Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 07:24

 

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Je rentrais un peu bourré de chez un pote qui vit dans la banlieue est de Paris. Je me dirige vers la gare RER en espérant qu'il en reste encore au moins un pour aller chez moi. Il était minuit bien passé et c'est déjà presque trop tard. Soudain, j'entends le bruit d'un train qui arrive. Je cours mais me rends vite compte qu'il s'agissait de celui qui allait dans l'autre direction. Je reprends mon souffle et m'aperçois de la présence de deux gars en train de fumer un pétard sur le sièges métalliques. Il n'y avait personne d'autre, mon arrivée en trombe était donc leur seule attraction. Ils avaient l'air d'avoir 25 ans tous les deux, un Rebeu et un Blanc. Ils portaient des casquettes et des survêtements. Je me suis dit que je devrais peut-être arrêter des les fixer pour éviter les problèmes. Je détourne donc le regard et fais mine de rien.

Hé, t'as pas des feuilles ? Me gueule le blanc.

Non, je fume pas, désolé.

Je me retourne et tente d'aller dans la direction opposée sur le quai. J'entends des pas dans mon dos. Je tourne la tête et je les vois me suivre, en marchant à ma vitesse. Je ne sais pas trop quoi faire, donc je m'arrête net. Le rebeu s'approche et me pousse au niveau de l'épaule.

Pourquoi tu nous ignores ? Hein ?

Je vous ignorais pas, je vous ai dit que j'avais pas de feuilles… J'y peux rien.

Ah ouais ?

Il me pousse plus fort, ce qui me fait me coller contre la paroi de la station. Le blanc quelques mètres derrière ricane. Le rebeu me regarde dans les yeux avec de plus en plus d'agressivité. Je pensais juste me faire emmerder ou insulter, là j'ai bien peur de me faire agresser.

Pour qui tu te prends ? Hein ? Tu nous tournes le dos en pensant t'en tirer ? Parisien de merde. T'es en banlieue ici, et dans notre coin on règle pas les choses en se serrant la main, t'entends ?

Je demande rien, les gars, je veux juste rentrer chez moi sans me prendre la tête. Ne t'en prends pas à moi.

J’m'en prends à qui je veux, enculé. Mon territoire, mes règles.

Ouais il ouvre trop sa gueule le bourge, là, faut la lui fermer, balance le blanc, de loin.

Je ne sais même plus ce qu'il se passe. Tout a escaladé tellement vite… Je lève les mains en signe d'abandon

Les gars, je vous assure que je ne voulais manquer de respect à personne, je viens juste prendre mon RER pour rentrer chez moi, s'il vous plaît.

HAHAHA ! Tu l'entends chialer comme une pute là ? Trop fort ! Faut filmer ça, mec !

Désolé, plus de batterie ! Mais c'est pas grave, on va lui montrer comment ça se passe ici, répond le blanc.

Qu'est-ce que vous allez me faire ? Ne me frappez pas s'il vous plaît…

C'est pas ce qui est prévu, me coupe l'arabe.

Il m'attrape par le bras et me tire de force dans un recoin de la gare, dans l'angle mort des caméras de surveillance. Le blanc nous suit et semble guetter le reste du quai. Toujours personne. Je flippe de plus en plus, je ne sais vraiment plus ce qu'il va m'arriver. Il appuie sur mon épaule comme pour me faire signe de m'agenouiller. Que veut-il à la fin ? Il va pas oser me demander de… Il baisse l'élastique de son survêtement, puis son boxer pour révéler son pénis. Il est brun, très épais et velu.

Suce !

Je ne réagis pas, je garde la tête baissée. Il m'attrape par les cheveux et me la relève.

SUCE j'ai dit !

J'ouvre lentement ma bouche et m'approche de son sexe mou en tremblant. Il n'attend pas et me la fait entrer. C'est un gros morceau et je dois ouvrir grandement la bouche pour ne pas m'étouffer. La réaction ne se fait pas attendre. Son pénis grandit de plus en plus rapidement dans ma bouche à mesure de ses va-et-vient. J'ai l'impression de ne plus avoir d'air tellement elle grosse et longue. Je tente de me retirer, mais il me retient par l'arrière de la tête. J'essaye de ne pas avaler ma propre salive, comme pour nier le fait que je sois en train de pratiquer une fellation de force sur un parfait inconnu.

Tu suces mal, ouvre mieux la mâchoire, fais pas frotter tes dents sur ma bite, elle doit encore servir, connard.

Il sort brusquement sa queue de ma bouche et me donne une bifle. Quelle humiliation. Puis il m'en donne une deuxième, puis une troisième.

Hé, à ton tour mec, tu veux tester sa bouche ?

Ouais, vas-y, j'suis chaud là, j'ai une de ces triques mec, tu vas prendre cher, dit le blanc.

Il sort à son tour son sexe, plus petit et moins large que celui de son ami. Je la suce plus facilement et… avec un peu plus de plaisir. Il ne me la fous pas au fond de la gorge, il la glisse lentement et me tient par la nuque. Il pousse des petits cris de plaisir. Malgré ma situation, je commence à sucer de moi même.

Regarde, la pute suce toute seule ! Truc de ouf !

Je n'ai plus rien à perdre. Plus vite ils jouiront, plus vite je peux me casser. Il se retire. L'arabe revient, avec sa queue tendue entre sa main. Sans mentir, elle devait faire 20 cm au bas mot. Il me relève et me tourne. Là, je crains le pire. Je les ai déjà sucés, il ne va pas vouloir m'enculer non plus… Il défait la ceinture de mon jean et l'abaisse avec mon caleçon. Mon cul blanc comme la neige est à l'air libre. J'ai plus que jamais peur de me prendre son engin dans les fesses.

Putain mec, tu veux le baiser ? Demande le blanc

Mais ouais, il faut qu'il paye. Puis moi aussi je l'ai dure, là. Je vais lui foutre bien profond, qu'il se rappelle qu'on se fout pas de nos gueules.

C'est chaud ! Pense à moi, j'en veux aussi !

T'inquiète, j'en laisse toujours pour les frères, t'as vu. Allez, maintenant écarte bien ton cul, je vais te limer avec ma bite d'âne. Et je te préviens j'ai pas de capote, ni de lubrifiant. J'ai que ma salive.

Sans même que je n'aie le temps de me préparer psychologiquement, il était déjà en train de cracher abondamment sur son énorme gland. Il s'approche dangereusement de moi et de mon trou encore vierge. Je vais me faire violer. Et je ne peux rien y faire.

OUVRE !

Je m'exécute et tiens mes deux fesses pour les écarter. Je sens le bout de son gland chercher l'entrée de mon anus poilu. Il est devant. Il le sent. Il pousse de plus en plus fort. Je sers fort les dents. Son gland est entré. Malgré sa grosse taille je n'ai pas le sentiment d'avoir mal. Il entre doucement, bien qu'en forçant son entrée. Une vague de douleur progressive me traverse le corps. Il pousse encore. Je souffre, mon anus me brûle. J'ai l'impression que je vais imploser. Je me sens empli et je ne peux pas chasser mon envahisseur. Il persévère. Mais c'est une bite ou un tuyau d'arrosage ? Ça n'en finit pas. Je me courbe de douleur. Je hurle. Il place sa main devant ma bouche.

Laisse-moi entrer putain ! Ouvre tes fesses bordel, que je te baise comme il se doit !

Ça fait trop mal, arrête !

T'avais qu'à t'entraîner avant, maintenant ferme ta putain de gueule, je veux que t'entendre jouir, sale pute

Il a l'air d'être arrivé au bout. Je pousse un grand soupir. Il se met à ressortir. C'est toujours douloureux mais cent fois plus agréable que l'entrée. Arrivé aux trois quarts, il revient, en accélérant la cadence cette fois. Il ressort et crache à nouveau sur son sexe. Au bout d'une minute, la douleur s'était grandement atténuée, je pouvais enfin prendre ma respiration. Son énorme bite me remplissait entièrement le trou du cul. C'était tout de même une sensation étrange. Cela devenait de moins en moins désagréable. J'avais toujours horriblement mal mais je commençais à voir la situation avec philosophie. Il y avait un mâle isolé, moi, et deux mâles en groupe, eux. Ils n'ont pas aimé qu'on souille leur territoire, ils l'ont donc défendu. Plutôt que de blesser leur adversaire, ils ont préféré le molester, l'humilier, le violer, pour le dégoûter de franchir à nouveau la frontière. C'était ma leçon du soir. Sa bite brûlante me transperçait encore le fion et il criait de plus en plus fort. Je pense qu'il va bientôt jouir. Il se colle soudain à moi et se met à jurer en arabe. Je sens alors son gros chibre maghrébin pulser contre les parois de mon anus serré, à mesure qu'il se vide les couilles en moi. C'est interminable. Il pousse un râle final et se retire lentement. Mon trou est béant et c'est un torrent de sperme fumant qui en sort. Je me sens sale, souillé.

A ton ton, mec ! Il est méga serré, c'est mieux que la plus grosse des putes du coin.

Le blanc fonce dans mon trou meurtri, et à l'inverse de tout à l'heure, il se déchaîne en moi, comme pour se venger de ne pas avoir eu la première pipe. Son pénis, bien que plus petit que celui de son pote, me pénètre profondément, mais surtout dans un rythme d'enfer. Aucune pitié, aucun répit pour mon trou tout juste dépucelé. Malgré toute cette violence, je me rends compte d'une chose, mon sexe est à moitié dur. Cela me plairait-il ? J'apprécierais de me faire humilier, violer de la sorte ? Impossible. Mais alors, pourquoi est-ce que je bande, et pourquoi tout ce liquide séminal au bout de ma propre queue ? Je me concentre sur ce qu'il m'arrive et tente de comprendre mes sens. Je ne ressens presque plus de douleur, mais de plus en plus de plaisir à mesure que son sexe coulisse dans mon antre lubrifié par le sperme visqueux de son comparse. Je me rends enfin compte qu'à chaque fois qu'il passe à un certain endroit, mon plaisir est décuplé, serait-ce ma prostate ? Je me cambre de plus en plus, de sorte à ce que ses coups visent toujours ce point précis. Oh, ce que c'est bon.

Oui, oui, oui… Oh… AH. Oh-oh-oh oui…

Mais putain y a dix minutes t'étais en train de chialer, et là tu vas me dire que tu kiffes ? Il t'en faut vraiment peu pour devenir une vraie pute. Tu vas en redemander sale chienne.

Le blanc accélère encore le rythme, comme pour me signaler qui aller finir. Il me donnera quatre ultimes coups pour envoyer la purée au fin fond de mes entrailles déflorées. Je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mais quand il a voulu se retirer, je lui ai demandé de rester en moi, le temps que je me finisse à mon tour. Je n'ai jamais autant joui de ma vie. Les deux gars ont remonté leurs survêtements et se sont enfuis en courant et en riant. Quand une annonce est diffusée sur le quai « dernier train pour Paris dans 3 minutes ». C'est donc le temps qu'il me restait pour me nettoyer et me rhabiller.

 

 

 

 

 

Par BLANSHIT C - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 08:05

 c'est qui (quoi) les Debbouz, les Mehdi..." -partis-de-rien- "  comme ils disent et qui chassent, dans ls deux sens,  les gens "du château" déjà bobos ils jouent les mal élevés et ça plaît ou fait rigoler...ils ont seulement remplacé les anciens -partis-de-rien-

  mais j'aimerais que Mehdi m'explique ce que c'est "le Droit Chemin" 

Sans titre

 ECRIT PARMEHDI P. (extrait)

       Né en 1984 dans la région parisienne, français d'origine marocaine et normande. Intéressé par la politique depuis le plus jeune âge ainsi que par la lecture et le sport, je partagerais avec vous ma vision sur des sujets d'actualité.

_____________________________________________________

[EMPRUNTS] ndlr 

« la culture racaille ».

Beaucoup de français qui tombent dans le sectarisme et rejoignent DAESH appartiennent à ce que l’on pourrait appeler « la culture racaille ».
Il est d’ailleurs assez savoureux de constater que la culture racaille est au mouvement Hip-Hop ce que le sectarisme est à l’Islam, un parasite qui le ronge de l’intérieur, une gangrène, l’expérience ratée d’un savant fou, la créature de Frankenstein.
Elle est vivante ! Et bien vivante, elle ne s’est même jamais portée aussi bien.
Le phrasé du « ghetto » est parlé par tout le peuple de France depuis fort longtemps, de la banlieue chic à la campagne profonde, mais le voilà maintenant qui entre de plus en plus dans les médias, où quand auparavant on s’évertuait à parler un langage correct, on s’abandonne désormais à de plus en plus de familiarité.
Les rappeurs sont à la mode, autrefois boycottés par les médias lorsque leurs textes étaient revendicatifs et visaient à déranger l’ordre établi, maintenant qu’ils ne parlent plus que de drogue, de sexe, de violence et d’argent facile, le tout avec un niveau de grossièreté assez considérable, les portes leur sont grandes ouvertes.
Au cinéma aussi, la cité a la côte, Jamel Debbouze a longtemps été un des chouchous des français et son camarade Omar Sy a le vent dans le dos à un point tel qu’il est déjà devenu trop grand pour le cinéma français.
Le sport le plus populaire du pays, le football, est totalement imprégné de cet état d’esprit, la grande majorité des joueurs qui composent l’équipe de France, la vitrine du foot français, viennent de cette culture-là. Ils font partie de nos nombreux ambassadeurs à l’étranger, ils représentent l’image de notre nation.
Mais pourquoi s’en offusquer, après tout il n’y a pas si longtemps cette culture racaille était même à l’Elysée.
Sarkozy l’américain, Sarko le bling-bling, au comportement et au langage parfois grossier, souvent familier, Sarkozy l’adepte de la punchline, la « phrase coup de poing » qui sonne juste et qui frappe fort, l’arme favorite des rappeurs…dont certains collaborent avec un de ses fils qui travaille dans le monde de la musique. La boucle est bouclée.

Mais laissons ici ces porte-drapeaux et revenons à nos moutons, à nos racailles du quotidien qui nous pourrissent la vie à tous par leur mauvais comportement, leurs incivilités, leur délinquance.

Car c’est bien de cela dont il est question, si cet état d’esprit racaille se limitait à un simple phénomène de différenciation linguistique, vestimentaire et comportemental véhiculé par une culture issue des ghettos noirs américains et dont la locomotive est le rap, après tout pourquoi pas?

Nous avons bien eu en France une jeunesse qui a importé la culture de la classe ouvrière britannique et américaine portée par le rock.
Mais le phénomène racaille va souvent de pair avec des actes pas seulement interdits par l’islam mais aussi par la loi française, pourtant plus permissive, et cela va de la petite incivilité au grand banditisme.

[communauté musulmane]

Chers lecteurs je ne vais pas y aller par quatre chemins, je considère ces individus comme étant parmi les pires ennemis du musulman à l’heure actuelle dans notre pays, bien plus que le raciste le plus agressif ou que le laïc le plus fanatisé.
Car, et c’est le nœud du problème, ces personnes sont en majorité issues de la communauté musulmane, ou du moins s’en revendiquent. Ils sont donc une source de racisme et un carburant inépuisable pour faire tourner le moteur du discours anti-islam.

Mais avant d’en faire la critique, il convient d’en faire la genèse.

Avant toute chose je voudrais couper court à toute polémique et d’ores et déjà répondre à ceux qui iraient se pencher sur la pratique religieuse de ces personnes afin de m’expliquer que « techniquement » ils ne sont pas vraiment musulmans car il ne suffit pas de le déclarer pour en être. Certes, mais ces considérations ne m’intéressent pas ici, ce qui me préoccupe c’est l’image qu’ils renvoient de nous à nos contemporains non-musulmans.

La majorité des individus que l’on nomme « racailles » sont arabes et noirs, nul ne peut le nier, ils sont les enfants et les petits-enfants de ces travailleurs maghrébins et africains qui ont répondu à l’appel de la France dans les années 60 comme l’ont fait avant eux les polonais et les italiens.

[message divin]

Loin de moi l’idée de faire porter à nos aînés toute la responsabilité de cette jeunesse au comportement scandaleux, mais force est de constater qu’il y a eu quelques soucis au niveau de l’éducation et également de la transmission du message divin.
Bien souvent ces immigrés étaient issus dans leur pays d’origine du monde paysan, ils étaient pour bon nombre d’entre eux illettrés et ce qu’ils savent de la religion a été transmis de façon orale avec les approximations et les erreurs qui vont avec.
Ils ont parfois mis leur pratique religieuse entre parenthèse afin de conserver leur emplois, ils vivaient parfois dans des conditions difficiles, notamment au niveau du logement, l’environnement n’était pas toujours propice à la réussite de leur progéniture.
Cette progéniture qui étant née en France se retrouve vite en décalage avec ses « blédards » de parents, cette jeunesse abreuvée du discours laïc et gauchisant de l’éducation nationale, abreuvée de loisirs et de divertissements est désormais conditionnée pour rejeter tout discours provenant de ce qu’elle considère maintenant comme des arriérés.

Ce qui a pour conséquence de diviser ces enfants d’immigrés musulmans en trois principales catégories :
–ceux qui malgré tout pratiquent leur foi sérieusement et y restent accrochés fermement
–les athées fanatiques
–des musulmans « de culture » qui se contentent de quelques notions de halal et haram et dont la pratique se limite souvent à ne pas manger de porc.
C’est cette dernière catégorie qui nous intéresse.

Une catégorie d’individus pour qui l’islam est plus un outil revendicatif qu’autre chose, une bannière sous laquelle se rassembler, l’habillage culturel est présent mais la pratique cultuelle est aux abonnés absents.

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Par claudio - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 14:31

  c'est son secret. il ne s'agit pas de compromettre qui que ce soit car ça vient uniquement de la presse italienne ne savons pas s'il se masturbe en pensant à un homme ou une femme...mais : 

 

  BRESCIA (it)

Le témoin : "Comme vous  avez  pu voir dans la vidéo qui les a montrés, il était vraiment lourd. Il se masturbait en enveloppant son pénis avec son chapelet..., il m'incitait à dire des phrases à fond sexuelles  assaisonnées de jurons. Il m'a  demandé jusqu'à si je voulais qu'il m'aide à faire pipi et de lui envoyer ma photo complètement nu."

 

 

Sacerdote bresciano gay: sesso con ragazzi all'oratorio

Italien "Come ha potuto vedere attraverso i video che le ho mostrato, era veramente pesante. Si masturbava avvolgendosi il rosario attorno al pene, mi incitava a dire frasi a sfondo sessuale condite di bestemmie. Mi ha chiesto persino se mi andava di farmi fare la pipì addosso e di inviargli mie foto completamente nudo".

 

Pensez-vous qu'il soit aussi allé au lit avec des garçons de la paroisse?
"Je n'ai pas de preuves. Mais de tout sûr il a fait sexe avec des garçons et autres prêtres dans l'oratoire, comme il le déclare lui-même dans une vidéo. S'ils étaient de la paroisse, ça je ne peux pas dire."

 

 

  (fake photos from the net)

 

confesionario

  sous le sceau du secret on peut vous dire que?  DE CERTAINS POINTS DE VUE le prêtre n'a pas été exemplaire (journaux) mais d'un autre point de vue...c'est pas mal...félicitations ! -lol- bienvenue au club !   (fake photos from the net)

 

 

mais d'un autre point de vue(homo)...c'est pas mal -lol- bienvenue au club, m'sieur l'Abbé  ! 


  on imagine que ça veut représenter un (des)paroissien(s) gâtés. 

 

 

  (fake photos from the net)  

  ____________________________________________________________________________________________________

commentaire :

 

Par CORRIERE DE LA SEGA - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 09:03

Jimmy Durano & Micah Brandt at hot house

        Saddle Up (Jimmy Durano & Micah Brandt) (Scene 5) at Hothouse 

             


    Image associée

Image associée

 

Jimmy Durano & Micah Brandt chauffeurs de tracteur 

     


 

 

Par JIMMY&MICAH - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 février 2 21 /02 /Fév 01:56

  une histoire aussi belle que le secret de Brokeback mountain, mais elle est  vraie 

Résultat de recherche d'images pour "tumblr a gay fuck by a tractor" image du net  rien d'exhib entre VALERY ET SERGUEI toutefois 

 

 Dans un village perdu près d’Ochmyansk, dans l’oblast* de Grodnensk en Biélorussie, un couple de conducteurs de tracteurs gays vit heureux. Alena Soïko, du journal en ligne Colta.ru a recueilli leur histoire qu'on n'attendrait pas dans la Russie de Poutine !    

Note à l’attention du lecteur : Cette histoire, qui peut vous paraître incroyable (c’est ce qu’il nous a semblé à nous aussi au début), est pourtant tout à fait véridique. Les noms des personnages et du lieu de leur résidence n’ont pas été changés (le village, sur leur demande, n’est désigné que par la première lettre de son nom, mais l’oblast* est indiqué tel quel).

  * oblast*-> division administrative russe dont je n'ai pas pu établir l'équivalent en français

 

Avertissement de la rédaction  : Cet article est déconseillé aux moins de 18 ans. [mais comme d'hab cavaillongay recommande ce qui est interdit ! ] 

Valery Sidorenko (35 ans) et Sergueï Ostaptchouk (33 ans)

Valery : Eh bien, je suis moi-même originaire de ce village où je vis aujourd’hui : B****. Je suis allé à l’école mais j’étais mauvais élève, je suis resté travailler ensuite dans notre kolkhoze : j’ai terminé ma formation au bahut technique du coin. Sergueï est arrivé chez nous quand j’étais en classe de neuvième (équivalent de la troisième, ndlr), il était genre deux classes en-dessous. Tout petit.

Sergueï : Nous vivions avant ça dans le village voisin, après mes parents ont obtenu un logement et nous avons déménagé ici.

Valery : Bon, à l’école comme à l’école. Alors, on se connaissait bien sûr mais on n’était pas dans les mêmes bandes. Même quand moi j’étais en onzième et lui en 9ème, on ne se parlait pas. Pour les soirées discothèque de l’école, évidemment, tout le monde allait aux mêmes mais nous ne traînions pas avec les plus jeunes.

*Nous nous sommes rapprochés quand nous avons commencé à travailler ensemble dans le même kolkhoze

Sergueï : Nous nous sommes rapprochés quand nous avons commencé à travailler ensemble dans le même kolkhoze. D’autant que nous vivions l’un en face de l’autre. C’est comme ça qu’on nous avait donné les logements. Et bon, nous étions amis comme ça, en bons voisins. Lui avait une femme et des enfants, moi j’avais une femme et des enfants. C’était, genre, un mec normal, en plus, nos femmes étaient copines, les gamins allaient dans le même jardin d’enfants. On fêtait ensemble les anniversaires. Comme tous les voisins, en gros.

Valery : J’ai rencontré Iana dès après l’école. Elle ne me plaisait pas plus que ça. Non, c’était une fille bien mais me marier, je ne voulais pas trop. Sauf qu’elle est tombée enceinte. Elle arrive, elle dit : « c’est le tien ! ». Ma mère était dans tous ses états. Il faut te marier, elle crie. Je me suis marié. Bon et puis, il s’est trouvé que le deuxième enfant a été lancé au bout de deux ans. Une bonne femme "de chez bonne femme". On ne se faisait pas de mamours. Le romantisme, là, tout ça… Bon, coucher avec elle au début, c’était bien. C’est après qu’ont commencé les problèmes avec ça. Le reste – qu’est-ce que je peux dire, elle cuisinait, elle lavait le linge, surveillait les enfants, elle ne me prenait pas particulièrement la tête, elle m’autorisait à boire dans une certaine mesure. C’était pas la mégère de Sergueï : pour 2 petits verres de trop, elle pouvait piquer de ces crises de nerfs, hystéro comme ça. Celle-ci, alors, elle nous en a refilé des hémorroïdes ! -"Sergueï,  ne le prends pas mal !", il se vexe toujours sur cette histoire, mais je lui ai dit et je lui dirai qu’il s’est choisi pour bonne femme une putain de tarée, plus tarée y a pas. La mienne, quand je faisais la fête, elle n’aimait pas. Là oui, elle se fâchait. Pour le reste elle était calme, compréhensive.

Sergueï : Mais toi, tu veux quoi aussi ? une femme vit sa vie tranquille et un jour elle regarde dans la salle de bains et nous y voit. La tienne aussi, elle a tout appris, mais elle n’a pas eu ce choc. C’est plus simple pour elle. Ma Katya, elle a pété un plomb, mais ça se comprend. Même si elle était nerveuse, oui. Mais là, elle aurait pu carrément nous enfermer et foutre le feu. Alors ne raconte pas trop de saloperies sur elle. En général, je gueule peu mais quand il commence à s’en prendre à Katya, c’est dur pour moi.

Valery : C’est un sensible.

Sergueï : Va te faire foutre, Valera !

Valery : Mais putain, même pour moi c’est difficile d’expliquer sans dire de la merde. Vous avez de ces questions, vous aussi, [les journalistes], forcément. Chez les bonshommes, tout est plus simple dans cette affaire : elle [la bite] est debout, ça veut dire quelque chose, à quoi bon se raconter des conneries ? Tout est clair, pas vrai ? Tu ne te dis pas que t’es malade. Ce serait pas bien logique. C’est comme ça, avec la queue. J’ai déjà dit qu’avec Iana, la baise, c’était bien. Mais ensuite, j’ai arrêté d’être chargé bandé ? . Des maîtresses, j’en ai toujours eu beaucoup, mais même là tout ne collait pas. De plus, j’ai toujours voulu tout essayer, bon, le sexe anal. Mais toutes mes gonzesses considéraient ça comme une espèce de perversion. Ma femme, j’ai souvent tenté de la brancher là-dessus. Elle aimait se moquer après, elle disait comme ça que j’étais pédé. Mais et quoi ? Le sexe, c’est le sexe. Elle aurait cédé, peut-être, je n’aurais pas filé[été cherché ailleurs]  . Bien que tout ce manège, ça a troublé Serioja [diminutif de Sergueï, ndlr]. C’est lui qui m’a coincé dans la cour un soir de beuverie. Bon, je ne l’ai pas repoussé à ce moment-là. Ensuite, je me suis dit, putain, qu’est-ce que c’est que ce mec qui m’a serré et embrassé. J’ai halluciné grave mais je comprenais que, bordel ! ça ne me dégoûtait pas, j’avais pas la nausée de toutes ces idées et ces sensations, c’était même agréable.

*Je n’ai jamais été particulièrement attiré par les filles

Sergueï : Le corps masculin m’a toujours plu davantage. C’est maintenant, je me dis comme ça que peut-être, si j’étais né en ville, où il y a des gens comme ça, ça se serait manifesté plus tôt. Mais ici… avec qui pouvais-je en parler ? Ma mère, même si c’était une femme avec du cœur, n’aurait pas compris. Et mon père ? C’était un campagnard grossier typique. Je suis différent. Faites pas attention, là, au fait que je sois machiniste et sans instruction. Je ne suis pas un idiot. Simplement, j’avais la flemme d’étudier. Bon, mais comment vous expliquer ? Je n’ai jamais été particulièrement attiré par les filles. Je me souviens qu’à 13 ans, j’ai été franchement effrayé quand j’ai compris que, par exemple, en cours de gym, quand nous nous changions, ça me plaisait beaucoup d’observer les garçons. Je ne pensais pas du tout au sexe, non. Mais vous savez, quand, bon, je ne sais pas moi, les mecs, en discothèque, aiment faire des blagues vulgaires, du genre :–" quels nibars ou quel cul elle a, cette fille"  je comprenais que ça leur plaisait, mais moi c’est comme si je ne captais pas ce qu’il y avait d’amusant là-dedans. Ça me faisait peur. Mais je me disais, tout arrive.

Katia, disons, m’a mis le collier toute seule. Elle était venue ici sur une mission, travailler comme comptable dans notre kolkhoze. Bon, et voilà, nous nous sommes rencontrés. Elle était gentille. Mais je ne ressentais rien de spécial. Le sexe, je ne veux pas en parler. Nous avons des enfants. C’est-à-dire j’assurais avec tout. Mais sans ce truc particulier[qu'est l'amour]. Et puis, le sentiment que le corps des hommes me plaisait plus n’a fait que grandir avec le temps. Mais ici, dans le village, personne ne me plaisait spécialement. À l’école, tous les garçons étaient beaux gosses. Mais pas les hommes adultes. Il y avait seulement Valera [diminutif de Valery, ndlr]. Pour le reste, je me disais comme ça : voilà, je regarde des films, par exemple, bon et là, il y a beaucoup d’hommes beaux. Et oui, ils me plaisaient beaucoup. Je pouvais m’imaginer des tas de choses.

Avec ma femme, je ne couchais pas souvent. Et elle, elle ne se demandait pas s'il y avait un problème. Elle pensait, certainement, que je me fatiguais beaucoup au travail. Ça me convenait. Mais je faisais toujours attention aux hommes. Sauf que vous faites quoi avec ça, ici, au village ? Je faisais simplement semblant de rien.

*Allez, raconte comment tu as fait de moi un pédé

Valery : Bon,Serioja, tu as assez bavassé. Allez, raconte comment tu as fait de moi un pédé.

Sergueï : Je n’ai rien fait de toi. Tu ne m’as pas frappé après ça, que je sache. Bon, en gros, Valera, je l’ai remarqué tout de suite, dès que nous avons commencé à travailler. Et toutes ces années, il était mon plus puissant fantasme. Ici, au village, le premier et le dernier. Bon, il est grand, bien taillé, joyeux. Et à chaque rencontre, je comprenais ce qui se passait chez moi. L’été, là, quand il enlevait son maillot et que je le voyais, je comprenais que ça m’excitait. C’étaient des émotions fortes. Je vous l’ai dit, je n’ai jamais eu envie de Katya. Mais là, je comprenais que tout était clair dans ma tête. Je me retenais. Chaque jour, je me sentais de plus en plus merdique. Je ne jure pas d’habitude, mais comment veux-tu le dire autrement ? Et le trouble grandissait, je n’avais pas le contrôle. Même, à cause de tout ça, je me poivrais. Je chassais tout ça comme je pouvais avec l'alcool. Mais Valera vous l’a dit déjà : si elle se lève[la bite], qu’est-ce que tu veux faire ?

*on le fait maintenant ou jamais

 

Bref, c’était le jour où les Nepotchilovith, ils habitent à l’entrée du village, ont donné leur fille en mariage. Tout le village a fait la fiesta. J’étais sévèrement cuit et déjà l’idée, c’était ça :[je voulais Valera]   rien à battre, en gros, s’il me frappe, je m’en vais et je me pends. Je pensais sérieusement comme ça. Je comprenais que, putain de merde, j’avais 31 ans, et que quelqu’un dont j’avais envie était apparu. J’ai compris comme ça, pour la première fois, ce que c’est qu’avoir envie de quelqu’un. Avant, j’entendais seulement les hommes sans véritablement comprendre de quoi ils parlaient. Mais lui, putain, c’était un homme. Bref, oui, si tout ne s’était pas bien passé, je serais mort, c’est sûr. Et je l’aurais fait, parce que vous comprenez : comment est-ce que j’aurais pu vivre ici après ça ? Bon, je l’ai fait sortir, derrière la maison il y a leur potager et un petit jardin, c’est là que je l’ai emmené. Il était saoul aussi et ne s’inquiétait pas particulièrement de savoir où je le conduisais. Bon, et j’ai attaqué. Il était ivre mais il ne m’a pas repoussé.

Valery : Bon, et nous nous sommes becottés. Ensuite, déjà, je me suis arraché, je lui ai crié genre qu’il était taré et je me suis enfui. Putain, ça sonne vraiment ridicule – un grand garçon comme ça qui s’enfuit. Mais c’est ce que j’ai fait à l’époque.

Sergueï : Mais à ce moment, ça m’a libéré. J’ai compris que lui aussi était tout tendu et qu’il était aussi excité. Je me suis dit, rien à battre de ce qui va se passer ensuite. Dans tous les cas, je n’ai pas eu besoin de me pendre !

Valery : Oui, j’ai pété un putain de plomb à ce moment-là. J’étais saoul, oui, mais je comprenais ce qui se passait. Et ça ne me répugnait pas. Après ça, bien sûr, nous ne parlions pas du tout, bon, on se saluait, mais comme ça – nous ne nous regardions même pas. Tout ça a traîné un mois et demi. Mais souvent, je me souvenais, c’était putain de bon. Ça foutait la trouille : quand je baisais Iana, eh bien, je pensais à lui. Et j’étais tout tiraillé : qu’est-ce que c’est, il s’était décidé et maintenant, il détourne les yeux. Mais c’est quand même lui qui m’a emmené là-bas. Bien que je me disais, peut-être que lui aussi était murgé  à mort à bout de nerfs. Mais quand même, putain, il s’est pas bourré la gueule à ce point, pour se prendre à grimper sur un bonhomme. Ça veut dire, je me disais, il a fait ça sciemment, ce pédé de mes deux. Et les fantasmes ça y allait, chez moi, à fond de train. Nous ne nous sommes pas retenus longtemps. En gros, je l’ai appelé tout simplement, le dimanche, pour m’aider à réparer le service d'eau chaude. Les miens étaient justement partis chez la belle-mère. Je me disais, bon, on verra là-bas. Et puis, c’est là que ça s’est passé.

Sergueï : Après, quand nous étions allongés, nous en avons un peu discuté. Je lui ai parlé de mes sentiments – pareil qu’à vous. Il m’a parlé de ses fantasmes. Vous comprenez, c’est pas que chez nous c’était l’amour – nous ne nous tenions pas par la main, au travail nous nous comportions comme il faut, bon, mais oui – nous nous rencontrions régulièrement. Dans sa salle de bains. Mais nous étions bien ensemble. Nous n’avions pas l’intention de vivre ensemble. Mais ma Katya nous a découverts. Dans la salle de bains. Bon, elle était nerveuse et, oui, elle s’est toute répandue en hurlements.

*un outing à la russe !

 

Évidemment, c’était la putain de merde ! Elle a retrouvé la femme de Valera et l'a dit à tout le monde, l’un après l’autre, que nous étions des pervers. Ensuite, elle a pris les enfants et elle est partie chez sa mère. La femme de Valera a fait pareil. À vrai dire, nous ne savons pas où sont ses enfants maintenant. Où elle est partie ? Aucune idée. Ma femme ne me laisse pas entrer dans la maison de la belle-doche. J’ai essayé d’y aller mais c’est l’hystérie et les larmes.

Valery : La mienne avait certainement un matou amant. Seulement, où est-elle partie ? Aucune idée. Mais même si j’avais su, la situation aurait été la même que pour Serioja. Bon, vu qu’elles se sont arrachées, nous nous sommes dit : qu’est-ce qu’il y a d’autre à faire, nous allons vivre ensemble. De toute façon, tout le monde le sait, qu’est-ce qu’il y a à cacher. Oui et puis il ne nous restait personne à part nous.

*Abandonner les enfants pour une bite ?

Sergeï : Abandonner les enfants pour une bite ? Au final, oui, c’est ce qui s’est passé. Mais l’histoire, c’est que personne ne voulait abandonner personne. Nous aurions vécu comme ça si on ne nous était pas tombé dessus. Il y a bien des couples qui vivent, où le mari a une maîtresse. Bon, seulement là c’était un amant. Si Katya m’avait vu avec une quelconque Macha, vous croyez que ça aurait été un problème ? Mais là, évidemment, c’était le drame. Mais je ne vais pas me mettre à juger. Moi, je ne sais pas ce qui se serait passé avec moi si j’avais vu ma femme avec une autre femme. Bon, et donc quand tout a été révélé, il ne nous est rien resté d’autre que de nous mettre ensemble. Nous sommes restés quand même vraiment tout seuls, en fait.

Valery : Évidemment, il fallait que nous nous mettions ensemble. De toute façon, foutu pour foutu. Nous avions honte. Eh, comment vivre avec un mec et tout ça. On est gays, on n’est pas gays ? Va savoir, bordel ! Avant, je prenais du plaisir quand même avec les gonzesses, lui, c’est clair, il a dit que non, mais moi, c’est différent – j’étais un mec disons " normal"… Mais quoi, le sexe avec un bonhomme t’excite, bon, ça veut dire tu es gay. Et nous vivons bien. En fait, nous avions toujours eu de bons rapports. Qu’est-ce qu’il y a : nous travaillons, nous savons cuisinier, là on vient de terminer des travaux à la maison. Oui, tout va bien. Ça fait déjà deux ans comme ça. Pour les enfants, ça fait mal. Ça oui. Et qu’est-ce qu'il va se passer, va savoir ? Nous ne voulions pas les abandonner. Seulement tout a été révélé – et c’est comme ça que c’est sorti. Bon, c’est pas que nous soyons des amoureux romantiques. Oui, bon, nous voulons coucher l’un avec l’autre. Mais abandonner les enfants et détruire la famille, nous ne le voulions pas. Pourtant, c’est ce qui s’est passé. Vous voyez vous-même. Des scènes que nous ont fait les femmes après tout ça, même pas besoin d’en parler. Elles étaient toutes en pleurs, la mienne a pris les enfants, voilà, elle dit, papa est un pervers et elle leur décrit en détails pourquoi. Je me suis dit, je vais la tuer, la chienne. Pas parce qu’elle ne disait pas la vérité. Non, mais juste, ça sert à quoi de traumatiser les enfants ? Celle de Serioja a carrément hurlé, au point de se demander s’il n’avait pas rêvé toute sa vie de violer son fils. En gros, c’était le bordel pour nous, la vraie merde.

Sergueï : Et maintenant, qu’est-ce que tu veux dire – je n’ai pas plus cher que lui. On n’a pas toutes les conneries romantiques, là. Passé l’âge. Mais je l’aime. Et pourquoi je ne l’aimerais pas. Il est ma famille.

* Qui aurait prédit ...?

Valery : Y a de quoi devenir taré, celui qui m’aurait dit que ce serait comme ça, je l’aurais frappé, ou je sais pas, pour qu’il ne raconte pas des putain de conneries. Et nous voilà.

Et le village ? Le village a accepté. Bon, accepté, c’est-à-dire… Si vous voulez savoir si on nous a humiliés, alors non, on n’a rien eu de tel ici. Et qui va nous humilier ? C’est un village mort ici, il n’y a que des retraités. Pour nos mamies locales, évidemment, c’était étrange : elles soupiraient, poussaient des oh-là-là et elles aimaient geindre un peu : « qu’est-ce que c’est que ça, Valera, il paraît que vous vivez maintenant avec un homme ? ». Ensuite déjà, ils ont dit que, bon, ça va, ils ont fait des enfants, pour les bonnes femmes quand même c’est important, les enfants, là, les petits-enfants tout ça. Bon, et on a fait ce qu’il fallait, et maintenant, c’est rien – on peut pardonner et merde !

Sergueï : Mais sur le moment, quand c’était tout chaud, on a tout eu. Quand ma femme nous est tombée dessus, elle a couru tout le village et fait du scandale. Mais ensuite, tout s’est à peu près arrangé. Ici, les gens ont assez de problèmes : la vache est tombée malade, les enfants ne mangent pas, les retraites ne sont pas versées, tout augmente. Personne ne va pas pester contre nous en permanence.

Valery : Ils s’en battent tous les couilles, maintenant, en gros. Les gars au boulot – on peut leur régler leur compte. Bon, ils ont demandé, bien sûr, qu’est-ce que c’est que cette merde que vous avez balancée, les gars ? Mais nous avons dit tout de suite que nous n’allions discuter de ça avec personne, c’est pas leur affaire. Et s’il y a des problèmes – alors il faut encore savoir qui va la mettre à qui. Personne ne nous a jamais attendus sous les porches. Mais, si nécessaire, nous ne sommes pas des lopettes, vous nous avez vu vous-même.

Sergueï : Nous ne nous sommes même pas inquiétés pour le travail. Notre chef, c’est pas un agité. Il a un seul tracteur pour tout le kolkhoze, là c’est l’automne, il n’y a pas d’arracheuse, rien pour ramasser les patates. On lui bouffe en permanence le cerveau dans le district. Lui, il s’en tape, en fait. La mienne, là, quand elle a pété un plomb, elle a couru chez lui aussi, genre, aidez-moi, faites quelque chose. Bon, pour qu’il menace, qu’il influe. Mais lui, il a quoi à y voir ? C’est quand même pas ma Katya qui s’assoit sur le tracteur. Un mec pratique, en gros.

*Je ne crois pas en Dieu. Serioja non plus.

Valery : Ah, oui. Il y avait encore une tarée. Direct, quand elle nous a vus, elle a commencé de se signer, elle hurlait la prière de toute sa voix, dans toute la rue. Et chez nous, ici, comme dans tous les villages, toutes les bonnes femmes sont assises dehors dans les échoppes, elles regardent. Et elle, elle s’applique, hein : bon, que du cirque, quoi. Une dingue, elle a toujours été comme ça. Mais elle n’est plus là maintenant. C’est même nous qui lui avons creusé sa tombe. Bon, il n’y a pas de quoi s’offenser. Une malade complète. Ah-ah oui, bon mais ça c’est carrément le gag : un prêtre est venu depuis le district. Il faut sanctifier la maison, qu’il dit. Et vous, il dit, vous devez aller à l’église. Dieu n’est pas en vous, il dit quelque chose à propos de Satan. Je ne voulais quand même pas être grossier. Mais il m’a cassé les couilles. Serioja, il est plus calme, mais moi, non, il m’a gonflé, je l’ai envoyé se faire foutre et j’ai dit que s’il réapparaissait encore une fois sur le seuil, je lui mettrai direct sur la gueule. Je ne crois pas en Dieu. Serioja non plus.

 

Il n’y a jamais rien eu comme ça, si je déteste les gays ? Je sais pas, moi, je m’en fous de qui couche avec qui. S’il y a de la violence et qu’on s’attaque aux enfants qui ne comprennent encore rien, pour ça oui, on peut fusiller. Mais d’ailleurs, des gays, je n’en ai même jamais vus. C’est vrai, viennent parfois ici, chez les mamies, les petits-enfants. Bon, et oui, souvent tu ne comprends même pas, de dos, si la personne est un garçon ou une fille. Habillés tous pareils, vous savez, des habits moulants, et des couleurs bizarres. Ça, ça ne me plaît pas, à moi, quand un bonhomme ressemble à une bonne femme. Ça oui, c’est un peu de la saloperie. Mais le sexe, c’est l’affaire de deux personnes.

Résultat de recherche d'images pour "tumblr a gay fuck by a tractor" image du net  pour  illustrer "ce qui se passe dans ma chambre c'est mon affaire" et ça le fait, non ?  

 Je ne ressemble pas à une bonne femme et c’est bien. Et ce qu’il se passe dans ma chambre, c’est mon affaire et ça ne concerne personne. Je parle bien, non ? Seulement quand même je vous le raconte à vous, c’est-à-dire c’est déjà plus personnel… Mais vous avez insisté, vous m’avez traqué, on ne se débarrasse pas de vous comme ça. Non non, le prenez pas mal :[j'ai accepté] si je n'avais pas voulu, je n’aurais pas parlé.

 

LES PHOTOS SONT DU NET

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    BISEX->La Russie a aussi son brokeback...(toundra au lieu de mountain ) Bien malgré eux Sergueï et Valery ont été abandonnés par leurs femmes homophobes et vivent ensemble. Un mal pour un bien. 

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  commentaires : "Poutine a dit un jour qu'il n'y avait pas d'homosexuels en Russie et il pratique une répression combattue par tout l'occident"Dodo-la-praline

"les pays arabes sont terribles pour les homos. Allah ne leur pardonnera jamais et là, la communauté villageoise réagit bien...c'est vrai que s'ils les bannissaient qui conduirait le tracteur ? -lol-" Dodo-la-praline  

     "leurs femmes auraient pu tolérer leur (petit) bonheur et ne pas faire de leurs enfants  des orphelins de pères" Justine

COURRIER DU BLOG / claudemodou@gmail.com  

Par Alena Soïko journaliste - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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