Mardi 15 août 2 15 /08 /Août 01:37

 il a commencé comme simple infirmier très intéressé par les problèmes d'urologie et le docteur s'est attaché ses services  

 

 

il n'avait pas son pareil pour réaliser des expériences avec certains patients

 

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Par SLAYTOKS - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 15 août 2 15 /08 /Août 00:27

 

 

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http://www.gai-eros.org/w/index.php/Petit_s%C3%A9jour_%C3%A0_l%27h%C3%B4pital

Arrivé aux urgences… petite intervention… hospitalisation… cloué au lit sans bouger et sous aspiration! Mon histoire ne commence pas très bien on dirait, mais la suite s’améliore fortement !!

Donc allongé sur mon lit d’hôpital avec d’atroces douleurs, je reçois la visite de plusieurs infirmiers et infirmières et je deviens rapidement le chouchou du service car je suis le plus jeune. Stop… je me présente quand même… Moi c’est Xavier, jeune black de 27 ans, 1m80, 70kg, pas gras. Reprenons… Donc toujours allongé, je ne peux que regarder le va et vient incessant du personnel soignant qui passe et repasse dans le couloir en prenant de mes nouvelles de temps en temps. La douleur s’en va lentement grâce aux médicaments et je m’habitue peu à peu à ma nouvelle situation. Mes pansements doivent être changés tous les deux jours, ce qui se passe sans trop de soucis vu la délicatesse de mes anges-gardiens.

Une semaine après… changement d’équipe… On m’annonce qu’un élève infirmier en troisième année viendra me changer mon pansement dans 10 minutes ! Un élève infirmier… pourquoi pas, il faut qu’ils apprennent me dis-je !! Dix minutes plus tard… le choc… Il entre dans ma chambre !! Un ange… la peau mate, un visage de rêve avec des traits fins, environ 1m75, l’air musclé sous sa blouse. Il me sourit mais moi je reste sans voix à le dévisager.

— Monsieur vous allez bien ?

— Heu oui pardon j’étais perdu dans mes pensées.

— Vous étiez loin effectivement. Ça va ? Pas de douleur ?

— Non ça va merci, je ne ressens pas grand chose comme douleur pour le moment !

— Bien je m’appelle Marc et je vais vous changer le pansement.

Quand il pose les mains sur moi, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un gémissement tellement sont contact était doux et chaud !

— Vous êtes sûr que ça va ?

— Oui, dis-je d’une voix un peu gêné en essayant de faire remontrer le drap pour cacher mon début d’érection…

Bien sûr, il s’en est rendu compte mais a fait comme si de rien n’était. Le pansement étant terminé, il me dit au revoir avec un sourire d’enfer et en partant, il me passe la main sur la queue…

— Bon courage pour faire descendre cette pression !!

Le salop… Il s’en va en rigolant et en me laissant seul avec ma queue super dure ! Étant forcé à rester au lit, je ne peux pas vraiment me branler et salir tout mes draps !! Un peu frustré, je m’endors en pensant à mon petit étudiant.

Quelques heures plus tard, je sens quelque chose me tirer de mon sommeil. J’ouvre les yeux et je vois Marc assis à côté de moi et il me caresse partout. Toujours avec son sourire ravageur, il me regarde tendrement et me dit :

— Alors cette pression ? Tu as pu t’en débarrasser ?

Je n’arrive toujours pas à sortir de sons de ma bouche face à ce canon mais bien sûr, ma queue me trahit et mon érection se fait voir ! Il le remarque, se lève et ferme la porte la chambre. Il revient vers moi et me caresse la queue à travers mes draps. Je laisse échapper des gémissements de plaisir. Il soulève le drap et sort ma bite de 19cm de mon short et commence à me branler lentement.

— Tu n’as pas peur que l’on nous surprenne ? lui demandais-je.

— Chuuut tu vas adorer !!

Tout en plongeant son regard dans le mien, il commence à me sucer ! Une pipe d’enfer ! Il me masse le gland avec sa langue, continue à faire des va-et-vient avec sa main, puis avale ma queue tout entière… Il n’en est pas a sa première le bougre et j’adore ça !!! Je suis rapidement au bord de l’explosion mais je me retiens !! Au bout de 15 minutes de ce traitement, je lui indique que je vais jouir si il continue.

— Écoute, je suis la pour une journée seulement et je veux ta queue dans mon cul ! Je peux ?

— Oui bien sûr, vas-y, prends ton pied, fais moi jouir !

Il sort une capote de sa blouse et ma la met avec sa bouche… j’adore !! Il retire son pantalon de travail et me chevauche ! Il descend sur ma bite qui s’enfonce lentement ! Je peux lire son plaisir sur son visage ! Il a un peu mal selon lui mais il adore !! Une fois bien enfoncé, il se penche vers moi et me dit :

— Ta queue est trop bonne, elle va bien me baiser ! Ne te retiens surtout pas !!

Et il commence à monter et descendre sur ma bite de plus en plus vite et il se branle en même temps. Au bout de 10 minutes, je ne tiens plus… Je largue tout mon jus au fond de son cul !!! Il me met la main devant la bouche tellement je gémis !! Puis il reste enculé sur ma bite et se met à se branler !! Il jute tout son jus sur moi et s’écroule. Il vient me rouler un patin d’enfer ! Sa langue explore tous les coins de ma bouche ! En voilà un qui ne fait pas semblant !! Enfin il retire ma queue de son cul, enlève la capote et me nettoie partout bien comme il faut vu que je ne peux pas me lever.

En partant il revient m’embrasser et me souhaite un bon rétablissement ! Je suis resté une semaine de plus mais je ne l’ai jamais revu, quel dommage !!!

 

 

Par claudio
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Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 23:18

mais aussi cette musique accompagnant un drame  nous dit que la Vie continue

 

le film est de Sergio Leone

Résultat de recherche d'images pour "il était une fois en amérique de niro" Noodles n'e pourra jamais oublier Dominic

Image associée  Image associée  l'oubli dans l'opium sous une fresque dérisoire !

Image associée le meilleur diaporama

 


commentaires :" jeunes juifs apprentis gangsters dans le quartier juif de NY" "RIB N'BELLE"
Par ENNIO + SERGIO main dans la main - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 16:39

Laurent est jeune médecin, il a (avait) 31 ans et homo. Il arpente les routes de sa région. Dans ce témoignage, Laurent se confie sur son parcours de jeune homo, de ses études de médecine, mais aussi sur les rapports entre les médecins et l’homosexualité. Une belle rencontre…

 

 

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(article publié le 11 novembre 2010)

Laurent est jeune médecin, il a 31 ans et homo. Il arpente les routes de la région. Dans ce témoignage, Laurent se confie sur son parcours de jeune homo, de ses études de médecine, mais aussi sur les rapports entre les médecins et l’homosexualité. Une belle rencontre…

GAYVIKING : Comment as-tu véçu la découverte de ton orientation sexuelle ? Tes études de médecine ont-elles été bénéfiques à la compréhension de tes préférences ?

Laurent : La découverte s’est faite lentement et n’a pas toujours été facile. J’ai mis du temps mais quand je regarde mon parcours, je me dis que j’ai appris beaucoup de choses et que c’est bien comme ça. J’ai toujours su que quelque chose était différent en moi, mais j’ai eu beaucoup de mal à accepter et à me dire sereinement que j’étais homosexuel.

medecin_gay2Dans ma famille et mon entourage, il n’y avait pas d’exemple et l’image qu’on donnait des homosexuels n’était ni tolérante ni très belle. Je fantasmais sur mon prof de natation surmusclé, mais non, je n’étais pas gay, ça n’était tout simplement pas possible ( ça n’était pas écrit dans le programme de ma vie normale et parfaite!!!). A la fin de l’adolescence je me disais que j’étais bisexuel. Et puis un jour, quand j’avais 20 ans, je me suis dit qu’il fallait arrêter de se voiler la face, que les femmes ne m’intéressaient pas du tout.
Ça m’a soulagé, mais je me suis ensuite senti très isolé, comme séparé des gens que je connaissais par une sorte de barrière invisible,sans aucun gay à qui parler.

medecin_gay3Je ne sais pas si les études m’ont aidé. Je les ai sans doute utilisées pour éviter de vivre et m’exposer à la réalité du monde pendant plusieurs années.C’est extrêmement facile de se cacher dans ses livres de médecine et dans ses cours quand on a des examens tous les mois pendant des années. En plus j’ai choisi un des cursus les plus longs! Mais c’est aussi à la fac que j’ai rencontré un groupe de véritables amis qui m’ont permis de faire des coming-outs successifs qui se sont toujours bien passés.

Il est très peu question de l’homosexualité comme objet d’étude pendant les études de médecines. On a eu un cours sur les perversions en psychiatrie, et le prof a bien fait comprendre que l’homosexualité n’était pas une pathologie psychiatrique. Sinon j’ai lu pleins de livres trouvés dans les librairies de Rouen et du Marais (Paris).

GAYVIKING : As-tu déjà été confronté à l’homophobie : dans ta vie personnelle, tes études, ton travail ?

medecin_gay4Laurent : J’ai été confronté à un dégout de la différence dès l’école primaire. J’avais toujours plein de copines et un ou deux copains, et visiblement ça ne plaisait pas aux autres garçons. A l’époque j’en ai pas mal souffert. Au collège il y avait toujours une ou deux personnes désagréables, qui semblaient avoir un radar pour repérer les gens différents ou fragiles et les exposer au groupe. Quand j’y repense leurs propos étaient débiles, mais blessants pour un jeune qui se pose des questions. Quand on est ado on n’a pas envie d’être une « Tapette cosmique »! ( je me demande encore comment quelqu’un a pu inventer une pareille expression!!!!).

Sinon je n’ai jamais subi de violences physiques.
Au lycée je n’ai pas eu de gros soucis. L’attention était surtout fixée sur les jeunes homosexuels dont les manières étaient plus efféminées que les miennes. Curieusement je ne ressentais pas de lien avec ces personnes, j’avais surtout pas envie qu’on m’assimile à elles.

medecin_gay6A la fac je n’ai pas eu de gros soucis. Une amie a révélé mon homosexualité sans me demander mon avis, et personne n’a eu de mauvaises réactions parmi les internes. Heureusement ça a été fait à un moment où j’étais à l’aise avec moi-même.

A l’hôpital il y a une culture assez macho, et je me souviens de blagues bien grasses sur les « pédés ». Dans les services ou en garde je ne parlais jamais de ma sexualité. Je ne faisais pas semblant d’aimer les femmes, je ne disais rien. On se transforme parfois en caméléon pour échapper aux plaisanteries débiles, ou à l’homophobie de certains membres du personnel.

Côté famille c’est un autre problème. Mes parents font un mélange de tolérance des années 70 et de vieilles valeurs d’avant les années 1950. Malheureusement leur perception de l’homosexualité est archaïque. Quand j’étais ado ma mère m’a annoncé qu’elle serait très déçue si je ramenais un homme à la maison (gloups!). Comme quoi l’ignorance sévit partout. Je suis de plus en plus serein avec ma sexualité et l’amour, et l’idée d’un coming-out est devenue plus évidente, même si je sais que ça ne sera pas facile.

medecin_gay7GAYVIKING : Comment expliques-tu que les homos recherchent et préfèrent un médecin gay plutôt qu’hétéro ? Y’a t’il une défiance vis à vis du corps médical ?

Laurent : C’est difficile à expliquer. Il y a peut-être la peur du jugement d’autrui. Savoir que la personne en face de vous fait la même chose et ne vous jugera pas est sans doute rassurante. Les médecins sont des humains comme les autres, et ils véhiculent sans le savoir tout un tas d’idées et de références culturelles issues de leur milieu d’origine.
En tout cas je comprends que certains préfèrent avoir un médecin gay. J’aimerai bien en avoir un aussi.

Il y a quelques années, j’ai dû faire plusieurs séries de tests VIH, et j’ai inventé n’importe quoi pour ne pas dire à mon médecin traitant que j’étais gay. J’étais déjà suffisamment mal pour ne pas avoir à gérer son regard… Je ne ferais sans doute pas la même chose aujourd’hui, mais je comprend pourquoi je l’ai fait.

GAYVIKING : Penses-tu que les sujets liés à l’orientation sexuelle doivent être développés dans le cursus médical et universitaire ?

Laurent : Il y a déjà tellement de choses à apprendre pendant les études de médecine. Déjà si les gens retiennent que ce n’est pas une pathologie, on aura bien avancé. Après ça, une attitude ouverte et intelligente à l’égard de l’homosexualité, je pense que ça doit s’apprendre dans la vie de tous les jours.
Peut-être qu’il faudrait que certains médecins fassent attention à ne pas assimiler les personnes homosexuelles à la notion de « groupe à risque pour les MST« , et y coller des jugements de valeur qui sont parfois faux et déplacés.
Mais je comprend aussi que l’hôpital crée un biais dans la vision de l’homosexualité.

medecin_gay5Les rencontres que j’ai fait avec des patients homosexuels pendant mes études ont faussé ma perception de l’homosexualité. C’est rare que des homos heureux et en bonne santé viennent se faire soigner en maladie infectieuse. A une époque mes seules références homos étaient des couples dont l’un ou les deux étaient séropositifs, avec des histoires de plans, sexe en groupe etc etc. A l’époque ça me paraissait impensable. Une fois j’ai suivi un homosexuel quadragénaire qui venait de découvrir son VIH à un stade avancé. Ça m’a profondément bouleversé, ma réaction a été « Oh mon Dieu, ça va être ça ma vie? Amant secret,socialement isolé, qui va mourir à petit feu à cause du VIH?« . Il m’a fallu du temps et rencontrer d’autres homos pour voir que ça n’était qu’un aspect de la réalité.

GAYVIKING : Changes-tu ton comportement lors d’une consultation quand tu penses que ton patient est homo ?

Laurent : Je pense que non, enfin c’est pas facile de savoir exactement comment on se comporte. Je lui fait comprendre qu’il peut me parler de tout et que je suis pas là pour juger mais pour écouter. Je pense que je fais pareil pour les hétéros.

medecin_gay9GAYVIKING : T’arrive t’il de dire à tes patients que tu es gay ?

Laurent : Je ne le fais quasiment jamais. La relation médecin-patient est quelque chose de très complexe et il faut se méfier de ne pas la faire sortir d’un objectif thérapeutique ( avec les humains on ne sait jamais !). On n’est pas censé parler de soi, de sa vie, des ses préférences, de ses goûts.

J’ai dû parler une seule fois de mon homosexualité à un homme. C’était pour lui parler de prévention MST. Sur le moment ça m’a paru important. Après ça je me demande si certains patients gays ne se doutent pas que je le suis aussi. J’ai l’impression que certains ont un gaydar incorporé !

Dans le cas d’un jeune qui est perdu et se pose des questions sur la sexualité, je pense que j’aborderai le sujet. Mais ça dépend vraiment de chaque cas.

GAYVIKING : Les jeunes ou les moins jeunes discutent-ils facilement de leur sexualité avec le médecin ? Quelles sont les sujets abordés par tes patients sur la sexualité ?

medecin_gay10Laurent : C’est rare que les gens parlent facilement de leur sexualité. Souvent ils gardent leurs questions importantes pour la fin de la consultation. Ce qui revient le plus souvent: les problèmes d’érections.

Souvent je pose directement la question quand je sens que c’est ce qui inquiète la personne.C’est un sujet qui ne me dérange pas. Si je ne suis pas décontracté, je ne vois pas comment un patient pourrait me parler en étant à l’aise. Des fois les patients sont surpris quand je parle d’éjaculation, de contractions anales etc etc!

Je trouve qu’il y a un vrai décalage entre l’image d’une société totalement libérée que donne les médias, et la réalité des gens: un fonctionnement des organes génitaux peu ou mal compris, des craintes issues de fausses informations, une très grande pudeur et beaucoup d’anxiété.

Je trouve que la sexualité est un sujet très important, et qu’elle doit être intégrée dans la vie et la santé des gens, et pas juste le versant prévention des MST.

GAYVIKING : As-tu déjà été confronté à une situation avec un patient où tu lui as annoncé sa séropositivité ? Comment réagir dans ce cas… ?

Laurent : Non,jamais. Je travaille en ville, et généralement c’est un médecin du Centre de Dépistage anonyme, du service hospitalier ou du laboratoire où a été fait le test qui fait l’annonce à la personne. Enfin personnellement, jusqu’à maintenant, ça ne m’est jamais arrivé.

actu-gay-inpes-preservatifGAYVIKING : La communication de notre société vis à vis des homos sur les MST est-elle satisfaisante aujourd’hui ?

Laurent : Je ne sais pas si la communication est satisfaisante, est-ce qu’elle le sera un jour totalement? C’est déjà bien qu’il y ait quelque chose. Évidemment dans un monde parfait, on pourrait toujours faire plus, et il y aurait plus d’argent et de moyens accordés aux associations et aux campagnes de prévention.

Je vais aussi retourner la question! Est-ce que l’écoute des homos vis-à-vis de la prévention des MST est satisfaisante?
Je crois qu’il y a toujours du travail à faire des deux côtés.C’est très important de ne pas baisser les bras. Je me dis toujours que si un jeune ( ou un moins jeune) se protège grâce à un message de prévention qu’il a vu ou entendu, ça sera déjà ça de gagné.

Il y a malheureusement tout un courant actuel chez les homos qui fait l’apologie du sexe sans capotes, avec des films bareback de plus en plus nombreux. Il y a aussi une réticence à utiliser le préservatif pour certaines pratiques à risque comme la fellation. Ça n’est pas facile non plus d’imposer à l’autre le port d’une capote, surtout quand on n’est pas super sûr de soi ou rendu complètement débile par le désir…

Et puis il suffit de comparer la prévention des mst et la prévention d’autres maladies comme l’addiction au tabac, à l’alcool, le diabète, etc etc… C’est globalement pas très différent. Les humains ont dû mal à intégrer les risques quand le danger n’est pas immdédiat et inquiétant. On est tous pareils : il y a même des médecins qui fument, et d’autres qui stressent parce qu’ils n’ont pas mis de capote en faisant un fellation à quelqu’un qu’ils ne connaissaient en fait pas vraiment…!.

sang_pdGAYVIKING : Que penses-tu de l’interdiction du don du sang pour les homosexuels hommes ?

Laurent : Je me souviens que ça m’avait surpris quand une amie me l’a appris il y a quelques années. Un peu comme si symboliquement la personne homosexuelle était par nature tellement souillée qu’on ne pouvait même pas envisager d’utiliser son sang.

Après je comprends que les autorités aient adopté ces règles à une époque où les tests n’étaient pas forcément aussi faciles qu’aujourd’hui. Mais actuellement je trouve qu’une révision est nécessaire, que ce soit pour la défense de l’intégration des personnes homosexuelles dans la société, que pour la prise en charge de gens qui ont besoin de transfusions ou autres produits dérivés du sang. Pourquoi une personne en bonne santé, intelligente et altruiste, se verrait refuser d’emblée le don d’un sang dont on a tellement besoin.

A vrai dire ça n’est pas un problème qui m’a particulièrement bouleversé. Parfois je ne suis pas très politiquement correct… je me dis que si la société ne veut pas de sang homo, et bien tant pis pour elle… surtout quand on sait que les établissements qui fournissent le sang sont souvent confrontées à des périodes de manque.

GAYVIKING : Un dernier mot ?

Laurent : Soyez heureux, la vie est courte, amusez-vous mais sortez couverts. Prenez soin de vous et consacrez du temps aux choses qui vous sont importantes.

Pour aller plus loin…

Voir le site de l’association de médecin gay-friendly avec un annuaire de médecins qui s’intéressent aux questions de santé LGBT

Laurent a également participé à des fiches « santé » pour GAYVIKING… expliquer dans un langage clair les petits maux de la vie quotidienne. (voir la rubrique sur GAYVIKING ICI)

Echanger sur le Forum de GAYVIKING rubriques sexualité et santé


remerciement à Laurent et Gayviking

Par LAURENT - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 14 août 1 14 /08 /Août 15:44

Toubib, il n'y a que toi qui peux m'entendre, m'écouter, M'AIDER   !  Ton cabinet est le seul lieu où je peux exposer mon intimité, mes problèmes sans faire rire ou autre attitude malsaine... Quoi que j'aie "chopé", par héritage, nature, imprudence ou malchance, j'ai ton écoute.   Merci  Docteur  

je suis allé chez le proctologue, il n'a pu que se rendre compte que...je n'étais pas vierge. Si ça n'avait pas été de mon fait, l'homosexualité n'aurait pas été évoquée...pourtant il n'y a pas plus  à en rougir 

Le cabinet d'un médecin est un lieu où l'on DEVRAIT  pouvoir tout dire (de ce qui nous concerne).

infos médicales  : l'urologie chez les gays

L’urologie est une spécialité médicale et chirurgicale traitant des maladies de l’appareil urinaire de l’homme et de la femme et de l’appareil sexuel masculin.

Le caractère intime de certaines maladies de cette région du corps peut rendre gênant l’accès à une consultation urologique que l’on soit hétéro ou homosexuel, mais l’appartenance à une minorité peut majorer cette gêne.

Voilà pourquoi différentes spécificités de l’urologie appliquée aux gays, lesbiennes et transsexuels est développée ci dessous. Dans un but de clarté, les exemples sont souvent donnés par rapport à une sexualité avec pénétration active ou passive. La vie réelle est bien sur plus nuancée mais chacun y retrouvera en fonction de ses multiples facettes, les informations recherchées.

Les informations fournies sur ce site sont destinées à améliorer, non à remplacer, la relation qui existe entre le visiteur et son médecin.

Généralités
Ce sont surtout les maladies des organes génitaux qui peuvent être modifiés par l’orientation sexuelle ou dont le traitement doit savoir tenir compte de l’orientation sexuelle. Dans un souci de hiérarchisation de l’information, la sexualité entre hommes est ici classée entre active et passive. Le lecteur pourra se retrouver pour tout ou partie d’un côté, de l’autre ou des deux. Certains enfin, peuvent ne pas avoir de sexualité, ou alors une bi-sexualité, ayant des relations sexuelles avec des hommes et des femmes.

• Maladies plus fréquentes
> Infections
La transmission d’infections sexuelles n’implique pas toujours une pénétration. Un simple contact entre muqueuse génitale ou buccale peut suffire. En cas de pénétration anale active non protégée, le risque d’urétrite (infection de l’urètre, par ou l’on urine) est majoré (chaude pisse, urétrite à gonocoque ou à chlamydia). Quelques heures ou quelques jours après un rapport, il survient alors des brûlures lors de la miction (fait d’uriner) avec parfois un écoulement de sécrétions sortant par le méat urétral (trou par où sort l’urine) en dehors des mictions. Un traitement antibiotique avec rapports protégés pendant la durée du traitement est le plus souvent proposé. Un dépistage du partenaire doit être proposé.

En cas de pénétration anale réceptive, il existe un risque de prostatite (infection de la prostate) qui reste très faible, principalement si le partenaire a une urétrite (cf ci-dessus).

Les maladies infectieuses dermatologiques sont traitées en détail au chapitre « Infections Sexuellement Transmissibles » ou IST. Elles concernent le condylome ou verrue génitale, pouvant se déposer sur la verge (autour du prépuce et du frein) chez le patient actif ou sur l’anus et dans le canal anal chez le patient passif, beaucoup plus rarement dans la bouche. A cette description schématique s’ajoute en fait une réalité plus complexe : le virus du condylome est attiré par la muqueuse génitale et la muqueuse anale si bien que des condylomes peuvent se développer sur un ou l’autre site cité, parfois même sans pénétration mais simplement après contacts intimes.

> Problèmes d’érection
La sexualité chez les gays est parfois faite de rencontres occasionnelles avec des partenaires multiples pour des durées courtes. Si l’on souhaite expliquer ce postulat sociologique, il se pourrait que la libido de certains hommes les pousse souvent vers de nouvelles aventures sexuelles. Contrairement aux femmes, la libido des hommes reste stable au cours de la vie (basse, modérée ou élevée) car la sécrétion d’hormones mâles (testostérone) reste relativement constante au cours de la vie. De ce fait, les relations sexuelles sont souvent des « premières fois » avec tout ce que cela comporte d’excitation mais également de stress et d’angoisse de performance, d’être à la hauteur, notamment au moment de pénétrer.

Cette angoisse entraîne une sécrétion d’adrénaline, parfois pendant les préliminaires, mais surtout au moment de la pénétration, pouvant être majorée par le stress d’enfiler correctement et rapidement un préservatif. Le stress (par le biais d’une décharge d’adrénaline entraîinant une rétraction des corps érectiles) est alors responsable d’une baisse de l’érection conduisant parfois jusqu’à la panne, ou impuissance principalement psychologique. Une remise en confiance psychologique aidée de médicaments sur une courte durée peut être proposée.
Sinon, les problèmes d’érections non psychologiques ne sont pas plus fréquents que dans la population générale.

> Problème d’éjaculation
L’éjaculation précoce est le symptôme le plus fréquent. Il s’agit d’une anxiété trop importante liée à une excitation intense d’une relation souvent débutante. Le phénomène peut cependant se prolonger au cours d’une relation durable. Il est souvent le reflet d’une tension nerveuse importante dans la vie de tous les jours, qui se manifeste par une même rapidité à agir, sexuellement. Certains médicaments permettent de retarder l’éjaculation, mais c’est surtout la rééducation et la sexothérapie (traitement psychologique) qui permettent une guérison sur le long terme.
L’éjaculation peut sinon être douloureuse en cas d’infection ou de vieillissement de la prostate parfois. L’éjaculation se fait dans ce dernier cas, sans pression, on dit qu’elle est « baveuse ». Le traitement passe alors par celui de la prostate qui a grossi.

> Aspect de la verge
L’importance symbolique et physique du pénis, au repos ou en érection, est importante chez les hommes, mais encore plus chez les gays, qu’ils soient actifs ou passifs. Des preuves anciennes et récentes nous parviennent de l’importance dans l’espace et dans le temps du phallus (symbolique du pénis) pour l’homme : os sculptés préhistoriques, représentations phalliques dans l’antiquité Egyptienne, Romaine, Grecque, Indienne et symbolique actuelle phallique à travers le monde actuel de la Papouasie Nouvelle Guinée où les hommes puissants portent l’étui pénien le plus développé possible pour afficher son pouvoir, à notre civilisation occidentale ou l’importance de la séduction et de la virilité transparait a travers les médias et dans la société. Les activités sportives en commun, l’utilisation de vestiaires ou de douches en commun ou la fréquentation des saunas, majorent l’importance de l’apparence du sexe masculin. Plus de gays souffrent du syndrome du « petit pénis » ou « syndrome du vestiaire ». Il s’agit de la sensation  (subjective le plus souvent) que son sexe est trop court ou trop fin, au repos principalement, mais parfois aussi en érection. Une psychothérapie peut permettre de reprendre confiance en soi. Parfois, une chirurgie esthétique pénienne peut être proposée : un allongement du pénis permet un gain de 2,5cm en moyenne au prix d’une cicatrice cachée ensuite dans les poils du pubis. L’élargissement du pénis permet de gagner 2cm de circonférence en moyenne et passe par l’injection de graisse prélevée sur le mont de vénus (pubis) et la face interne des cuisses principalement. Une circoncision est souvent associée et le résultat définitif est stable au bout de 3 mois et pour une durée de 7 ans en moyenne. De nouvelles injections de graisse peuvent alors être proposées.


· Spécificité de l’homosexualité
> Infections
Importance de la prévention des maladies infectieuses par le port du préservatif. La sodomie est plus à risque d’infection qu’une pénétration vaginale du fait des bactéries présentes dans le rectum.
Comme dans toutes les relations à deux, le dépistage du ou des partenaires est important pour éviter une réinfection mutuelle et une propagation de l’infection.

> Cancer de la prostate
Différents traitements du cancer de la prostate existent et il est important de faire connaître votre sexualité car elle orientera peut être le choix du traitement. En effet, même si le choix d’un traitement est avant tout guidé par un faisceau d’arguments médicaux, votre préférence sexuelle pourra entrer en ligne de compte dans l’explication des avantages et inconvénients des traitements. Il pourrait sembler intéressant de proposer lorsque le choix est permis, un traitement chirurgical à un patient passif car les effets secondaires sont plus souvent l’impuissance que les douleurs anales ou prostatiques. La radiothérapie (irradiation pour brûler la prostate par voie externe), curiethérapie (irradiation pour brûler la prostate par voie rectale sous anesthésie) ou Ablatherm (ultra-sons focalisés sur la prostate pour la détruire par voie rectale, sous anesthésie) génèrent moins d’impuissance, mais une gêne anale réelle.

> Infertilité
La prise en charge du désir de paternité n’est pas proposé en France aux couples homosexuels. Tel est actuellement la position établie par la Loi. En effet, seule l’infertilité (stérilité) est traitée en France et non l’aide à concevoir hors infertilité. Il s’agit la d’un choix de société et non médical. Cependant, plusieurs groupes médicaux ou non médicaux, se réunissent pour réfléchir au bien fondé de ce principe.
Quoiqu’il en soit, chaque homme à la possibilité de consulter pour s’informer à titre personnel, sur sa capacité de reproduction, qu’il vive en couple ou non.¤


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Par ASSO A.M.G. - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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