Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 09:31

pour faire une farce il annonce : "M'man j'ai mis une fille enceinte!

 

 Oyez, oyez braves gens !

Il sait ce qu'il veut et a fait sa sortie du placard à ses parents à 15 ans s'il vous plaît !!!  et officiellement à 18 ans en 2013.

    Ce chanteur ouvertement gay a joué dans des films :

  Résultat de recherche d'images pour "gif young man in na wheel chair k" "Je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie"; elle n'est pas si longue sa vie : là il vient d'atteindre 18 ans et il publie son coming-out sur sa chaîne youtube on est en 2013 

Il est très volubile et nerveux et on a tendance à perdre le fil de ce qu'il veut nous communiquer :

YouTube

 

"Troye explique être assez terrifié à l'idée de décevoir son public, d'autant plus qu'avec les réseaux sociaux, les choses peuvent aller très vite, prendre un tournant assez dramatique et que tout peut s'arrêter du jour au lendemain. Son conseil pour éviter de tout foirer ? "Essayer d'être la meilleure personne qu'il soit". Etre gay l'a aidé à comprendre certaines choses et notamment a accepté le monde tel qu'il est. Troye Sivan exlique qu'il a fait son coming-out à ses parents alors qu'il avait 15 ans et que les forums gay et les Tumblr l'ont beaucoup aidé. Pour l'anecdote, il avoue avoir eu recours à des pseudos afin de garder l'anonymat parce qu'il avait déjà sa chaîne sur Youtube. Être populaire sur le web a aussi quelques inconvénients. Troye est devenu totalement accro à son téléphone et se réveille plusieurs fois dans la nuit pour checker ses messages et ses réseaux sociaux. Les gens le reconnaissent dans la rue mais il assure que son public est bienveillant et il adore discuter avec ses fans ! Décidément, ce jeune homme a vraiment la tête sur les épaules ! "(Muf')

 

CE CONCOURS DE LEVRES VOUS FERA MARRER !  c'est voulu ! mais vous aurez peut-être envie de coller les vôtres sur les siennes

 

 

 

 

chouette gars qui conserve des allures de gamin !

nul ne sait s'ils ont déjà....

 

fait l'amour

ému : il se touche ? -lol-

"je suis excité, j'espère que vous aussi les gars"   

coquin :

"J' p pas la prendre en main ça  pourrait me faire crier !"

 

 

 


commentaire : "sa bouche m'inspire des choses...c'est voulu ?" (Volver)

Par TROYE SIVAN, GAY - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 06:32

moi ? j'ai combiné ce plan uniquement pour rendre service, en bon chrétien ... 


 

 un bon Samaritain devient "Voyeur de nuit" 
Dans tout gay il y a un bon samaritain mais il ne faut pas trop approfondir les motivations qui sont celles d'humains normaux
..."
je regardais attentivement qui vous savez , et ne niez pas que vous le faites aussi quand ça se présente." 
Je vais pas chercher des excuses du fait que j'ai un béguin  pour un jeune homme. Et moi, étant coutumier du fait, ça ne vous surprendra pas que celui-ci ait environ 20 ans et qu'il voyageait avec ses parents quand je l'ai rencontré, pas une fois, mais deux fois de suite au cours du même voyage. 
 Coïncidence? Peut-être, mais je ne suis homme à "me défiler" quand un jeune homme a besoin "d'un coup de main", pour ainsi dire !
    
Il figure désormais sur sur une de mes photographies de visites touristiques. J'avais passé quelques jours tout seul dans la merveilleuse et éternelle San Francisco. Là , j'en étais parti en direction du parc national de Yosemite. J'avais réservé dans un petit hôtel familial à quelques kilomètres à l'extérieur du parc, un lieu ancien  plutôt pittoresque avec une façade en bois et des meubles anciens partout. C'était après le dîner et j'étais assis tranquillement en prenant un verre dans le salon de l'hôtel, en lisant le Guide du parc national de Yosemite et en prévoyant ma route pour le lendemain, tandis que du coin de l'oeil, je regardais attentivement qui vous savez , et ne niez pas que vous le faites aussi quand ça se présente.

Le salon était assez petit, le bureau d'accueil se trouvait dans le coin près de l'entrée et je pouvais voir les gens aller et venir. Il n'y avait pas beaucoup d'activité, il s'agissait d'un très petit hôtel et la plupart des invités  s'étaient déjà enregistrés. A ce moment il arriva un couple d'âge moyen, fatigué, accompagné d'un jeune homme d'environ 19 ans, sans doute leur fils . Soudain, mon guide du parc Yosemite devint flou à mes yeux, alors que j'écoutais attentivement la conversation qui se déroulait au bureau.

Il semble qu'ils aient voyagé toute la journée; Ils étaient venus en avion depuis Atlanta, puis ensuite de San Francisco jusque là. Ils avaient réservé des chambres dans un autre hôtel mais n'avaient pas payé d'arrhes et, étant arrivés beaucoup plus tard que prévu ils avaient trouvé leurs chambres attribuées à d'autres clients Un maleureux concours de circonstances, d'où ils avaient besoin de sortir vite à cette heure tardive de la journée.

La réceptionniste était très sympathique et voulait leur être utile. "Eh bien," dit-elle au monsieur d'âge moyen devant elle, "j'ai une chambre disponible pour ce soir et elle a un lit à deux places ; Je suppose que cela vous conviendrait à vous et à votre femme, mais je crains que nous ne disposions d'aucune autre chambre et que la chambre que je possède soit trop petite pour y ajouter un autre lit - même si j'en avais une, mais hélas non . Je suis terriblement désolée."
 Pendant ce temps, j'éssayais de donner un âge au jeune homme. Je lui donnais environ 20 ans, 1,75 m et 75kg. Il avait le teint hâlé  et bien soigné, des cheveux courts, mais pas militaires, son aspect «viril» était renforcé par un pantalon beige "camouflé" et une veste blanche. Ses bras nus et lisses révélaient que le jeune homme se palestrait et soignait ses muscles afin d'avoir bonne apparence, mais sans plus, sans aller jusqu'à effacer un certaine allure dégingandée qui lui allait si bien.

Maintenant les parents discutaient de l'éventualité que leur fils dorme sur le sol dans un sac de couchage.
  Je me suis levé.

"Je suis désolé de vous interrompre", dis-je, "mais je n'ai pu faie autrement qu' entendre votre terrible histoire. Je suis désolé, vous êtes dans un tel embarras et après votre voyage, vous devez être si fatigués. "

Mon accent anglais dut attirer leur attention car ils se tournèrent tous vers moi !
 
"Moi-même, je fais étape ici..." continuai-je, "et ... euh ...euh ..., il se trouve que j'ai deux lits jumeaux dans ma chambre mais n'en utilise qu'un. Si votre garçon ne craint pas de partager une chambre avec un étranger, il serait le bienvenu d'utiliser l'autre lit dans ma chambre. Ce n'est qu'une nuit après tout. C'est assez tard - et cela vous éviterait  quelques désagréments".

Comme je l'ai dit, j'ai regardé le jeune homme et l'ai trouvé me regarder les yeux à demi-fermés. Après une courte pause, j'ai ajouté une remarque de diversion :

" Comment cela se fait-il que vous ayez mis autant de temps pour venir d'Atlanta ?
"Le voyage a dû être long n'est-ce pas ?"

Le père  "Ah ça bravo ! Merci, monsieur! c'est très gentil", S'écria-t-il avec quelque accent d'un homme du Sud.

Il se tourna vers sa femme pour confirmer, mais la mère était plus prudente. Comme elle me regardait légèrement de côté, elle me regardait de haut en bas, alors qu'elle parlait à son mari,

"Henry, mon cher. Nous n'avons même pas été présentés. Nous ne connaissons rien de ce monsieur. Elle se retourna et me sourit: «Ne soyez pas offensé, dit-elle.

Je lui ai assuré que je n'étais pas offensé, mais la glace ètait rompue et une conversation amiable s'est rapidement déroulée, dont le résultat était qu'il était convenu que le fils, Lloyd, c'    était son nom, partageait ma chambre et budget serait divisé 50 / 50. J'ai essayé d'être indifférent au  propos financier de l'affaire, mais j'étais très impatient de voir à quoi pouvait ressembler le jeune homme sans pantalons de camouflage et gilet blanc ! Mon imagination avait devancé le projet et je pensais à lui en train de dormir au dessus des draps, comme tout Marine qui se respecte, et rien sur lui sinon ses shorts de jockey! Je préférerais évidemment, qu'accidentellement sa tige traîne hors du short par une jambe!
Au moment où l'affaire fut conclue, je serrai la main du jeune Lloyd et une petite bouffée d'électricité me traversa alors que je sentais la main ferme et la chaleur de son toucher. Il me regarda sans cligner des yeux et je vis dans ses magnifiques yeux gris-acier, dont les pupilles étaient, de façon intéressante, fortement dilatées. Il était plutôt bruyant ou, comme il était plus probable, se méfiait de cet anglais "étrange" qui avait  plus de deux fois son âge.

A l'étage, dans tous les coins de la pièce  je pouvais sentir la chaleur de son corps irradier son arôme masculin et musqué et j'ai essayé de distraire le petit affolement de mes sens  en suscitant de banales conversations occasionnelles avec lui. Il semblait un peu timide d'abord, alors je lui ai montré rapidement où il pouvait ranger ses affaires et ensuite diplomatiquement offert de lui laisser utiliser la salle de bains pendant que je descendais pour faire du thé, car il n'y avait pas d'équipement dans la pièce. J'ai proposé de lui monter quelque chose, mais il a refusé poliment. Au moment où je suis revenu, il était déjà au lit, tête nue et recouvert jusqu'à la taille par le seul couvre-lit dont les plis révélaient le contour de ses jambes. La couverture était nettement déployée et ses vêtements étaient pliés en un tas bien rangé sur la chaise. Il n'y avait aucun sous-vêtement au-dessus de la pile, alors qu'il était couché sur l'oreiller, les bras musclés derrière sa tête et son coffre presque imberbe mis à nu pour que j'admire. Ses pectoraux n'étaient pas trop développés, mais ses épaules étaient larges et sa poitrine ne montrait que quelques petits poils autour de ses mamelons.

En buvant mon thé sur le lit, je lui ai beaucoup parlé, essayant de ne pas le regarder trop directement. Néanmoins, je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer cette poitrine, le profil de son visage lisse, ses sourcils marron et soyeux, son nez assez petit et ses lèvres faites pour le baiser. Enfin, je parvins à capter un peu son attention et, lorsque je l'ai finalement fait sourire, il a montré ses dents magnifiquement blanches. Mon esprit était maintenant sens dessus-dessous, en pensant à ses autres attributs; Américain, probablement circoncis -je pensais que je n'avais pas joué avec une bite circoncise depuis longtemps, . Ensuite, je me suis réprimandé et me suis dit :  "Et tu ne vas pas non plus le faire  ce soir!" J'ai soupiré et lui ai dit " bonne nuit!" et j'ai éteint la lumière.
Trouverez-vous surprenant que j'aie eu du mal à dormir cette nuit-là. J'ai écouté tous les sons qui provenaient de l'autre côté de la pièce, alors que Lloyd était là dans le noir. Il s'est déplacé dans le lit, essayant de prendre ses aises, mais il semblait agité. Finalement, après quelques heures, il rejeta doucement la couverture, s'assit et baissa les jambes sur le côté du lit. Dans l'ombre, je pouvais maintenant voir qu'il portait des shorts en coton et je pensais qu'il allait peut-être à la salle de bain, mais il se leva et glissa doucement pieds nus hors de la pièce, fermant la porte tranquillement derrière lui.

J'ai omis de mentionner que cet hôtel avait un petit porche assez charmant qui  donnait sur le palier, juste à l'extérieur de ma chambre. En fait, ma chambre donnait sur le même porche et plus tôt ce soir-là, avant le dîner,je m'étais brièvement assis près de ma fenêtre dans la brise fraîche pendant que le soleil tombait. Je reconnus maintenant le son de la porte qui s'ouvrit, alors que Lloyd se laissa glisser dehors. Mon réveil de voyage, indiquait 1h 15 et tout était "mrt" et silencieux partout.

Je me suis assis au bord du  lit et je me demandais s'il était raisonnable de le suivre. J'étais certainement curieux, mais je n'avais aucune idée de la façon dont il pouvait réagir, alors je regardai à travers des lames du store pour essayer de le voir sur le porche. Bien sûr, il était là, assis sur le banc juste à côté de ma fenêtre, les jambes étendues dans la lumière projetée par une rue voisine. La lumière semblait briller sur son corps bien tenu, entièrement nu si ce n'est son short en coton.

Comme il était assis là, les jambes tendues devant lui, ses bras et ses mains caressaient lentement son corps dans l'air chaud de la nuit. D'abord son cou, sa poitrine, son estomac qui marquait un petit pli, puis sur le haut de son short, autour de ses cuisses, puis il revenait à son short, où ses mains faisaient maintenant une sorte de mouvement circulaire sur le monticule qui semblait croître en lui. C'était comme s'il faisait l'amour à son corps, doucement mais avec passion.Lui portant un sincère intérêt, focalisant sur lui, le monde qui nous entourait disparaissait à mes yeux. J'étais fasciné. Rien ne signalait ma présence, il pouvait se croire seul...

Le monticule qui était dans son short a finalement donné naissance à un objet d'émerveillement, car ses mains caressaient sa virilité et elle s'élevait de son nid, fière et érigée, brillant dans l'ombre comme le reste de son corps. Il était circoncis à coup sûr; Je pouvais voir clairement le contour du casque congestionné de son outil, maintenant entouré de sa main. Mon cœur battait à tout rompre et je transpirais copieusement en raison de mon intense excitation.
  Et j'avais maintenant une érection douloureuse dans mon pyjama et je mouillais ma cuisse de mon pré-cum. Pour moi le frisson du voyeur dans son secret était meilleur que n'importe quel film porno que j'aie jamais vu - parce que c'était vrai je savais qu'il ne fonctionnait pas spécialement pour moi ou pour une caméra, mais pour lui-même - et pour lui seul- trop beau ! .
           
Image associée
En regardant à travers les lames du store vénitien, je le vis se lever lentement et déposer son short sur le sol. Il était en face de moi et j'ai maudit dans mon silence, de ne voir que le demi-profil de son derrière, brillant comme une autre lune dans l'ombre. Mais c'était tellement doux et arrondi que je le regardais avec ravissement et que je soupirai avec admiration.

Il s'est éloigné vers  la barrière de fer donnant sur le devant de l'hôtel, les deux mains devant lui, évidemment en tenant sa bite, et il était debout, son dos et sa tête d'un côté, alors qu'il commençait à se masturber par dessus la rambarde. Cela a duré d'intenses minutes qui ont pris pour moi maintenant une allure éternelle tant tout cela restera gravé dans mes souvenirs et je persistais à  tremper ma jambe avec mon pré-cum, tout l'entrejambe  douloureuse ainsi que mon propre membre surexcité tremblant déjà pour que je le libère. Bon, mais il ne s'agit pas de moi : "Tourne-toi - s'il te plaît!" chuchotais-je répétitivement. Et comme s'il m'avait entendu, il se retourna et se pencha contre la colonne de bois du porche. Enfin, tout le front de son corps nu fut révélé dans la demi-lumière.

Dans ses mains, il tenait l'outil circoncis le plus magnifique, qu'il caressait avec amour. Il a craché dans une main et, en utilisant sa  salive, il lubrifiait maintenant la tête de son sexe et devenait plus ardent et fervent dans son action caressante. Ses genoux demi pliés, d'une main il caressait sa poitrine lisse, ses tétons et son ventre, ondulant dans l'ombre devant mes yeux, et son autre main continuait son action obstinée et raffinée.

Sa tête a commencé à balancer d'un côté et de l'autre, alors qu'il entrait dans le domaine privé de sa propre extase , le dos appuyé contre la colonne et les pieds plus largement écartés, d'une part, caressaient l'intérieur de ses cuisses, puis saisissaient et caressaient ses boules visiblement sans poils, maintenant étroitement resserrées sous l'effet de la masturbation  regroupées sous la forêt sombre des poils pubiens autour de la base de son organe turgescent et palpitant. Mon Dieu, il était bien entré dans sa «zone de plaisir» - et moi le voyeur j'en ai été transfiguré.
            
            Mon regard  soudé à cette vision de la beauté nue , vue par un petit espace entre les lattes du store m'a fait, de manière involontaire, saisir mon propre outil glissant de précum d'une main, alors que je me tenais au dormant de la fenêtre. Alors qu'il continuait à caresser ardemment sa bite éclatante dans la demi-lumière, il posa son dos contre la colonne, alors qu'il relevait sa virilité et creusait son ventre pour diriger son pénis vers sonestomac et je regardais son corps se contracter dans l'ombre, alors que son sperme éclatait de son outil comme une petite fontaine , sur son ventre, dans des jets brillants captés par la lumière de la lampe de l'autre côté de la rue. Deux, trois, quatre fois, j'ai vu son corps frémir alors que son rayon s'élançait sur son ventre. 
            
         
Soudain, moi-même en transe, agenouillé sur le lit, bite à la main et mon corps presque tétanisé, j'ai explosé  de mes entrailles incontrôlablement par mon propre orgasme  et dans un mélange d'extase et d'agonie j'ai tiré la charge en essayant préventivement de ne rien déranger à la pièce car il allait probablement rentrer. 
      
Allongé sur le lit les yeux clos je récupérais de mon orgasme. quelques instants plus tard, je compris qu'il avait quitté la terrasse et quand j'ai ouvert les yeux j'ai entendu de nouveau le son de la porte. Il revenait au lit! Rapidement, je me suis enfoncé dans mon lit et ai tiré la couverture sur moi, me rendant compte qu'elle était trempée de ma propre éjac. Inconfortablement, je me suis couché là dans le noir, faisant semblant de dormir, alors qu'il rentrait dans la chambre et se glissa dans le lit, et je perçus qu'il était bientôt à courir les rêves dans le sommeil de l'innocent - et inconscient. Je repris mes réflexions et ajoutais des "si" à ce que séparément nous venions de vivre. Et si je m'étais montré me masturbant moi aussi près de lui sur la terrasse ? comment aurait-il réagi ?  

Je dois m'être enfin endormi, car la chose dont je me rappelle était de l'entendre ouvrir les fermertures éclair de son sac, puis de disparaître dans la salle de bain, puis enfin, émerger en plein jour, porter ses shorts de jockey et une nouvelle veste. Je l'ai regardé les yeux à demi-ouverts, feignant de dormir alors qu'il soulevait une première jambe pour mettre son pantalon de camouflage, puis l'autre jambe, révélant l'ombre noire et tentante de sa toison pubienne et le rose de ses boules sans poils dans une jambe de son short. La délicieuse vision demeura fugace, et il boutonnait son pantalon à l'écart de moi, alors que j'avaisai maintenant une vue de son derrière arrondi, éclairé par le soleil du matin à travers les lattes du store. Je pensais à la vue que j'avais de ce même derrière absolument nu la nuit dernière, brillant dans l'ombre sur le porche, et mon organe a commencé à ressusciter.

Prenant une respiration profonde, je lui ai fait savoir que j'étais réveillé.

"Passé une belle nuit ? Demandai-je".

"Ouais, excellente, merci bien", at-il répondu.
Un peu plus tard, en bas, nous nous servions tous à déjeuner et discutions poliment. Le père de Lloyd m'a donné de l'argent pour la moitié de la note d'hôtel et, fol espoir, compris qu'ils allaient tous, comme moi, en direction de Yosemite. Mais mon enthousiasme initial a été rapidement refroidi quand j'ai appris qu'ils ne restaient qu'une nuit à l'hôtel Ahwahnee dans la vallée, alors que je logerais 2 nuits au Yosemite Lodge. Le lendemain, ils allaient au Canyon du Roi et à la Vallée de la Mort, avant de se diriger vers Las Vegas, alors que je rentrais à la maison à San Francisco.

Dans nos adieux ce matin-là, mon dernier acte a été de serrer la main de Lloyd (non sans penser intensément, bien sûr, à ce que la même main avait fait quelques heures auparavant) et quand j'étais sûr que personne ne pouvait entendre, Je lui ai dit tranquillement avec un sourire calculé :

"Au fait, je vous ai vu sur le porche hier soir".

Il me regarda fixement et cligna des yeux, ce qui témoignait discrètement d'une prise de conscience étonnée, sa main encore saisie dans la mienne. Alors je lui ai souri et lui ai dit:

"Vous savez Lloyd, si jamais vous avez besoin d'aide, vous savez qui vous pouvez appeler."

Et quand nous nous sommes séparés, il s'est rendu compte que j'avais pressé dans sa main un bout de papier avec mon numéro de téléphone portable écrit dessus. Mais est-ce que j'en reviens encore de cette nuit merveilleuse  ?  Aurai-je des nouvelles de lui ?  Qui veut parier ? je tiens les paris ! 
 
 
 

(Un "bon" Samaritain devient Voyeur de nuit ) conflit d'intérêt quand même ! -lol- 

 

 

LE SAMARITAIN  authentique Evangile de LUC 10,25-37

33.Un Samaritain qui voyageait arriva près de lui et fut rempli de compassion lorsqu'il le vit.
34. Il s'approcha et banda ses plaies en y versant de l'huile et du vin; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. 35. Le lendemain, [à son départ,] il sortit deux pièces d'argent, les donna à l'aubergiste et dit: 'Prends soin de lui, et ce que tu dépenseras en plus, je te le rendrai à mon retour.'
36. Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands?» 37. «C'est celui qui a agi avec bonté envers lui», répondit le professeur de la loi. Jésus lui dit [donc]: «Va agir de la même manière, toi aussi. [Et aime ton prochain comme toi-même]»

 

Six actions de compassion du Samaritain:un don de soi sans (conflit d') intérêt,,,
1. Il est allé
vers lui alors que le prêtre et le lévite ont passé leur chemin en l'ignoant.
2. Il a versé de l'huile et du vin sur les blessures de l'homme. L'huile a apaisé la blessure, tandis que le vin l'a désinfecté. .
3.Il "a bandé ses blessures".
4. Il "a mis l'homme sur son propre âne", ce qui signifiait probablement que le samaritain devait,
lui, marcher.
5. Il "l'a emmené dans une auberge".
6. Il «s'est occupé de lui» et a fourni assez d'argent («deux pièces d'argent») pour que l'homme
puisse rester plusieurs jours et se remettre.

.

  le bon samaritain secourable à son prochain : Un docteur de la Loi (juive) demande à Jésus : « Mais qui est "mon prochain ?" » après que Jésus lui ai dit qu’il fallait aimer Dieu et son prochain. Jésus ne répond pas directement à sa question, mais va plutôt l’enseigner en lui racontant cette parabole : un homme est laissé pour mort sur le bord de la route, un prêtre et un lévite passent successivement à côté de lui, et l’ignorent. Un samaritain (ennemi des Juifs) le voit et, saisi de compassion, le soigne, l’amène à une auberge et pourvoit à ses dépenses. 

  Aime-Morot-Le-bon-Samaritain il s'en faut de peu pour que cette image soit érotique, mais elle reste dramatique. A notre portée du 21e siècle il y a les SDF, les migrants... combien en avons-nous rencontrés tentant leur"chance" sur les dragues, prêts à se forcer à sucer une bite ou baiser pour un peu d'argent. En général la honte du gay va prendre le dessus pour s'empêcher de profiter de la misère du"prochain"  


commentaire : "selon les principes de la religion le voyeur ira en enfer, surtout s'il est machiavélique! _lol_ (rescuer)

 

 

 

         

Par VOYEURDESER_VICE - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 06:29

sur le sujet du voyeurisme il y a des clivages : tel mec qui ne peut supporter d'être regardé, tel autre qui n'est vraiment heureux que s'il est regardé... avec leur obsession du fric et le désir de corrompre, les américains ont créé des sites comme  ...je ne vous apprends rien : des sites brokestraight boys où la tentation de l'argent réunit des hétéros  pour des pratiques sexuelles homo.

Sous-jacente l'idée que quand on "y" a goûté on est détourné en bi ou gay pour toujours. Les histoires de prisonniers   devenus (par force ou par goût) gays après leur séjour d'incarcération ne manquent pas ...

Hé, jeune homme,...j'ai une affaire à vous proposer...  

  Résultat de recherche d'images pour "porn car cruising in a park"

 

(Brut de décoffrage) Un conteur hors pair, sylvain 20a, québécois,  a écrit :

Salut les gars! Je vais vous conter l'aventure la plus inimaginable qui m'est arrivée avec mon ami Tommy lors d'une ballade au centre-ville. C'était à la fin de l'année scolaire, au début de l'été...

Comme on n’avait pas d’école l'après-midi, avec le beau temps, Tommy et moi, nous avons décidé d’aller se promener en ville. Juste avant l’heure du dîner, on a eu notre cours d’éduc, alors on était en t-shirt, shorts et espadrilles. On a foutu notre linge dans notre sac à dos pis on a pris le métro jusqu’à Berri. C’était bourré de monde sur la rue, on en a profité pour se promener un peu.

Faut que je vous parle de Tommy... C’est un gars qui est dans presque toutes mes classes, un beau p’tit homme de 16 ans, presque 17, aux cheveux châtains clairs, un petit baby-face tout rond et des yeux d’un vert... de toute beauté. Il ne sait pas que je suis gai, ni que je le trouve pas mal de mon goût, mais bon...

Alors, on se promène sur la Ste-Catherine pis je décide, faisant semblant de rien, de prendre vers l’est... Le Village n’est pas très loin, à moins de cinq minutes à pieds. Le jour, y’a tout de sorte de monde là, alors pas de danger que Tommy me demande c’qu’on faisait rendu dans le coin! J’ai bien remarqué que Tommy s’était apperçu qu’une couple de gars se promenaient main dans la main, mais il n’a rien dit...

On a continué comme ça jusqu’au coin de la rue Champlain... Avec la chaleur qu’il faisait, on en a profité pour se prendre un sundae à la crémerie qu’il y a à côté de La Track pis on s’est installé à une table sur le bord de la terrasse. Tommy et moi, on jasait de tout et de rien, mais on revenait souvent sur le sujet des examens de fin d’année qui approchent à grands pas. Tout en jasant, j’en profitais moi pour regarder partout autour de moi, surtout que ma mère ne me laisse pas sortir le soir après 23h, alors je n’avais jamais eu l’occasion de voir toute l’action du Village de soir, aussi bien en profiter pour une fois que j’y étais, même si c’est le plein jour!

Un moment donné, je vois une auto grise s’arrêter dans la rue juste à côté, pis le chauffeur descend la vitre du côté passager et fait signe d’approcher. Je regarde en arrière de moi pour voir si c’était pas à quelqu’un d’autre qu’il s’adressait, mais non, ça semblait bien être moi. J’ai dit à Tommy de m’attendre quelques instants, que le gars dans l’auto devait être perdu et cherchait sa direction. À l’intérieur de moi, j’avais une autre petite idée de ce que ça pouvait être mais j’en n’étais pas certain...

Arrivé à l’auto, je me penche et je salue le gars. Il est sûrement dans la vingtaine avancée, peut-être tout juste 30 ans. Il est quand même beau bonhomme, pas gros du tout, ben clean. Il me demande en anglais si je suis libre pour la prochaine heure et je lui réponds que je suis avec un copain. Il se tasse pour regarder Tommy qui nous regardait l’air un peu perdu. Il sort son portefeuille et sort deux billets de 100$ US et les mets sur le siège en me disant qu’ils sont à nous s’il peut nous regarder en train de se faire un 69. Un peu pris par surprise malgré tout, je ris en lui disant que Tommy en ben hétéro et qu’il n’accepterait sûrement pas. À ces mots, il me dit d’aller lui demander en déposant un autre billet de 100$ sur les deux autres... Wow! 300 "piastres", US en plus!

J’peux sûrement faire passer ça en douce en montant une histoire à Tommy... Je le trouve tellement trippant que ça pourrait être MA chance! Je dis au gars dans l’auto de m’attendre deux minutes et je repars rejoindre Tommy. Je m’assois en face de lui et en riant, je lui conte ce que le gars vient de dire... Tommy rougit sur le champ et se met à insister sur le 300$ US... 450$ canadiens, c’est pas peu dire... J’lui lance hypocritement que je ne crois pas que je serais capable de le sucer, même pour de l’argent quand tout à coup, Tommy se lève et me regarde droit dans les yeux, et le plus sérieusement du monde, me lance:

— Tu peux garder un secret?

— Ouais, quoi donc?

— Ben j’ai déjà essayé ça avec mon cousin l’année passée, et c’est pas aussi pire qu’on pense... Heille, j’aurais besoin de cet argent, tsé, mon scooter...

C’est vrai, il avait commencé à s’accumuler de l’argent pour s’en acheter un, je n’y avais pas pensé...

— Ferais-tu ça pour moi? Heille, on se connaît quand même bien et le gars nous touchera pas... Moi j’le ferais...

— J’sais même pas comment faire! Que j’ai ajouté hypocritement.

— J’vais te montrer! Je l’ai juste fait une fois mais c’est pas ben sorcier... Allez, viens, s’il te plaît!!!

— Ok, mais t’en parle à persone, hein?

— T’es malade, j’veux pas passer pour un fif à l’école!

Wow! J’m’en foutais-tu du cash rien qu’un peu, moi, c’est le gars que je voulais! J’me lève et fais semblant d’être indécis alors que Tommy, lui, s’approche déjà de l’auto. Il me fait signe de monter à l’arrière et il prend place à l’avant à côté du «client». Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse avoir autant de "tripes" le Tommy!!!

L’auto démarre aussitôt et Tommy discute avec le client, tenant déjà les billets verts dans sa main. J’entends au passage qu’il pose sa condition au fait qu’il ne sera que spectateur, je ne suis pas vraiment la conversation, je tente plutôt de me convaincre que ce n’est pas un rêve... L’auto s’est rendue dans un motel dans l’est de la ville, un petit motel pas très chic, mais tout de même propre. Je voyais un métro non loin, alors je n’avais pas trop de craintes malgré tout... On sait jamais, on aurait pu tomber sur un fou dangeureux! Le gars nous dit d’attendre dans l’auto en remettant un nouveau billet de 100$ à Tommy.

Quand l’homme fut descendu, Tommy se retourna vers moi et voyant mon regard interrogateur, me dit tout simplement, la voix tremblante:

— J’espère que tu ne m’en voudras pas, j’ai accepté quelque chose de spécial...

— Quoi donc? demandais-je avec un peu d’appréhension.

— Le gars nous donne 100 piastres de plus pour qu’on s’encule...

— Quoi!!!!!!!!!!!

— Hé! Pas peur... C’est toi qui me prendras... À ce prix-là, ben ça vaut la peine d’essayer et j’aurai presque tout le cash pour mon scooter avec ma moitié de l’argent...

Je n’étais plus vraiment là, carrément dans les vapes! Je m’étais toujours demandé de quoi ça avait l’air de se le faire faire ou encore de le faire à quelqu’un, sans vraiment croire que ça m’arriverait si rapidement. Tsé, dans ma tête, ça faisait partie des expériences à tenter, mais sans plus. Mais là, avec Tommy en plus, le garçon de mes fantasmes! Tout me paraissait presque incroyable.

Le gars revint rapidement avec une clé en main. On descendit de la voiture et on l’a suivi jusqu’à la chambre qu’il avait louée. Il nous fit entrer et referma derrière lui. On se tenait au centre de la chambre alors que lui se rendit dans le coin pour s’asseoir sur l’unique chaise que la chambre avait.

— Whenever you’re ready guys! Nous lança-t-il. "quand vous voulez les gars si vous êtes prêts"

C'est pas mêlant, je tremblais comme une pucelle! Moi qui m'imaginais tout plein de scénarios le soir dans mon lit pendant que je jouais à la veuve-poignet, voilà que c'est mon meilleur ami, Tommy, celui-là même qui me faisait voir des étoiles dans mes rêves les plus osés, qui m'entraînait dans cette aventure de débauche complètement folle.

Tommy vint se placer face à moi, donc dos au jeune américain. Il me serra contre lui et me glissa à l'oreille: "Laisse-toi faire, laisse-moi te guider... tu regretteras pas, je te le promets!" Sentant bien que je tremblais de tout mon corps, il me fixa dans les yeux et ajouta doucement: "Je suis désolé... c'était complètement fou de t'entraîner là-dedans... Tu sais, il n'est pas trop tard, je peux m'organiser avec le gars pour tout annuler." Mes idées soudainement s'entrechoquaient... NON!!! Je voulais tellement! Je répondis tout simplement: "Non, non... c'est juste que je suis nerveux, j'ai jamais eu de relations avec qui que ce soit..."

Sur ces mots, Tommy me fit une petite bise sur le front, me serra dans ses bras, comme pour me protéger, avant de se déplacer derrière moi. Il colla son corps contre le mien, m'enlaçant de ses longs bras alors que sa bouche se promenait dans mon cou. Je sentais son souffle chaud sur ma peau et la chair de poule me prit tout à coup. Sa langue venait de me lécher le lobe de mon oreille. C'était si intense... et l'idée que mon meilleur ami hétéro allait me dépuceler m'excitait au plus haut point.

Ses bras se promenaient maintenant sur mon corps alors que son corps à lui se balançait de gauche à droite, son torse soudé au mien et son bassin bien collé contre le mien, à tel point que je sentais maintenant une barre raide contre mes fesses. Tout doucement, sensuellement, il commença à retirer mes vêtements un à un. Quand il tenta de descendre mon short, ma queue raide qui pointait vers le haut empêchait la manoeuvre et il dut glisser ses doigts sous la bande de la taille élastique afin d'en arriver à son but. Touchant ma bite bien bandée, il me glissa un: "Petit cochon!" bien amical à l'oreille qui me fit sourire. J'étais totalement nu maintenant et plus relaxe, je ne me sentais plus aussi gêné d'être là, m'affichant en spectacle à ce touriste.

J'étais dans un autre monde, c'est comme si tout allait au ralenti. Je sentais maintenant le torse nu de Tommy contre mon dos, et quelques instants plus tard, la toison de son pubis chatouillait mes fesses alors que sa queue bandée frottait entre mes deux lobes de chair vierge. Tommy me léchait toujours dans le cou et sa respiration s'était drôlement accélérée — la mienne aussi d'ailleurs! Le corps de mon ami se sépara du mien et ses mains sur mes hanches, il m'attira vers le lit. Il s'assied, me faisant pivoter doucement sur moi-même, pour se retrouver finalement face à face avec mon sexe fou de désir. Il leva les yeux, cherchant dans mon regard un signal consentant; je répliquai tout simplement en lui faisant un clin d'oeil. Ce signal était tout ce qui lui fallait: sa bouche se précipita sur ma bite qu'il avala rapidement sur toute sa longueur. La surprise occasionnée par la sensation de ses lèvres parcourant mon membre me fire lâcher un cri d'extase non feint. La puissance de cette découverte ajoutée à l'excitation générale qui remplissait mon corps me fit raidir le corps tout entier. À peine quelques aller-retours sur ma queue furent suffisant pour que je lui explose en pleine bouche. Déçu de ma contre- performance, je rougis en regardant Tommy qui affichait un large sourire.

Je me retournai pour regarder notre américain qui était toujours sur le fauteuil dans le coin de la chambre. Il était nu aussi maintenant, dévoilant ainsi son corps finement découpé et une bite bandée d'une longueur exceptionnelle: jamais je n'avais vu de sexe si long. Son regard était à la fois amusé par le peu de temps que j'avais mis à jouir dans la bouche de mon copain, mais aussi son regard démontrait l'inquiétude de ne pas avoir droit au spectacle du 69 pour lequel il nous avait payé. Tommy aussi avait remarqué la même chose...

Il se leva du lit et s'approcha de l'américain. Il se pencha sur lui et l'embrassa longuement.Résultat de recherche d'images pour "man trying to entice two twinks into fucking in a car" Au coin de leur bouche, je pouvais voir de petites traînées de mon sperme qui s'échappaient de leurs bouches. Cette vision m'excita comme pas possible! Tommy rompit le baiser et lui sourit:

— Don't worry sir, he was a virgin... but his youth will bring his excitation back in no time... Show's not over! - Ne t'inquiète pas, m'sieur, il est... mais comme il est jeune il va rebander  en un rien de temps ... Le spectacle n'est pas fini! 

Cette parole rassurante de mon ami redonna le plein sourire à notre touriste qui s'en léchait encore les babines couvertes de mon jus crémeux.

Tommy était de retour vers moi. Il s'approcha de mon oreille pour y glisser:

— Fais tout simplement comme je t'ai fait... je vais m'allonger sur le lit pour te faciliter la tâche et avant d'aller jusqu'au bout, je te ferai signe pour qu'on puisse se mettre en 69!

L'évocation de ce scénario fit relever mon sexe d'un seul coup. Tommy le remarqua d'ailleurs et ma réaction le fit sourire. Il s'allongea sur le lit, s'écartant les jambes pour me donner plein accès à son bas-ventre et à sa tige dressée, de longueur semblable à la mienne, dans les 14–15 cm, mais beaucoup plus imposante en circonférence. Penché par-dessus lui, je me posais la question à savoir si j'allais pouvoir emboucher tout le morceau!

Timidement, je commençai tout d'abord par lécher le bout de son gland qui pointait hors de son prépuce. Ses mains se placèrent immédiatement sur ma tête pour me guider dans cette première fellation que je lui faisais. La sensation d'avoir une bite en bouche fut au-delà de tout ce que j'avais pu imaginer dans mes rêves. J'ADORAIS! Avec frénésie, je me lançais sur cette verge raide pour lui donner tout mon amour. Mes lèvres entouraient la chair tendue et glissaient de haut en bas, arrachant quelques gémissements de Tommy et le faisant grouiller sous mes caresses buccales. Il ne guidait plus mes mouvements, se laissant tout simplement aller au plaisir que je lui procurais. Des spasmes parcouraient son corps tout entier et se répercutaient dans sa queue. Une petite tape sur mon épaule fut son signe pour que j'arrête de le pomper. Je ne bougeais plus.

Il se déplaça alors et vint se placer sous moi, tête-bêche, prenant mon sexe bien bandé dans sa bouche alors que je reprennais la sienne entre mes lèvres. Ce fut l'apothéose du moment. Une minute à peine après que nous ayons commencé à nous sucer mutuellement, je lui largais une nouvelle salve en pleine bouche. Cette éjaculation le fit se déverser également dans le fond de ma gorge. Sentant ce liquide tout chaud dans ma bouche était sublime. J'en avalai quelques gorgées, mais je pris bien garde d'en conserver assez pour la suite... Je voulais connaître le plaisir qu'il avait fait à notre américain en allant l'embrasser.

Un petit saut dans le lit me permit de me retrouver face à face avec Tommy qui sous moi avait les yeux fermés. J'approchai doucement mes lèvres des siennes et tendrement, ma bouche s'est soudée à la sienne, ma langue tentant d'investir l'intérieur de sa bouche. Les yeux écarquillés, Tommy se laissa aller et m'embrassa à bouche-que-veux-tu pendant que son sperme se déversait dans sa bouche, se mêlant au parfum plus corsé de mon propre sperme que je pouvais discerner dans le baiser. Je laissai mon corps aller contre le sien et nous avons repris nos esprits en continuant de s'embrasser comme des amoureux.

Les minutes passèrent et remis de nos émotions, Tommy s'approcha de notre américain toujours aussi bandé dans son fauteuil. Il s'agenouilla entre ses jambes, et tout en jouant du bout des doigts avec sa queue et ses couilles, à la grande surprise du touriste d'ailleurs, il lui fit une confidence:

— I never did anything like you want me to do now... But I'm willing to try it, as long as you come along with us to tell my friend what to do... I wouldn't want to be hurt, you know! - Je n'ai jamais rien fait de ce que tu veux qu'il me fasse maintenant ... Mais je suis prêt à essayer, tant que tu viens avec nous pour dire à mon ami ce qu'il lui faut faire ... Je ne voudrais pas avoir mal, être blessé quoi !

Il n'en fallut pas plus pour qu'il soit debout sur ses jambes et approche du lit, suivi par Tommy qui me faisait un clin d'oeil par dessus son épaule.

Le gars prit donc un oreiller sur le lit et le plaça près de mes jambes après que je me sois agenouillé selon ses conseils. Il fit coucher Tommy sur le dos, les fesses relevées par l'oreiller, m'offrant une vue incroyable sur la pastille brune entre ses fesses. Il me fit cracher dans ma main pour en badigeonner l'intérieur des fesses de Tommy, avant de continuer sur ma propre queue qui, bien que j'avais joui deux fois en peu de temps, prouvait son intérêt à continuer les découvertes de ces jeux sexuels. Comme mon sexe est plutôt fin, il nous dit qu'il n'était peut-être pas nécessaire de commencer avec les doigts et que nous pouvions y aller de suite, quoique lentement, avec prudence, afin de laisser le cul vierge de Tommy s'habituer à cette intrusion.

Quand Tommy me fit un petit signe de la tête et ferma ensuite les yeux, je posai mon gland sur sa rosette qui s'ouvrit comme par magie sous la pression. Tommy se raidit un peu quand mon gland fut entré, mais sous les bons conseils de notre guide, il se relaxa pour me laisser continuer la pénétration. Je voyais son visage se crisper et j'avais terriblement peur de lui faire mal. Quand je vis ses traits se détendre et ses yeux se rouvrir, je poussai à nouveau et la progression se faisait plus facilement. Ses muscles s'étaient dilatés et me permettaient maintenant de visiter son antre en profondeur. Une maladresse de ma part me fit perdre l'équilibre et c'est jusqu'à la garde que mon pénis se ficha dans son cul. Un cri s'éleva dans les airs, me faisant craindre le pire. Heureusement, son sourire me rassura avant qu'il m'indique que je ne lui avait pas fait mal; c'était la surprise. L'américain nous dit de ne pas bouger pendant un moment, et que lorsque Tommy serait prêt, il n'aurait qu'à le dire pour que je puisse commencer à bouger en lui. J'espérais que ce serait bientôt car de mon côté, ses muscles serrés autour de ma verge, l'excitation que me causait la situation, ajoutés aux mouvements incessants des parois à l'intérieur de Tommy autour de mon pénis faisait en sorte que je sentais la sauce monter en moi plus rapidement que je ne l'aurais cru.

Quelques instants plus tard, Tommy me regarda en pleine face et me dit:

— Vas-y, saute-moi! Ne prends pas ton temps, je ne sais si je pourrais tenir longtemps!

J'obéis à son ordre et me déchaînai en lui, le ramonant à toute vitesse, suivant le rythme de ses gémissements alors que je m'enfonçais à toute allure dans son cul. Je sentis mes couilles se refermer sur elles-mêmes, se coller contre la base de mon sexe, et sentant la sauce sur le point d'éclater, me retirai d'un coup sec. Ma queue rebondit contre mon abdoment et déversa tout le foutre qui me restait dans les couilles; inutile de vous préciser qu'il n'en restait plus beaucoup!

Tommy restait sur le lit, ne bougeait plus. Je ne m'étais même pas aperçu que pendant mon assaut, il avait pris la queue de l'américain et l'avait masturbé. Sa longue tige un peu ramollie dégoulinait toujours sur la couette du lit et le sourire béat qu'il avait sur les lèvres démontrait à quel point il avait aimé le spectacle qui finalement avait été... interactif en quelque sorte!

Il nous laissa prendre une douche avant de nous laisser retourner chez nous. Il avait insisté pour nous reconduire en voiture, mais comme le métro n'était pas loin, j'avais préféré refuser, désirant me retrouver seul avec Tommy pendant un moment avant de rentrer à la maison.

Au moment de sortir notre carte étudiante de transport pour utiliser le métro, mes doigts trouvèrent deux billets de 50$ que l'américain avait dû glisser dans mes poches pendant que je prenais ma douche. Ça nous faisait maintenant 500$ US! Déjà je me demandais comment j'allais expliquer cette entrée soudaine d'argent à mes parents s'ils s'apercevaient que je dépensais plus qu'à l'habitude... Tommy qui était demeuré silencieux depuis que nous avions quitté le motel me remit deux billets de 100$ et je lui tendis un des billets de 50$ que j'avais.

Durant tout le voyage, j'avais du mal à ne pas afficher un sourire béat. Tommy lui jouait avec les billets dans sa poche et je devinais à son expression du visage qu'il se voyait déjà enfourchant son scooter, en train de dévaler les rues de la ville...

Rendu à sa station il me donna une petite tape sur l'épaule . Il était tard et il devait rentrer tout de suite; moi aussi d'ailleurs. J'allais débarquer à la station suivante.

Le soir dans mon lit, je fus incapable de bander quand j'essayai de me masturber. J'avais beau tenter par tous les moyens de m'imaginer encore avec mon beau Tommy, ça ne marchait pas... Le charme était-il rompu maintenant que j'avais baisé avec lui? Ou n'était-ce que l'épuisement de cette journée riche en émotion?

J'allais bien voir dans les prochains jours... Tout comme j'allais voir si mon copain Tommy allait changer d'attitude avec moi !

 

 

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Résultat de recherche d'images pour "broke straight" Résultat de recherche d'images pour "broke straight" tout prêts à sacrifier leur"innocence" et leur orientation hétéro pour du fric !

NOTES & COMMENTAIRES : "put-être le gars a du plaisir à enseigner le sexe gay pour qu les jeunes ne meurent pas cons ! "(Gayditor)

"ouais, hypocritement il dit à son pote je sais pas si je serais capable de te sucer, avec combien de gens on est obligés d'être hypocrites nous aussi " (altersex) 

 

 

Par SYVAIN 20 ANS IL Y A11 ANS - Publié dans : ESCORTS-PROSTITUES-ACTEURS X pour le fric - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 7 août 1 07 /08 /Août 05:06

  Dr Matt Vidal

 Vidal---small-close

Matt is Reader in Sociology and Political Economy. He has a PhD in sociology from the University of Wisconsin-Madison. 

matt_vidal"Love knows no gender, race, shape, or size. Love is love --an energy that fuses souls. And when you fail into its warm embrace, you won't want to let go."

    étudiants, le bel âge sans contredit

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Par NIS&RAF - Publié dans : FAC FAC FAC= FUCK FUCK FUCK=AMOUR "U" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 6 août 7 06 /08 /Août 19:48

comme vous pouvez voir on se regarde s'admire à l'écran. Comment vous feriez vous ? vous ne seriez pas tentés par la beauté et  le charme de votre copain      

mais, oui, le son est très mauvais : ils sont mal équipés mais pour s'enculer oui -lol-

la cam c'est une garantie de vérité !

 

XTUBE

et encore :  


XTUBE

d

 

 

 

     
Par KEMEVTU - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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