Dimanche 1 décembre 7 01 /12 /Déc 22:10

 Classé dans SOUMISSION & DOUCE(S) VIOLENCE(S) (30) 

 

 Le texte qui suit contient de la violence et des actes ou des images qui pourraient ne pas convenir à tous. Nous préférons vous en aviser et vous conseillons de regarder les catégories concernées colonne de gauche avant de persister et faire votre choix définitif.

 

 

Capturé par un maniaque je subis des épreuves SM  et une grande pression psychologique

 

— Tu vois: tu n'es plus attaché. Mais attention, je suis bien plus fort que toi. Si tu me frappes ou si tu résistes, je te rattache tout de suite. Compris?

— Oui.

Je préfère cela à être entravé. Oui, il est fort. Je le sais. Il est violent aussi parfois. Je l'ai bien vu!

— Bien. Tu vas obéir. Garde à vous!

Je me redresse alors de suite.

— Demi tour. Écarte les jambes et penche toi en avant.

Je m'exécute. Je suis un jouet à ses ordres. Mais au moins, je n'ai plus mal et je ne suis plus entravé. Il écarte alors mes fesses avec ses mains et vérifie que mon anus est normal.

— Tout va bien. Il est bien refermé. C'est parfait. Demi tour.

Je me retourne et a nouveau, je fais face à lui. Il se penche une nouvelle fois vers ma bite, me décalotte, et saisissant mon gland, examine mon méat avec soin.

— Bien, Pas de problème. Tout cela peut reprendre du service: masturbe-toi. Tout seul. Tu vas éjaculer et avaler ton sperme. Je ne dirai rien. Je te laisse faire.

Je préfère obéir. Je commence alors à caresser ma queue, rouge à force de jouir et de bander! J'y vais doucement. Il recule d'un pas et me regarde tranquillement, sans bouger. Curieusement, la situation m'excite. Me branler devant lui me procure un sentiment mêlé de honte et de puissance. Deviendrais-je gay? Ou soumis? Je ne comprends pas. Mes pensées se mélangent mais mes mains continuent à s'agiter sur mon sexe et il reprend de la vigueur. À nouveau, il se retrouve à l'horizontal. Je jouis une nouvelle fois, dans ma main gauche. Puis, je fais comme il m'a dit. Je porte ma main à bouche et lèche avec soin toute trace de sperme.

— Voila, j'ai terminé.

— Très bien. Vraiment très bien. Retourne toi à nouveau que je regarde une dernière fois ta rondelle.

À nouveau, je me tourne, me penche en avant et lui présente mon trou. Je commence à perdre toute pudeur.

— OK, c'est bon. Va prendre une douche.

Je le fais avec plaisir. Il me laisse seul et s'en va.

Je m'allonge ensuite sur le lit. Je n'ai plus de lien mais la pièce est close et la porte solide. Je ne peux rien faire, sauf réfléchir. Oui j'ai souffert... mais pourquoi suis-je fasciné par la vidéo qui montrait mes fesses en gros plan? Pourquoi ai-je aimé me masturber devant lui? Petit à petit, perdu dans mes pensées, je m'assoupis.

Des coups frappés à la porte me réveillent. Je me suis finalement endormi. Il entre. Toujours le même visage dur.

— Bien, voilà le repas de midi.

Il pousse devant lui la table roulante. Dessus, un plateau repas complet. Je m'assoie sur le lit et commence à manger tout cela.

— Bien, on va discuter un peu. J'ai vu que tu as aimé te masturber devant moi, n'est-ce pas?

Je décide de coopérer, espérant améliorer ma condition de prisonnier.

— Euh... oui. J'étais gêné et excité à la fois. C'était étrange.

— C'est normal. C'était nouveau pour toi?

— Oui.

C'est surréaliste! Je suis là, nu devant lui, en train de manger et de discuter de mes supposés plaisirs sexuels, exécutés sous la contrainte et parfois dans la douleur! Mais je préfère discuter que d'être frappé. Que puis-je faire d'autre?

— Bien, après manger, tu vas découvrir autre chose.

Aïe! Autre chose? Que va inventer encore ce fou?

— Tu verras... Peut-être même que tu connais déjà.

Je termine mon repas dans le silence. Il retire la table à roulette et la pousse derrière la porte. Il revient.

— Bon, je t'explique. Tu vas recevoir une punition ringarde: une fessée.

— Une fessée?!

— Et oui. Tu sais bien ce que ce c'est? ironise-t-il.

— Je croyais que ça n'existait plus!

— Peu importe. Je te laisse le choix: soit tu résistes et je t'attache, soit tu coopères et tu restes libre. Ton choix?

Je préfère ne pas être attaché. Je sais maintenant ce qu'il en est.

— Ok, je coopère.

— Bien, tu comprends vite. Allez debout. Mets-toi à côté du lit. Penche-toi en avant. Écarte un peu les jambes, les mains à plat sur le lit.

Je prends la position demandée. Mes fesses sont bien mises en évidence mais il me passe une main devant moi, sur le ventre et me tire en arrière.

— Cambre-toi. Fais ressortir ton cul!

J'obéis. Je sors mes fesses. Je creuse mon dos et mes reins. Je m'attends au pire... mais il passe alors une main douce sur mes fesses. Il me caresse.

— Tu vois, je vais te frapper ici. Mais que 10 coups. Je ne veux pas de traces.

Il positionne alors la caméra. Mais pourquoi filme-t-il tout? Il est vraiment malade, ce type! Il se saisit ensuite d'une baguette en bois souple. Splach! Aïe! Le premier coup tombe. Ça fait assez mal. Une douleur sèche.

— Compte les coups!

— Un

Splach!

— Deux!

La baguette frappe légèrement plus haut. Bizarrement, j'ai le sentiment qu'il ne frappe pas si fort que cela. Il pourrait être plus violent. Il semble vouloir m'épargner. Splach! Splach!

— Trois... quatre...

Et ainsi de suite, jusqu'à 10. J'ai mal mais cela reste très supportable. Le plus dur, c'est l'humiliation et être puni comme un gamin!

— Bien. Parfait. Relève-toi maintenant. Garde à vous devant moi.

Je me relève. Mes fesses me brûlent à peine. Je les regarde rapidement: Pas de traces des coups.

— Écarte les jambes et penche-toi un peu en arrière.

Je prends cette position, déjà connue. Que va-t-il encore me faire? Mon sexe est en évidence, sur le devant, et il pend tranquillement entre mes jambes. Je vois alors la baguette remonter brutalement à l'horizontale et me frapper violement sous les testicules!

— Aïe! hurlai-je.

La douleur est très forte. Je me recule de quelques pas.

— Reprends la position! Vite!

Il agite la baguette au dessus de sa tête. Doucement, avec crainte, je me remets en position.

— Bien! Encore deux coups et ce sera fini.

Et il frappe encore deux fois mes bourses. La douleur est très vive. Je ne peux m'empêcher de hurler et de reculer.

— Voila, c'est fini. Je vais te passer de la crème anti-douleur.

Il prend alors un tube de crème et commence à m'en mettre avec douceur sur les bourses. Il me malaxe doucement les testicules et le scrotum. Ça fait du bien. Je commence à entrer légèrement en érection. Mon pénis prend du volume et devient plus dur.

— Tu vois, tout fonctionne encore normalement.

Après quelques minutes passées à me malaxer les bourses, il range le tube de crème.

— Lève les bras.

J'obéis immédiatement puis il me pousse vers le centre de la pièce. Il prend alors une corde, en attache mes poignets à deux anneaux au plafond. J'ai les bras tendus vers le haut, légèrement écartés.

— Je vais te mettre un bandeau sur les yeux pour quelques minutes. Pas de panique. Tu ne souffriras pas, bien au contraire.

Facile à dire! Nu, attaché et aveugle! Pas de panique! L'enfoiré!

Il me met alors un bandeau sur les yeux. Je ne vois plus rien.

— Je reviens dans une minute.

Effectivement, il revient rapidement. Mais il me semble entendre deux pas. N'est-il plus seul? J'entends alors quelqu'un s'approcher tout près de moi.

— Ne t'inquiète pas. Il va te faire du bien.

Je sens alors une paire de main s'appliquer sur mon torse. Doucement, on commence à me caresser. Sensuellement, avec application. Les mains descendent doucement vers mon sexe. Ma queue est entourée, mes couilles malaxées, mes fesses caressées. Je bande de plus en plus. Mon sexe est maintenant à l'horizontale. Je sens alors qu une bouche happe ma queue avec douceur. Mon gland est sucé avec délicatesse. Cet inconnu sait y faire. Tout n'est que douceur et volupté... J'éjacule alors dans cette bouche inconnue. Quelques petits jets rapides. Il faut dire que y a plus grand-chose à éjaculer, à force... Mon endurance sexuelle a atteint ses limites.

— Bien parfait. La suite maintenant.

La suite? Mais quelle suite? Cela ne finira donc jamais?

— Fini le gode. Tu vas maintenant te faire prendre par une vraie queue.

Il s'adresse alors à l'inconnu:

— Encule-le!

Je ne vois rien. Mais j'entends cet inconnu se déplacer et se mettre derrière moi. La traction sur mes bras diminue.

— Facilite-lui le passage!

Oui, il vaut mieux. De toute façon, de gré ou de force, je vais être violé par cet inconnu alors autant réduire la douleur. Je me penche un peu en avant, écarte mes jambes et fait ressortir mes fesses en me cambrant. Je suis prêt, autant que possible.

L'inconnu passe une main entre mes fesses et étale un liquide froid. Du gel lubrifiant en fait. Cela me rassure, ça devrait bien se passer. Une vraie queue ne peut mesurer 6 cm de diamètre, comme l'horrible gode de tout à l'heure! Ou alors cela doit être rare. Je sens alors un pénis entrer en contact dans ma raie puis se diriger doucement vers mon trou. La pression s'accentue. L'inconnue met ses mains sur mes hanches et me tient bien. Lentement, son sexe s'enfonce en moi. Il me pénètre alors à fond, d'un mouvement lent et régulier. Je sens ses boules butter contre mes fesses. Je n'ai pas eu mal. Mais pas du tout.

— Tu vois. Maintenant, une bite normale entre facilement. Tu comprends maintenant pourquoi le gode? C'était pour t'habituer et te dilater.

Effectivement, l'inconnu coulisse maintenant en moi facilement. Sa queue entre et sort facilement. Elle heurte ma prostate à chaque fois. Je n'éprouve aucune douleur cette fois; plutôt du plaisir. Puis, je sens jaillir le jet de sperme au fond de mes intestins. L'inconnu a joui en moi. Je me surprends à éprouver un certain plaisir.

— Bon, tu vas maintenant voir qui t'a enculé. Tu vas être surpris.

Il enlève alors mon bandeau et là, stupeur! Je n'en crois pas mes yeux! C'est Marc! Il est debout devant moi. Nu lui aussi. Les bras ballants. Le sexe en train de débander après m'avoir enculé.

— Mais il m'a dit que t'était mort!?

Marc ne dit rien. Mon gardien a repris sa matraque.

— Explique-lui!

Marc alors m'explique son histoire, d'une petite voix. Il est apeuré.

— C'est comme toi... je suis prisonnier. Il m'a frappé et obligé à te sucer et à t'enculer... Je suis désolé. Je pouvais pas faire autrement! Excuse-moi, Jean! Excuse-moi...

— Je comprends et je te pardonne Marc.

J'imagine que Marc a dû souffrir lui aussi. A-t-il été frappé? En tous cas, il semble vaincu et décidé à obéir à notre tortionnaire commun.

— Mais c'est ton oncle!?

— C'est faux. Je ne sais pas qui c'est!

Notre gardien s'adresse alors à nous:

— C'est bon! Tu en sais assez. Nous allons maintenant passer à la dernière étape.

Ce type est vraiment machiavélique! M'avoir fait croire que Marc s'était suicidé par ma faute! Mais pourquoi sommes nous ainsi torturés? Qu'avons-nous fait?

— Marc, tu vas libérer ton copain. Attention, n'oubliez pas que je suis bien plus fort que vous deux réunis!

Effectivement, Marc n'a que 17 ans. Il est plutôt du genre fluet: 1m75, 60 kg, il est peu sportif et n'est pas très musclé. Il n'a pas encore fini de grandir. On ne fait pas le poids contre cette brute épaisse et sa matraque. Marc se dirige alors vers moi et me libère les bras des cordes qui les maintenaient dessus ma tête.

— Jean! Tu vas faire à Marc ce qu il t'a fait: tu vas le sucer et ensuite l'enculer.

Curieusement, je ne dis rien. Je reste songeur. J'examine mon ami Marc, qui est là, nu devant moi. Bien sûr, je l'ai vu nu il y a quelques jours, lors de sa dernière visite. Mais là, il me semble encore plus désirable. Je regarde son visage fin, il n'a qu un léger duvet encore, le torse glabre et fin; on voit presque ses côtes. Une fine ligne de poil part sous le nombril et rejoint sa toison pubienne. Il a plus de poil que moi à cet endroit. Sa queue au repos est légèrement plus grosse aussi. Ses testicules aussi. Ses cuisses peu épaisses sont recouvertes de poils noirs et fins. Il est beau dans sa jeunesse. Son attitude passive et soumise le rend encore désirable à mes yeux.

Je le demande si je ne suis pas en train de devenir 100% gay... Mais après tout, n'ayant pas le choix, autant essayer de prendre du plaisir dans cette épreuve. Ça vaut mieux qu un coup de matraque!

Je me dirige alors vers Marc. Il ne réagit pas. Je vois bien qu il est terrorisé par notre gardien. Il va se laisser faire et se soumettre. Après tout, lui, il est gay. Pourquoi résisterait-il?

Je me mets alors à genoux devant lui et commence à lui malaxer le sexe avec ma main droite. Je découvre son gland rosé et humide. Je fais des va-et-vient avec son prépuce, lui découvrant et masquant alternativement son gland. Une goutte de précum pend au bout de celui-ci. Avec ma main gauche, je lui caresse les fesses, pénètre dans la raie. Je vais jusqu'à effleurer son anus. Après quelques instants, je vois son sexe commencer à se redresser.

— Une minute! Stop! intervient notre gardien. Je mets la caméra.

Il place alors la caméra pour qu'elle filme Marc et moi.

— Continue!

Je reprends alors mes caresses. Ma main droite coulisse maintenant rapidement sur sa queue. Il bande vraiment là. Sa bite bandée est plus fine que la mienne mais semble plus longue. Elle est très dure et ferme. Au bout de son gland rouge vif perle maintenant un filet de precum. J'enfourne alors cette bite dans ma bouche. Avec ma langue, je suce et caresse ce bel engin. Je suis à fond dans cette fellation. Je ne pense plus à rien. Le sexe de Marc dégage une légère odeur de parfum. Sans doute lui aussi a-t-il été douché de force ce matin. Son pénis s'agite, son corps se tend et il éjacule alors dans ma bouche. Son sperme est légèrement poivré et chaud. J'avale tout et me redresse.

— Voila! J'ai fini.

— Fini pour le devant. Reste maintenant l'autre côté.

Décidément, notre gardien est sans pitié. Je vais devoir enculer mon ami. Je n'ai jamais fait cela.

— Marc, sur le lit! À quatre pattes et jambes écartées!

Il obéit sans révolte. Il va sur le lit et prend la position. Il se met sur les coudes. Son postérieur est ainsi relevé davantage. Il se cambre également. Je m'approche doucement de lui. Je vois alors pour la première fois ses fesses et sa raie en détail, et en gros plan. Son anus est tout rose, bien lisse et entouré de petits poils noirs. Autour, la couleur de sa peau forme un anneau marron clair. Son sexe et ses testicules pendent entre ces jambes. Je distingue très bien la forme de ses testicules à l'intérieur des bourses. Je remarque que le gauche tombe un peu plus bas que le droit. Mais pourquoi je constate cela, moi?

— Attends! Tu vas le lécher avant. Rassure-toi, il est propre, il a pris une douche lui aussi ce matin.

Je ne dis rien. Je vais le faire. Je m'approche des fesses de mon ami jusqu'à ce que ma langue effleure sa raie et commence à le lécher. Sa peau est douce. Petit à petit, je m'approche de sa rondelle et de son trou. Il frétille légèrement; il semble apprécier.

— Plus loin!

Je lèche alors franchement l'anus de Marc. J'essaie d'y pénétrer ma langue. Je suis en fait très excité par cet acte. Je deviens gay. Je lèche le cul de mon ami et d'adore! Je poursuis mon léchage en remontant doucement vers ses bourses. Je lèche délicatement sa peau onctueuse. À travers les légers mouvements du corps de mon compagnon, je vois qu'il apprécie mes efforts.

— Bien. Le gel maintenant.

Notre gardien me tend alors la bombe de gel lubrifiant. J'en mets une bonne dose dans la raie de mon ami. Autant ne pas le faire souffrir. Je suis debout à côté du lit, Marc est à quatre pattes devant moi. Son anus est prêt à me recevoir. Je n'ai jamais sodomisé un garçon, ni une fille d'ailleurs. Le spectacle des fesses offertes de Marc m'excite. Je bande comme un arc. Mon sexe est dur et à l'horizontal, mon gland découvert. J'approche alors ma queue du trou de Marc et commence lentement à le pénétrer. Il ne dit rien. Il se laisse faire et ne semble pas avoir mal. Sans doute a-t-il déjà expérimenté cela? Mon sexe entre facilement dans son fondement. Je pénètre lentement en lui jusqu'à ce que mes couilles heurtent ses fesses. Mes 18 cm sont complètement en lui. C'est serré et chaud. Je me retire et fais des aller-retours en lui. J'ai mis mes mains sur ses hanches pour mieux me diriger et me fixer en lui. Je sors et rentre plusieurs fois très facilement. Mes testicules heurtent ses fesses à chaque fois. Je vais de plus en plus vite. L'éjaculation approche. Je ne veux pas jouir dans ses entrailles et me retire juste à temps. J'émets à l'extérieur de mon ami. Mon sperme gicle sur son dos et sur le haut de sa raie.

— Nettoie cela! Avec la langue!

Je lèche alors avec application les traces blanchâtres sur le corps de mon ami. Je reconnais le goût de mon sperme. Le même que ce matin. Sucré et salé. Marc est toujours à quatre pattes, le cul en évidence. Il ne bouge pas. Il ne dit rien.

— Tiens, attrape cela!

Notre gardien me lance alors le gode de 5 cm.

— Enfonce lui à fond! Comme toi ce matin.

— Non, je refuse!

Un sursaut de révolte m'envahit.

— Ça suffit!

Je vois alors le gardien se diriger vers moi et il me donne un coup de matraque dans les couilles! Je n'ai pas eu le temps de réagir, ni de me protéger. Je hurle et tombe à terre en me tenant le sexe dans les mains. Je pleure de douleur.

— Je t'avais prévenu! Tu dois obéir! Redresse-toi!

Je me redresse lentement. J'ai très mal dans les bourses. Je suis quasi plié en deux. Doucement, je me mets debout et me redresse avec souffrance.

— Vas-y! Reprends!

Marc n'a pas bougé. Pourquoi n'a-t-il rien fait? Il est resté sur le lit, les jambes ouvertes et offertes. Je reprends le gode. Je mets du gel dans la raie de Marc puis approche le gode de son trou. J'appuie alors. Je m'attends à ce qu il résiste mais non, le gode entre facilement. Visiblement, le trou de Marc est bien plus large ou souple que le mien. Il ne dit toujours rien. J'enfonce alors régulièrement et complètement le gode en lui.

— Bien, masturbe-le avec ton autre main.

Je passe alors la main droite sur le côté de mon ami et saisis son sexe. Il bande déjà. Le gode l'excite! Voilà pourquoi il ne dit rien... Une main remuant légèrement le gode, l'autre main masturbant mon ami, je poursuis mon œuvre. Le corps de Marc s'anime, il se tord de plaisir. Son souffle est devenu rapide et court. Il aime cela, c'est évident. Rapidement, Marc jouit dans un râle de plaisir. Trois jets puissants de sperme jaillissent de son sexe tendu.

— Bien, à la douche tous les deux. Je reviens dans 2h. Soyez propre à mon retour, sinon...

Et notre gardien sort, nous laissant seuls. La porte claque, le verrou aussi.

Marc se redresse alors et s'assoit sur le lit.

— Il est parti?

— Oui, on dirait bien.

— Tu sais, j'ai rien dit lorsque tu m'as sucé...

— Oui, j'ai vu!

— Je ne voulais pas l'énerver. J'ai peur de lui. Et puis, j'avais pas mal.

Il me regarde et semble sourire.

— Tu sais, moi non plus, j'avais pas mal...

Je le regarde alors droit dans les yeux... il soutient mon regard. Mon dieu qu'il est beau. Je suis définitivement tombé sous le charme de son visage fin. Il passe alors un bras derrière mon épaule, se penche vers moi, ses lèvres s'approchent des miennes...

— Jean, Jean... je t'aime, murmure-t-il.

— Oui, je sais...

Nos lèvres entrent alors en contact. On se roule alors un vrai patin. J'oublie tout. Seul Marc compte en cet instant. Mais je ne peux oublier longtemps notre situation de prisonnier. Je me dégage de mon ami.

— Et si on en profitait pour se sauver?

— Comment?

— Enfonçons la porte avec le lit!

— Super idée. Oui!

On se dirige alors vers le lit. Stupeur, il ne bouge pas. Je regarde alors les pieds et je vois qu ils sont boulonnés dans le sol!

— Merde! C'est fixé!

Nous regardons alors l'autre lit, celui avec les étriers. C'est pareil, il est fixé solidement dans le sol. En fait, tout est fixé. Le WC, les lits. La porte est en métal. On ne peut rien faire.

— Zut! On est vraiment coincé!

— Attention, j'entends des pas! Il revient déjà!

Effectivement, le verrou claque, la porte s'ouvre. Merde, on n'a pas eu le temps de rien préparer! On n'aurait peut-être pu l'assommer par surprise. Il avait dit deux heures! Il a menti exprès, j'en suis sur!

— Bien, il vous reste une dernière épreuve, les jeunes!

Il agite en évidence sa matraque. On se recule.

— Marc, avance-toi!

Mon compagnon s'avance alors et stoppe devant lui. Notre gardien se penche alors vers lui et lui saisit sa queue. Il examine le gland et le décalotte. Son gland rouge semble normal.

— Parfait. Retourne-toi!

Mon ami se retourne et sachant maintenant ce qu'il faut faire, se penche en avant et écarte les jambes. Il présente ses fesses ouvertes. Le gardien lui examine et palpe l'anus. Et termine par une petite claque sur ses fesses blanches.

— OK! À ton tour Jean.

Je me présente alors devant lui et je subis les mêmes inspections fouillées. C'est très humiliant de se faire tripoter et examiner ainsi devant son copain! Heureusement, Marc détourne le regard.

— Marc, tu vas raser le sexe de ton copain.

Il tend un rasoir jetable à mon compagnon ainsi qu une bombe de mousse à raser.

— Jean, installe-toi sur le lit à étrier!

Je m'exécute. Je m'allonge sur le lit et place mes jambes dans les étriers.

— Je t'attache pas! Mais attention, si tu bouges, je sanctionne! Jean, écarte les étriers, écarte lui les jambes.

Jean se positionne alors devant moi, entre au centre de mes jambes et les saisissant, les écarte largement. Puis il serre les vis. Je ne résiste pas. Mes fesses sont ouvertes à sa vue. Jamais Jean ne m'a vu ainsi. Je suis humilié, j'ai honte de m'exposer ainsi à mon ami. Ma pudeur est bafouée. Mais je ressens aussi un mélange d'excitation et de fierté. Notre bourreau prend alors la caméra et la dirige vers mon intimité. Je peux alors voir en gros plan sur l'écran mon périnée et tout ce qui gravite autour.

— Admire!

Marc a lui aussi une vision parfaite sur mon sexe et mon cul. Il se saisit alors de la mousse et en étale une bonne dose sur mon bas-ventre. Puis délicatement, il étale cette mousse au-dessus de ma verge. Il est obligé de me tenir le sexe d'une main. Je réagis doucement, mon sexe prend lentement du volume. Avec délicatesse, il commence alors à raser mes poils au-dessus du pubis. Il va doucement; il ne veut pas me blesser. Son visage est à 30 cm de ma queue. Il en voit les moindres détails. D'autant plus que, à chaque allée, le rasoir dégage davantage la vue. Je suis terriblement gêné, je suis plus que nu, j'offre mon intimité absolue à mon ami.

Il se saisit de ma bite et la tire doucement vers le haut, par le prépuce pincé entre ses doigts. Comme je suis en semi-érection, c'est plus facile. Puis soigneusement, il rase les quelques poils situés dessus. Il pince ensuite mon scrotum avec deux doigts et tire doucement pour tendre la peau. Il peut ainsi me raser les bourses. Il change plusieurs fois la position de ses doigts et manie délicatement le rasoir. Notre gardien s'approche, se penche vers mon entrejambe.

— Il en reste là. Et rase aussi sous les testicules.

Quelle humiliation! Il en est à me compter les poils restants! Jean, avec application, rase les quelques poils restants sur ma bite. Puis, poussant légèrement mes bourses vers le haut, il promène le rasoir entre mes bourses et mon anus. Il fait bien attention, il y a de petits plis. Je ne bouge pas d'un millimètre, je retiens même ma respiration quand le rasoir fait son œuvre. Les quelques petits poils que j'avais là ont maintenant tous disparu. Il termine par le pourtour de mon trou et me rase les rares poils qui se perdaient dans ma raie. Je me retrouve plus nu que nu. Mon sexe, mes bourses, mon anus ne sont masqués par plus rien et s'offre parfaitement à la vue de tous.

— Je vais vérifier.

Le gardien se penche alors vers mes bourses et touche délicatement la peau en cet endroit intime. Il fait de petits aller-retours avec son doigt et vérifie si tout est bien lisse, s'il ne reste plus de poils. Il se penche davantage. Son visage est maintenant à 10 cm de mon anus. Il se rapproche davantage et me donne un coup de langue sous la base des bourses. C'est pas vraiment désagréable, je dois bien avouer. Il fait plusieurs aller-retours avec sa langue. Je ne reste pas insensible et mon sexe prend de plus en plus de volume. Il m'étale ensuite une crème hydratante sur toutes les parties fraîchement rasées. Brusquement, notre tortionnaire se redresse.

— OK. Sur le lit tous les deux, en position 69.

Je regarde Marc. Son regard est sans expression. Il semble résigné. Pourtant, il me semble déceler dans son regard une lueur de plaisir. Visiblement pour lui, tout cela n'est que pur plaisir. Nous nous dirigeons vers le lit. Je m'allonge et Marc se met à côté de moi, dans le sens contraire.

— Parfait. Vous allez vous sucer mutuellement. Vous devez faire juter votre copain sans l'aide des mains.

Ouf! Cette épreuve ne devrait pas nous faire souffrir. J'ai le sexe de Marc à quelques centimètres de mon visage. Je peux admirer sa queue au repos. Une petite et fine veine bleue la raye sur quelques centimètres. Son gland est à moitié recouvert par son prépuce. Il ne bande pas du tout. Je happe alors son sexe mou et commence à le titiller avec la langue. Je sens Marc qui fait de même avec mon sexe. Je suis très concentré. J'en oublierais presque où je suis!

Petit à petit, la queue de Marc se tend, se raidit. Il finit par bander tout à fait. Je consacre mes efforts sur son gland qui semble très sensible. Mon ami remue légèrement, il semble apprécier mes efforts. De mon côté, ma queue est elle aussi au garde-à-vous dans sa bouche et fait l'objet de soin attentif. Soudain une contraction secoue le corps de mon ami! Marc jouit et éjacule copieusement dans ma bouche. J'avale tout avec délectation. Presque en même temps, je jouis aussi dans la bouche de mon camarade. Durant ces quelques minutes, j'ai oublié notre situation de prisonnier et notre condition d'esclave sexuel.

Je me redresse et regarde rapidement en direction du gardien. Il n'est devant le lit. Je parcours alors la pièce du regard. Il n'est vraiment plus là. Il est sorti durant notre 69 torride. Pris dans l'action, j'ai rien entendu. Je regarde la porte, elle est bien fermée.

— Il est parti!

— Ah?!

Je me lève, et curieusement, je vois une lettre sur le lit à étrier. Je m'approche et prend cette simple feuille:

— Il a laissé une lettre.

— Une lettre? Lis-la.

— OK. "Votre calvaire est fini. Maintenant vous vous aimez et c'était le but recherché. Désolé de vous avoir fait parfois très mal. Mais cela vous a permis de vous découvrir en profondeur. N'essayez pas de me retrouver. Il vous en cuirait. Sous le lit, vous trouverez la clé de la porte. Bonne chance."

Je regarde alors sous le lit et je trouve bien la clé.

— Regarde! La clé!

— Tirons-nous vite d'ici. Allons chez les flics!

Marc rayonne d'espoir, moi aussi.

— Attends! On est à poil!

— Tant pis! On sort quand même! On se débrouillera!

Je mets alors la clé dans la porte. Est-ce vraiment la bonne clé?! Je tourne, plein d'espoir. Oui, le verrou claque. Je pousse la porte. Elle donne sur un couloir éclairé par une simple lampe. Trois mètres devant, sur un tabouret, je vois mon jean et mon boxer.

— Regarde, mes affaires.

Le pantalon de Marc est lui aussi sur ce même tabouret.

— Y'a pas mon caleçon...

— Tant pis, vite, habille-toi. On se tire!

J'enfile mon boxer et mon jean. Ouf! 24h à poil, j'en avais marre!

— Vite Vite... si jamais il revient!

Nous courons vers le fond du couloir. Il y a un escalier. Un étage. On monte en courant. En haut, un palier et une autre porte. Je pose la main sur la poignée et tourne.

— Merde! Fermée!

Je hurle.

— C'est pas possible! Il est parti!

Soudain, une forte lueur nous éblouit. Un projecteur nous aveugle.

— Ha ha ha ha! Vous y avez cru?! Ha ha ha!

Malheur! Il est là, à nouveau devant nous la matraque à la main!

— Non pitié! On veut partir!

— Demi-tour! Allez, vite!

Marc s'effondre en pleurs. Moi, je n'en suis pas loin. Quelle déception! On croyait être libres! Nous sommes anéantis. On se retrouve à nouveau dans la pièce.

— Enlevez vos fringues! Vite!

Je retire mon jean et mon boxer. Marc retire son jean. Nous sommes à nouveau nus devant lui. Que va-t-il encore nous faire? Les larmes me brûlent les yeux. Je suis brisé et désespéré.

— Branlez-vous! Vite. Je veux vous voir en érection dans une minute!

Le ton est brutal. Nous ne pouvons que satisfaire à sa demande. Je commence alors à caresser ma queue, Marc fait de même et a le regard fixé sur mon engin. Mes caresses et mes mouvements de va-et-vient portent rapidement leur fruit. Bientôt, mon sexe est à l'horizontal. La vue de mon ami qui lui aussi se paluche m'aide à bander. Le sexe de Marc aussi a bien gonflé lui aussi et il bande maintenant avec ampleur. C'est fou ce que l'on peut faire sous la contrainte!

— Rapprochez-vous et rapprochez vos queue l'une de l'autre.

Je fais alors un pas en avant. Ma queue touche alors celle de mon compagnon d'infortune. Nos deux glands se heurtent. Le contact est électrisant. Notre gardien sort un rouleau de scotch de sa poche.

— Je vais attacher vos sexes. Ne bougez surtout pas!

Il saisit alors le pénis gonflé et dur de Marc, et le colle en parallèle au mien. Il tient nos deux bites dans une main. De l'autre, il déroule son scotch et fait plusieurs tours. Nous sommes attachés par nos sexes. Nos torses se touchent. Je sens la respiration de Marc sur mon visage. Il nous pousse au centre de la pièce. Je précipite mes pas pour rester collé à mon ami. Mon sexe me tire et me tient collé à Marc. Il faut rester collé l'un à l'autre.

— Levez les bras!

Rapidement, il nous attache les bras au plafond. Je suis plus que plaqué à Marc. Je vois ses yeux rougis. Il pleure doucement...

— Serrez-vous l'un contre l'autre!

Nous nous serrons encore davantage. Nos visages se heurtent. Je mets le mien sur l'épaule de mon camarade. Il fait de même. Nos torses sont mêlés. Je sens ses tétons durcis sur mon torse.

— Bien, écartez les jambes.

Idem. On se retrouve les jambes écartées et attachées au sol. Nous sommes serrés, plaqués, collés l'un contre l'autre. Nous ne pouvons plus bouger. Il prend un rouleau de scotch et le déroule autour de nos torses. Il fait trois tours. Nous sommes vraiment unis l'un à l'autre maintenant. Je sens chaque respiration de Marc et chaque mouvement de son sexe. Nous sommes si liés que nous ne faisons qu'un. Tout mouvement de l'un est ressenti par l'autre. Nos deux corps ont fusionné. Un frisson me parcours la raie. Il écarte mes fesses et étale sans ménagement du gel sur ma rondelle. Il semble pressé. Il est brutal. Je le vois se saisir du gode de 4 cm et il me l'enfonce rapidement à font. Je grimace de douleur! Il est allé si vite! Puis c'est au tour de mon ami. Du gel et notre bourreau enfonce le gode en lui. Marc ne dit rien. Il continue à pleurer... Puis il relie l'extrémité des deux godes qui dépassent de nous à un dispositif complexe. Je ne comprends rien.

— Voila! C'est simple, si l'un des godes sort, l'autre rentre. Vous devez donc les garder. Ils ne peuvent plus sortir!

Machiavel! Ce type est le diable en personne!

— Adieu!

Et il part en courant. La porte reste ouverte.

— Marc, Marc, ça va?

— [sniff] [sniff] J'en peux plus...

— Courage!

Je tourne la tête et me tords le cou. Il fait de même.

— Courage! On va s'en sortir.

Mais je dois bien avouer que je ne vois pas comment on pourrait s'en sortir seuls. Nous sommes liés l'un à l'autre par nos sexes scotchés et nos torses attachés, les bras sur la tête, les jambes écartées et attachées. Et pour finir, avec chacun un godemichet enfoncé dans le cul. Comment sortir de cette situation?

— Courage Marc!

Je ne peux que me répéter.

— [sniff] [sniff] Comment se libérer?

— Je ne sais pas. Essayons de remuer ensemble.

Nous essayons alors de bouger simultanément mais à part se dandiner de quelques centimètres, nous ne pouvons faire plus. Nous sommes vraiment trop bien attachés!

— Laisse tomber! On va se fatiguer pour rien.

Quelques minutes passent. Je réfléchis mais aucune idée ne vient. Comment va-t-on se sortir de cette situation? Va-t-il revenir nous libérer? Soudain, un cri résonne dans le couloir:

— Police! Police!

Je hurle:

— Ici, ici! Au secours!

Deux policiers entrent alors dans la pièce.

— Oh mon Dieu!

Ils sont surpris de nous voir nus, attachés l’un à l'autre, et avec deux godes qui dépassent entre nos fesses.

— OK, OK, bougez pas. On va vous libérer.

Le plus jeune des policiers enlève alors le dispositif reliant les deux godes.

— Attention, je retire cela.

Et doucement, il me retire l'objet qui me violait. Il fait de même pour Marc. Avec un couteau, il coupe le scotch liant nos torses. Reste alors nos sexes attachés l'un à l'autre. Sans utiliser son couteau, de peur de nous blesser, il déroule le scotch qui au passage arrache quelques poils de la bite de Marc qui grimace de douleur.

— Désolé!

Il nous débarrasse enfin des liens. Cette fois, nous sommes vraiment libres.

— Tenez! Rhabillez-vous.

Il nous tend nos maigres affaires. Notre calvaire est fini. Enfin.

Épilogue

La maison de notre gardien était en fait encerclée par la police. C'est pour cela qu'il était pressé à la fin. Il savait qu'il allait être capturé. Il a voulu profiter de nous une dernière fois. Les vidéos et nos témoignages lui font risquer une très longue peine.

Il s'est suicidé en prison un mois après sa capture. C'était un dangereux fou sexuel, déjà condamné. Son complice, le prof qui m'a assommé, a quitté précipitamment le pays. La police ne l'a jamais retrouvé.

Maintenant, je suis resté très ami avec Marc. De temps en temps, nous nous retrouvons pour des moments bien agréables et réalisés sans contrainte. Je suis devenu 100% gay, tout comme lui.

Et parfois, nous jouons à des jeux de domination, mais gentiment...

FIN

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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