Partager l'article ! un inceste pleinement justifié / femme infidèle, pas par plaisir, mais par nécessité.En effet quand comme moi, t’es marié avec un homme à la c ...
L'énorme bélier de mon fils
Damien.
Je m'appelle Damien, j'étais un gamin quelconque qui ne se faisait pas remarquer jusqu'à l'adolescence, quand la puberté est arrivée, mes camarades de classe se sont mis à m'appeler « l'âne ou l'étalon » : Il parait que je suis monté comme un cheval.
La douche après sport est devenue ma crainte, la piscine ma hantise. Je ne porte que des jeans larges pour camoufler cet appendice si encombrant. J'ai honte d'être considéré comme un animal de foire.
Appendice d'autant plus gênant que, sous l'effet de la montée hormonale caractéristique de cet âge, les tenues sexy de mes petites camarades provoquaient en moi des émois érectiles indésirables.
Lors des soirées, il m'était difficile de danser avec une fille de peur qu'elle se rende compte de mes attributs. N'étant pas un Apollon, je ne cherchais pas trop la compagnie des filles après des expériences malheureuses.
Plusieurs fois, je me suis fais draguer par des copines curieuses qui voulaient « toucher la queue de l'âne ». Mais quand je me mettais à bander, mon sexe en érection les faisaient fuir, quelques unes m'ont branlées ou sucées mais ce n'est jamais allé plus loin.
Et celles qui m'ont fais jouir n'en revenaient pas du volume de mes éjaculations.
Pas par manque d'envie, mais par manque de courage, je ne cherche plus de telles conquêtes. Je me rattrape en fantasmant sur ma sœur et ma mère que j'ai surprises plusieurs fois en cachette en tenue d'Eve.
1er chapitre. Jeanne Jeanne découvre que le corps de son fils a beaucoup évolué. Surtout une certaine partie.
Je m'appelle Jeanne, une femme d'âge mûr mais en manque de sexe.
En effet, mon mari est dans la marine sur un sous-marin nucléaire et ses missions durent plusieurs mois et je lui suis fidèle mais le sexe me manque.
Je suis seule à la maison, je viens de rentrer de la salle de sport et me dirige vers la salle de bain pour prendre une douche. Je me déshabille et pousse la porte.
J'allume la lumière et là surprise, je tombe sur mon fils à poil, en pleine séance de masturbation.
Il me tourne le dos légèrement tourné de profil juste en face du miroir en pied.
Je reçois un choc et manque défaillir en découvrant pour la première fois la grosse verge de mon fils.
Il se retourne brusquement aussi surpris que moi me découvrant toute nue, toujours une main serrée sur son sexe.
Nous restons un instant face à face à nous regarder sans rien dire.
J'entrevois un bélier qui me laisse béate ! Je ne peux m'empêcher d'examiner l'épaisseur effarante du pénis dont un grand bout dépasse de sa main serrée à la base.
Mon mari est un homme que je considère comme bien monté mais ce que je vois est irréel.
Si son gourdin est d'une longueur déjà inhabituelle, sa grosseur me sidère littéralement et je ne peux retenir un mouvement de recul, écarquillant les yeux et retenant mon souffle devant ce boutefeu qui m'apparaît d'une lourdeur écrasante.
Bien sûr je savais que les sexes d'une telle taille existaient, quoiqu'exceptionnels comme certains blacks dans les films pornos, mais jamais je n'aurais imaginé mon propre fils doté d'un tel monstre, il a maintenant presque 17 ans et il est plutôt fluet pour son âge !
Je me retire gênée et toute tremblante essayant de couvrir mon corps.
Le soir même j'y repense. Mon unique pensée, pour ne pas dire une obsession.
Ma progéniture, mon fils, a un pénis de catégorie poids lourd, et au fond de moi, j'en éprouve de la fierté.
Je revois cette verge épaisse, blanche et lisse, un gros gland violacé, à la base des bourses gonflées de couilles d'une taille proportionnelle à ce qui les soutient.
Je joins mon pouce et mon majeur faisant un cercle, comparant avec celle de l'engin gravé dans ma mémoire, prenant soudainement conscience de son énormité.
Après de longs mois sans rapports sexuels, l'image d'une bite gargantuesque me mouille l'entrejambe d'excitation.
J'en ai envie. Je rêve que cette poutre si large me violerait de l'intérieur. Je désire me faire pénétrer par ce pieu d'une taille que je n'aurais pas crue connaître un jour.
Je veux mon fils en moi, qu'il me baise et qu'il y prenne du plaisir, qu'il sache qu'il va me faire vivre une expérience exceptionnelle.
Ce soir-là je me suis masturbée. Prise dans un désir incontrôlable,
C'est décidé, demain soir je vais me faire sauter par mon fils. Et je me déculpabilise en me disant que ça ne sortira pas de la famille.
Mon cœur bat la chamade, je veux goûter à une expérience unique et interdite mais je ne suis pas sûre de moi, il est hors de question de me défiler, quitte à la regretter ensuite.
J'enfile la nuisette courte à m'en arriver au ras des fesses qui met mon mari dans tous ses états d'où transparaissent mes larges mamelons foncés, puis prends mon courage à deux mains.
Je rentre dans sa chambre, il est installé dans son lit, décontracté, visiblement nu sous les draps.
Je suis quand même embarrassée de me montrer ainsi devant mon fils mais ne laisse rien paraître, je dois en passer par là, je ne veux pas reculer.
Il semble d'ailleurs intimidé devant sa mère en lingerie fine semi transparente. Je reste à l'entrée de la chambre, un peu hésitante tandis qu'il me reluque de toutes parts, immobile et silencieux, puis vais m'asseoir sur le bord du lit à ses côtés.
Sans dire un mot, je prends aussitôt l'initiative de le découvrir entièrement, poussant les draps aux pieds du lit.
Sa verge est tendue, il devait se branler ! Mon fils bande d'un gourdin massif presque aussi gros que mon avant-bras ! Et quand bien même son érection est telle que dans mon souvenir, je demeure bouche bée face au membre démesuré qui se dresse sous mes yeux, stupéfaite de la puissance dévastatrice qui sommeille dans ce vit !
Je reprends vite mes esprits et ouvre grande ma bouche pour gober ce gros bout humide.
Je presse la verge, mes lèvres glissent sur ce gland que je déguste goulûment. Il est si gros que j'arrive difficilement à le prendre en bouche.
Et c'est alors que je commence à peine des va-et-vient de plus en plus profonds qu'il fait pression de ses deux mains pour m'emplir la bouche, allant jusqu'à butter au fond de ma gorge.
Je suis asphyxiée, et le peu de souffle qu'il m'accorde entre chaque pénétration buccale me laisse exsangue. J'ai les yeux qui roulent dans leurs orbites et je salive abondamment tandis qu'il insiste toujours plus profondément, appuyant sur ma tête au point de me rentrer sa pine dans la gorge.
La bouche pleine au-delà du possible et la mâchoire pratiquement déboîtée, c'est dans un ultime effort que j'engloutis ce que je peux de ce phallus filial.
J'avais imaginé les choses autrement. J'aurais cru devoir guider mon fils au moment de ses 18 ans et de son inexpérience, le rassurant quant à ses maladresses de débutant. Mais après ce préliminaire aussi brutal qu'inattendu, je ne sais plus quoi penser.
Il déchire ma nuisette comme d'un rien, libérant ma lourde poitrine qu'il s'empresse d'empoigner et de dévorer, pompant mes tétons à grandes gorgées en les faisant durcir instantanément.
Quand tout à coup, il me bascule sur le lit, je pousse un cri horrible sous le poids de mon fils qui vient de s'abattre en moi comme une masse, me perforant violemment le vagin de sa trique formidable !
J'ai le corps plié dans la douleur et j'encaisse les coups surpuissants qu'il m'assène d'un rythme effréné, s'écrasant durement contre mon pubis pour me déchirer de son pénis tout entier.
Je hurle à tout rompre du pilonnage intensif que m'inflige Damien !
Il me baise ! Il baise sa mère sauvagement. Je suis labourée sans ménagement, il m'écartèle au-delà du possible, inlassablement et la pression qu'il exerce au fond de ma grotte est extrêmement forte.
J'en ai le visage crispé et en sueur de subir sans relâche cet interminable missionnaire, mais j'aime ça !
Un énorme orgasme secoue tout mon corps.
Mon propre fils est en train de m'exploser le vagin à plein régime depuis au moins quinze minutes et sa queue extra large me procure une sensation inconnue jusqu'alors !
Il me pistonne ainsi, je crie ma jouissance comme une malade, mon fils me fait jouir comme personne avant et me ramone comme jamais personne ne m'a ramoné, s'enfonçant jusqu'à butter contre mon utérus.
Il y a plus d'une demi- heure qu'il est en moi, je ne compte plus mes jouissances, je ne sais plus si c'est mon ventre qui explose, ma chatte qui s'écarte ou ma tête qui divague mais il me semble que son sexe a encore grossi.
J'entends ses premières paroles depuis que je suis entrée dans sa chambre.
– Je vais jouir maman, je vais te jouir dans la fente, je vais te remplir de ma semence !
Je ne l'entends même pas, il y a longtemps que mon sexe a pris les commandes de ma tête et que je râle, je ne jouis plus, je suis jouissance, je ne le sens plus il fait partie de moi, sa grosse clé est soudée à ma serrure et la défonce, jamais je n'aurais cru cela possible, ma chatte n'est que plaisir, mon ventre accepte ce pieu formidable et en redemande encore et encore.
Il m'emplit de sperme chaud, les jets viennent butter au fond de mon ventre, il l'emplit comme un jet d'eau emplit un bassin, je ne sais plus ou j'en suis, le bruit de ventouse de l'énorme pieu et de ma fente emplit la chambre.
Il n'a pas débandé, il est toujours en moi et continue à me faire jouir, encore et encore.
– Arrête Damien mon amour, arrête, je n'en peux plus, c'est trop je vais mourir !
Il sort enfin de ma grotte d'amour, son bélier toujours dressé, je mets quelques instants à reprendre mes esprits et le branle des deux mains.
– Je vais te faire jouir mon amour mais ma chatte n'en peut plus pour le moment, il te faudrait au moins trois filles, je te ferai baiser toutes les filles que tu veux mon amour, il faut que ta bite serve le plus possible, comme ça quand tu me baiseras, tu seras moins en manque mon bébé !
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La fille-la soeur : Papa est cocu
Moi j’ai 18 ans, je suis une fille qui plait aux garçons et j’ai tendance à baiser à droite à gauche quand l’envie m’en prend.
Bref, un jour je demande à ma mère :
- dis maman, c’est quoi un cocu
- demande à ton père, il doit le savoir, qu’elle me répond
J’me rencarde auprès de
mon vieux :
– un cocu, c’est moi vu
que ta mère c’est le même genre de petite salope que toi, à baiser dès qu’une belle bite se présente. Mais je m’en fous, dès qu’elle a le dos tourné avec un chibre dans le derrière, moi j’en
profite pour aller sauter sa cousine
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