CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I

Jeudi 12 décembre 4 12 /12 /Déc 11:34

classé dans SOUMISSION ET DOUCES VIOLENCES

BoyNapped.com

 

Boynapped To see a trailer for the above and other movies Click Here Like this and want to see more older guys fucking younger guys visit…. http://xgendadsandsons.tumblr.com/ (guys in all images believed to be over 18) Want to meet Daddys or Sons? see my recommendations - THEY DO CHANGE! Click the link below. http://xgendadsandsons.tumblr.com/recommendations

 

Boynapped To see a trailer for the above and other movies Click Here Like this and want to see more older guys fucking younger guys visit…. http://xgendadsandsons.tumblr.com/ (guys in all images believed to be over 18) Want to meet Daddys or Sons? see my recommendations - THEY DO CHANGE! Click the link below. http://xgendadsandsons.tumblr.com/recommendations

 

 

Par gayditor - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 22:10

 Classé dans SOUMISSION & DOUCE(S) VIOLENCE(S) (30) 

 

 Le texte qui suit contient de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 

Capturé par un maniaque je subis des épreuves SM  et une grande pression psychologique

 

— Tu vois: tu n'es plus attaché. Mais attention, je suis bien plus fort que toi. Si tu me frappes ou si tu résistes, je te rattache tout de suite. Compris?

— Oui.

Je préfère cela à être entravé. Oui, il est fort. Je le sais. Il est violent aussi parfois. Je l'ai bien vu!

— Bien. Tu vas obéir. Garde à vous!

Je me redresse alors de suite.

— Demi tour. Écarte les jambes et penche toi en avant.

Je m'exécute. Je suis un jouet à ses ordres. Mais au moins, je n'ai plus mal et je ne suis plus entravé. Il écarte alors mes fesses avec ses mains et vérifie que mon anus est normal.

— Tout va bien. Il est bien refermé. C'est parfait. Demi tour.

Je me retourne et a nouveau, je fais face à lui. Il se penche une nouvelle fois vers ma bite, me décalotte, et saisissant mon gland, examine mon méat avec soin.

— Bien, Pas de problème. Tout cela peut reprendre du service: masturbe-toi. Tout seul. Tu vas éjaculer et avaler ton sperme. Je ne dirai rien. Je te laisse faire.

Je préfère obéir. Je commence alors à caresser ma queue, rouge à force de jouir et de bander! J'y vais doucement. Il recule d'un pas et me regarde tranquillement, sans bouger. Curieusement, la situation m'excite. Me branler devant lui me procure un sentiment mêlé de honte et de puissance. Deviendrais-je gay? Ou soumis? Je ne comprends pas. Mes pensées se mélangent mais mes mains continuent à s'agiter sur mon sexe et il reprend de la vigueur. À nouveau, il se retrouve à l'horizontal. Je jouis une nouvelle fois, dans ma main gauche. Puis, je fais comme il m'a dit. Je porte ma main à bouche et lèche avec soin toute trace de sperme.

— Voila, j'ai terminé.

— Très bien. Vraiment très bien. Retourne toi à nouveau que je regarde une dernière fois ta rondelle.

À nouveau, je me tourne, me penche en avant et lui présente mon trou. Je commence à perdre toute pudeur.

— OK, c'est bon. Va prendre une douche.

Je le fais avec plaisir. Il me laisse seul et s'en va.

Je m'allonge ensuite sur le lit. Je n'ai plus de lien mais la pièce est close et la porte solide. Je ne peux rien faire, sauf réfléchir. Oui j'ai souffert... mais pourquoi suis-je fasciné par la vidéo qui montrait mes fesses en gros plan? Pourquoi ai-je aimé me masturber devant lui? Petit à petit, perdu dans mes pensées, je m'assoupis.

Des coups frappés à la porte me réveillent. Je me suis finalement endormi. Il entre. Toujours le même visage dur.

— Bien, voilà le repas de midi.

Il pousse devant lui la table roulante. Dessus, un plateau repas complet. Je m'assoie sur le lit et commence à manger tout cela.

— Bien, on va discuter un peu. J'ai vu que tu as aimé te masturber devant moi, n'est-ce pas?

Je décide de coopérer, espérant améliorer ma condition de prisonnier.

— Euh... oui. J'étais gêné et excité à la fois. C'était étrange.

— C'est normal. C'était nouveau pour toi?

— Oui.

C'est surréaliste! Je suis là, nu devant lui, en train de manger et de discuter de mes supposés plaisirs sexuels, exécutés sous la contrainte et parfois dans la douleur! Mais je préfère discuter que d'être frappé. Que puis-je faire d'autre?

— Bien, après manger, tu vas découvrir autre chose.

Aïe! Autre chose? Que va inventer encore ce fou?

— Tu verras... Peut-être même que tu connais déjà.

Je termine mon repas dans le silence. Il retire la table à roulette et la pousse derrière la porte. Il revient.

— Bon, je t'explique. Tu vas recevoir une punition ringarde: une fessée.

— Une fessée?!

— Et oui. Tu sais bien ce que ce c'est? ironise-t-il.

— Je croyais que ça n'existait plus!

— Peu importe. Je te laisse le choix: soit tu résistes et je t'attache, soit tu coopères et tu restes libre. Ton choix?

Je préfère ne pas être attaché. Je sais maintenant ce qu'il en est.

— Ok, je coopère.

— Bien, tu comprends vite. Allez debout. Mets-toi à côté du lit. Penche-toi en avant. Écarte un peu les jambes, les mains à plat sur le lit.

Je prends la position demandée. Mes fesses sont bien mises en évidence mais il me passe une main devant moi, sur le ventre et me tire en arrière.

— Cambre-toi. Fais ressortir ton cul!

J'obéis. Je sors mes fesses. Je creuse mon dos et mes reins. Je m'attends au pire... mais il passe alors une main douce sur mes fesses. Il me caresse.

— Tu vois, je vais te frapper ici. Mais que 10 coups. Je ne veux pas de traces.

Il positionne alors la caméra. Mais pourquoi filme-t-il tout? Il est vraiment malade, ce type! Il se saisit ensuite d'une baguette en bois souple. Splach! Aïe! Le premier coup tombe. Ça fait assez mal. Une douleur sèche.

— Compte les coups!

— Un

Splach!

— Deux!

La baguette frappe légèrement plus haut. Bizarrement, j'ai le sentiment qu'il ne frappe pas si fort que cela. Il pourrait être plus violent. Il semble vouloir m'épargner. Splach! Splach!

— Trois... quatre...

Et ainsi de suite, jusqu'à 10. J'ai mal mais cela reste très supportable. Le plus dur, c'est l'humiliation et être puni comme un gamin!

— Bien. Parfait. Relève-toi maintenant. Garde à vous devant moi.

Je me relève. Mes fesses me brûlent à peine. Je les regarde rapidement: Pas de traces des coups.

— Écarte les jambes et penche-toi un peu en arrière.

Je prends cette position, déjà connue. Que va-t-il encore me faire? Mon sexe est en évidence, sur le devant, et il pend tranquillement entre mes jambes. Je vois alors la baguette remonter brutalement à l'horizontale et me frapper violement sous les testicules!

— Aïe! hurlai-je.

La douleur est très forte. Je me recule de quelques pas.

— Reprends la position! Vite!

Il agite la baguette au dessus de sa tête. Doucement, avec crainte, je me remets en position.

— Bien! Encore deux coups et ce sera fini.

Et il frappe encore deux fois mes bourses. La douleur est très vive. Je ne peux m'empêcher de hurler et de reculer.

— Voila, c'est fini. Je vais te passer de la crème anti-douleur.

Il prend alors un tube de crème et commence à m'en mettre avec douceur sur les bourses. Il me malaxe doucement les testicules et le scrotum. Ça fait du bien. Je commence à entrer légèrement en érection. Mon pénis prend du volume et devient plus dur.

— Tu vois, tout fonctionne encore normalement.

Après quelques minutes passées à me malaxer les bourses, il range le tube de crème.

— Lève les bras.

J'obéis immédiatement puis il me pousse vers le centre de la pièce. Il prend alors une corde, en attache mes poignets à deux anneaux au plafond. J'ai les bras tendus vers le haut, légèrement écartés.

— Je vais te mettre un bandeau sur les yeux pour quelques minutes. Pas de panique. Tu ne souffriras pas, bien au contraire.

Facile à dire! Nu, attaché et aveugle! Pas de panique! L'enfoiré!

Il me met alors un bandeau sur les yeux. Je ne vois plus rien.

— Je reviens dans une minute.

Effectivement, il revient rapidement. Mais il me semble entendre deux pas. N'est-il plus seul? J'entends alors quelqu'un s'approcher tout près de moi.

— Ne t'inquiète pas. Il va te faire du bien.

Je sens alors une paire de main s'appliquer sur mon torse. Doucement, on commence à me caresser. Sensuellement, avec application. Les mains descendent doucement vers mon sexe. Ma queue est entourée, mes couilles malaxées, mes fesses caressées. Je bande de plus en plus. Mon sexe est maintenant à l'horizontale. Je sens alors qu une bouche happe ma queue avec douceur. Mon gland est sucé avec délicatesse. Cet inconnu sait y faire. Tout n'est que douceur et volupté... J'éjacule alors dans cette bouche inconnue. Quelques petits jets rapides. Il faut dire que y a plus grand-chose à éjaculer, à force... Mon endurance sexuelle a atteint ses limites.

— Bien parfait. La suite maintenant.

La suite? Mais quelle suite? Cela ne finira donc jamais?

— Fini le gode. Tu vas maintenant te faire prendre par une vraie queue.

Il s'adresse alors à l'inconnu:

— Encule-le!

Je ne vois rien. Mais j'entends cet inconnu se déplacer et se mettre derrière moi. La traction sur mes bras diminue.

— Facilite-lui le passage!

Oui, il vaut mieux. De toute façon, de gré ou de force, je vais être violé par cet inconnu alors autant réduire la douleur. Je me penche un peu en avant, écarte mes jambes et fait ressortir mes fesses en me cambrant. Je suis prêt, autant que possible.

L'inconnu passe une main entre mes fesses et étale un liquide froid. Du gel lubrifiant en fait. Cela me rassure, ça devrait bien se passer. Une vraie queue ne peut mesurer 6 cm de diamètre, comme l'horrible gode de tout à l'heure! Ou alors cela doit être rare. Je sens alors un pénis entrer en contact dans ma raie puis se diriger doucement vers mon trou. La pression s'accentue. L'inconnue met ses mains sur mes hanches et me tient bien. Lentement, son sexe s'enfonce en moi. Il me pénètre alors à fond, d'un mouvement lent et régulier. Je sens ses boules butter contre mes fesses. Je n'ai pas eu mal. Mais pas du tout.

— Tu vois. Maintenant, une bite normale entre facilement. Tu comprends maintenant pourquoi le gode? C'était pour t'habituer et te dilater.

Effectivement, l'inconnu coulisse maintenant en moi facilement. Sa queue entre et sort facilement. Elle heurte ma prostate à chaque fois. Je n'éprouve aucune douleur cette fois; plutôt du plaisir. Puis, je sens jaillir le jet de sperme au fond de mes intestins. L'inconnu a joui en moi. Je me surprends à éprouver un certain plaisir.

— Bon, tu vas maintenant voir qui t'a enculé. Tu vas être surpris.

Il enlève alors mon bandeau et là, stupeur! Je n'en crois pas mes yeux! C'est Marc! Il est debout devant moi. Nu lui aussi. Les bras ballants. Le sexe en train de débander après m'avoir enculé.

— Mais il m'a dit que t'était mort!?

Marc ne dit rien. Mon gardien a repris sa matraque.

— Explique-lui!

Marc alors m'explique son histoire, d'une petite voix. Il est apeuré.

— C'est comme toi... je suis prisonnier. Il m'a frappé et obligé à te sucer et à t'enculer... Je suis désolé. Je pouvais pas faire autrement! Excuse-moi, Jean! Excuse-moi...

— Je comprends et je te pardonne Marc.

J'imagine que Marc a dû souffrir lui aussi. A-t-il été frappé? En tous cas, il semble vaincu et décidé à obéir à notre tortionnaire commun.

— Mais c'est ton oncle!?

— C'est faux. Je ne sais pas qui c'est!

Notre gardien s'adresse alors à nous:

— C'est bon! Tu en sais assez. Nous allons maintenant passer à la dernière étape.

Ce type est vraiment machiavélique! M'avoir fait croire que Marc s'était suicidé par ma faute! Mais pourquoi sommes nous ainsi torturés? Qu'avons-nous fait?

— Marc, tu vas libérer ton copain. Attention, n'oubliez pas que je suis bien plus fort que vous deux réunis!

Effectivement, Marc n'a que 17 ans. Il est plutôt du genre fluet: 1m75, 60 kg, il est peu sportif et n'est pas très musclé. Il n'a pas encore fini de grandir. On ne fait pas le poids contre cette brute épaisse et sa matraque. Marc se dirige alors vers moi et me libère les bras des cordes qui les maintenaient dessus ma tête.

— Jean! Tu vas faire à Marc ce qu il t'a fait: tu vas le sucer et ensuite l'enculer.

Curieusement, je ne dis rien. Je reste songeur. J'examine mon ami Marc, qui est là, nu devant moi. Bien sûr, je l'ai vu nu il y a quelques jours, lors de sa dernière visite. Mais là, il me semble encore plus désirable. Je regarde son visage fin, il n'a qu un léger duvet encore, le torse glabre et fin; on voit presque ses côtes. Une fine ligne de poil part sous le nombril et rejoint sa toison pubienne. Il a plus de poil que moi à cet endroit. Sa queue au repos est légèrement plus grosse aussi. Ses testicules aussi. Ses cuisses peu épaisses sont recouvertes de poils noirs et fins. Il est beau dans sa jeunesse. Son attitude passive et soumise le rend encore désirable à mes yeux.

Je le demande si je ne suis pas en train de devenir 100% gay... Mais après tout, n'ayant pas le choix, autant essayer de prendre du plaisir dans cette épreuve. Ça vaut mieux qu un coup de matraque!

Je me dirige alors vers Marc. Il ne réagit pas. Je vois bien qu il est terrorisé par notre gardien. Il va se laisser faire et se soumettre. Après tout, lui, il est gay. Pourquoi résisterait-il?

Je me mets alors à genoux devant lui et commence à lui malaxer le sexe avec ma main droite. Je découvre son gland rosé et humide. Je fais des va-et-vient avec son prépuce, lui découvrant et masquant alternativement son gland. Une goutte de précum pend au bout de celui-ci. Avec ma main gauche, je lui caresse les fesses, pénètre dans la raie. Je vais jusqu'à effleurer son anus. Après quelques instants, je vois son sexe commencer à se redresser.

— Une minute! Stop! intervient notre gardien. Je mets la caméra.

Il place alors la caméra pour qu'elle filme Marc et moi.

— Continue!

Je reprends alors mes caresses. Ma main droite coulisse maintenant rapidement sur sa queue. Il bande vraiment là. Sa bite bandée est plus fine que la mienne mais semble plus longue. Elle est très dure et ferme. Au bout de son gland rouge vif perle maintenant un filet de precum. J'enfourne alors cette bite dans ma bouche. Avec ma langue, je suce et caresse ce bel engin. Je suis à fond dans cette fellation. Je ne pense plus à rien. Le sexe de Marc dégage une légère odeur de parfum. Sans doute lui aussi a-t-il été douché de force ce matin. Son pénis s'agite, son corps se tend et il éjacule alors dans ma bouche. Son sperme est légèrement poivré et chaud. J'avale tout et me redresse.

— Voila! J'ai fini.

— Fini pour le devant. Reste maintenant l'autre côté.

Décidément, notre gardien est sans pitié. Je vais devoir enculer mon ami. Je n'ai jamais fait cela.

— Marc, sur le lit! À quatre pattes et jambes écartées!

Il obéit sans révolte. Il va sur le lit et prend la position. Il se met sur les coudes. Son postérieur est ainsi relevé davantage. Il se cambre également. Je m'approche doucement de lui. Je vois alors pour la première fois ses fesses et sa raie en détail, et en gros plan. Son anus est tout rose, bien lisse et entouré de petits poils noirs. Autour, la couleur de sa peau forme un anneau marron clair. Son sexe et ses testicules pendent entre ces jambes. Je distingue très bien la forme de ses testicules à l'intérieur des bourses. Je remarque que le gauche tombe un peu plus bas que le droit. Mais pourquoi je constate cela, moi?

— Attends! Tu vas le lécher avant. Rassure-toi, il est propre, il a pris une douche lui aussi ce matin.

Je ne dis rien. Je vais le faire. Je m'approche des fesses de mon ami jusqu'à ce que ma langue effleure sa raie et commence à le lécher. Sa peau est douce. Petit à petit, je m'approche de sa rondelle et de son trou. Il frétille légèrement; il semble apprécier.

— Plus loin!

Je lèche alors franchement l'anus de Marc. J'essaie d'y pénétrer ma langue. Je suis en fait très excité par cet acte. Je deviens gay. Je lèche le cul de mon ami et d'adore! Je poursuis mon léchage en remontant doucement vers ses bourses. Je lèche délicatement sa peau onctueuse. À travers les légers mouvements du corps de mon compagnon, je vois qu'il apprécie mes efforts.

— Bien. Le gel maintenant.

Notre gardien me tend alors la bombe de gel lubrifiant. J'en mets une bonne dose dans la raie de mon ami. Autant ne pas le faire souffrir. Je suis debout à côté du lit, Marc est à quatre pattes devant moi. Son anus est prêt à me recevoir. Je n'ai jamais sodomisé un garçon, ni une fille d'ailleurs. Le spectacle des fesses offertes de Marc m'excite. Je bande comme un arc. Mon sexe est dur et à l'horizontal, mon gland découvert. J'approche alors ma queue du trou de Marc et commence lentement à le pénétrer. Il ne dit rien. Il se laisse faire et ne semble pas avoir mal. Sans doute a-t-il déjà expérimenté cela? Mon sexe entre facilement dans son fondement. Je pénètre lentement en lui jusqu'à ce que mes couilles heurtent ses fesses. Mes 18 cm sont complètement en lui. C'est serré et chaud. Je me retire et fais des aller-retours en lui. J'ai mis mes mains sur ses hanches pour mieux me diriger et me fixer en lui. Je sors et rentre plusieurs fois très facilement. Mes testicules heurtent ses fesses à chaque fois. Je vais de plus en plus vite. L'éjaculation approche. Je ne veux pas jouir dans ses entrailles et me retire juste à temps. J'émets à l'extérieur de mon ami. Mon sperme gicle sur son dos et sur le haut de sa raie.

— Nettoie cela! Avec la langue!

Je lèche alors avec application les traces blanchâtres sur le corps de mon ami. Je reconnais le goût de mon sperme. Le même que ce matin. Sucré et salé. Marc est toujours à quatre pattes, le cul en évidence. Il ne bouge pas. Il ne dit rien.

— Tiens, attrape cela!

Notre gardien me lance alors le gode de 5 cm.

— Enfonce lui à fond! Comme toi ce matin.

— Non, je refuse!

Un sursaut de révolte m'envahit.

— Ça suffit!

Je vois alors le gardien se diriger vers moi et il me donne un coup de matraque dans les couilles! Je n'ai pas eu le temps de réagir, ni de me protéger. Je hurle et tombe à terre en me tenant le sexe dans les mains. Je pleure de douleur.

— Je t'avais prévenu! Tu dois obéir! Redresse-toi!

Je me redresse lentement. J'ai très mal dans les bourses. Je suis quasi plié en deux. Doucement, je me mets debout et me redresse avec souffrance.

— Vas-y! Reprends!

Marc n'a pas bougé. Pourquoi n'a-t-il rien fait? Il est resté sur le lit, les jambes ouvertes et offertes. Je reprends le gode. Je mets du gel dans la raie de Marc puis approche le gode de son trou. J'appuie alors. Je m'attends à ce qu il résiste mais non, le gode entre facilement. Visiblement, le trou de Marc est bien plus large ou souple que le mien. Il ne dit toujours rien. J'enfonce alors régulièrement et complètement le gode en lui.

— Bien, masturbe-le avec ton autre main.

Je passe alors la main droite sur le côté de mon ami et saisis son sexe. Il bande déjà. Le gode l'excite! Voilà pourquoi il ne dit rien... Une main remuant légèrement le gode, l'autre main masturbant mon ami, je poursuis mon œuvre. Le corps de Marc s'anime, il se tord de plaisir. Son souffle est devenu rapide et court. Il aime cela, c'est évident. Rapidement, Marc jouit dans un râle de plaisir. Trois jets puissants de sperme jaillissent de son sexe tendu.

— Bien, à la douche tous les deux. Je reviens dans 2h. Soyez propre à mon retour, sinon...

Et notre gardien sort, nous laissant seuls. La porte claque, le verrou aussi.

Marc se redresse alors et s'assoit sur le lit.

— Il est parti?

— Oui, on dirait bien.

— Tu sais, j'ai rien dit lorsque tu m'as sucé...

— Oui, j'ai vu!

— Je ne voulais pas l'énerver. J'ai peur de lui. Et puis, j'avais pas mal.

Il me regarde et semble sourire.

— Tu sais, moi non plus, j'avais pas mal...

Je le regarde alors droit dans les yeux... il soutient mon regard. Mon dieu qu'il est beau. Je suis définitivement tombé sous le charme de son visage fin. Il passe alors un bras derrière mon épaule, se penche vers moi, ses lèvres s'approchent des miennes...

— Jean, Jean... je t'aime, murmure-t-il.

— Oui, je sais...

Nos lèvres entrent alors en contact. On se roule alors un vrai patin. J'oublie tout. Seul Marc compte en cet instant. Mais je ne peux oublier longtemps notre situation de prisonnier. Je me dégage de mon ami.

— Et si on en profitait pour se sauver?

— Comment?

— Enfonçons la porte avec le lit!

— Super idée. Oui!

On se dirige alors vers le lit. Stupeur, il ne bouge pas. Je regarde alors les pieds et je vois qu ils sont boulonnés dans le sol!

— Merde! C'est fixé!

Nous regardons alors l'autre lit, celui avec les étriers. C'est pareil, il est fixé solidement dans le sol. En fait, tout est fixé. Le WC, les lits. La porte est en métal. On ne peut rien faire.

— Zut! On est vraiment coincé!

— Attention, j'entends des pas! Il revient déjà!

Effectivement, le verrou claque, la porte s'ouvre. Merde, on n'a pas eu le temps de rien préparer! On n'aurait peut-être pu l'assommer par surprise. Il avait dit deux heures! Il a menti exprès, j'en suis sur!

— Bien, il vous reste une dernière épreuve, les jeunes!

Il agite en évidence sa matraque. On se recule.

— Marc, avance-toi!

Mon compagnon s'avance alors et stoppe devant lui. Notre gardien se penche alors vers lui et lui saisit sa queue. Il examine le gland et le décalotte. Son gland rouge semble normal.

— Parfait. Retourne-toi!

Mon ami se retourne et sachant maintenant ce qu'il faut faire, se penche en avant et écarte les jambes. Il présente ses fesses ouvertes. Le gardien lui examine et palpe l'anus. Et termine par une petite claque sur ses fesses blanches.

— OK! À ton tour Jean.

Je me présente alors devant lui et je subis les mêmes inspections fouillées. C'est très humiliant de se faire tripoter et examiner ainsi devant son copain! Heureusement, Marc détourne le regard.

— Marc, tu vas raser le sexe de ton copain.

Il tend un rasoir jetable à mon compagnon ainsi qu une bombe de mousse à raser.

— Jean, installe-toi sur le lit à étrier!

Je m'exécute. Je m'allonge sur le lit et place mes jambes dans les étriers.

— Je t'attache pas! Mais attention, si tu bouges, je sanctionne! Jean, écarte les étriers, écarte lui les jambes.

Jean se positionne alors devant moi, entre au centre de mes jambes et les saisissant, les écarte largement. Puis il serre les vis. Je ne résiste pas. Mes fesses sont ouvertes à sa vue. Jamais Jean ne m'a vu ainsi. Je suis humilié, j'ai honte de m'exposer ainsi à mon ami. Ma pudeur est bafouée. Mais je ressens aussi un mélange d'excitation et de fierté. Notre bourreau prend alors la caméra et la dirige vers mon intimité. Je peux alors voir en gros plan sur l'écran mon périnée et tout ce qui gravite autour.

— Admire!

Marc a lui aussi une vision parfaite sur mon sexe et mon cul. Il se saisit alors de la mousse et en étale une bonne dose sur mon bas-ventre. Puis délicatement, il étale cette mousse au-dessus de ma verge. Il est obligé de me tenir le sexe d'une main. Je réagis doucement, mon sexe prend lentement du volume. Avec délicatesse, il commence alors à raser mes poils au-dessus du pubis. Il va doucement; il ne veut pas me blesser. Son visage est à 30 cm de ma queue. Il en voit les moindres détails. D'autant plus que, à chaque allée, le rasoir dégage davantage la vue. Je suis terriblement gêné, je suis plus que nu, j'offre mon intimité absolue à mon ami.

Il se saisit de ma bite et la tire doucement vers le haut, par le prépuce pincé entre ses doigts. Comme je suis en semi-érection, c'est plus facile. Puis soigneusement, il rase les quelques poils situés dessus. Il pince ensuite mon scrotum avec deux doigts et tire doucement pour tendre la peau. Il peut ainsi me raser les bourses. Il change plusieurs fois la position de ses doigts et manie délicatement le rasoir. Notre gardien s'approche, se penche vers mon entrejambe.

— Il en reste là. Et rase aussi sous les testicules.

Quelle humiliation! Il en est à me compter les poils restants! Jean, avec application, rase les quelques poils restants sur ma bite. Puis, poussant légèrement mes bourses vers le haut, il promène le rasoir entre mes bourses et mon anus. Il fait bien attention, il y a de petits plis. Je ne bouge pas d'un millimètre, je retiens même ma respiration quand le rasoir fait son œuvre. Les quelques petits poils que j'avais là ont maintenant tous disparu. Il termine par le pourtour de mon trou et me rase les rares poils qui se perdaient dans ma raie. Je me retrouve plus nu que nu. Mon sexe, mes bourses, mon anus ne sont masqués par plus rien et s'offre parfaitement à la vue de tous.

— Je vais vérifier.

Le gardien se penche alors vers mes bourses et touche délicatement la peau en cet endroit intime. Il fait de petits aller-retours avec son doigt et vérifie si tout est bien lisse, s'il ne reste plus de poils. Il se penche davantage. Son visage est maintenant à 10 cm de mon anus. Il se rapproche davantage et me donne un coup de langue sous la base des bourses. C'est pas vraiment désagréable, je dois bien avouer. Il fait plusieurs aller-retours avec sa langue. Je ne reste pas insensible et mon sexe prend de plus en plus de volume. Il m'étale ensuite une crème hydratante sur toutes les parties fraîchement rasées. Brusquement, notre tortionnaire se redresse.

— OK. Sur le lit tous les deux, en position 69.

Je regarde Marc. Son regard est sans expression. Il semble résigné. Pourtant, il me semble déceler dans son regard une lueur de plaisir. Visiblement pour lui, tout cela n'est que pur plaisir. Nous nous dirigeons vers le lit. Je m'allonge et Marc se met à côté de moi, dans le sens contraire.

— Parfait. Vous allez vous sucer mutuellement. Vous devez faire juter votre copain sans l'aide des mains.

Ouf! Cette épreuve ne devrait pas nous faire souffrir. J'ai le sexe de Marc à quelques centimètres de mon visage. Je peux admirer sa queue au repos. Une petite et fine veine bleue la raye sur quelques centimètres. Son gland est à moitié recouvert par son prépuce. Il ne bande pas du tout. Je happe alors son sexe mou et commence à le titiller avec la langue. Je sens Marc qui fait de même avec mon sexe. Je suis très concentré. J'en oublierais presque où je suis!

Petit à petit, la queue de Marc se tend, se raidit. Il finit par bander tout à fait. Je consacre mes efforts sur son gland qui semble très sensible. Mon ami remue légèrement, il semble apprécier mes efforts. De mon côté, ma queue est elle aussi au garde-à-vous dans sa bouche et fait l'objet de soin attentif. Soudain une contraction secoue le corps de mon ami! Marc jouit et éjacule copieusement dans ma bouche. J'avale tout avec délectation. Presque en même temps, je jouis aussi dans la bouche de mon camarade. Durant ces quelques minutes, j'ai oublié notre situation de prisonnier et notre condition d'esclave sexuel.

Je me redresse et regarde rapidement en direction du gardien. Il n'est devant le lit. Je parcours alors la pièce du regard. Il n'est vraiment plus là. Il est sorti durant notre 69 torride. Pris dans l'action, j'ai rien entendu. Je regarde la porte, elle est bien fermée.

— Il est parti!

— Ah?!

Je me lève, et curieusement, je vois une lettre sur le lit à étrier. Je m'approche et prend cette simple feuille:

— Il a laissé une lettre.

— Une lettre? Lis-la.

— OK. "Votre calvaire est fini. Maintenant vous vous aimez et c'était le but recherché. Désolé de vous avoir fait parfois très mal. Mais cela vous a permis de vous découvrir en profondeur. N'essayez pas de me retrouver. Il vous en cuirait. Sous le lit, vous trouverez la clé de la porte. Bonne chance."

Je regarde alors sous le lit et je trouve bien la clé.

— Regarde! La clé!

— Tirons-nous vite d'ici. Allons chez les flics!

Marc rayonne d'espoir, moi aussi.

— Attends! On est à poil!

— Tant pis! On sort quand même! On se débrouillera!

Je mets alors la clé dans la porte. Est-ce vraiment la bonne clé?! Je tourne, plein d'espoir. Oui, le verrou claque. Je pousse la porte. Elle donne sur un couloir éclairé par une simple lampe. Trois mètres devant, sur un tabouret, je vois mon jean et mon boxer.

— Regarde, mes affaires.

Le pantalon de Marc est lui aussi sur ce même tabouret.

— Y'a pas mon caleçon...

— Tant pis, vite, habille-toi. On se tire!

J'enfile mon boxer et mon jean. Ouf! 24h à poil, j'en avais marre!

— Vite Vite... si jamais il revient!

Nous courons vers le fond du couloir. Il y a un escalier. Un étage. On monte en courant. En haut, un palier et une autre porte. Je pose la main sur la poignée et tourne.

— Merde! Fermée!

Je hurle.

— C'est pas possible! Il est parti!

Soudain, une forte lueur nous éblouit. Un projecteur nous aveugle.

— Ha ha ha ha! Vous y avez cru?! Ha ha ha!

Malheur! Il est là, à nouveau devant nous la matraque à la main!

— Non pitié! On veut partir!

— Demi-tour! Allez, vite!

Marc s'effondre en pleurs. Moi, je n'en suis pas loin. Quelle déception! On croyait être libres! Nous sommes anéantis. On se retrouve à nouveau dans la pièce.

— Enlevez vos fringues! Vite!

Je retire mon jean et mon boxer. Marc retire son jean. Nous sommes à nouveau nus devant lui. Que va-t-il encore nous faire? Les larmes me brûlent les yeux. Je suis brisé et désespéré.

— Branlez-vous! Vite. Je veux vous voir en érection dans une minute!

Le ton est brutal. Nous ne pouvons que satisfaire à sa demande. Je commence alors à caresser ma queue, Marc fait de même et a le regard fixé sur mon engin. Mes caresses et mes mouvements de va-et-vient portent rapidement leur fruit. Bientôt, mon sexe est à l'horizontal. La vue de mon ami qui lui aussi se paluche m'aide à bander. Le sexe de Marc aussi a bien gonflé lui aussi et il bande maintenant avec ampleur. C'est fou ce que l'on peut faire sous la contrainte!

— Rapprochez-vous et rapprochez vos queue l'une de l'autre.

Je fais alors un pas en avant. Ma queue touche alors celle de mon compagnon d'infortune. Nos deux glands se heurtent. Le contact est électrisant. Notre gardien sort un rouleau de scotch de sa poche.

— Je vais attacher vos sexes. Ne bougez surtout pas!

Il saisit alors le pénis gonflé et dur de Marc, et le colle en parallèle au mien. Il tient nos deux bites dans une main. De l'autre, il déroule son scotch et fait plusieurs tours. Nous sommes attachés par nos sexes. Nos torses se touchent. Je sens la respiration de Marc sur mon visage. Il nous pousse au centre de la pièce. Je précipite mes pas pour rester collé à mon ami. Mon sexe me tire et me tient collé à Marc. Il faut rester collé l'un à l'autre.

— Levez les bras!

Rapidement, il nous attache les bras au plafond. Je suis plus que plaqué à Marc. Je vois ses yeux rougis. Il pleure doucement...

— Serrez-vous l'un contre l'autre!

Nous nous serrons encore davantage. Nos visages se heurtent. Je mets le mien sur l'épaule de mon camarade. Il fait de même. Nos torses sont mêlés. Je sens ses tétons durcis sur mon torse.

— Bien, écartez les jambes.

Idem. On se retrouve les jambes écartées et attachées au sol. Nous sommes serrés, plaqués, collés l'un contre l'autre. Nous ne pouvons plus bouger. Il prend un rouleau de scotch et le déroule autour de nos torses. Il fait trois tours. Nous sommes vraiment unis l'un à l'autre maintenant. Je sens chaque respiration de Marc et chaque mouvement de son sexe. Nous sommes si liés que nous ne faisons qu'un. Tout mouvement de l'un est ressenti par l'autre. Nos deux corps ont fusionné. Un frisson me parcours la raie. Il écarte mes fesses et étale sans ménagement du gel sur ma rondelle. Il semble pressé. Il est brutal. Je le vois se saisir du gode de 4 cm et il me l'enfonce rapidement à font. Je grimace de douleur! Il est allé si vite! Puis c'est au tour de mon ami. Du gel et notre bourreau enfonce le gode en lui. Marc ne dit rien. Il continue à pleurer... Puis il relie l'extrémité des deux godes qui dépassent de nous à un dispositif complexe. Je ne comprends rien.

— Voila! C'est simple, si l'un des godes sort, l'autre rentre. Vous devez donc les garder. Ils ne peuvent plus sortir!

Machiavel! Ce type est le diable en personne!

— Adieu!

Et il part en courant. La porte reste ouverte.

— Marc, Marc, ça va?

— [sniff] [sniff] J'en peux plus...

— Courage!

Je tourne la tête et me tords le cou. Il fait de même.

— Courage! On va s'en sortir.

Mais je dois bien avouer que je ne vois pas comment on pourrait s'en sortir seuls. Nous sommes liés l'un à l'autre par nos sexes scotchés et nos torses attachés, les bras sur la tête, les jambes écartées et attachées. Et pour finir, avec chacun un godemichet enfoncé dans le cul. Comment sortir de cette situation?

— Courage Marc!

Je ne peux que me répéter.

— [sniff] [sniff] Comment se libérer?

— Je ne sais pas. Essayons de remuer ensemble.

Nous essayons alors de bouger simultanément mais à part se dandiner de quelques centimètres, nous ne pouvons faire plus. Nous sommes vraiment trop bien attachés!

— Laisse tomber! On va se fatiguer pour rien.

Quelques minutes passent. Je réfléchis mais aucune idée ne vient. Comment va-t-on se sortir de cette situation? Va-t-il revenir nous libérer? Soudain, un cri résonne dans le couloir:

— Police! Police!

Je hurle:

— Ici, ici! Au secours!

Deux policiers entrent alors dans la pièce.

— Oh mon Dieu!

Ils sont surpris de nous voir nus, attachés l’un à l'autre, et avec deux godes qui dépassent entre nos fesses.

— OK, OK, bougez pas. On va vous libérer.

Le plus jeune des policiers enlève alors le dispositif reliant les deux godes.

— Attention, je retire cela.

Et doucement, il me retire l'objet qui me violait. Il fait de même pour Marc. Avec un couteau, il coupe le scotch liant nos torses. Reste alors nos sexes attachés l'un à l'autre. Sans utiliser son couteau, de peur de nous blesser, il déroule le scotch qui au passage arrache quelques poils de la bite de Marc qui grimace de douleur.

— Désolé!

Il nous débarrasse enfin des liens. Cette fois, nous sommes vraiment libres.

— Tenez! Rhabillez-vous.

Il nous tend nos maigres affaires. Notre calvaire est fini. Enfin.

Épilogue

La maison de notre gardien était en fait encerclée par la police. C'est pour cela qu'il était pressé à la fin. Il savait qu'il allait être capturé. Il a voulu profiter de nous une dernière fois. Les vidéos et nos témoignages lui font risquer une très longue peine.

Il s'est suicidé en prison un mois après sa capture. C'était un dangereux fou sexuel, déjà condamné. Son complice, le prof qui m'a assommé, a quitté précipitamment le pays. La police ne l'a jamais retrouvé.

Maintenant, je suis resté très ami avec Marc. De temps en temps, nous nous retrouvons pour des moments bien agréables et réalisés sans contrainte. Je suis devenu 100% gay, tout comme lui.

Et parfois, nous jouons à des jeux de domination, mais gentiment...

FIN

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 28 novembre 4 28 /11 /Nov 22:17

la série de photos jointe est sur le même thème, SM, que le récit.

 

  Le texte et les images ci-dessous contiennent de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 

 ...si tu ne l'as pas revu depuis, c'est qu'il est MORT! Tu entends: MORT!

 

— Marc? Mort?! C'est pas vrai?!

 

— Si, il s'est jeté sous un train il y a deux jours. Il s'est suicidé.

 

Merde! Marc, suicidé! Cette nouvelle me choqua fortement. Marc, un super copain!

 

— Mais pourquoi?!

 

— À cause de toi! À cause de toi, petit con! Il n'a pas supporté ton refus d'aller plus loin.

 

— Mais non! C'est impossible!

 

— Si! Il a laissé une lettre. Il a tout raconté. Et c'est pour cela que tu es ici: pour payer.

 

Glaciale. Sa voix est devenue glaciale. Il poursuit, lentement:

 

— Tu vas payer. Tu n'as pas voulu que Marc t'aime et il n'a pas supporté. Tu vas donc payer.

 

— Mais je suis pas gay. Je voulais pas me faire sodomiser!

 

— Peu importe. Tu ne voulais pas. Maintenant, tu vas vouloir. ...

 

Putain! Il est fou de haine et de vengeance! Il est complètement timbré! Mais je comprends maintenant pourquoi je suis la. Je suis entre les mains d'un homme rendu fou de douleur par la mort de son neveu, doublé d'un pervers!

 

— Bien, réfléchis à ça. Je reviens dans une heure.

 

Il quitte la pièce en me laissant attaché sur ce lit, le cul à l'air, les jambes écartées, les fesses ouvertes et les mains menottées. Heureusement, la ficelle qui serre mon sexe n'est plus tenue et est détendue. Je me calme. Je réfléchis. J'ai peur. Il est violent. Que veut-il me faire? Je tremble à nouveau. Veut-il me prostituer après m'avoir soumis et fait de moi un gay comme il dit ?  Je suis épuisé nerveusement. Une heure passe. Enfin, je sais pas trop. J'ai perdu toute notion de temps.

 

À nouveau les pas. La porte s'ouvre. Il entre, il porte toujours la cagoule. À quoi ça sert puisque je sais maintenant qu'il est l'oncle de Marc?

 

— Bien, t'as pas bougé. Parfait.

 

Sa voix est froide, posée. Une vraie voix de tortionnaire. J'en frissonne.

Et vlan, il me flanque une grosse gifle sur la joue gauche!

 

— Ne dis plus rien! C'est inutile. Tu vas payer.

 

Il reprend le gel lubrifiant. Il en étale une bonne dose sur ma raie, autour de mon anus. Il se penche sous le lit. Il en sort un gode. Un gros gode de 6 cm de diamètre!

 

— Non pitié! Pas ça! Pitié! je hurle.

 

— Calmos! Non pas ça. Je vais prendre mon temps, tu va pouvoir apprécier. Voila un gode plus petit.

 

Et il sort un gode de 4 cm. Il le présente devant mon trou. Comme j'ai les jambes très écartées, je ne peux résister. Le gode entre doucement, d'environ 10 centimètres. Il semble faire attention à ne pas me faire trop mal. Une fois le gode entré, il le tient fermement et le remue légérement.

 

— Ça va?

 

Bizarrement, j'ai pas mal. J'aime pas mais j'ai pas mal. La sensation est nouvelle et étrange.

 

— Oui.

 

Il l'enfonce encore mais juste de deux centimètres. Enfin, c'est ce que pense sentir, je ne vois rien, étant sur le ventre et avec un oreiller sous le ventre.

 

— Tu ne vois rien, hein? Attends.

 

Il sort et revient avec une table roulante. Dessus, une caméra et un ordinateur. Il branche le tout. Et place la table juste à hauteur de mon visage, à côté du lit.

 

— Voilà, je vais te montrer.

 

Il positionne la caméra vers mon anus et fait la mise au point. Je vois alors sur l'écran mon cul, mon anus avec le gode dedans. J'en suis horrifié! Mon anus est très dilaté et entoure le gode. J'essaie de sortir le gode en serrant et desserrant les fesses mais je ne peux rien faire. Il ne bouge pas. Seul mon anus frétille. J'ai les jambes vraiment trop écartées!

 

Il prend alors le gode, le retire doucement. Le sort complètement. Mon anus reste ouvert. Je voudrais ne pas regarder mais curieusement, je suis fasciné. Je ne peux m'empêcher de regarder l'écran. Mon anus se resserre et se referme doucement mais il rentre à nouveau le gode à fond. Maintenant, je vois bien ce mouvement lent. Cet objet qui rentre en moi.

 

— Je ne veux pas te faire mal. Je veux juste que tu comprennes.

 

Que je comprenne quoi?! Marc est mort. Il se venge! Mais rien ne peut ramener Marc à la vie!

 

— Je veux que tu deviennes gay, en mémoire de Marc.

 

Devenir gay? Que veut-il dire? Je ne comprends pas.

 

— Tu vas aimer être sodomisé. Tu vas aimer sucer. Et quand tu aimeras, alors je te relâcherai et Marc sera vengé et heureux au ciel.

 

Quel raisonnement de taré! Je ne comprends rien.

 

— Tu ne comprends pas? Peu importe. Ça viendra. Tu vas découvrir...

 

Effectivement, cela allait venir mais j'ignorais alors les dures épreuves que j'allais subir.

 

Le gode est toujours complètement enfoncé en moi. Il le retire doucement. Je suis fasciné par l'écran. Je ne comprends pas cette fascination; peut-être car c'est mon anus que je vois? Il détache alors mes jambes, enlève l'oreiller sous mon ventre, la sangle autour de mon cou. Je respire mieux.

 

— Tu vas te mettre sur le dos. Retourne-toi.

 

Je me retourne docilement sur le lit. Il me tend un verre d'eau. Je relève la tête (je suis toujours menotté, et enchaîné au mur). J'approche mes lèvres...

 

— Bois. Ça te fera du bien.

 

Effectivement, ça fait du bien.

 

— Maintenant, je vais te branler jusqu'à éjaculation.

 

Me branler?! Fatigué comme je le suis, je ne vois pas comment je pourrais même bander!

 

— Je ne vais pas y arriver!

 

— Mais si! Dans le verre d'eau, y'avait du Viagra.

 

— Du Viagra?!

 

— Oui! Je veux que tu jouisses fortement!

 

Il se met alors à me caresser le torse. Je me crispe. Je tremble à nouveau.

 

— Dans le verre, y'avait aussi un calmant. Tu vas voir, ça va aller.

 

Il poursuit ses caresses sur mon torse imberbe. Bizarrement, un certain bien-être m'envahit. Le calmant! Je suis épuisé, j'ai envie de dormir...

 

Les caresses se poursuivent. Il se rapproche de mon sexe, le touche parfois, puis plus souvent. Il fait des aller-retours entre mon torse et mon sexe. La pression de sa main varie selon l'endroit et c'est très sensuel. Je ne suis plus aussi crispé. Le calmant fait son œuvre... le viagra aussi! Je commence à bander. Je frétille de plus en plus malgré mes liens. Il me caresse maintenant uniquement les testicules et ma queue se dresse amplement. Les caresses se poursuivent. Il est délicat et très doux. Je bande maintenant comme un taureau. Mes 18 cm pointent fièrement vers le ciel. Je n'y peux rien. Mais je bande comme jamais.

 

Il approche alors sa bouche de mon gland. Mon prépuce est complètement rétracté, laissant le gland bien visible et sorti. Un coup de langue. Un autre coup de langue. Il me lèche l'extrémité de la queue. C'est agréable. Je suis détendu. Je ne peux m'empêcher de l'être. On ne lutte pas contre des médicaments! Je gigote de plaisir. J'halète. Mon souffle devient court. Il poursuit son œuvre sur mes organes. Il est très doux. Il sait y faire, ce salaud! La jouissance ultime approche. Redoutant une éventuelle réaction, je le préviens:

 

— Attention, je vais juter!

 

J'émets alors quatre jets puissants de sperme qu'il recueille intégralement dans un verre qu'il tenait caché à mon regard.

 

— Tiens, tu vas boire ton sperme.

 

— Non!

 

Mais ma voix est faible et manque de conviction. Je viens de jouir comme jamais, je ne peux lutter. Et puis, je pense encore à la matraque. Il approche le verre de mes lèvres. J'incline la tête en arrière et je bois tout, sans rechigner. Le goût est bizarre, un mélange sucré/salé. C'est tiède aussi. Je n'ai pas le choix.

 

— C'est bien. Tu vas te reposer maintenant.

 

Il retire la chaîne liant mes menottes au mur.

 

— Et les menottes?

 

— Pas question! Tu les gardes jusqu'à mon retour.

 

Et sur ce, il quitte la pièce. J'entends le verrou de la porte de métal claquer. Je suis bien toujours prisonnier, nu et menotté. Je reste donc allongé sur le lit, épuisé.

 

Je repense à tous cela: la mort de Marc, la vengeance, le gode dans mon anus, ma jouissance... Je finis par m'écrouler de fatigue et tombe dans un sommeil agité.

 

À mon réveil, il est là, assis à côté du lit sur un tabouret qu'il a apporté. Il me regarde. Depuis combien de temps est-il là, assis à me regarder, nu et attaché sur ce lit? J'en suis gêné. Une fois de plus, il a pu examiner mon corps avec force détail. Certes, il a déjà tout vu de moi, y compris mes parties intimes de près mais savoir qu'il m’a maté durant mon sommeil me met mal à l'aise.

 

— Bonjour, bien dormi?

 

Je ne réponds rien.

 

— Tu dis rien? Pas grave! Tu vas te laver et déjeuner. Tu dois avoir faim.

 

— Mais comment? Je ne peux pas avec ces menottes!

 

— T'inquiète, je vais t'aider. Laisse-toi faire. Lève-toi.

 

Je me lève alors et d'un pas hésitant, je me dirige vers la douche. Mais il y a un petit problème: j'ai envie de pisser. Normal et classique le matin. Mais j'ai envie aussi de... chier.

— J'ai envie de pisser, lui dis-je.

 

— Pas de problème, tu pisseras sous la douche.

 

— Euh... j'ai envie aussi de... enfin... vous voyez...

 

— OK, ben assieds-toi sur les WC.

 

Et il me dirige sans violence vers les WC qui sont simplement contre un mur, sans aucun paravent, à la vue de tous. Enfin, à sa vue surtout! Je m'assois sur le trône.

 

— Euh... comment je fais après pour m'essuyer?

 

— Tu fais rien. On nettoiera cela sous la douche après. Allez, fais et vite!

 

Je suis rouge de gêne. Je suis assis la devant lui, sur le WC. Et il me regarde avec insistance.

 

— Allez fais! Je ne partirai pas. T'as qu'à fermer les yeux si ma présence te gêne!

 

Alors je ferme les yeux et fais mes besoins. Je me sens humilié comme jamais. Je suis rouge de honte. J'ai le sentiment de n'être plus qu'un animal de compagnie. Et encore! Mes joues s'empourprent.

 

— C'est bon, j'ai fini.

 

— À la douche, maintenant!

 

Il me pousse alors vers la douche, ouverte elle aussi. Il me place dessous. Je me laisse faire. Il ouvre le jet, règle la température, et m'arrose copieusement sur tout le corps.

 

— Allez tourne-toi, je vais te savonner.

 

Je me tourne, il prend du gel douche, m'en verse sur la tête. Il me frotte les cheveux. Ça mousse. Puis avec la mousse, il me lave le torse, les bras, toujours menottés dans le dos. L'eau chaude soulage mes épaules ankylosées. Il me savonne le dos.

 

— Demi tour.

 

Je me retourne à nouveau, et suis maintenant face à lui.

 

— Je vais te laver le sexe. Défense de bouger!

 

— Oui, oui, je sais.

 

Je ne bouge pas. Il reprend du gel dans sa main et me lave le sexe, les testicules. Il me décalotte doucement, me lave le gland, le frein... J'ai un petit début d'érection. Il s'en aperçoit.

 

— Tu vois, que ça peut être agréable!

 

Je préfère ne rien répondre.

 

— Bon l'autre côté maintenant! Tourne-toi.

 

Je me tourne docilement.

 

— Écarte un peu les jambes. Cambre toi. Je veux voir ton trou pour le laver. Tu viens de chier, je te rappelle.

 

J'écarte alors les jambes et me cambre. Il dirige alors le jet de la douche vers mon anus. Quelques restes marrons tombent dans le bac de la douche et sont vite emportés par l'eau ruisselante. Il passe ensuite une main pleine de mousse dans ma raie et s'attarde sur mon trou du cul.

 

— Et voilà, tout propre.

 

Je ne dis toujours rien, je me laisse faire, comme un gamin. Je retrouve la douche de ma première enfance, quand ma mère me lavait encore à 6 ans. Il me rince ensuite à fond. Je ferme les yeux. Je profite de l'eau chaude. Ça fait du bien. Quelques instants de répit.

 

— Fini! Allez sors.

 

Je sors du bac. Il prend une serviette et m'enroule dedans. Il me tourne et me retourne, me sèche de partout, entre les jambes, sous les bourses, sous les bras, le visage. Il me manipule comme un objet. Je suis un objet, son objet sexuel. Je me laisse faire.

 

— Bien, tu as été coopératif. Je vais tenir ma promesse: tu as droit à un bon petit déjeuner. Approche.

 

— Je peux me rhabiller?

 

— Non! Pas question. Tu restes à poil tout le temps!

 

Il me dirige vers le lit; je m'assois dessus.

 

— Mets tes jambes là.

 

Il me montre deux anneaux dans le sol. Je m'exécute. Il me menotte chaque jambe à un anneau puis il se penche vers mon dos et me détache enfin les poignets.

 

— Voilà, tu vas déjeuner normalement comme cela.

 

Je bouge les bras. Mes épaules me font mal. Depuis le temps que j'avais les bras derrière le dos! Petit à petit, ça revient. Mes bras fonctionnement à nouveau normalement. Ouf!

 

— Une minute, je reviens.

 

Je ne peux que l'attendre, assis sur le lit, les pieds attachés au sol. Il revient rapidement avec une table roulante. Dessus, un petit déjeuner copieux: lait, pain, croissant, céréales... Je meurs de faim et mange de bon appétit. Il me laisse seul. Bien sûr, la porte en fer est verrouillée à son départ.

 

Après environ 30 minutes, il revient.

 

— Bien, parfait. Tu es maintenant prêt.

 

Je doute. Prêt pour quoi?

 

— Euh... pour quoi?

 

— Tu vas découvrir des plaisirs que tu ne connais pas.

 

— Euh... j'ai pas vraiment envie, vous savez.

 

Ma voix se fait implorante. Que va-t-il encore me faire?

 

— Je m'en fous de tes envies. Tu OBÉIS, c'est tout! Sinon, je t'oblige à le faire par la force! C'est ça que tu veux?

 

— Non non, pitié...

 

— Bien alors tu sais ce qu'il te reste à faire.

 

Je suis a nouveau vaincu!

 

— Bras dans le dos.

 

Je m'exécute. Il me remet les menottes, libère mes pieds et me pousse vers le lit à étrier.

 

— Allonge-toi!

 

Il m'attache les pieds aux étriers, enlève les menottes dans mon dos, m'écarte les bras au-dessus de la tête et me les attache à deux anneaux fixés au mur. Je suis docile. Je ne peux pas lutter. Même pour faire 5m, il m'a attaché les poignets! Puis il écarte les étriers et serre les vis de maintien. Je suis donc en extension, les jambes très écartées, les bras étirés sur la tête. Ma queue pend mollement entre mes jambes.

 

Le lit se termine dans le bas de mon dos. Mes fesses sont donc dans le vide et ouvertes comme jamais. Mon sexe, mes bourses, mon périnée, mon trou et ma raie sont en évidence, exposés à sa vue et à ses actes. Toute mon intimité est ainsi étalée à ses yeux.

 

— Bien, je vais remettre la caméra. Tu dois voir ton plaisir.

 

Il met la caméra face a moi, entre mes jambes, et zoom sur mes fesses, ma raie imberbe et mon anus fraîchement lavé. Puis il place l'écran à côté de mon visage. À nouveau, je suis fasciné et ne peux détacher mon regard de cet écran... de mon trou... de ma rondelle. Je ne comprends pas.

 

— Je vais tout d'abord vérifier l'état de ton trou.

 

Il sort alors un spéculum. C'est un instrument qui, une fois introduit dans l'anus, peut s'écarter. Cela permet un examen des parois anales. Il met du gel sur le métal de l'instrument et le présente devant ma rondelle.

 

— N'aies crainte. Ce n'est pas douloureux.

 

Je reste néanmoins tendu alors qu'il enfonce doucement le métal froid en moi. Dès l'instrument enfoncé, il tourne une petite vis, et lentement, les parois de l'instrument s'écartent et ainsi, mon anus est dilaté. Je me rends alors compte que mon anus s'ouvre doucement. Impossible de résister. Je vois mon trou s'ouvrir lentement. Il stoppe alors son mouvement, et penche la tête en avant, à 10 cm du spéculum. Jamais je n'ai ressenti une gêne aussi grande, une soumission aussi absolue! Non seulement je suis écartelé devant lui, mais en plus, mon fondement est ouvert mécaniquement. Sortant une lampe de poche, il la dirige vers mon anus ouvert et dilaté. Il examine soigneusement.

 

— Tout va bien. Tu n'as aucune trace du godage de hier.

 

Il tourne alors la vis dans l'autre sens et lentement, l'instrument se resserre. Mes muscles anaux suivent le mouvement et se ferment au même rythme. Il retire alors ce métal froid de mes entrailles.

 

— Bien. On va pouvoir donc passer à la suite: godage de 4, puis de 5 et 6 cm. On va y aller doucement. Pas question de te déchirer.

 

J'ai peur! Comment mon anus va-t-il pouvoir supporter cela!

 

— Si tu ne résistes pas, tu n'auras pas mal. Tu verras.

 

Il prend du gel lubrifiant et en met une bonne dose dans ma raie. Il lubrifie aussi le bout du gode de 4 cm. Je suis rivé sur l'écran. Je vois l'extrémité du gode s'approcher de mon trou puis s'enfoncer doucement, de 12 cm environ. Il le ressort, le rentre... La douleur n'est pas forte. Je suis surpris.

 

— Maintenant, sois attentif. Écoute ton corps.

 

Il prend alors le gode qui dépasse de mon cul et lui imprime des petits mouvements circulaires et variés. Je sens l'intérieur du gode heurter ma prostate. Il me caresse doucement les bourses de son autre main. Et petit à petit, mon sexe se raidit. Je bande de plus en plus. Mon sexe finit par pointer vers le ciel, comme une hampe.

 

— Tu vois. Si j'insiste, tu peux jouir. Mais ce n'est pas le but de ce matin.

 

Il retire alors complètement le gode. Mon anus se referme normalement. Je n'ai pas mal. Ma queue reste bandée. Pas pour longtemps: il me verse un petit verre d'eau froide dessus! L'effet est instantané: je débande de suite et mon sexe reprend sa position de repos.

 

— Bien, on va passer aux choses sérieuses maintenant.

 

— Non, non... s'il vous plaît...

 

J'essaie de mentir.

 

— J'ai pris du plaisir là... pas la peine de plus...

 

— Non! Tu ne sais pas. Tu ne connais pas. Tu vas voir.

 

Il remet du gel sur mon trou, me le malaxe longuement avec les doigts. Puis il prend le gode de 5 cm de diamètre et l'approche de mon anus. Il entre doucement mais là, j'ai mal. Un peu trop mal. Je grimace et il le voit bien.

 

— Détends-toi. Ça va passer. Cool.

 

Et ça passe! Je regarde à nouveau sur l'écran mon fondement s'écarter et laisser entrer cet objet étranger en moi. À nouveau, il agite doucement le gode. Ma prostate réagit et je rebande doucement. Il caresse ma bourse, joue avec mes testicules. J'ai maintenant le gode enfoncé complètement. Je sens cet objet dur au fond de mes entrailles.

 

— Maintenant, tu vas jouir et tu vas devenir gay.

 

Jouir, oui, certainement, mais devenir gay? Je ne pense pas! Je subis cette jouissance. Je suis attaché!

 

Avec ses mains, il se met alors à malaxer mes bourses, à jouer avec mon pénis, tout en remuant de temps à autre le gode qui heurte ma prostate et me fait réagir. Malgré mes liens, je ne peux m'empêcher de gigoter de plaisir et de pousser des soupirs d'aise. Est-il donc possible de jouir ainsi attaché et forcé? Je suis maintenant complètement bandé. Mon sexe est droit vers le ciel. Il a atteint sa taille maximum et il est dur comme jamais. Je ne suis pas loin de la jouissance...

 

— Oui... oui... bien... m'encourage-t-il tout en poursuivant les caresses.

 

— Ha... Ha!

 

Je ne peux m'empêcher de râler de plaisir. Entre ses caresses, le gode, les chocs sur ma prostate et la vue en détail de mon anus sur l'écran, je suis très excité. Dans un ultime sursaut, je décolle mes reins de la table et jouis dans un nirvana absolu. Cinq jets de sperme jaillissent avec force de mon sexe et finissent sur le sol, après avoir décrit un bel arc de cercle. Jamais je n'avais joui comme cela!

 

— Bravo! C'était bien. Tu découvres des nouvelles expériences. Tu vois, parfois la douleur peut devenir plaisir.

 

En mon fort intérieur, je dois avouer que j'ai vraiment joui avec bonheur. Le problème, c'est que ce moment d'évasion a duré peu de temps, et surtout je suis toujours attaché, à sa merci.

 

— Je vais prolonger ton plaisir.

 

Avec stupeur, je le vois alors sortir une aiguille. Une grosse aiguille, de quelques millimètres de diamètre et de 20 cm de long. Elle brille d'un éclat métallique.

 

— Mais c'est quoi ce truc?!

 

Je suis horrifié de voir cela.

 

— C'est une simple aiguille. Je vais l'enfoncer dans ta queue.

 

— Non! Pas ça!

 

Je prends peur. Il est vraiment fou. Délicatement, il saisit alors mon pénis redevenu flasque après mon éjaculation, et aussi par la peur de ce nouveau traitement que je vais devoir subir. Il le décalotte soigneusement. Mon gland est bien dégagé, sur 2 cm. Il est rouge vif. Il le prend alors entre deux doigts. Son contact sur mon méat humide me procure un petit choc électrique. Il positionne alors ses doigts perpendiculairement à la fente de sortie de mon urètre. Et il presse légèrement. Mon urètre s'ouvre alors de quelques millimètres. Cette manipulation m'impressionne fortement. Je suis crispé sur mes liens.

 

— Voilà, je vais t'introduire l'aiguille maintenant.

 

Horrifié, je le vois alors positionner l'extrémité arrondie de l'aiguille devant mon canal urinaire ainsi ouvert. Il enfonce alors très doucement l'aiguille dans ma queue. Il ne va pas vite. Millimètre après millimètre, l'aiguille s'enfonce. Bien que son bout soit arrondi, l'aiguille me brûle l'intérieur de la verge. On dirait un fer rouge! Je sens la progression avec une grande précision. Je grimace de douleur. Lentement, 15 cm de l'aiguille pénètrent. Maintenu par cette aiguille, ma queue reste droite, même sans érection.

 

— Et voilà!

 

J'ai alors un gode entre les fesses, une aiguille dans la queue. Je n'ose plus bouger d'un millimètre. Je suis paralysé. C'est tout juste si j'ose respirer. Jamais de ma vie je ne me suis senti aussi impuissant, soumis et humilié.

 

— C'est bien. Tu n'as pas crié. Félicitations. Éprouves-tu du plaisir, là?

 

Éprouver du plaisir avec une aiguille fichée dans la queue?! Non mais ça va pas! Je lui dis, mais calmement, c'est pas vraiment le moment de l'énerver.

 

— Non. J'aime pas du tout. C'est trop impressionnant!

 

— Je comprends. Bon, c'est pas grave. Tu ne peux pas tout aimer.

 

Je ne dis rien. Je n'ose toujours pas bouger.

 

— Je vais enlever l'aiguille. Attention, ça va brûler. On ne peut l'empêcher.

 

Et il tire alors rapidement l'aiguille. Les 15 cm sortent de ma queue en cinq secondes. Effectivement, ça brûle. Je grimace. Il s'en moque mais, ouf, je respire à nouveau. Dès que l'aiguille est sortie, il s'approche alors très près de mon gland et l'examine soigneusement en le pinçant doucement entre deux doigts.

 

— C'est bon. Pas de sang, ni d'urine. Le gode maintenant.

 

Il me retire alors doucement le gode. Mon anus reste légèrement ouvert. Je ne le contrôle plus. Mais progressivement, il se referme.

 

— C'est bien, tu es un garçon endurant. On termine maintenant. 6 cm!

 

— Non!

 

Je ne peux m'empêcher de résister.

 

— Si! Tu vas voir. Ce sera sans problème.

 

Le nouveau gode de 6 cm est gros. J'ai peur. Il remet du gel. Afin de ne pas avoir trop mal, j'écarte les fesses au maximum de mes liens. Mais c'est gros. Ça rentre difficilement. J'ai mal, je souffre et je souffle!

 

— Aie! Pitié! Non!

 

Il enfonce alors d'un coup sec le gode sur toute sa longueur. La douleur est terrible! Je hurle! Je crois m'évanouir!

 

— AAAhhhhh!

 

J'ai mal! Je hurle. Je cherche à me débattre. Mais entravé comme je le suis, je ne peux rien faire. Je ne peux que subir ma souffrance, sans pouvoir bouger!

 

— C'est fini! On bouge plus!

 

Le gode est en effet rentré, à fond en moi. J'attends. Que puis-je faire d'autre d'ailleurs? Lentement, la douleur s'estompe. Je ne bouge pas d'un iota. J'essaie de ne pas contracter mes muscles et de rester détendu. Quelques minutes passent. La douleur fini par disparaître.

 

— Comme ça, ça va plus vite! Tu n'as pas souffert longtemps!

 

Le salaud! J'ai cru mourir de douleur!

 

— J'ai eu très mal!

 

— Je sais. Mais n'oublie pas, tu dois payer.

 

Il prend alors une serviette, la passe sous l'eau et m'essuie le front. Il essuie aussi les larmes qui ont coulé sur mes joues.

 

— Ça va aller... doucement... reste détendu...

 

Je récupère un peu mais je continue à avoir mal. Mon trou n'est pas habitué à de tels traitements. Je regarde à nouveau l'écran: le gode est bien enfoncé en moi. Je vois mon anus distendu qui frétille tout seul... mais peine perdue. Le gode est trop bien enfoncé. Quelques minutes passent. Je m'habitue ainsi à cet objet en moi.

 

— Bien, je vais le retirer.

 

Le retrait se passe mieux. Il va doucement. Mon anus reste béant.

 

— Ne t'inquiète pas. Dans cinq minutes, tout va redevenir normal.

 

Il me masse alors l'anus avec ses doigts. Et tout doucement, il se referme. Une petite douleur persiste toutefois.

 

— Bien, tu as mérité une récompense.

 

Il s'approche alors de ma queue et la met entièrement dans sa bouche. Puis il me fait une fellation. De sa langue, il me titille le frein, le gland... À nouveau je rebande et je jouis dans sa bouche. Je suis épuisé physiquement et nerveusement. Trois jouissances en peu de temps et la peur de souffrir m'ont complètement vidé.

 

Il prend un gant de toilette et avec un peu de savon, me nettoie le sexe. Il rince, puis me frotte les parties avec une serviette pour les sécher. Il me détache alors les jambes et les bras. Je me mets debout devant lui. Je vacille un peu. Je suis épuisé.

 

à suivre ->3

 

 

 

 

 

 

 

metalbondnyc: Forced dildo action at BreederFuckers

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 27 novembre 3 27 /11 /Nov 18:36

classé ans SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES (28)  

 

   

 

   

 

 Template-Attention.png Le texte qui suit contient de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 1. Le kidnapping  de Jean  

 

Encore quelques minutes de cours, et la sonnerie va retentir. J'en ai un peu marre. Vivement 17h et la fin des cours. Dring, ça sonne. Toute la classe se lève et se précipite vers la porte.

— Jean, attends s'il te plaît, me demande le prof.

Jean, c'est moi!

— Quoi, pourquoi?

— Rien de grave, tu sais, à propos de ton exposé, pour jeudi...

— Oui?

— Eh bien...

Maintenant toute la classe est sortie. Il ne reste que le prof et moi.

— Eh bien... ton exposé, il faut que je te montre un document que j'ai trouvé.

— Ah oui, bon ok, mais vite alors, j'ai un car à prendre!

— OK. Une minute maximum. Viens, suis moi.

Il se dirige alors vers le petit bureau, à coté de salle, où se trouvent un ordinateur et son bureau. Je le suis. Si j'avais su... Il se penche sur son ordinateur, réactive l'écran en veille.

— Là, regarde.

Je me penche sur l'écran, et... Bong! Le coup résonne dans mon crâne! La douleur est insupportable. Je me sens partir et vaciller... Bong! Le deuxième coup me rend inconscient. Je tombe par terre.

Aïe Aïe... La douleur me vrille la tête. Je me réveille doucement. Mais que s'est-il passé? Mes bras? Mes bras sont menottés dans mon dos. Je suis allongé sur un lit. Je ne connais pas cette pièce. Mais où suis-je? Et pourquoi je suis là? Je reprends mes esprits doucement. La douleur s'estompe peu à peu. Ça va mieux. J'essaie de faire le point. Je me rappelle le bureau, l'écran, et les deux coups!

Une rançon. Immédiatement, je pense à un kidnapping. Le prof va demander une rançon à mes parents. Mon père est médecin, il est riche, il peut payer! Putain de prof! Me kidnapper moi! J'ai plus qu'à attendre quelques heures ou quelques jours et je devrais me sortir de cette galère sans mal. C'est alors ce que je pense...

J'ai maintenant retrouvé tous mes esprits. Je n'ai plus mal à la tête. Je reprends l'exploration du regard de la pièce. Je me retourne, couché sur le lit. Merde! Je suis enchaîné: les menottes qui relient mes poignets sont elles mêmes reliées à une chaîne fixée sur le mur, à côté du lit. 50 cm de long. Je ne peux quitter le lit!

Je parcours alors la pièce des yeux. Outre le lit, il y a une douche ouverte, un WC, et plus loin... oh mon Dieu! Mais c'est quoi ce truc? J'ai déjà vu, mais qu'en photo! Je reconnais un lit genre lit gynécologique avec des étriers devant.  Mais c'est pour accoucher, ce genre de lit! Pourquoi y a ça ici ?! Je commence à prendre peur. C'est pas normal ça. Pourquoi un tel lit pour attendre une rançon? Je vois aussi que la pièce ne comporte pas de fenêtre, juste une porte en fer et... des crochets et des anneaux au plafond! Merde! C'est une salle de torture ou quoi? Mais qu'est-ce que je fais ici? Je panique! Mes mains se mettent à trembler...

Du calme! Il faut que je me calme! Pour le moment, tout va bien. Je suis con ! C'est juste que je dois être enfermé dans un cabinet médical ; mais y'a pas de douche normalement dans un cabinet médical ! J'essaie alors de réfléchir calmement. Et si c'était pas pour le fric que je suis là? Mais pourquoi alors? J'ai 18 ans, j'ai rien moi, je suis juste étudiant. J'ai même pas encore le bac!

Un pervers? Mon prof serait un pervers? Et s'il m'avait kidnappé pour mon corps? Faut dire que je suis pas mal d'après mes copines du lycée: assez mince, un peu sportif, 1m75, 65 kg. Coiffure en brosse. On me dit mignon... Je continue à trembler; de froid ou de peur, je ne sais plus. Je me recroqueville sur le lit. Les heures passent. J'ai perdu la notion du temps. J'ai pas de montre, la pièce n'a pas de fenêtre. Y'a que la lampe qui brille au plafond.

Soudain, j'entends un bruit de pas. La porte de métal s'ouvre... Un homme masqué avec une cagoule entre et se dirige vers moi. Il tient une matraque à la main! Il se place devant le lit.

— Tu es réveillé?

Je ne reconnais pas sa voix. C'est pas mon prof! Il est plus grand, plus musclé.

— Oui vous voyez bien ! Libérez-moi!

Aïe! La matraque tombe sur mes côtes, violement! Je hurle!

— Silence! Tu es prisonnier. Tu réponds à mes questions et c'est tout! COMPRIS?

Je veux pas reprendre un coup de matraque.

— Oui, répondis-je.

— Bien! Si tu restes sage, je ne serai pas violent avec toi. OK?

Il me montre la matraque...

— Ok, ok!

Merde! C'est quoi ce cinglé! Mais je ne peux rien faire. Je suis enchaîné, à sa merci... Alors autant éviter les coups pour le moment.

— Bien, tu vas te mettre à poil, complètement.

— Hors de question! Allez vous faire foutre!

Aïe! Aïe! Il me redonne un coup de matraque au même endroit! Je hurle et me tords de douleur. Les larmes coulent de mes yeux. J'ai du mal à respirer! Puis tout doucement, la douleur s'atténue...

— T'as compris cette fois? Tu dis RIEN, tu OBÉIS! OK?

— Oui... oui... pitié... l'implorai-je. Plus de coups... pitié...

— Je vais enlever tes vêtements. Tu vas rester attaché et te laisser faire.

Il commence par enlever mes baskets et mes chaussettes. Il déboucle la ceinture de mon jean.

— Lève les fesses, laisse passer ton fut!

Je m'exécute, sans broncher. Inutile de recevoir encore un coup. Il tire mon jean complètement.

— Bien, le haut maintenant.

Je le vois alors sortir une paire de ciseaux de sa poche arrière.

— Bouge pas! Je veux pas te blesser!

Je bouge pas. Je suis terrifié. Je me laisse faire. Il découpe les manches de mon sweat et finit par me l'arracher. Mon maillot finit de même. Je suis maintenant torse nu. Il ne me reste que mon boxer.

— Allez on termine!

— Non! Pitié! Pas le boxer!

— Silence!

Il reprend sa matraque, posée au pied du lit!

— Ok ok...

Ma voix est faible...j'ai peur... Il met alors ses deux mains de chaque côté se mon boxer.

— Lève les fesses!

Je lève les fesses. Que puis je faire d'autre? Mon boxer rejoint alors mes autres vêtements au pied du lit. Je suis nu devant lui...

— Bien! Tu vois, si tu coopères, je te frappe pas! OK?

— Oui... oui...

Je ne peux rien dire d'autre!

— Bien. Reste sage et tout ira bien entre nous.

Le salaud! Comme si j'avais le choix!

— Bien, je vais t'examiner. N'aie crainte, je ne te ferai pas mal... si t'es coopératif. Allonge-toi bien.

Je m'allonge sur le dos, écrasant mes poignets. Heureusement, le lit est mou. La douleur n'est pas grande.

— Écarte les jambes. Attention! Pas de coup de pied!

Docilement, j'écarte les jambes. Mon sexe est alors mis en évidence. Il regarde alors ma toison. Il faut dire que je suis peu poilu pour 18 ans. Parfois, cela m'a d'ailleurs valu des moqueries de mes camarades dans les vestiaires du foot. J'ai une petite touffe de poil sur le sexe mais rien sur le torse, ni sous le nombril. Ma bite est de taille normale. Je l'ai bien vu en comparant avec les copains aux vestiaires. Mais là, avec la peur, elle est toute petite.

— Je vais te palper. Bouge pas! Sinon... S'il était médecin il n'aurait pas besoin de menacer !

La menace est claire : si je bouge, il frappe! Il prend alors ma bite dans sa main. Il la tire doucement. Ses gestes sont doux, mais précis. Mon prépuce recouvre entièrement mon gland. Il le retire doucement. Il me décalotte. Il prend son temps. Je suis rouge de honte mais je ne peux que subir!

— Bien, joli gland. Bien rouge, propre. C'est bien.

J'ai l'impression d'être un animal qu'on examine. Mais c'est quoi ce fou?! Il passe alors à mes testicules. Il les palpe doucement. Les deux. Tout doucement, il les roule entre ses doigts...  

— Tu vois... si je veux... je te les écrase!

Je ne dis rien. Je suis terrifié.

— Non... non... J'obéis... pitié...

— Ok ok, calme toi! Tu obéis, oui. C'est bien. Écarte un peu plus les jambes.

J'écarte davantage les jambes... Il y a bien plus d'un mètre entre mes pieds. Je ne peux faire mieux.

— Bien, très bien.

Il glisse alors un doigt vers mon anus et le positionne à l'entrée de mon intimité la plus grande. Instinctivement, je serre les fesses. Jamais personne ne m'a touché là!

— Bon. Ok.

Il retire sa main. Je suis surpris.

— Bien. Encore quelques explications. Je vois que tu n'as pas TOUT compris!

Il reprend sa matraque. Je serre les jambes et me recroqueville sur le lit. Je tremble à nouveau.  

— Je te rappelle que tu dois coopérer, dit-il en agitant la matraque. Soit tu coopères et je fais attention à ne pas te faire mal, soit tu joues au con et tant pis. T'assumes les coups. Tu choisis quoi ?

Je ne réfléchis pas vraiment. Je suis sous son pouvoir, nu et attaché sur ce putain de lit ! Je ne peux pas m'empêcher de penser à la famille, le cercle étroit de mes amis. Je les vois m'enterrer comme vict ime d'un mniaque...

— Ok je coopère.

— Bien. Tu es un garçon raisonnable. Reste le.

Il pose la matraque à terre. Ouf!

— Bon on reprend: écarte à fond les jambes.

J'obéis. Je suis vaincu. Humilié. Je veux plus être frappé.

Sa main se dirige à nouveau vers ma raie et mon anus. Son doigt est de nouveau de nouveau à son entrée.

— Tu vois: c'est pas si terrible.

Il essaie alors, sans forcer, d'entrer son doigt en moi. Je lutte pour ne pas résister. La menace des coups est trop forte. Mais je suis sur le dos. La position n'est pas idéale. Mon anus est sec. Ça ne veut pas vraiment rentrer...

— Ça va pas! Retourne-toi sur le ventre.

Encore une fois, j'exécute son ordre de suite.

— Les jambes!

J'ai compris. J'écarte au maximum les jambes.

— Lève le ventre.

Il me glisse alors un oreiller sous le ventre; j'ai le cul bien relevé, les jambes bien écartées, la tête à 90°. Ecrasé sur le matelas, les mains menottées dans le dos je suis à sa merci. Complètement à sa merci! Sa vue sur ma raie presque imberbe et mon anus est imprenable.  

— Joli cul. Tu a vraiment de belles fesses bien rondes et fermes.

Il me palpe les fesses, fait rouler les muscles. J'ai vraiment le sentiment d'être un morceau de viande! À nouveau, ses doigts se rapprochent de mon trou.

— Je vais m'en occuper...

De sous le lit, il sort alors une bombe de gel lubrifiant. Il en dépose une noisette sur mon anus.

— Ça te fera moins mal avec ça...

Et il enfonce son doigt dans mon fondement. Doucement. Je le sens bien. Son doigt entre lentement en moi, je n'ai pas mal. Si ! J'en ai mal de honte ! Il fait tourner son doigt en moi, doucement. Il le remue légèrement dans mon intérieur. Je sens chacun de ses mouvements. Je suis interloqué. C'est presque agréable.

— Bien, parfait. Tu es un bon garçon.

Il retire son doigt. J'ai pas plus mal qu'à l'aller.

— Bien. Étape suivante: le jeu de la vérité.

Quoi ? Quel jeu de la vérité ? J'ai déjà joué à ce jeu avec des copains, en colonie. Il y a longtemps. S'il croit que je vais lui dire mes secrets !

Il quitte la pièce et revient de suite avec trois sangles. Il m'attache les deux jambes pour qu elles restent bien écartées. Il me met aussi une sangle autour du cou et l'attache sous le lit. Je suis vraiment ligoté! Si je bouge, je m'étouffe!

— Faut pas bouger. Reste calme et tout ira bien.

Il sort alors une ficelle. Et fait le tour de la base de mon sexe avec. Mes boules et ma verge sont alors saillantes. Je n'ose plus bouger! Il passe la ficelle dans un anneau situé au plafond et tient l'autre bout de la ficelle.

— Tu vois, si je tire, ça fait très mal.

Et il tire d'un coup sec! Aïe! La douleur est vive. Je ne peux m'empêcher de relever le bassin vers le haut! La ficelle me sectionne mes organes génitaux! Il la relâche de suite.

— Tu as vu? Je vais te poser des questions. Tu me diras la vérité. Si je pense que tu mens, je tire! Tu as compris?

— Oui, j'ai compris.

Je ne peux rien dire d'autre. Je vais lui dire la vérité. Mais quelle vérité? Que veut-il savoir?

— Je commence. Est tu hétéro, bi ou gay?

— Hétéro.

— As-tu une copine?

— Oui.

— Tu l'a déjà sauté?

— Bien sûr!

— C'était quand la dernière fois?

— Le weekend dernier, chez moi. On se voit que le weekend. Elle est étudiante.

— As-tu déjà eu une expérience homosexuelle?

— NON!

Aïe! Je hurle! Il a tiré la ficelle! Je me cambre!

— Tu mens!

— Non, je vous jure!

— Menteur!

Et il tire de plus belle. Il va m'arracher le sexe! Merde! Comment sait il? Car oui, j'ai déjà eu une telle expérience. Je craque. La douleur est intenable!

— Ok ok, oui, j'ai déjà eu.

Tout de suite, la ficelle se détend. La douleur diminue. Il détend la ficelle autour de mon sexe, juste pour que je n'aie plus mal.

— Tu vas tout me dire maintenant.

— Oui.

— Vas-y!

Je vais tout lui dire. J'ai pas le choix.

— C'était il y a quatre jours, avec Marc, un copain de ma classe. Il était passé chez moi pour réviser mais à son arrivée, je regardais des sites de cul sur le net.

— Des sites gays?

— Oui! Mais je suis pas gay! C'était juste pour voir!

— Continue!

— Dès qu il a sonné, j'ai vite fermé le navigateur. Il n'a rien vu. Et puis on a commencé à réviser. Mais plus tard, il a voulu utiliser Google pour chercher un truc, une formule de math. Il a utilisé Google et a vu l'historique du navigateur.

— Et?

— Il m'a regardé bizarrement: "T'es gay? Jean? T'es gay?"

— "Non, non! je t'assure! C'est juste pour voir." Mais il m'a pas cru.

— Et ensuite?

—"Jean, moi non plus je suis pas gay. Mais comme toi, j'ai déjà regardé sur le net. J'aimerais essayer, juste pour voir." J'ai été surpris! Quoi, Marc voulait essayer? Avec moi? Après tout, pourquoi pas? Moi aussi cette pensée m'avait bien effleuré l'esprit. Je l'ai fixé droit dans les yeux: "OK, mais juste une fois. Ce sera notre secret, hein?"

— Et il a été d'accord?

— Oui. On s'est déshabillé. Il m'a sucé. Je l'ai sucé. On a fait un 69. C'était bizarre. Je suçais un mec. Je n'en revenais pas!

— T'as aimé?

— Pas aimé, mais pas détesté. En fait, je pense que je préfère vraiment les filles.

— Et lui, tu penses qu'il a aimé?

— Oui. Il soupirait. Il passait sa main sur tout mon corps. Il a juté très fort!

— Et comment tout cela s'est-il fini?

— On n'a pas voulu se sodomiser. Enfin, lui aurait voulu, mais moi j'ai refusé. Il a dit "OK" mais il semblait déçu.

— Termine!

— On a arrêté. Il s'est rhabillé et est vite parti. Il a rien dit.

— Et ensuite?!

— Je sais pas. Je l'ai pas revu depuis.

— Tu sais pas! Enfoiré! Tu SAIS pas!

Aïe! Il tire la ficelle! Je me cambre! Je hurle!

— Mais j'ai rien fait!

La ficelle se détend. Je retombe sur l'oreiller.

— Si... tu as fait!

— QUOI?

Et si tu ne l'as pas revu depuis, c'est qu'il est MORT! Tu entends: MORT!

— Marc? Mort?! C'est pas vrai?!

— Si, il s'est jeté sous un train il y a deux jours. Il s'est suicidé.

Merde! Marc, suicidé! Cette nouvelle me choqua fortement. Marc, un super copain!

— Mais pourquoi?!

— À cause de toi! À cause de toi, petit con! Il n'a pas supporté ton refus d'aller plus loin.

— Mais non! C'est impossible!

— Si! Il a laissé une lettre. Il a tout raconté. Et c'est pour cela que tu es ici: pour payer.

Glaciale. Sa voix est devenue glaciale. Il poursuit, lentement:

— Tu vas payer. Tu n'as pas voulu que Marc t'aime et il n'a pas supporté. Tu vas donc payer.

— Mais je suis pas gay. Je voulais pas me faire sodomiser!

— Peu importe. Tu ne voulais pas. Maintenant, tu vas vouloir.

  Il y a une suite.

 

 

GLD2010317359

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 25 novembre 1 25 /11 /Nov 21:43

l'amour est un dialogue qui souvent se passe de mots...

C'est la version de 1 " du Colomb Snake (un serpent de belle taille) il mesure : 1 pouce de diamètre (2,54cm) et 36 pouces (90 cm) de longueur. Un plaisir ondulant. il existe aussi en 3,84 cm (1,5") de diamètre. Si tu aimes les jeux en  profondeur, le plaisir est assuré, ce serpent est tordu et il se balance en atteignant tous les coins possibles. La caractéristique unique de cet inquiétant serpent consiste en ce qu'il a un tube qui traverse sa longueur pour que tu puisses ajouter un entonnoir  ou le connecter à une vessie à lavement (enema) - ou simplement souffler de l'air pour créer  d'autres effets ! Il aide à alléger aussi les gaz les plus profonds qui s'accumulent après de longues séquences  de jeu.

Les meilleurs composants possibles, 100 % qualité médicale l'Élite des silicones, sans stalates, se chauffe rapidement jusqu'à la température corporelle et s'adapte aux contours du corps, sécurité absolue , hypoallergisant, sculpté pour exciter. La base dispose d'une ventouse de succion incroyable qui se colle à n'importe quelle surface plate, étagères murs, carreaux, etc


"Refuel-headharness"

est un entonnoir fixé à la tête par une courroie anti fuite. Cela te permettra de remplir ton partenaire du liquide de ton  choix.Tout est démontable pour assurer l'entretien. Revêtu d'une gomme spéciale au goût très apprécié 

 

  Alliance d'un dildo avec un entonnoir : idée géniale

Douche Tom-kitDouche Hadley-kitDouche Robbie-kit

les diverses versions de cet objet alliance d'un dildo avec un entonnoir qui sera la base des jeux liquides et de plaisirs  de toutes sortes

 

Extreme craftorks neoprene

    spike                                 stallion                           neoprene                         eagle    

Xtreme Craftworks: SPIKE Neoprene Showernozzle 6 inch  Xtreme Craftworks: RAM Neoprene Showernozzle 9 inch  Xtreme Craftworks: EAGLE Neoprene Showernozzle 12 inch Xtreme Craftworks: STALLION Neoprene Showernozzle 18 inch

Diverses versions de douches anales extrêmes.

 

Plus qu'à...

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • tumblr m3obhsddHn1qd35tno1 500
  • CHATPOISSON DSL
  • 07B
  • STURB 09
  • tumblr mekgn7CHEo1rgjy9to1 500
  • FABIEN 09

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés