléphone tous les matins comme je le faisais avec maman ! » Si les femmes endossent facilement le rôle de mère bis, leurs copains sont également très maternants envers elles. En témoigne Béatrice : « Il y a deux ans, j’ai été hospitalisée pour une grave maladie. Jean a été aux petits soins avec moi. Il m’a accompagnée pour mes examens médicaux, il venait me voir à la clinique et, depuis, il prend assidûment de mes nouvelles. »

Les femmes qui raffolent de la compagnie des gays affirment toutes partager la même sensibilité qu’eux. Mathilde, par exemple, se sent intellectuellement en phase avec Thibault : « C’est le seul homme avec qui je vais voir des ballets de danse contemporaine et des films d’auteur japonais ! Il aime Barthes, Claudel et Mallarmé. C’est un esthète. Rien à voir avec les hétéros machos avec qui on ne peut parler de rien. » Autre qualité reconnue aux gays : leur grand sens de l’écoute. Il est plus agréable de se confier à un homme qui connaît le fonctionnement masculin de l’intérieur et dont les conseils se révèlent judicieux. Comme le fait remarquer Bastien en souriant : « Souvent, je me dis que la vie est mal faite ! Vu le nombre de filles qui me choisissent comme confident, je sais exactement ce qu’elles attendent d’un homme. Si je voulais les conquérir, je ferais un malheur. »

Humour, autodérision, marginalité

L’humour est également un élément fondateur de cette complicité. « Dès qu’il y a un homo dans une soirée, il vient vers moi. On est instantanément sur la même longueur d’onde. On adore se moquer des autres, et surtout de nous-mêmes ! » raconte Catherine. « Cette capacité à l’autodérision que possèdent la plupart des homosexuels est liée à leur trajectoire, rappelle Serge Hefez. Quand on doit cacher ses attirances et son moi profond pendant toute son enfance, on est obligé de se moquer de soi pour survivre. C’est la honte sociale intériorisée. On retrouve chez leurs amies la même impression d’être en porte-à-faux, et la même capacité à surmonter les blessures narcissiques par l’humour, l’esbroufe, le jeu. » Parfois, l’humour décapant s’allie à un goût commun pour une certaine marginalité. Comme Sandrine, qui a horreur des personnes conventionnelles : « Avec mes copains gays, on vit dans la démesure, la fantaisie, l’excès, la sexualité hyperlibérée. Je ne me reconnais pas dans les valeurs étriquées de mes parents – marmots, télé, maison de campagne, etc. Ce n’est pas mon truc du tout ! » Pour Serge Hefez, « certaines femmes, du fait de leur vécu, éprouvent une difficulté à intégrer les schémas traditionnels de la famille, et gomment de leur vie cette dimension. Comme leurs amis gays, qui se sont justement sentis opprimés par la famille, la paternité, l’hétérosexualité, la masculinité. »

« Quel bonheur d’avoir une relation intime avec un homme sans qu’il soit question de sexe. » Tel est le leitmotiv des femmes interrogées. « Franck est le sosie d’Helmut Berger dans Les Damnés, de Visconti, je l’adore, confirme Juliette. Mais notre lien est pur et platonique. Jamais je ne me dis : “Tiens, je me le ferais bien !” Avec mes copains homos, on joue à se séduire, on se cajole, on marche main dans la main, on dort parfois ensemble, mais on sait que cela n’ira pas plus loin. » Evacuer la question du sexe procure effectivement une grande tranquillité d’esprit, car c’est évacuer tout ce qui rend si difficile les relations entre hommes et femmes. C’est reposant de ne pas s’interroger en permanence : « Est-ce que je lui plais ? Que faire pour attiser son désir ? » Malheureusement, tout n’est pas si simple. « Celles qui soutiennent qu’il n’y a pas d’ambiguïté, aucun désir physique dans ces amitiés se trompent. Il y a toujours du désir, affirme la psychanalyste Elsa Cayat. Mais les femmes se raccrochent à cette idée ; ça les rassure. »

On confond parfois amour et amitié

« Je suis tombée trois fois amoureuse d’un homosexuel. Et chaque fois, j’étais sûre d’être celle qui allait lui “révéler” son hétérosexualité. Je me heurtais à un mur, mais je m’escrimais », raconte Marianne. « Dans le cœur de ces femmes persiste la certitude qu’elles vont parvenir à être désirée par ce complice charmant. Ça devient presque un défi », indique Serge Hefez. Mais si les femmes déplacent inconsciemment leur désir amoureux sur la scène amicale, les gays, eux, assument totalement leur identité homosexuelle. D’où les dérapages et les chagrins d’amour. « Pourquoi ces femmes désirent justement celui qui ne peut et ne veut pas d’elles ? s’interroge Elsa Cayat. Cela renvoie à une peur de leur propre désir, à l’incapacité dans laquelle elles se sentent de désirer et d’être désirables. »

« Au travail, personne ne sait que Pierre est homosexuel. Je lui sers de couverture en l’accompagnant aux dîners organisés par ses collègues. Aux yeux de tous, je suis sa “fiancée”, et ça suffit à mon bonheur. » Constance n’est pas la seule pour qui l’amitié avec un homo vient à la place d’une relation de couple. Selon Elsa Cayat, « c’est se débrouiller pour maintenir la relation impossible et s’exposer à la frustration. C’est adopter une approche conjuratoire de l’homme, s’en approcher tout en se protégeant d’une relation amoureuse réelle. »

Mais qu’est-ce qui pousse ces femmes à construire un semblant de couple avec leur ami gay, certaines envisageant même d’avoir un enfant de lui par insémination, tout rapport sexuel étant exclu ? « Ce qui est fondamental chez elles, c’est la peur du désir masculin, explique Elsa Cayat. Elles voient le désir sexuel de l’homme comme un abus, une véritable violence, alors que, derrière, il y a de l’amour. Cette peur d’être salie par le désir de l’autre, cette peur que “ça-lie”, tient à une histoire, à des relations qui se sont mal passées au moment de l’œdipe, à une relation “incestueuse” fantasmée avec le père. Ce qui a été mal géré du côté du père l’est également du côté de la fille. » Les relations amicales entre les femmes et les homosexuels sont complexes, intenses, riches, ambivalentes, tendres et pleines de surprises, drôles, attirantes, mais parfois dangereuses. Comme la vie, en somme !

 


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Par Rimbaud - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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