Partager l'article ! SAUTER LE PAS...DE FORCE !!!: ...
Cette insoupçonnable jeune femme induit Gordon en tentation ... Pensant vivre une "bonne fortune", Le jeune homme se laisse docilement entraver...mutation, magie, coup monté avec un complice? On pense à la vengeance d'une femme séduite puis délaissée. A écouter Gordon il ne regrette pas son initiation forcée...en ce cas, la Dame en est-elle pour ses frais ou était-ce son but de le rendre esclave gay ?
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Je suis assis au bistrot seul face à une bière à la recherche d’une jolie fille dans la foule. Mais elles paraissent toutes accompagnées de garçons. Je scrute le moindre recoin pour dégoter celle qui ne serait pas trop vilaine et seule. C’est alors, que la porte s’ouvre pour faire entrer une jeune femme fabuleuse. Elle porte une jupe courte laissant apparaître des jambes fines. Son chemisier, bien ouvert, me permet de voir une poitrine bien proportionnée. Mes yeux remontent lentement vers son cou fin sur lequel je déposerais volontiers mes lèvres, pour atteindre son visage. Son maquillage est léger. Je déteste ces demoiselles qui se prennent pour un mur. Elles croient que pour être belle, il faut se peinturlurer avec du fond de teint et un rouge à lèvre bien trop prononcé. Elles n’ont pas compris la différence entre ressembler à un top modèle et ressembler à une pute. La divinité qui vient d’apparaître a des cheveux d’un blond magnifique qui tombent en cascade sur ses épaules. Je ne peux m’empêcher de la regarder, tant ca me parait être un rêve. J’espère qu’elle n’est pas attendue par un compagnon ou qu’elle n’attend pas elle-même un ami.
Mon inquiétude retombe rapidement pour un sentiment de déception. En effet, elle regarde autour d’elle semblant rechercher quelqu’un. Mais tout à coup, nos regards se rencontrent. Je ne peux, pour la première fois de ma vie, soutenir son regard et me détourne. Pourtant quelques secondes après, j’entends:
— Bonsoir.
— Heu, bonsoir, réponds-je sur un ton assez bête.
— Moi c’est Karen. Et vous?
— Heu... Matthew.
Je lui tends la main sans savoir vraiment ce que je fais. Elle me la prend pour me saluer et malgré la sensation de poigne que je ressens, j’ai mon cœur qui bat vite. J’ai l’impression que toute la salle peut l’entendre malgré le bruit qui nous entoure. Malgré la fermeté de sa poignée de main, je suis impressionné par la douceur de sa peau sous mes doigts qui s’attardent un peu trop dans sa main. Mes yeux ne peuvent s’empêcher de fixer le bleu des siens. On dit que les yeux sont le miroir de l’âme, et si c’est vrai, Karen semble lire et décortiquer la mienne. Elle esquisse un léger sourire. — Enchanté de te connaître Matthew.
— Moi de même.
— Tu attends quelqu’un?
— Heu... non.
Tiens j’ai perdu mon humour habituel. Avec une autre personne, j’aurais certainement répondu «Oui, toi!», mais là j’ai l’impression que je ne peux lui mentir, ou jouer de mes charmes.
— Tu veux qu’on parte?
— Pour?
Quel crétin! J’aurais pu lui dire «où tu veux». Mais décidemment, rien ne va plus ce soir. Elle semble m’avoir prise dans ses filets.
— Ok, je rajoute rapidement.
Quelques minutes après, nous sommes enfin arrivés chez moi. Nous avons pris ma voiture. Nous avons décidé qu’elle viendrait chercher la sienne plus tard. À peine la porte ouverte, Karen se jette sur moi et me colle au mur. Ses lèvres se posent sur les miennes. Elles sont douces. Je sens l’excitation monter en moi. Monter, c’est vite dit! Je suis déjà excité depuis un petit moment. Mais là cela s’amplifie. Je ne contrôle plus rien. Je pose mes mains sur ses hanches, pour les faire glisser sur ses fesses, mais elle attrape mes poignets pour me coller les bras au mur.
— Laisse-toi faire mon ange. Elle nous prépare un whisky au mini-bar.
C’est tout nouveau pour moi. D’habitude, c’est moi qui contrôle tout mais pour la première fois de ma vie, j’apprécie ce qui se passe. Karen m’entraîne rapidement dans ma chambre. Tiens, c’est bizarre qu’elle sache où elle est; mais bon je ne veux pas réfléchir à cela pour l’instant. Je ne veux penser qu’à elle et à la baiser. Elle me renverse en arrière sur le lit et pose ses mains sur mes cuisses. Ses caresses sont douces. Elle descend lentement vers mes baskets qu’elle dénoue lentement. Veut-elle me torturer? C’est déjà fait. En effet, je bande tellement que ma queue est compressée dans le boxer que je porte. Elle enlève lentement une chaussure, puis l’autre, en profitant pour me masser le pied. Lascivement, elle remonte vers ma taille pour ouvrir ma ceinture et me libérer de ma prison de tissu. Se redressant lentement, elle ouvre son chemisier et laisse apparaître une poitrine harmonieuse avec deux seins ressemblant à deux belles poires. Je suis hypnotisé par son corps. Elle fait glisser lentement mon pantalon et mes chaussettes. Elle remonte ses mains le long de mes hanches, pour venir me caresser la peau sous le tissu de mon t-shirt que bientôt elle enlève. Allongé sur le lit, je suis en boxer, la queue raide comme jamais elle ne l’a été dans ma vie. Elle défait sa jupe, puis fait glisser ses bas. Sa culotte s’envole rapidement. Je vois son sexe avec sa toison d’or qui me subjugue. Karen vient m’embrasser sur le torse tout en prenant mes bras qu’elle relève afin que mes mains attrapent les barreaux de mon lit. Son sourire est enjôleur. Elle se redresse pour rattraper ses bas. Je devine rapidement où elle veut en venir. Elle désire m’attacher. Je ne l’ai jamais fait mais pour elle je serais prêt à tout. Je me laisse faire pendant qu’elle serre les liens autour de mes poignets.
J’ai l’impression que le jeu va pouvoir commencer. Mais à peine attaché, elle se redresse face à moi. J’ai la vue qui se brouille. Le monde autour de moi semble être flou. Le corps de Karen vacille, se métamorphose sous mes yeux. Il me semblait qu’elle avait de longs cheveux blonds mais non. Mais non, ils sont courts et bruns comme les miens. Je dois rêver. Que m’a-t-elle fait? J’essaie de me concentrer sur ce que je vois. Je regarde attentivement son corps. Plus de poitrine! Des pectoraux musclés sur lesquels se détache une toison brune. Des bras musclés. Des abdominaux dessinés. Un cou robuste. Des mains puissantes. Des cuisses velues. Un sexe d’homme! Je deviens fou? Non l’image face à moi ne bouge plus. L’homme en face de moi me sourit. Je cherche son regard; ce sont toujours ces mêmes yeux bleus qui m’ont impressionné. J’essaie de hurler, mais aucun son ne sort de ma gorge. Je suis pris au piège sur mon lit, nu à la merci d’un violeur inconnu.
— Ce n’est pas la peine, mon ange. Tu ne pourras pas parler pendant quelques minutes...je suis sans volonté...ah ce whisky...
L’homme face à moi est doté d’une queue impressionnante. La mienne doit faire dix-neuf centimètres en érection, mais la sienne doit bien faire vingt-trois centimètres. Mes idées se chamboulent dans mon crâne. Que va-t-il me faire? Que vais-je devenir? Il se penche sur mon corps, embrassant mon boxer, mouillant petit à petit de sa langue le tissu protecteur. Veut-il me faire l’amour? J’ai perdu mon érection. J’essaie de penser à autre chose. Des larmes coulent sur mes joues. Je n’ai que la certitude qu’il va me violer. Ses doigts s’insinuent sous le tissu, caressant lentement ma peau. Il fait glisser mon boxer, et attrape ma queue flasque entre ses doigts. Il dépose sa langue sur mes couilles, puis la remonte lentement vers mon gland pour l’attraper entre ses lèvres. Cela dure quelques secondes puis il engloutit mon sexe dans sa bouche. Il me suce lentement. Malgré la honte que je ressente, je ne peux m’empêcher de bander sous les assauts de sa langue. Aucune femme ne m’a encore fait une telle fellation. Et pourtant j’arrivais toujours à m’en faire faire une, même avec les plus coincées d’entre elles. Pour certaines, j’ai eu beau leur expliquer ce qu’il fallait faire, je n’ai jamais eu autant de plaisir qu’en ce moment. Ce démon savait exactement ce qu’il fallait faire pour me faire monter au ciel.
Il caresse mes cuisses, remonte lentement sur mon ventre pour atteindre mes pectoraux. Il me pince chacun de mes tétons tout en continuant sa succion sur mon sexe qu’il engloutit jusqu’au fond de sa gorge. Je sens mon rythme cardiaque s’accélérer. C’est souvent à ce moment que je ne tarde pas à jouir mais il arrête soudain ses caresses buccales. Il attrape mes cuisses qu’il relève et écarte. Je veux résister, mais mon corps ne m’écoute pas. Je sens quelque chose sur ma rondelle. Ça ne peut être que sa langue qui passe sur ma peau douce. C’est une sensation nouvelle pour moi. Je lâche un soupir de contentement. Sa langue s’insinue dans mon trou qui semble s’ouvrir sans aucune difficulté. Il se redresse pour me faire face, la queue bien raide qu’il approche de mon trou. Son gland est posé sur ma rosette. Il force, je ne peux résister. Sa queue rentre, je ne peux résister. Il me prend, je ne veux résister. Je suis maintenant un enculé mais je ne peux résister, et même si je pouvais, je ne le voudrais pas tellement je prends du plaisir à ses assauts. Il sort sa queue et la rentre, encore et encore. Mon trou est bien ouvert, des frissons parcourent mon corps. C’est une sensation étrange mais tellement jouissive.
— Hunnnh, oui c’est bon.
Tiens je parle de nouveau! Je pourrais hurler enfin à l’aide mais je savoure chacune des pénétrations de son sexe en moi. Il me possède et je suis à lui tout offert.
— Oh oui prends moi!
— Oui mon amour, tu es enfin à moi.
Je sens ses mouvements s’accélérer. Son souffle se faire plus rapide, ses coups plus durs. Il explose en moi hurlant sa jouissance. À peine ayant senti sa semence en moi, je m’évanouis de plaisir.
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