CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I

Jeudi 29 mai 4 29 /05 /Mai 00:13

 

 

 

     Raconte Loïc, raconte!

J'ai bien essayé de coller au train d'Alexandre. Mais bar branché, discothèque, restau, ça te ruine un fils d'ouvrier assez vite. Après avoir admiré Alexandre draguer tout ce qui bouge, et revenir le matin vers 9h après avoir baisé la fille qu'il avait dragué. Moi j'étais sans le sou. Je l'ai donc laissé sortir seul juste avant la ruine totale.

Bien sûr on dormait dans la même tente et cette promiscuité forcée avait éveillé chez moi des premiers émois d'une sensualité à me faire triquer comme un âne. Je le trouvais beau Alexandre. Il s'affalait tard le soir à côté de moi, puant l'alcool, la sueur et parfois le parfum de la fille qu'il avait baisé. Parfois il ne prenait pas le temps de se déssaper, souvent il se mettait en calcif, une fois il est resté à poil, sur le ventre: il avait un dos superbe de nageur, un cul musclé et fin d'ado un peu vite grandi. J'avais honte de la trique que me donnait son corps, son odeur.

Cette deuxième semaine était pour moi pleine d'ennui. Le soir je traînais dans la rue en sachant trop bien que tout était trop cher. Alexandre dépensait et s'amusait. J'étais assis à l'arrière d'un restaurant qui finissait son dernier service à attendre je sais pas trop quoi quand Kader, serveur de son état, 20 ans, beur, sortit en costume obligé: pantalon noir, chemise blanche. Il faisait sombre et il me rentra presque dedans.

— Pardon, excuse, ça va?

— Ouaih t'inquiètes, pas de mal.

— Moi c'est Kader, toi?

— Moi Loic.

— Ben tu fais quoi là à attendre dans le noir?

Et là, je sais pas pourquoi, son sourire peut-être, le trop plein d'amertume - mais je ne résistai pas au soulagement de tout lui dire:

— Oh tu sais, c'est galère, suis parti en vacance avec un pote friqué mais j'arrive pas à suivre, alors je traîne en attendant la fin des vacances.

— Tu veux boire un verre? (silence) OK je te l'offre, je te dois bien ça! Mais chez moi parce que moi non plus, je ne roule pas sur l'or...

Et il me décoche un sourire que rétrospectivement je comprends mieux.

Me voilà à 2h du mat la tête plaquée sur le dos d'un arabe à l'arrière d'une moto fonçant vers les chantiers. On s'arrête en bas d'un immeuble genre HLM en moins bien. Il descend:

— Voilà mon palais! C'est un foyer mais en été il est à moitié vide et il loge n'importe qui. He, Ça va?

Je devais faire une drôle de tête. Je force un peu mon sourire, je suis loin de mon camping, sans moyen de locomotion, ça doit se voir.

— Tu pourras dormir là si tu veux, c'est vide je te dis.

Il monte sans plus attendre, des couloirs un peu sordides, tout le monde dort. Il me fait passer dans sa piaule. Il y a deux lits superposés mais de fait, personne n'y dort et un seul lit est équipé de draps. Il ressort, revient avec une glacière, sort deux bières, ramasse un tabouret, les ouvrent et pose les deux cannettes dessus. Je m'assoie sur un lit sans rien dire.

— À ta santé!

On vide les deux canettes. Il a viré ses pompes et ouvert sa chemise laissant apparaître un torse imberbe athlétique mat de peau. Son odeur de mâle se répend dans la pièce. Deux nouvelles cannettes. Il me fait parler d'Alexandre. On lui casse du sucre dessus. Encore deux canettes.

— Bon allez, moi je vais prendre une douche.

Il se retourne, pend sa chemise à un cintre, son dos est une vraie sculpture grecque, défait sa ceinture; le fute tombe tout seul découvrant un minislip bleu qui lui moule un cul de rêve. Il plie le fute sur une chaise et plus désinvolte, vire le slip et me l'envoie à 20 cm devant moi. Sa bitte est lourde, de 17 cm, épaisse, circoncise. Son pubis est noir, ses couilles pendantes autour de la bitte sont comme des oeufs de caille. Il a un corps superbe, athlétique, imberbe.

Il prend sa canette, boit une gorgée en renversant la tête en arrière, passe son autre main sous ses couilles pour les gratter négligemment - je le regarde médusé. Il est tout simplement beau. Je suis en sueur, je sens mon coeur palpiter, ma bitte est en pleine érection et j'ai mis mon haut de survet dessus pour que cela ne se voit pas. Il me regarde soudain le regarder, son regard noir me percute en pleine tête, je n'ose rien dire, je suis hypnotisé; sa réponse est cinglante:

— Arrête de me mater comme ça, on dirait un pédé en manque de queue et ça à plutôt tendance à la réveiller qu'autre chose.

Je baisse les yeux immédiatement sur sa bitte et la voit se lever lentement pour finir raide, telle une barre pointant vers le ciel, 22 cm épaisse, tellement rigide que personne ne la croirait faite de chair. Le salaud se la caresse un peu, fier de cette emblème sans équivoque de sa virilité. Je baisse les yeux à terre, rougis. L'odeur de son intimité me fait suer de la raie comme une salope qui mouille, je me racle la gorge:

— Écoute je vais partir.

— À genoux putain et suce, t'en meurs d'envie!

Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait mais lentement j'ai obéis et me suis mis à genoux devant lui, bouche ouverte au milieu de la piaule. Il me prend la tête et pose son gland sur mes lèvres. L'odeur de pisse qu'il exhale me fait presque jouir dans mon fute. Je le lèche et réalise alors que j'avais toujours rêvé de faire cela avec la bitte d'Alexandre. Il s'enfonce dans ma bouche lentement mais sûrement. Je lève les yeux. Il regarde le plafond et guide ma bouche en me tenant au menton et au front. Il se retire, me fais lécher ses couilles, puis se réintroduit - là, je fais moins gaffe, laisse traîner mes dents. La réaction ne se fait pas attendre, il se retire d'un coup, me flanque une baffe qui m'envoie à terre, un coup de pied dans les couilles.

— Eh pédé, c'est pas une brosse à dent, compris?

Je comprends à peine ce qui m'arrive, suis fatigué, un peu saoul, meurtri, les larmes me montent aux yeux. Son regard change, il se couche à coté de moi (nu sur un sol de ciment, ça me laisse à posteriori admiratif), m'embrasse sur le front doucement:

— Pardon, déssappe toi, on sera mieux.

Il se lève et se couche sur son lit. Je me lève à mon tour, me dénude devant lui, un peu honteux de ma bitte de 18 cm seulement qui se dresse toujours et le rejoins encore heureux qu'un tel mec m'accepte. Il s'allonge sur le dos, mains sous la nuque et ferme les yeux.

— Vas-y régale toi!

Sa bitte est raide comme un piquet vers le ciel. Je l'engloutis comme un cadeau en mettant bien mes lèvres entre mes dents et sa peau. Il me tient la tête et me force à en prendre un peu plus à chaque fois, penètre dans ma gorge, des larmes coulent de mes yeux, du sang de mes lèvres. Ses coups de bittes se font de plus en plus brutaux, et là, je manque de vomir. Il se retire en me tirant par les cheuveux.

— Putain tu fais chier...

J'ai de la bave plein le menton qui coule sur son lit.

— Oh merde salaud, quels crado ce mec!

Il me fait sans ménagement prendre sa place mais sur le ventre, se couche sur moi, je sens sa bitte dans ma raie. 

Là j'ai peur, je comprends et vais crier que déjà il m'enfonce son slibard pisseux dans la bouche, tient de l'autre main mes deux poignets dans mon dos et s'enfonce dans mon cul d'un grand coup de reins inexorable. Je sens mes entrailles s'écarter pour laisser passer ce membre impérieux, gueule et chialle de douleur comme un môme. Lui râle de plaisir à mon oreille, j'éjacule sur son lit tandis qu'il ressort pour s'enfoncer de nouveau. Un troisième aller-retour lui sera fatal et je sens son corps dominateur se convulser de plaisir tandis qu'il me crache sa semence planté au plus profond de moi.

 

 

Il retombe. Nous sommes couverts de sueur. Le sperme que j'ai lâché sous moi exhale son parfum acre. Lui reste planté dans mon cul, satisfait de ma docilité. Il me serre dans ses bras.

— T'as aimé salope?

Say hello to Enzo and his big long uncut cock. He’s a French guy, 30 years old, weighs 209 lbs, and loves to workout. Originally he was approached at a gym to do a nude massage video but ended up blowing two huge cumshots on camera as well. If you look closely as he stands up, you can see the cum splatters all over his lower abdominal and upper pubic area. Gay porn gif taken from the Enzo jerk off video at Keum Gay. ( via keumgay.com )

Il me retire le slip de la bouche. Heureux je ne sais que lui répondre:

— Oui Kader.

Animated gif of U.S. Navy sailor Domenic holding his legs wide open as U.S. Marine Axl fucks him in the ass. I love watching that ass bounce up and down as if he’s twerking it. Military gay porn gif taken from the Axl and Domenic porn video at Active Duty. ( via activeduty.com ) For more gay porn gifs, follow Naked Straight Guys.

 

 

 

 

 

Par Batard - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 mai 5 09 /05 /Mai 05:45

LUTTEURS GAY WRESTLERS+SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES

 Mon fils partage son copain avec moi

 

Je dis à mon fils:

 

— Viens, prends-moi! C’est toi que je veux en moi. Encule-moi avec ta belle queue!

Ça n'a pas tardé, il s’est installé entre mes jambes et enfin il entre en moi. Je le sens bouger... c’est meilleur avec une vraie queue et le petit vicieux, il sait s’en servir! Il me travaille tellement bien que je monte au septième ciel et à le voir, lui aussi! Je ne tiendrai plus longtemps et aussitôt que je le sens venir en moi et qu’il lâche tout son jus, je jette la sauce à mon tour tellement le plaisir est intense. Je mets mes jambes autour de ses reins pour pas qu’il se retire tout de suite, je veux le garder en moi le plus longtemps possible... Il me sourit, tout heureux de m’avoir fait jouir encore une fois et c’est réciproque...

 

 

On a décidé d’aller prendre une douche et de se coucher, ce serait mieux si on veut se lever tôt demain pour la pêche. Aussitôt couchés, vers les 23h, une auto arrive près du chalet... Un gars en sort et Marc reconnaît son copain de travail chez Mac Donald. Vu qu’on était nu, on a mis un slip et Marc le fait entrer, tout content de le voir. Il a décidé de prendre un congé et de venir à la pêche avec lui. Il me présenta à son copain Éric: 18 ans, environ 1,80 m, bien bâti et beau comme ça se peut pas, avec une paire de fesses extraordinaires... Quel cul! J’en bandais presque... On a fait connaissance, pris une couple de bières et Éric a voulu prendre une douche. Parfait, je vais le voir torse nu. On entendait l’eau couler et pendant ce temps, Marc me dit qu'il est lutteur lui aussi et qu’il aimerait bien se le faire. Ça fait longtemps qu’il le désire et il me demande comment je le trouve.

— Super beau mâle! que je lui dis. Et pour t’aider ce soir, je vous laisse le grand lit, ce sera plus facile pour toi et, je pense, te connaissant, que tu vas l’avoir à toi avant le matin et moi plus loin, dans l’autre petit lit, je vais guetter ça. Et c’est certain que je vais fantasmer si j’entends du bruit.

Enfin, il a fini par sortir de la douche et avec une serviette autour de la taille. Wow! Il est taillé au couteau et j’envie mon fils de coucher à côté de ce super beau mâle et je crois qu’il se rend compte de l’attrait qu’il exerce sur nous car on le mange des yeux.

Il sort de son bagage un slip qu’il enfile devant nous mais en nous tournant le dos, ce qui nous a donné une vue magnifique sur son cul qui est aussi bronzé que le reste de son corps. Il a mis un mini-slip blanc, ce qui le rend très sexé. On se conte des histoires de pêche et on prend de la bière et Marc décide qu’il faut fumer un joint pour fêter son anniversaire.  Nous sommes d’accord et on s’assoit les trois sur le grand lit.

On fait des farces et on rigole de rien. Marc et Éric se tiraillent un peu sur le lit et ils commencent à lutter. Marc est sur lui et il en profite pour se frotter le paquet sur celui d’Éric qui commence déjà à avoir toute une érection. Il veut se tourner de bord mais Marc ne lui en laisse pas la chance; la queue lui sort presque du slip tellement il bande. Il ne sait plus où se mettre. Il y a même des taches de mouille sur son slip! Il ne semble pas gêné pour autant, amorti par le joint sans doute... Il me demande de l’aider pour avoir le dessus sur Marc et je lui dis:

— Pas question! Je vais plutôt l’aider lui...

Et je lui empoigne les bras et les maintiens au-dessus de sa tête... Marc s’est assis sur ses jambes pour l’immobiliser, il est à notre merci et, plus il se débat, plus son slip descend. On commence à voir ses poils et tout ça commence à m’exciter grave... Marc le chatouille partout pour l’exciter et mine de rien, lui passe la main souvent sur son slip et accroche sa queue au passage. Moi j’en profite pour approcher mon paquet de ses mains pour qu'il sente bien combien je suis bandé et je dis à Marc en lui faisant un clin d’œil:

— Faudrait bien voir ça ce qu’il a dans son slip, si c’est bien une vraie! Touche pour voir...

Et Marc s’est pas fait prier longtemps. Éric se débattait de plus belle, Marc l’empoigne à pleine main et se permet de le masturber un peu avant de descendre un peu son slip , mais juste assez pour voir le gland pointer hors du slip. Il criait:

— Non pas ça! Maudits cochons, faites pas ça!

Mais Marc le descend encore un peu plus et sa queue se libère complètement et se dresse bien droite dans les airs. Il bouge du bassin, veut se libérer mais je le tiens ferme par les mains que je presse sur mon slip et Marc continue de baisser son slip qui est rendu aux genoux. Bordel qu’il est beau dans sa nudité et tellement désirable! J’ai envie de me jeter sur sa queue et la dévorer mais Marc me devance et la prend dans sa main et commence un va-et-vient qui lui arrache des soupirs de plaisir. Il s’offre de plus en plus aux caresses de Marc qui , de son autre main, joue avec ses couilles . Il aime et ça paraît! Je sens ses doigts qui fouillent mon slip et il entre une main pour jouer avec ma queue qui est ravie de sortir de sa prison. Marc le travaille toujours et il se décide enfin à la prendre en bouche et à déguster ce beau mâle qui ne demande que ça.

Il la nettoie de son jus et le suce en profondeur. Il se régale enfin de son copain! Il lui a ouvert les jambes et fouille son intimité dans les moindres recoins de son cul. Éric est parti dans un autre monde tellement il jouit...

 

Handsome guy gets banged by daddy gay and his friend  Johnny Rapid and Billy Santoro in Father Figure © Men.com 

Moi je me penche et je suce ses mamelons et j’approche ma queue de sa bouche qui est toute proche. Marc me regarde et me fait signe que oui. Je la dépose sur ses lèvres pour voir sa réaction, il ne bouge pas alors je tourne sa tête vers ma queue et je pousse sur ses lèvres. Il ne fait rien... J’arrête de pousser... Marc voyant cela lui ouvre les cuisses au maximum et commence à entrer sa langue dans son cul et lui lèche les boules, ce qui a pour effet de lui faire lâcher un grand: "Ouiiiiiiiiiii!" et j'en profite pour pousser ma queue dans sa bouche ouverte. Il reste surpris, me regarde mais la garde en bouche.

Alors je commence un va-et-vient doucement pour ne pas trop l’effaroucher et je la rentre de plus en plus loin à chaque poussée et bientôt, je la rentre au complet. À ma grande joie, il commence à me sucer timidement mais il y prend vite goût et me la dévore presque. Je dois ralentir ses ardeurs car je vais juter dans sa bouche mais il est trop tard, c’est trop bon, je ne veux plus sortir de sa bouche. Je vais juter, il le devine, il veut se retirer mais je m’enfonce encore plus dans sa gorge. Il se débat mais je tiens ses mains et sa tête. Je vois la peur dans ses yeux mais le plaisir est tellement fort que je jouis au fond de sa bouche. Il est obligé d’avaler pour ne pas étouffer. Je ne me retiens pas, je lâche tout mon jus. Il a des spasmes de nausée mais je n’arrête pas. Je n’ai pas de pitié. Ses lèvres touchent mon poil et je le force à me garder en bouche jusqu’à la dernière goutte...

Ses yeux sont mouillés, il me supplie du regard mais en vain.

Marc de son côté, je le vois s’installer la queue bien bandée entre ses jambes, juste à l’entrée de son anus. Éric le sent et il se débat de plus belle et je dis à Marc:

— Tu peux y aller, je le tiens bien...

— Tu va pas faire ça? Je t’en prie... Non, ne me fourre pas!

Il s’est mis à crier et, pour le faire taire, je me suis viré de bord et je m’assieds sur son visage, mon cul sur sa bouche et je regarde Marc pousser son membre dans son cul. Je lui tenais les jambes bien écartées. Il avait beau bouger, il n'a pu empêcher Marc de l’enculer et quel spectacle de voir ce mâle se faire violer. Marc prenait son pied, il avait le visage déformé par le plaisir intense qu’il ressentait. Il était en transe, je le regardais jouir: ce qu’il était beau ainsi en plein travail! Il sortait complètement sa queue et la rentrait aussitôt au fond, dans la chaleur de son cul, et il lâcha toute la sauce au plus profond de son ventre en criant son plaisir. Il se retire de son cul et maintenant on va s’occuper du bel Éric... Il fallait à tout prix s’occuper de lui...

Marc a commencé à lui lécher le cul et les couilles et moi je me penche pour lui sucer sa belle queue que je déguste. Je m’active du mieux que je peux, on le sent frémir, il aime! Il se fourre dans ma bouche, son poil me chatouille le nez et Marc donne tout ce qu’il peut lui aussi. Sa langue entre dans son cul, il lèche son propre sperme qu’il avale à mesure. Je sens la langue d’Éric qui lèche mon cul. Je me soulève pour lui faciliter la tâche mais il me retient sur son visage pour mieux me lécher et je sens même sa langue forcer mon cul pour entrer, ah quel cochon lui aussi! Je le sens se contracter, il va jouir. Je le garde dans ma bouche pour ne pas perdre une seule goutte de son jus, je ferme mes lèvres autour de son membre bandé à l’extrême et je bois tout ce qu’il me donne. J’en ai plein la bouche et je déguste à mon tour. Qu'il est bon ce jeune sperme ! 

Ouf quelle journée! Je me couche à côté d’Éric et Marc ne tarde pas à me rejoindre... On lui laisse le temps de reprendre ses esprits tout en le caressant et en l’embrassant partout... Il se joint à nous et ne nous en veut pas trop de l’avoir presque violé... Et tous les deux, on s’endort dans ses bras...

Au matin, je me réveille avec une drôle de sensation aux jambes et aux bras. Je voulais bouger mais je me suis rendu compte que j’étais attaché au lit, les jambes et les mains écartées, Marc et le bel Éric me regardaient. Ils étaient tous les deux nus et se caressaient l’entrejambe... Que voulaient-ils me faire au juste?

Marc s’approcha du lit et il me montra une grosse queue en plastique et Éric applaudissait déjà . Marc prit les commandes en mains:

— Et maintenant mon beau papa, ça va être ta fête!

Il monta sur le lit et mit une jambe chaque côté de ma tête et sa queue dans ma bouche. Pendant ce temps, Éric me fait bander bien dur en me suçant. Il me mit du gel dans la raie et il me montra la grosse queue noire et la positionna à l’entrée de mon cul... Je voulais crier mais j’avais la bouche pleine. Je pensais être écartelé quand je l’ai senti rentrer dans mon trou. J’étais ouvert au maximum... Le salaud! Il prenait sa revanche sur hier soir et mon fils, entre temps, s’est assis sur mon visage en me donnant l’ordre de lui lécher le cul. Le bel Éric pendant ce temps bougeait la queue de plus en plus vite et continuait de me sucer. C’était super bon, je fourrais la bouche d’Éric et je mangeais le cul de mon gars à grands coups de langue. J’étais fou de ses fesses. Je jouissais de partout. Je sentais la sauce venir et j’ai tout lâché dans sa bouche et je le sentais avaler. Ah! Quels merveilleux cochons sont ces jeunes! Marc se masturbe sur mon visage et jouit dans ma bouche et m’ordonne de tout manger et c’est avec plaisir que je le fais, c’est mon déjeuner et la journée ne fait que commencer.

C’est ainsi que je suis devenu le vide-couilles de mon fils et de son copain et pour rien au monde, je voudraient que ça cesse.... 

 

  Un joint pour fêter ça...

 

 

 

 

 

 

Par RAMBO - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 3 avril 4 03 /04 /Avr 02:34

 

 

 

 

 

Cette insoupçonnable jeune femme induit Gordon en  tentation ... Pensant vivre une "bonne fortune",

Le jeune homme se laisse docilement entraver...mutation, magie, coup monté avec un complice? On pense à la vengeance d'une femme séduite puis délaissée. A écouter Gordon il ne regrette pas son initiation forcée...en ce cas, la Dame en est-elle pour ses frais ou était-ce son but de le rendre esclave gay ?  

 

 

 

 

 

Je suis assis au bistrot seul face à une bière à la recherche d’une jolie fille dans la foule. Mais elles paraissent toutes accompagnées de garçons. Je scrute le moindre recoin pour dégoter celle qui ne serait pas trop vilaine et seule. C’est alors, que la porte s’ouvre pour faire entrer une jeune femme fabuleuse. Elle porte une jupe courte laissant apparaître des jambes fines. Son chemisier, bien ouvert, me permet de voir une poitrine bien proportionnée. Mes yeux remontent lentement vers son cou fin sur lequel je déposerais volontiers mes lèvres, pour atteindre son visage. Son maquillage est léger. Je déteste ces demoiselles qui se prennent pour un mur. Elles croient que pour être belle, il faut se peinturlurer avec du fond de teint et un rouge à lèvre bien trop prononcé. Elles n’ont pas compris la différence entre ressembler à un top modèle et ressembler à une pute. La divinité qui vient d’apparaître a des cheveux d’un blond magnifique qui tombent en cascade sur ses épaules. Je ne peux m’empêcher de la regarder, tant ca me parait être un rêve. J’espère qu’elle n’est pas attendue par un compagnon ou qu’elle n’attend pas elle-même un ami.

Mon inquiétude retombe rapidement pour un sentiment de déception. En effet, elle regarde autour d’elle semblant rechercher quelqu’un. Mais tout à coup, nos regards se rencontrent. Je ne peux, pour la première fois de ma vie, soutenir son regard et me détourne. Pourtant quelques secondes après, j’entends:

— Bonsoir.

— Heu, bonsoir, réponds-je sur un ton assez bête.

— Moi c’est Karen. Et vous?

— Heu... Matthew.

Je lui tends la main sans savoir vraiment ce que je fais. Elle me la prend pour me saluer et malgré la sensation de poigne que je ressens, j’ai mon cœur qui bat vite. J’ai l’impression que toute la salle peut l’entendre malgré le bruit qui nous entoure. Malgré la fermeté de sa poignée de main, je suis impressionné par la douceur de sa peau sous mes doigts qui s’attardent un peu trop dans sa main. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de fixer le bleu des siens. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme, et si c’est vrai, Karen semble lire et décortiquer la mienne. Elle esquisse un léger sourire. — Enchanté de te connaître Matthew.

— Moi de même.

— Tu attends quelqu’un?

— Heu... non.

Tiens j’ai perdu mon humour habituel. Avec une autre personne, j’aurais certainement répondu «Oui, toi!», mais là j’ai l’impression que je ne peux lui mentir, ou jouer de mes charmes.

— Tu veux qu’on parte?

— Pour?

Quel crétin! J’aurais pu lui dire «où tu veux». Mais décidemment, rien ne va plus ce soir. Elle semble m’avoir prise dans ses filets.

— Ok, je rajoute rapidement.

Quelques minutes après, nous sommes enfin arrivés chez moi. Nous avons pris ma voiture. Nous avons décidé qu’elle viendrait chercher la sienne plus tard. À peine la porte ouverte, Karen se jette sur moi et me colle au mur. Ses lèvres se posent sur les miennes. Elles sont douces. Je sens l’excitation monter en moi. Monter, c’est vite dit! Je suis déjà excité depuis un petit moment. Mais là cela s’amplifie. Je ne contrôle plus rien. Je pose mes mains sur ses hanches, pour les faire glisser sur ses fesses, mais elle attrape mes poignets pour me coller les bras au mur.

— Laisse-toi faire mon ange. Elle nous prépare un whisky au mini-bar.

C’est tout nouveau pour moi. D’habitude, c’est moi qui contrôle tout mais pour la première fois de ma vie, j’apprécie ce qui se passe. Karen m’entraîne rapidement dans ma chambre. Tiens, c’est bizarre qu’elle sache où elle est; mais bon je ne veux pas réfléchir à cela pour l’instant. Je ne veux penser qu’à elle et à la baiser. Elle me renverse en arrière sur le lit et pose ses mains sur mes cuisses. Ses caresses sont douces. Elle descend lentement vers mes baskets qu’elle dénoue lentement. Veut-elle me torturer? C’est déjà fait. En effet, je bande tellement que ma queue est compressée dans le boxer que je porte. Elle enlève lentement une chaussure, puis l’autre, en profitant pour me masser le pied. Lascivement, elle remonte vers ma taille pour ouvrir ma ceinture et me libérer de ma prison de tissu. Se redressant lentement, elle ouvre son chemisier et laisse apparaître une poitrine harmonieuse avec deux seins ressemblant à deux belles poires. Je suis hypnotisé par son corps. Elle fait glisser lentement mon pantalon et mes chaussettes. Elle remonte ses mains le long de mes hanches, pour venir me caresser la peau sous le tissu de mon t-shirt que bientôt elle enlève. Allongé sur le lit, je suis en boxer, la queue raide comme jamais elle ne l’a été dans ma vie. Elle défait sa jupe, puis fait glisser ses bas. Sa culotte s’envole rapidement. Je vois son sexe avec sa toison d’or qui me subjugue. Karen vient m’embrasser sur le torse tout en prenant mes bras qu’elle relève afin que mes mains attrapent les barreaux de mon lit. Son sourire est enjôleur. Elle se redresse pour rattraper ses bas. Je devine rapidement où elle veut en venir. Elle désire m’attacher. Je ne l’ai jamais fait mais pour elle je serais prêt à tout. Je me laisse faire pendant qu’elle serre les liens autour de mes poignets.

J’ai l’impression que le jeu va pouvoir commencer. Mais à peine attaché, elle se redresse face à moi. J’ai la vue qui se brouille. Le monde autour de moi semble être flou. Le corps de Karen vacille, se métamorphose sous mes yeux. Il me semblait qu’elle avait de longs cheveux blonds mais non. Mais non, ils sont courts et bruns comme les miens. Je dois rêver. Que m’a-t-elle fait? J’essaie de me concentrer sur ce que je vois. Je regarde attentivement son corps. Plus de poitrine! Des pectoraux musclés sur lesquels se détache une toison brune. Des bras musclés. Des abdominaux dessinés. Un cou robuste. Des mains puissantes. Des cuisses velues. Un sexe d’homme! Je deviens fou? Non l’image face à moi ne bouge plus. L’homme en face de moi me sourit. Je cherche son regard; ce sont toujours ces mêmes yeux bleus qui m’ont impressionné. J’essaie de hurler, mais aucun son ne sort de ma gorge. Je suis pris au piège sur mon lit, nu à la merci d’un violeur inconnu.

— Ce n’est pas la peine, mon ange. Tu ne pourras pas parler pendant quelques minutes...je suis sans volonté...ah ce whisky...

L’homme face à moi est doté d’une queue impressionnante. La mienne doit faire dix-neuf centimètres en érection, mais la sienne doit bien faire vingt-trois centimètres. Mes idées se chamboulent dans mon crâne. Que va-t-il me faire? Que vais-je devenir? Il se penche sur mon corps, embrassant mon boxer, mouillant petit à petit de sa langue le tissu protecteur. Veut-il me faire l’amour? J’ai perdu mon érection. J’essaie de penser à autre chose. Des larmes coulent sur mes joues. Je n’ai que la certitude qu’il va me violer. Ses doigts s’insinuent sous le tissu, caressant lentement ma peau. Il fait glisser mon boxer, et attrape ma queue flasque entre ses doigts. Il dépose sa langue sur mes couilles, puis la remonte lentement vers mon gland pour l’attraper entre ses lèvres. Cela dure quelques secondes puis il engloutit mon sexe dans sa bouche. Il me suce lentement. Malgré la honte que je ressente, je ne peux m’empêcher de bander sous les assauts de sa langue. Aucune femme ne m’a encore fait une telle fellation. Et pourtant j’arrivais toujours à m’en faire faire une, même avec les plus coincées d’entre elles. Pour certaines, j’ai eu beau leur expliquer ce qu’il fallait faire, je n’ai jamais eu autant de plaisir qu’en ce moment. Ce démon savait exactement ce qu’il fallait faire pour me faire monter au ciel.

Il caresse mes cuisses, remonte lentement sur mon ventre pour atteindre mes pectoraux. Il me pince chacun de mes tétons tout en continuant sa succion sur mon sexe qu’il engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer. C’est souvent à ce moment que je ne tarde pas à jouir mais il arrête soudain ses caresses buccales. Il attrape mes cuisses qu’il relève et écarte. Je veux résister, mais mon corps ne m’écoute pas. Je sens quelque chose sur ma rondelle. Ça ne peut être que sa langue qui passe sur ma peau douce. C’est une sensation nouvelle pour moi. Je lâche un soupir de contentement. Sa langue s’insinue dans mon trou qui semble s’ouvrir sans aucune difficulté. Il se redresse pour me faire face, la queue bien raide qu’il approche de mon trou. Son gland est posé sur ma rosette. Il force, je ne peux résister. Sa queue rentre, je ne peux résister. Il me prend, je ne veux résister. Je suis maintenant un enculé mais je ne peux résister, et même si je pouvais, je ne le voudrais pas tellement je prends du plaisir à ses assauts. Il sort sa queue et la rentre, encore et encore. Mon trou est bien ouvert, des frissons parcourent mon corps. C’est une sensation étrange mais tellement jouissive.

— Hunnnh, oui c’est bon.

Tiens je parle de nouveau! Je pourrais hurler enfin à l’aide mais je savoure chacune des pénétrations de son sexe en moi. Il me possède et je suis à lui tout offert.

— Oh oui prends moi!

— Oui mon amour, tu es enfin à moi.

Je sens ses mouvements s’accélérer. Son souffle se faire plus rapide, ses coups plus durs. Il explose en moi hurlant sa jouissance. À peine ayant senti sa semence en moi, je Ayahuasca-2m’évanouis de plaisir.

 

Par Gordon - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 14 février 5 14 /02 /Fév 12:02

SOUMISSION & DOUCES VIOLENCES

 

 

 

 

Par JIZZER - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 17 janvier 5 17 /01 /Jan 14:09

 

de la médecine au bdsm

 

<application bdsm>   

 

 

 

Mannequin  de soins infirmiers pour la formation des élèves :

ll Convient aux soins suivants:
- hygiène intime et soins de la bouche (prothèse partielle amovible)
- mise au lit avec possibilité de mouvements
- bandage et mise en place de pansements pour plaies (y compris le pansement d’un moignon)
- rinçage (oeil, oreille, nez, estomac, intestin, vessie)
- injections (intramusculaires et sous-cutanées)
- administration d’oxygène
- soins de l’orifice de trachéotomie

 

L'infirmière

 

Il y a des choses que je ne peux pas faire sans réticence bien que cela fasse partie de mon travail. Je n'ai pas à m'occuper de la toilette intime de patients masculins alités . Quand je suis forcée de le faire je rougis comme une tomate et peux à peine mener à bien le travail. L'infirmière-chef sait cela et est déterminée "à me guérir" en m'assignant les travaux qui m'embarrassent.

 

C'est une vieille sorcière sadique, elle m'a une fois fait intaller un cathéter chez un patient masculin. J'en parle parce qu'un infirmier de service, présent ce jour-là, pouvait être désigné pour le faire. Bien sûr, tous les infirmiers ont soutenu cette décision de l'infirmière major et j'étais coincée. Quand elle m'a dit d'insérer un cathéter sur un patient masculin que je connaissais comme vicieux,  je l'ai détestée, mais j'étais déterminée à le faire comme il faut.

Auparavant j'étais tombée sur ce patient en train de se masturber et il m'avait vue rougir. Je lui ai dit ce que j'allais faire et que s'il bougeait cela pourrait être douloureux. Quand j'ai saisi son pénis il était déjà à moitié dur et carrément  énorme. Je rougissais déjà tellement. J'ai dû tenir son pénis et nettoyer le gland avec l'iode.

Alors que je tenais son pénis de ma main gauche il est devenu si raide que je ne pouvais pas le maintenir à l'horizontale ce qui rendait le travail encore plus difficile. Il a continué à faire des remarques obscènes. J'ai été déterminée à finir le travail donc de nettoyer la zone, selon la procédure en utilisant 3 cotons d'iode.

Alors j'ai commencé à insérer le cathéter. J'avais déjà préparé la seringue pour gonfler le ballon. Je savais(connaissais) si j'ai gonflé le ballon tandis que c'était toujours dans son urètre, il causerait la douleur extrême. C'est à ce moment-là que j'ai décidé d'obtenir ma vengeance. J'ai inséré le cathéter une quantité(un montant) qui devrait avoir placé(situé) le ballon dans sa vessie, mais je savais qu'à cause de la longueur de son pénis, plus de 10 pouces,

Le ballon était toujours dans son urètre. J'ai donné à la seringue d'eau une poussée dure qui a étendu le ballon dans son urètre. Il a glapi dans la douleur et presque immédiatement son érection s'est effacée. Je lui ai dit de se tenir toujours ou il ferait mal plus mauvais. Alors je pulsé la seringue plusieurs fois, chaque fois il ai libéré un glapissement. Alors j'ai dégonflé la seringue pour faire rétrécir le ballon et ai poussé le cathéter dans sa vessie.

Le ballon était toujours dans son urètre. J'ai donné à la seringue d'eau une forte poussée qui a gonflé le ballon dans son urètre. Il a glapi dans la douleur et presque immédiatement son érection s'est effacée. Je lui ai dit de se tenir toujours ou qu'il aurait encore plus mal. Alors j'ai pulsé la seringue plusieurs fois, chaque fois il a émis un glapissement. Alors j'ai baissédégonflé le ballon avec la seringue pour le faire rétrécir et j'ai poussé le cathéter dans sa vessie.

Le reste de l'opération a été achevé sans qu'il dise un mot. Il ne nous a jamais procuré aucun ennui après cela, il était devenu un chat domestique.

laisser les organes génitaux à découvert

 

Installation d'un cathéter vésical à demeure chez l`hommeMatériel requis

 

  • Lorsque le calibre et le type de sonde ne sont pas prescrits, utilisez une sonde Foley #16.
  • Administrer le gel de lidocaïne et de chlorexidine (instillagel) en seringue pour tous les clients masculins.
  • 2 cathéters urinaires stériles, à 2 ou 3 lumières, de calibre et de longueur approprié
    • le 2e est utilisé en cas de contamination seulement
  • 1 nécessaire à installation de cathéter urinaire stérile comprenant
    • un champ (enveloppe du plateau) pour le matériel stérile
    • un champ (ou piqué) imperméable
    • un champ fenêtré
    • un récipient gradué contenant
      • un petit contenant
      • 5 boules de ouate ou tampons absorbants
      • une paire de gants stériles
      • un sachet de solution antiseptique
        • prévoir un autre type de solution, selon le protocole de l'établissement, si
          • l'usager est allergique à la solution inclue dans le nécessaire
          • Prendre un tampon imbibé de solution antiseptique avec la pince
          • Désinfecter le méat urinaire selon un mouvement circulaire du méat vers la base du gland le cathéter est non compatible avec la solution incluse dans le nécessaire
        •  
          Alerte clinique Si une trop grande résistance est ressentie en gonflant le ballonnet ou s’il y a douleur, le cathéter n’est peut-être pas assez avancé dans la vessie :
        •  Gonfler le ballonnet en injectant doucement la quantité requise d'eau stérile
          Raccorder le cathéter à la tubulure du sac de drainage
        • le sac ne doit pas toucher le sol

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

transparent hella gays

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : CHRO-NIQUES & INVITES (GAYS BI HET... ETC) I - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

Archives

Images Aléatoires

  • BOBEUR 11
  • BITE 016
  • 927 1000
  • BW looking down
  • arabic123
  • LUTTE FABIEN 008

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés