EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS

Jeudi 24 mai 4 24 /05 /Mai 15:18

 1.Garçon hétéro  baisé par deux gays Will n'avait aucune idée de ce qui allait lui arriver, quand il entrerait dans leur maison. En fait, il devait rencontrer sa petite amie, qui l'attendait, mais Billy et Dennis avaient d'autres projets pour lui, sa bouche et son petit cul. Au début, il a paniqué, mais il a commencé à aimer ...peut-être les hétéros on gagné un membre et les "bi" en on gagné un !
  

le "petit chou" c'est Will BraunWill Braun puis les deux complices pour le retourner c'est Billy Santoro Billy Santoro  et Dennis West  Dennis West

 

2 Dennis West dit toujours qu'il peut gérer deux grosses bites à la fois. Ses amis, Luke Adams et Will Braun, ont décidé de le tester et il a pris une bite en bouche et en a demandé une autre, pour bourrer son cul. Après avoir déchargé, les deux gars ont apprécié le talent unique de leur ami commun. 

 

une bite en bouche et il en demande une autre dans son cul par FLYFLV

Par WILLBRAUN BILLYSANTORO DENNISWEST - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 12 mai 6 12 /05 /Mai 10:12

  les gays, citoyens,  partout chez eux en Europe ....sauf.... 

"À Bucarest, des manifestants tentent d'interrompre un film jugé "pro-gay"

 

Extrait de Soldati. Poveste din Ferentari, un film d'Ivana Mladenovic.

Extrait de Soldati. Poveste din Ferentari, un film d'Ivana Mladenovic.

Youtube

-"Pour eux, la question LGBT n'intéresse que "des marxistes dégénérés." À Bucarest, une trentaine de manifestants se revendiquant d'une association religieuse orthodoxe a momentanément perturbé, ce jeudi, la projection du film Soldati. Poveste din Ferentari (Soldats. Une histoire de Ferentari), une co-production roumano-serbo-belge réalisée par la Serbe Ivana Mladenovic en 2017 diffusée dans un musée. 

Un film qu'ils jugent "pro-gay" parce qu'il raconte l'histoire d'amour entre un anthropologue et un ancien détenu rom, dans une banlieue pauvre de la ville, Ferentari.
Un groupe de jeunes spectateurs cagoulés a notamment diffusé de la musique au début de la séance programmée au Musée du paysan roumain. L'interruption de séance a duré approximativement 30 minutes, selon le site Glasul.info. Ils ont ensuite été évacués, et la projection a pu reprendre.
Là-bas 'homosexualité a été dépénalisée au début des années 2000
A l'extérieur, une trentaine de personnes manifestait pour "défendre les valeurs millénaires de la nation roumaine." "Je proteste contre cette forme de propagande pro-gay dans un édifice symbole de la spiritualité du paysan roumain, qui n'a rien à voir avec cette idéologie", a déclaré à l'AFP une manifestante, Anda Barbulescu.

[En Roumanie, l'homosexualité a été dépénalisée au début des années 2000...certains doivent, bien sûr, le regretter et souhaiteraient voir tous les gays en prison. Oh, mais j'y pense, quelle belle partouze on ferait !] [NDLR cavaillongay].

Le dimanche soir, des manifestants avaient interrompu la projection dans cette même salle du film "120 battements par minute" du réalisateur français Robin Campillo, fresque sur les années Sida en France vues à travers le combat de l'association Act Up et Grand prix du jury au 70e festival de Cannes. 

RENCONTRE >> 120 battements par minute: "On allait mourir parce qu'on faisait l'amour"

La direction du musée a défendu dans un communiqué sa décision de diffuser des films "sans censurer leur contenu" et rappelé que "la liberté d'expression est l'un des principaux acquis de la démocratie roumaine" après le renversement du régime communiste fin 1989.

 

Riez si vous voulez, mais il y a une attirance des hétérosexuels pour le « monde » homosexuel «Mais quand le diable qu'est un bon diable me tire par les pieds
Ca me gratouille, ça me chatouille, ça me donn' des idées»(Anny Cordy)

Guy Hocquenghem: 

  -« Ce qui pose problème n'est pas le désir homosexuel, c'est la peur de l'homosexuel.  »

Hystérie, instinct de persécution, paranoïa : le tableau clinique est accablant - l'homosexuel suscite des troubles inquiétants dans la population hétérosexuelle. Hocquenghem n'a pas son pareil pour vous retourner comme un gant tout un courant de pensée :

« La répression anti-homosexuelle est elle-même une expression détournée du désir homosexuel. L'attitude de ce qu'il est convenu d'appeler la "société" est de ce point de vue paranoïaque : elle souffre d'un délire d'interprétation qui la conduit à saisir partout des indices d'une conspiration homosexuelle contre son bon fonctionnement ».

Le mur de la honte

Et Hocquenghem d'admirer en passant « l'exceptionnelle richesse du vocabulaire pour désigner l'homosexuel masculin : tante, tantouze, pédé, etc. tout se passe comme si le langage s'exténuait à délimiter et à nommer l'innommable ».

La première opération de répression spontanée à l'égard de l'homosexuel est un déchaînement d'injures inépuisable...

L'injure libère un flot puissant de jouissances interdites ; par l'insulte («enculé», «tapette»)[NDLR  il en a plein la bouche], l'hétérosexuel fait l'amour aux mots à défaut de pouvoir faire l'amour au corps homosexuel lui-même.

Nommer les choses c'est se les approprier, les faire siennes : le «nom» de l'homosexuel, décliné depuis des lustres sur tous les tons, garantit une possession directe : la «prolifération» permet à l'hétérosexuel de posséder ce nom-là à volonté. La distance instituée de manière fictive par les processus sociaux est supprimée par cette nomination hystérique et tellement insistante qu'elle s'apparente à un geste d'exorcisme, à un rituel implacable qui ne cesse cependant de renvoyer au désir contenu de leurs auteurs.

On souhaite ainsi reléguer l'homosexuel aux confins de l'espace social de manière à ce que seul son nom demeure, démultiplié en mille joyaux sonores («pédoque ! pédale !») - on peut de cette manière donner congé au corps de l'homosexuel. Mais cet assouvissement a lieu grâce à des mots d'une violence à peine déguisée.

L'attirance hétérosexuelle pour le « monde » homosexuel s'est transformée, grâce aux mystères d'une subtile alchimie, en répulsion agressive.

■ Le désir homosexuel de Guy Hocquenghem, Editions Fayard, 2000 (réédition de 1972),  

 


commentaire :

 

 

Par L'express+Guy Hocquenghem - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 30 avril 1 30 /04 /Avr 07:19

ce que j'aime dans le boeuf c'est la bavette de la bête...et toi jeune taureau non marqué (maverick) fais-y attention ! Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs"

  Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs"   Grillade de rognons sur canapé assurée !

  Garder votre ordinateur portable sur vos genoux un risque majeur pour votre fertilité ? 

La chaleur d'un ordinateur portable affecte plus les hommes que les femmes


Elle : Je m'inquiète parfois de mes oeufs(lol ovules), surtout quand je suis assis avec un ordinateur portable sur mes genoux, alias sur mes ovaires. Peut-être vous inquiétez-vous aussi de vos œufs ou de votre sperme lorsque vous vous prélassez avec votre ordinateur portable. Alors, les ordinateurs portables peuvent-ils affecter notre fertilité? La réponse est surtout non.

Ben...La majorité des médecins à qui nous en avons parlé disent que les ordinateurs portables n'affecteront certainement pas la fertilité des femmes et n'auront probablement pas d'impact majeur sur la fertilité masculine. Cependant, au moins un docteur, Michael Eisenberg, un urologue et professeur à Stanford(USA), dit que la chaleur externe qu'un ordinateur portable produit pose un risque mineur aux hommes. Si les hommes s'inquiètent de leur nombre de spermatozoïdes viables, il pourrait être utile de renoncer à des ordinateurs portables sur leurs genoux et d'utiliser un bureau à la place. Ce ne sera probablement pas la cause principale des problèmes de fertilité, mais cela pourrait être pris en compte si quelqu'un a déjà des problèmes de conception.

Tous les médecins citent une étude qui a montré que les hommes qui s'assoient fréquemment dans les bains des cures thermales connaîtront une diminution du nombre de spermatozoïdes viables. Nos ordinateurs portables ne sont pas aussi chauds qu'un spa, donc les médecins ne s'inquiètent pas de la chaleur externe de l'ordinateur portable. Les ovaires des femmes, d'autre part, sont nichés dans le corps et ne sont pas aussi réactifs à la chaleur externe. Alors les femmes, vous êtes ok pour le moment. Vous les hommes, utilisez peut-être un bureau si vous êtes inquiet. Mais sinon, continuez à vivre comme vous aimez : pas de danger pour la planète sauf....¤  

"Keeping your laptop on your lap isn’t a major risk to your fertility" Professor Eisenberg 

 
Image associée si tu crois que c'est mieux ! 

Image associée

 

Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs" ayé ! nous les hommes, pôvres diables, on est encore battus !

 

  Résultat de recherche d'images pour "laptop on thighs with gay pics on screen"   Un risque de s'y éterniser !

 

  • FOUS RIRES
  •  
  • Challenge: Chris Sevier, who wants to marry his laptop, has claimed he should be allowed the same rights as same-sex couples

Auparavant il a harcelé  Apple pour qu'on le laisse accéder à des images de pornographie aléatoires...Apple ont prétendu qu'ils n'en ont pas 

 




Lire la suite: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2623231/Is-real-life-Her-Army-veteran-wants-MARRY-laptop-says-computers-preferred-sexual-object.html # ixzz5E8WTNXsE
Suivez-nous: @MailOnline sur Twitter | DailyMail sur Facebook


 

 

Par THE VERGE - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 24 mars 6 24 /03 /Mars 05:36

    Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi Je reste très content d'avoir servi de faire-valoir au sergent de notre groupe militaro-humanitaire. Je ne sais pas ce que les autres ont discerné à notre sujet, mais aucun d'eux n'aurait pu jouer le même rôle. EN MEME TEMPS -lol- ,  entre nous on va dire que je l'ai empêché de faire une connerie alors qu'il déprimait fortement. Et aussi je lui ai donné quelques moments de bonheur. 

 

vampirisation En parlant d'un vampire, sucer le sang d'une de ses victimes afin de le transformer à son tour en vampire. Dans la vraie vie, ainsi qu'au sens figuré, vampiriser un homme  en termes plus réalistes c'est le mettre  sous sa totale dépendance affective et psychologique. Le "vrai vampire" te séduit puis fait de toi son jouet. Hétéro ou pas, touche la bite d'un autre  et tu verras ...         

  Résultat de recherche d'images pour "gay# horny colonial army officer" 

 

 

 

 Peut-on dire "ON SE TOUCHE de moins en moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni du baiser,  mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé. Depuis longtemps c'était vrai chez les anglais.Chez les hommes les plus jeunes, cela se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus âgés, cela se traduit par le même inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact  intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient le même lit avec des étrangers dans les premières tavernes américaines de la ruée vers l'or, et les chercheurs intellos-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs relations avec les femmes.  

 

 

 

  Le Sergent "C'est ça le problème avec la gnôle, songeai-je en me servant un verre. S'il se passe un truc moche, on boit pour essayer d'oublier; s'il se passe un truc chouette, on boit pour le fêter, et s'il ne se passe rien, on boit pour qu'il se passe quelque chose. " (Charles Bukowski Women) 

Résultat de recherche d'images pour "yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy" les noms des lieux et des personnages on été changés 

 

Certains trouvent que passer une année à l'armée est une année  gâchée et d'autres trouvent leur vocation en faisant leur service militaire. On peut bien tomber ou très mal, être près de chez soi ou très loin. Moi j'habite Périgueux et j'ai fait mon service humanitaire au Mali, armée et ONG côte à côte. Sur les 703 communes du Mali, 666 sont rurales. Si on voit la gentillesse des gens de ce pays 666, qui est le chiffre du diable, n'est pas le nombre qui leur convient.  Des villages parfois reculés. J'étais en poste dans le Nord- Mali tout près d'Algine(2), plus précisément à Baroussotoudou(2) auprès de la huitième et dixième compagnies médicales et je peux dire que, malgré le danger, c'était une année de plaisir et de vacances. J'étais secrétaire au PC. C'est sûr qu'on ne pouvait pas rentrer tous les week-ends  en métropole, mais on pouvait profiter de la vie là bas et surtout entre nous. Mais il m'est arrivé une aventure avec un gradé qui est restée sans lendemain mais qui mérite le détour. On avait l'habitude à plusieurs copains de faire des parties de flipper au mess et le perdant payait une tournée de bières, la seule boisson alcoolisée qui fût servie. Un samedi où nous étions de Défense Opé, nous devions rester au camp à la disposition des gradés en cas d'alerte.  La journée s'était passée le plus banalement possible et le soir après la cantine, nous étions donc au mess en train de jouer au flipper et écluser quelques bières. Pour dire que la table à coté du jeu était recouverte de canettes. Quand nous en avions eu marre de jouer, nous nous étions installés à la table et nous avions commencé à boire, quand le gradé qui devait nous encadrer se pointe au mess. Ce n'était qu'un sergent; contrairement à quelques uns d'entre nous qui étions humanitaires et volontaires  il était engagé mais il était vachement sympa. Il fait donc le tour de la caserne pour voir si tout allait bien, arriver au mess il nous voit bien attablés :  

-« Dis donc, il y en a qui se gênent pas »

nous lance-t-il.

-« Venez nous rejoindre, chef, il y en a pour tout le monde. »

- « OK »

Et le voilà qui s'installe avec nous à la table, prend une canette et la liquide d'une seule goulée. Nous l'appelions chef car cela le faisait mousser et il ne nous reprenait pas tout en sachant qu'un sergent ne se fait pas appeler chef mais sergent.

- « Il avait soif le chef, ça va lui donner du courage pour faire le tour du camp. »

Vous dire de quoi nous avions parlé, j'ai un peu oublié, car nous avions raconté chacun notre vie, détaillé notre région, exposé ce que nous attendions de l'avenir une fois notre service militaire ou civil fini. On a parlé, on a bu, et encore bu jusqu'à ce que la table soit vide. On a dû certainement en liquider une dizaine chacun. Après on n'avait plus assez de doigts pour les compter. Rester assis quand on boit cela va, mais quand on se lève, c'est là que cela tangue, que la pièce tourne et que tout va très vite. On sort tous et les effets diurétiques de la bière se font ressentir, il fait noir, on contourne le bâtiment et on va se soulager la vessie à la lueur de la lune. Tout le monde sort son engin, ce qui me permet de me rincer l'œil et d'admirer de beaux spécimens. Notre sergent, pour faire autrement que nous, se tourne à l'envers et nous exhibe son chibre tout en chantant:

- « tiens voilà du boudin.»

Nous étions tous restés baba de voir la taille de cette queue au repos. Les copains ça les fait marrer mais ils ne regardent pas trop

« on n'est pas des PD, on en a tous une !  »

mais le sergent continue gentiment de se soulager tout en chantant et en se trémoussant dans tous les sens ce qui fait qu'il manquait nous pisser un peu dessus aussi. Et ça gueule, et ça rigole ! Une fois fini, nous rangeons notre attirail mais le sergent trébuche et s'étale par terre. On rigole une fois de plus en chantant

-« le sergent il est bourré »

, et lui, allongé par terre, de frapper dans ses mains pour battre la mesure, toujours le sexe à l'air.

-« Qui est ce qui m'aide ? » nous lance-t-il.  

 

-« Je vais vous relever chef mais faudrait ranger votre attirail. »

Lui dis-je.

-« Fais le, j'en peux plus. »

-« Qui est ce qui m'aide ? » en me retournant sur les copains  

-« Démerde-toi, nous on va se coucher. »

-« Merci et bonjour  la solidarité. » gueule le sergent 

    .

-« Ce n'est pas grave, je vais rester et vous aider chef. »dis-je  

-« Merci »me dit-il en me prenant le bras.

Un peu gêné quand même, je pris son sexe avec deux doigts et je le rentrai dans son pantalon. J'avais quand même eu le temps de palper et de voir que c'était pas de la guimauve. [Et le contact fut électrique, pensez donc !]  Je le relevai et le soutins jusqu'à sa chambre qui était dans un bâtiment à l'écart des dortoirs où nous dormions à quinze mecs par chambre [ce qui manque d'intimité mais pas de charme ! ] . Arrivés à la porte, il me demande si je veux pas rentrer pour boire un dernier verre avant de repartir et l'aider à se coucher. J'acquiesce de la tête et rentre derrière lui. Il ferme la porte à clé prétextant qu'elle ferme mal. Je jette un œil circulaire dans la pièce assez grande et lumineuse. Une porte donne sur une petite kitchenette, une autre dans une salle de bain qui fait toilette également. Dans un coin de la pièce il y a un canapé en cuir et un meuble sur lequel sont posées une télé et une mini chaîne. Près de la fenêtre, une table et quatre chaises doivent faire apprécier le paysage le matin au petit déjeuner et enfin le lit trône derrière la porte avec une petite table de chevet sur laquelle sont disposés divers objets : montre, radio réveil, une petite lampe de chevet assez banale et quelques pièces de monnaie. [Il fait chaud ]  

-« Mets-toi à l'aise si tu veux. »me dit-il, « j'ai un bon whisky ou de la bière. »  

-« Je crois que j'ai mon quota de bière et je pencherais bien pour un petit whisky, je peux utiliser les toilettes ? »

-« Te gène pas et mets-toi à l'aise si tu veux » répète-til

Je rappelle que, quand on est de D.O. on est en treillis, rangers avec accrochés à la ceinture beaucoup d'objets qui sont assez encombrants : une gourde, une pelle pliable, une sacoche avec, à l'intérieur, une lampe de poche et ses filtres… Je rentre donc dans la salle de bain pour me soulager et, avant de sortir, détache ma ceinture pour être un peu plus à l'aise. J'ouvre la porte et je vois le sergent en short et tee shirt. Le short assez court mais large qui laissait dépasser le long de l'une de ses jambes, le bout de son gland.

-« Il s'est mis à l'aise le chef. » lui dis-je  

-« Ecoute, pas de chichis, et comme ça je me sens mieux. »

Je pose ma ceinture par terre près de la porte d'entrée et prend mon verre servi avec générosité, sur la table. Paul(le prénom du sergent) s'était assis en tailleur sur le canapé ce qui faisait encore plus sortir son sexe du short. Il me fait signe de venir m'asseoir à coté de lui sur le canapé, chose que j'exécute aussitôt, il faut être obéissant avec les gradés.

-« T'habites où ? »

-« en Périgord, à Périgeux en fait. »

-« T'as une copine ? »

-« Non »

-« Moi la mienne, elle me manque. Elle est à Nevers, elle travaille là-bas, c'est pour ça qu'elle ne m'a pas rejoint. On doit se marier l'année prochaine si j'arrive à revenir dans la région. C'est long les nuits tout seul sans femme à ses cotés pour profiter.»

Tout en parlant, je me demandais s'il se grattait ou s'il se caressait. Je jette un œil vite fait pour voir, il bandait le salaud et cela dépassait de plus de cinq centimètres du short. Au même moment, nos regards se croisent et il avait vu que j'avais regardé son entre jambe.

-« Tu vois comme elle me manque. »

Ah ! Ça pour voir, je voyais à m'en faire sortir les yeux de la tête. Et lui qui continuait à se caresser tout en me regardant avec plus d'insistance.

-« On dirait que ça t'impressionne, tout à l'heure tu as hésité à la prendre pour me la rentrer. Ca ne mord pas, tu sais. »

Et moi, sans réfléchir, étant dans tous mes états, je lui balance :

-« Non, je sais, ça ne demande qu'à être sucé. »

Du tac au tac :

-« Eh bien, te gène pas ! »

Sans me faire prier, je pose mon verre par terre et écarte d'une main un peu plus l'échancrure du short pour attraper son sexe de l'autre et l'enfourner dans ma bouche tel un gamin qui aurait été privé de sucette depuis plusieurs mois (c'était un peu la vérité car l'armée, à moins de très bien tomber,  c'est un peu le sevrage côté sexe). Il mouillait ! Je passe le plat de ma langue le long de sa hampe pour en apprécier un maximum de la taille. Lui, allongé, toujours les jambes écartées, râlait de plaisir.

-« Putain, tu suces mieux que ma copine. »

Pris de joie du compliment, je redouble la cadence, lui palpant les couilles, lui caressant le pubis, montant sous son tee shirt pour lui caresser les seins, deux gros tétons que je pinçais.

-« Attends, arrête. »

-« Pourquoi ? »

-« Vire tes fringues. »

-« Oui chef ! »

Je me déshabille, c'est chiant les rangers à enlever, j'allais garder mon slip.

-« Enlève tout »

Entre temps, il avait viré le short et le maillot et s'était de nouveau allongé sur le canapé. Je reviens, m'installe entre ses jambes et recommence à m'occuper de son sexe qui devait bien faire 24 cm maintenant que je le voyais entièrement.

-« T'aimes ça mon salopard, je m'en suis toujours douté en te regardant » qu'il me dit tout en donnant des coups de reins pour accélérer la cadence et m'enfoncer plus loin dans ma gorge son sexe que j'avais du mal à avaler entièrement. D'un seul coup, il se redresse et me donne une claque sur les fesses, je ne pouvais crier ayant la bouche pleine, donc je gémis, et lui de croire que cela me plaisait, m'en donne une autre sur l'autre fesse. Je n'avais jamais eu d'expérience de ce genre, n'ayant jamais été attiré mais entre la douleur due à la violence des claques et un peu la stimulation de la situation, je me trémoussais tout en gémissant.  

-« Vas-y-que-je-te-claque !  » et vlan ! Une claque sur la gauche,  

-«Encore ! » et paf, une sur la droite qui était jalouse. Je continuais mes va et viens le long de son sexe tout en caressant ses testicules, les léchant et essayant de descendre en dessous pour me diriger vers son anus. Lui ayant compris ma manœuvre, se retourne, se met à quatre pattes  

-« tu veux me bouffer le cul, te gènes surtout pas ! »

Il n'était pas de toute propreté mais je me suis dit dans l'état où je suis, je n'étais plus à ça près et ça me laissera encore plus de souvenirs. Entre la nausée et l'excitation, je lèche et lave en bavant bien sur son anus, l'endroit tant exposé à mon regard. Il continue de gémir, je le branle tout en le léchant, il se trémousse. On est vraiment à la limite de l'apothéose. Il se retourne de nouveau, s'assied et me regarde.

-« J'ai envie de te prendre »

Vous me croirez peut-être ou pas, mais j'étais encore vierge de ce côté, n'ayant toujours eu que des partenaires passifs. Je n'avais pas envie de le décevoir en lui disant non et que cela s'arrête là. Malgré la taille de l'engin, je n'ai pas réfléchi :

-« T'as quelque chose pour me préparer, c'est la première fois »

-« T'inquiètes, j'ai ce qu'il faut »

Il se lève et va dans la cuisine, je l'entends ouvrir un placard et le vois revenir avec une plaquette de beurre. Je ne savais si je devais rire ou prendre la chose sérieusement mais je compris que j'allais passer à la casserole et apprécier la cuisine au beurre. Je me retourne et me mets à quatre pattes. Il prend le beurre et commence à me badigeonner ma tirelire avec douceur. Tout d'abord tout autour et ensuite il s'est occupé avec un doigt de mon orifice. Je ne pourrais pas dire qu'il ne m'a pas préparé avec délicatesse. Il s'est ensuite installé à genoux derrière moi, s'est badigeonné le sexe avec un peu de beurre, s'est présenté à l'entrée, a poussé un peu pour forcer l'introduction. J'ai cru qu'on était en train de m'empaler avec un poteau électrique. J'ai crié, il s'est retiré aussitôt.

-« C'est vrai que t'es puceau, je vais te donner quelque chose pour éviter que tu cries. »

Il se lève, ouvre un tiroir du meuble face au canapé et en sort une balle en caoutchouc, me la tend :

-« Tiens mords ça pour éviter qu'on t'entende gueuler. »

Je l'ai prise, l'ai mise dans ma bouche et l'ai mordue du plus fort que je pouvais. Il s'est remis derrière moi et a recommencé son entrée. Il y a été quand même avec un peu plus de douceur que précédemment mais a réussi à faire pénétrer son gland, s'est arrêté pour laisser calmer la douleur. Moi je mordais la balle et (je l'avoue) pleurais de souffrance. Il a, petit à petit, continué sa pénétration en faisant de légers va et viens. Je mordais, il bougeait, je pleurais, il s'enfonçait mais toujours avec douceur et lenteur. J'allais lui dire d'arrêter, la douleur étant trop insupportable quand je me suis rendu compte que justement la douleur commençait à se passer, mon anus étant dilaté et pouvant enfin supporter l'outrage que mon partenaire m'infligeait..

-« Ca va ? »

-« Mieux maintenant » en crachant la balle en caoutchouc.  

-« Bon ben on va accélérer la cadence. »

Il a donc augmenté la vitesse de ses va et viens tout en s'enfonçant un peu plus à chaque fois. Je me suis même demandé si cela allait ressortir par ma bouche, vu la taille de son sexe. J'étais en train de me faire enculer par un mec, un gradé et hétéro de surcroît. Je ne savais pas quoi penser mais je profitais de la situation car je ne pense pas que cela m'arrivera tous les jours. La douleur a laissé la place au plaisir, lui me défonçant tout en râlant et moi gémissant d'extase. Il me tenait bien par la taille et y mettait toute sa fougue de male viril pour me défoncer au maximum de sa force. Je le sentais à l'intérieur de moi me labourer et il en tirait aussi du plaisir. J'ai senti qu'il allait jouir car il s'est retiré et un liquide chaud s'est écoulé sur le bas de mon dos, tout en poussant de petits cris, il m'a joui dessus.

-« Ah ! C'est bon, je viens. »

Il s'est écroulé sur mon dos, moi n'ayant pas bougé et toujours à quatre pattes sur le canapé comme un chien fidèle et docile.

-« Mais tu n'as pas encore joui ? »

-« Non » bredouillai-je  

« Viens avec moi, on va se laver. »

Il se lève et dirige vers la salle de bains, toujours obéissant, je le suis. Il y avait un lavabo, les toilettes et derrière la porte, je ne l'avais pas remarqué tout à l'heure, une cabine de douche assez grande pour tenir à deux voire trois dedans. Il rentre, je le suis, il fait couler l'eau pour qu'elle soit chaude, prend un gant de toilette, y met du savon, m'attrape pour me retourner, commence à me laver le bas du dos et enlever toute trace de souillure ou de son passage. Il frotte et commence à faire le tour de mon corps avec le gant pour atteindre mon sexe. Je n'avais même pas fais attention tout au long de notre périple que les quelques fois qu'il m'avait touché, c'était pour me donner la fessée ou m'attraper par la taille pour m'enculer. Tout en me savonnant, il a commencé un va et vient avec mon sexe. Je ne rêvais pas, il était en train de me branler, rapidement mais efficacement. J'étais tellement excité que cela fut rapide. J'ai joui en crachant ma semence sur la paroi de la douche. Pour le remercier, je l'ai savonné à mon tour, un peu partout pour qu'il soit propre et qui sait peut être remettre ça. On s'est rincé, il a sorti des serviettes pour s'essuyer, m'en a jeté une pour me sécher, je me suis risqué à lui essuyé le dos, il s'est laissé faire. Alors je l'ai essuyé complètement, le dos, les bras, les jambes, ses fesses, son torse et son sexe mais malgré mes caresses savantes, il était vraiment HS et n'avait pas réussi à rebander tout de suite. Il est sorti de la salle de bain, s'est jeté sur son lit. Je suis sorti, ai ramassé mes affaires et ai commencé à me rhabiller.

-« Tu ne claqueras pas les portes en sortant. »

-« Non chef ! » Lui répondis-je avec un grand sourire.  

-« Bonne nuit, chef. »

-« Ouais ! Bonne nuit et pas un mot à personne. Motus ! Et bouche cousue. »  

Je suis reparti vers ma piaule, ne sachant même pas l'heure qu'il pouvait être. Tout le monde dormait, je me suis déshabillé, me suis couché tout en repensant à ce qu'il venait de m'arriver. Personne ne voudrait jamais me croire, donc je décidai de n'en parler à personne. Je me suis endormi, tout en rêves érotiques pleins de gradés qui abusaient de mon corps. La vie à repris son cours normal, et quand je croisais le sergent, je le saluais par respect pour le grade et lui de me répondre par un clin d'œil. Je m'étais dit qu'il n'était pas si saoûl qu'il voulait le faire croire car il se souvenait certainement de tout rien qu'à la manière de répondre à mon salut. Une quinzaine de jours plus tard, je le surpris sortant du mess avec un jeune soldat et se diriger vers son bâtiment. Et là, je me suis demandé si j'étais le premier à passer à la casserole ou si c'était un jeu qu'il aimait jouer. La dernière fois que je l'ai vu, c'est quand j'ai été libéré de mes obligations militaires, avant de monter dans les camions qui nous conduisaient vers la gare pour prendre le train qui nous ramènerait en France. Il est venu vers moi, m'a salué en me tendant la main et me dire :

-« De tous, ça a été toi le meilleur. »

Les copains m'ont charrié, ne sachant pas de quoi il voulait parler. Mais moi je le savais et cela m'a fait énormément plaisir et en même temps, j'ai eu confirmation de mes doutes en ne regrettant qu'une chose, c'est de ne pas avoir remis le couvert après. Cela fait dix neuf ans que cela m'est arrivé mais j'en garde toujours un excellent souvenir comme si cela m'était arrivé hier.¤

  *1 NOTES :  J'ai été spontanéavec le sergent. Peut-on dire que les gens le sont "de moins en moins" ? Ne parlons pas déjà des lèvres ni du baiser,  mais beaucoup d'hommes s'auto-censurent réciproquement le toucher par les mains de peur d'être contaminé par l'homosexualité. Chez les hommes les plus jeunes, cela se manifeste par la déclaration omniprésente et sous-jacente : "on n'est pas homos!" S'ils touchent accidentellement un autre gars, et chez les hommes plus âgés, cela se traduit par le même inconfort gênant (voire de la : peur) d'un contact  intime. Pourtant, ces réactions sont un phénomène relativement moderne. Les hommes partageaient le même lit avec des étrangers dans les premières tavernes américaines, et les savants-fouille-merde déterrent des lettres - y compris celles d'Abraham Lincoln, des sonnets de Shakespeare... - révélant comment les hommes entretenaient parfois des amitiés homosexuelles plus émotionnellement et physiquement intimes que leurs relations avec les femmes.     

 

 Titre:  Toucher la bite du sergent -ou toute autre bite- ça vous électrise, ça vous vampirise. Vous n'êtes plus pareil après.  Exemple aider un grand blessé aux deux bras à sortir sa bite, puis à  pisser...et, dans ce récit, c'est qu'il est saoûl !!!


  commentaire :  

JUNGLE :  

  Image associée  yes sir !

  Image associée 

    Image associéeattention à la contagion homo !

 

   

Par cavaillongay - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 07:16

    Coucher avec un homme ne vous rend pas gay, selon GQ. Pas forcement en tous cas -lol-

 

Résultat de recherche d'images pour "Igit"  igit sans micro !  

Le célèbre magazine masculin GQ a récemment mené une petite enquête sur la sexualité des mâles hétéros, et les résultats peuvent sembler surprenants !

En effet, d’après les journalistes qui se sont penchés sur le sujet, coucher avec un homme, lorsque l’on se dit hétérosexuel, ne remet pas en question son orientation sexuelle.

      L'article nous dévoile des interviews d’hommes hétérosexuels qui ont déjà couché avec d’autres hommes (gays ou non). Et, même après ces expériences homosexuelles, tous se déclarent encore totalement hétéros.

Pour le magazine, cela est dû aux cases dans lesquelles on souhaite se mettre ou non. Pour les journalistes de GQ, la société dans laquelle nous vivons accorde trop d’importance au fait que chacun soit dans une case prédéfinie : hétéro, bi, gay… Mais finalement, n’est-ce pas à nous seuls de choisir ou non la case dans laquelle nous souhaitons être ?

 

image: https://www.codesdegay.com/wp-content/uploads/2016/08/gay-music-blog-gay-men-kiss.jpg

gay-music-blog-gay-men-kiss

 

Si le mot “gay” – et toutes les connotations qui s’y attachent – ne venait pas directement à l’esprit à chaque fois qu’il y avait relation sexuelle entre deux hommes, peut-être que beaucoup plus d’hommes hétéros se permettraient des petits écarts sexuels de temps à autres avec d’autres hommes.

      Les prisons belges autorisent d’ailleurs les relations sexuelles entre les détenus hommes, qui peuvent être fréquentes parmi les hommes qui ont de longues peines de prison à purger. Ainsi, si vous demandez aux détenus qui s’adonnent à ce genre de pratique s’ils se considèrent comme homosexuels ou hétérosexuels, la grande majorité vous dirons qu’ils sont hétéros.

Il y aurait donc une grande différence entre sexualité et orientation… Vous me suivez ?

On peut coucher avec des personnes du même sexe de temps en temps sans se sentir gay, parce que l’on a envie d’une nouvelle expérience, ou juste parce que l’on est vraiment en manque de sexe et que la première personne qui se présente est un homme. Les raisons peuvent être multiples. Cependant, cela ne veut pas dire qu’au fond, on se sente gay : et notamment dans nos réactions amoureuses et nos façons de voir la vie à deux, par exemple.

         

 

Peut-être alors que cette retenue vient d’une peur d’être catalogué par autrui, d’être considéré moins viril ou moins masculin…? Peut-être que, finalement, ces hommes qui couchent parfois avec d’autres hommes sont tout simplement bisexuels mais ne veulent pas rentrer dans cette case par fierté ou parce qu’ils redoutent la vision que les gens auraient d’eux…

 

 

BISEXUALITY

  Elle leur a servi de "tait d'union ". Cette image me rappelle un couple qui s'est brisé parce que LUI est tombé amoureux fou d'un métis venu travailler  dans la même boîte....     

 


En savoir plus sur https://www.codesdegay.com/2016/08/13/coucher-homme-ne-rend-gay-selon-gq/#6g4dMydR3dji4rez.99

 

 

 

Image associée arrêt sur image de vidéo de igit  

          hummmmmm rien que d'y penser !

BISEXUALITY

 

Qu’en pensez-vous ? Pensez-vous que l’on puisse être hétéro et, de temps en temps, coucher avec une personne du même sexe ? Apparemment on voit les deux : divorce parce que la dame ne supporte ni le fait, ni même l'idée que monsieur soit à partager avec un autre monsieur, ou alors l’inverse, madame devient l'amante des deux... pensez-vous qu’un homme gay puisse coucher avec une fille de temps à autre et rester totalement gay ? Ben oui! on le voit aussi ! l'essentiel c'est que ça ne modifie pas la donnée de base : BANDER !!!!

 

 

 

 

Par GQ - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • ALEX 12024
  • gay victim
  • STURB 22
  • 692e
  • TRAV 01 3XSEX
  • COLLANT 0001

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés