Jeune, j’allais régulièrement à l'église le samedi et le
dimanche.
M. le curé, qui est un ami de mes parents, m'a demandé si je voulais l'aider dans certaines tâches pendant la messe. J'ai bien sûr accepté avec la bénédiction de ma mère...
Me voilà donc enfant de coeur deux fois par semaine, et je pense que je ne le méritais pas car j'avais déjà ce qu'on appelle un faible pour le sexe...masculin. Je flashais donc sur le
curé Martin d’une soixantaine d’années mais rien ne se passait..
Maintenant que je suis majeur, je ne vais plus à l’église mais rencontre souvent le curé Martin qui me regarde toujours d’un air malicieux.
Un samedi matin de printemps, le curé m’interpelle :
-Tu ne viens plus te confesser, tu dois avoir une foule de pêchers à me raconter. Viens donc me voir cet après midi.
J’avais l’impression qu’il se décidait à faire de moi son objet.
Je me suis retrouvé seul dans l'église puis dans le confessionnal avec lui. J'avais encore une heure devant moi avant de rentrer. Je me suis donc installé pour bien le voir et il a
ouvert la petite grille.
Je lui raconte quelques fadaises, des petites sottises…
- Dis donc ce ne sont pas des péchés ça ! Il faut aller plus loin mon enfant… Tu ne joues jamais avec des copains à quelques jeux pervers ?
Je ne pouvais que lui dire OUI !
Alors il m'a beaucoup questionné sur la façon de m’y prendre. Je lui ai donc tout raconté. Mes séances de masturbation, les moments où je m'encule avec de gros objets et même qu'il
m'arrive, couché sur mon lit, les jambes au dessus de ma tête, les pieds accrochés à la tête de lit, ma bite au dessus du menton, de me branler afin de m’éjaculer dans la bouche. Je lui
ai aussi avoué que j'aimais bien sucer mes petits copains.
Pendant que je lui raconte tout ça, je remarque sa main frottant lentement sur la bosse que son sexe façonne sous sa soutane. J'ai alors deviné qu'il s’échauffait pendant que je lui
raconte toutes mes histoires perverses de jeune homme.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai regardé intensément cette main bouger sur cette bosse et je me suis mis à bander très fort. Le curé l'a bien remarqué et a continué à me
questionner. Plus je lui raconte en détail mes exploits, plus il bouge sa main. Puis il déboutonne quelques boutons et son gros sexe tout dur m’apparait. Je suis complètement hypnotisé
par ce phallus dressé laissant apparaître un gland superbe. Il se mit à se masturber en sachant que le regarde. Soudain il me dit :
- Dis donc… Je vois que tu bandes aussi petit ?
- Oh oui… Monsieur le curé.
- Eh bien qu’attends tu pour la sortir… Fais donc comme moi mon grand !!!
Alors, baissant mon pantalon, je me suis mis à me masturber en même temps que lui, fixant toujours ce gland qu’il secoue sans ménagement et je ne cache pas que c'est super excitant!
- Toi aussi tu es une vraie petite salope dis-moi !
- Oui M. le curé, j'aime ça autant que vous....
- Regarde bien ma bite, elle est dans cet état grâce à toi et je t'en remercie. Mais nous allons jouer à un jeu encore plus excitant.
- Comme vous voulez.
- Alors je vais te dire tout ce que tu dois faire, surtout avec tout ce que tu m'as raconté je sais que tu aimeras ce que je te réserve.
- Oui Monsieur le curé. !!!
Je ne pouvais pas dire non car j'étais complètement ensorcelé par ce que je voyais et ne voulais pas que ça s’arrête.
Plus je regarde son sexe plus le feu monte en moi… Le diable aussi !
- Viens par ici et mets toi à genoux, pour ta punition tu vas faire une prière entre mes jambes.
Sans remonté mon pantalon je suis sorti de ma guérite et suis rentré dans celle du curé. Ayant refermé la porte derrière moi, je me suis agenouillé entre ses cuisses, ai remonté sa
soutane jusqu’à la ceinture pour redécouvrir son sexe lourd, ses couilles gonflées, ses poils soyeux.
- Elle te plait ma queue ? Approche donc ta gueule d’elle, suce moi la mouille qui sort de mon bout.
J’approche mon visage et prends son gland dans ma petite bouche. Je peux facilement le rentrer au delà de mes dents, ma langue le caresse, mes lèvres le sucent amoureusement. Il aime ça
le bougre. Je l’enfonce le plus possible dans ma bouche en bavant car je ne peux plus déglutir ma salive. Il faut dire que c'est très excitant avec lui. Je le masturbe et, en même
temps, ma main libre caresse ses grosses couilles. Il gémit pendant que mes lèvres palpent sa chaude saucisse. Il appuie souvent sur ma tête pour qu’elle aille le plus loin possible
dans ma gorge. Il me traite de petite salope et de bouffeur de bites. Sa façon de parler m'excite beaucoup.
- D'autres garçons m'ont aussi sucés tu sais ! Mais c'est toi le meilleur !!!
Tu vas m'obéir et je vais te faire connaître plein de plaisirs. Je vais te présenter à mes amis prêtres et ils vont s'occuper de toi aussi … Es-tu d'accord ?
Je fis oui de la tête car j'étais trop occupé à butiner cette queue qui allait bientôt toute se vider.
- Vas-y petit suce moi encore ...plus vite. Voilà comme ça.... HUMMM !!!; je vais tout décharger dans ta gueule d’amour et tu avaleras tout mon foutre !!
Effectivement mes mains sentent des contractions et ce nectar, tant attendu, se met à déferler de son gland et j'en reçois une grosse quantité dans la bouche. J'ai du mal à tout avaler
car ça n’arrête pas, mais j'adore ça. IL me relève la tête et je dois ouvrir la bouche pour qu'il regarde s’il n’y en a plus. Il en reste encore un peu derrière mes dents et il
m’embrasse, sa langue fouine partout pour le récupérer.
C'était magique et je sais déjà, qu’un jour ou l’autre, qu'on remettrait ça.
Il est resté un moment affalé ... Il était en extase et devait rêver à certaines choses pas très catholiques… Je me suis relevé en pensant, peut- être, la même chose que lui !!
Puis je lui ai présenté mon sexe qu’il a aussitôt gobé à son tour. Il n’a pas fallu trop longtemps pour que je décharge ma jouissance sur cette langue caressante.
Nous avons remis de l’ordre dans nos vêtements non sans mal car ma main ne voulait plus lâcher sa grosse queue. Puis après quelques bisous nous sommes enfin sortis du confessionnal.
Il m'a demandé de revenir l’après midi pour préparer la cérémonie du lendemain. Il lui fallait de la main d'oeuvre pour mettre en ordre toutes les chaises. Il m'a dit aussi, en me
montrant le bas de son ventre, que trois autres prêtres seraient là pour nous aider....
Dans un grand sourire, j'ai fait oui de la tête.
Je suis donc reparti chez moi, le goût du sperme du mon curé dans la bouche. Certainement le meilleur apéritif qu’il soit.
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L’après midi, je me rendis donc à l'église où plusieurs personnes rangeaient des chaises pour la préparation de la fameuse cérémonie du lendemain. Il y avait de vieilles dames et les
trois autres prêtres dont un semblait plus âgé encore que M. le curé.
Lorsque ces ecclésiastiques m'ont vu, ils ont tous souri avec un air bien particulier. Il y avait de la canaillerie dans l'air et je pense que ces prêtres devaient déjà bander sous leur
soutane. Je devinais que M. le curé leur avait tout dis. Le fait de me demander ce qu'ils allaient me faire, m'excitait énormément.. Je n'étais pas dupe, car je savais ce qu'ils
souhaitaient. Mais je ne me plaignais pas du tout, car j'aimais ça.....
Au bout d'une heure, tout était terminé, les dames sont parties et je me suis retrouvé seul avec ces quatre vicieux dans la sacristie. Le curé Martin fit les présentations.
- Le grand c’est frère Emile, le petit gros c’est Gille et l’autre, le plus vieux, c’est Jean… (Se tournant vers moi) Julien, notre jeune copain d’amour.
- Julien connais-tu notre champ de manœuvres au sous-sol?
- Non… Fis-je innocemment.
- Eh! bien il est temps qu'on te le montre, viens, suis nous.
Mon curé ouvrit une trappe et ils me firent descendre une dizaine de marches dans la pénombre et avons atterri dans une pièce un peu sombre mais bien aménagée. Il y avait de la
moquette, des fauteuils, une grande glace sur le mur du fond et même une douche. Frère Emile qui fermait la marche referma la trappe et nous nous sommes retrouvés au milieu de la pièce.
Je savais que la séance allait commencer. M. le curé pris la parole :
- Julien, ces messieurs sont au courant de notre petit pêché de ce matin. Nous allons donc profiter de ton joli minois, de ton adorable cul. Dis nous… as-tu peur ?
- Non Monsieur le curé, mais vous m’excitez déjà.
- Eh bien à la bonne heure ! Déshabille-toi et laisse toi faire …
En me déshabillant je regardai ces hommes qui étaient en train de changer de couleur. Je savais qu'ils étaient autant excités que moi. Ils formaient un cercle autour de moi et lorsque
je me suis trouvé nu, certains ont relevés leur soutane pour commencé à se masturber, je fus émerveillé par les bites qu’ils me présentaient. Il faisait chaud dans la pièce et je pense
que l'excitation de tout ce monde en augmentait la température.
Ces vieux cochons me dévisageaient avec envie. Frère Jean s'est approché de moi, il m'a pris la tête de ses deux mains, sa soutane tenant toute seule sur sa queue dressée, en la
dirigeant sous son ventre et la mis dans ma bouche grande ouverte. Malgré son âge il était bien vif le bougre. Mes lèvres se refermèrent sur sa tige.... Les autres ont commencé à me
caresser de partout, la poitrine, ma bite déjà surchauffée et surtout mes fesses où des doigts aventureux glissaient sur ma rosette. Puis après quelques papouilles deux d’entre eux se
sont éloignés, Gille et Emile se sont approchés de l’un des fauteuils tandis que je m’appliquais à sucer le vieux et que mon curé, à genoux derrière moi, m’écartant les fesses s’est mis
à en lécher avidement l’intérieur.
Vers le fauteuil les deux ont commencé à se caresser et s’embrasser sur la bouche. L’Emile s’est assis le ventre en avant, la tête contre le dossier, Gille lui a remonté sa
soutane au dessus de la ceinture et s’est courbé pour lui faire une fellation. Emile tira la soutane au dessus des fesses de son compère et appela mon curé.
- Martin viens voir, son cul ne te fait-il pas envie ? Viens donc le saillir.
Me laissant avec Frère Jean il se pressa de relever ses jupes et se plaça derrière le suceur. Je le vis rentrer son braquemart sans prendre aucune précaution, l’autre devait en avoir
l’habitude. Cinq minutes après quelques frénétiques va et vient mon curé m’appela :
- Viens ici, monte à cheval sur frère Gille et fais moi face, donne moi ta bite à déguster.
Alors, Emile, le sucé, me tira à lui par les épaules en me basculant pour jouer de la langue dans ma bouche. Mes jambes s’étant relevées, mon équilibre resta assuré par mes pieds posés
sur les fesses de ma monture. De ce fait mon curé avait accès à ma bite et à mon cul. Jean étant libre, s’est glissé sous l’enculé pour le pomper gloutonnement.
C’est l’enculé suceur qui déchargea son foutre le premier, sous lui frère Jean, au bruit de succion et déglutition qu’il faisait entendre, avait l’air de se régaler de son jus. Puis mon
curé se mis à bramer en s’épanchant dans le cul qu’il limait depuis un instant et moi aussi je me suis lâché abondamment sur la figure qui me suçotait la rondelle.
Après cette petite ritournelle l’Emile se dégagea pour venir gober, à tour de rôle, les trois queues qui venaient de s’épancher puis, il me prit par la taille et m’emmena vers un autre
fauteuil. Il n’avait pas encore joui lui. Sous les regards des trois autres il me fit coucher, le ventre sur l’accoudoir et vint me couvrir de son corps en tenant sa soutane relevée. Sa
bite, longue et fine, s’est placée entre mes fesses et a vite trouvé mon petit trou mouillé. Lentement sa queue s’est insérée dans mon rectum et un doux va et vient prit naissance. Jean
qui, lui aussi n’avait pas encore joui, vint me présenter sa bite vers l’autre accoudoir, où ma tête dépassait, afin que ma bouche le finisse. Les coups de boutoir de l’Emile
favorisaient la fellation du frère Jean. Les deux partirent en même temps. Je recevais du foutre des deux cotés. Mon dieu qui c’était bon.
Les quatre bonhommes se sont installés dans les fauteuils, les soutanes encore remontées, pour se reposer. Moi ne sachant que faire je suis resté debout devant eux, admirant ces queues
qui avaient, certes diminué de volume, mais dont les glands gonflés et fascinants reposaient paisiblement sur leurs couilles. J’avais encore envie de ces bouts violacés et chatoyants.
Je voulais leur faire encore des papouilles, des mamours.
Je me suis approché de Jean, le premier de la rangée, me suis agenouillé entre ses jambes, une main sous ses couilles, l’autre relevant doucement sa queue endormie. Je contemplais son
gland sous toutes les coutures, le faisant pivoter pour l’admirer du filet au bourrelet. J’approchais ma bouche pour en lécher le contour. Finalement pour l’enfourner afin de lui
redonner vigueur.
- Viens sur le coté que je te caresse le cul… oui comme ça… tu sais que tu es mignon… un amour ce Julien, une vraie pute … et expert avec ça…
- Je vous l’avais dit qu’il serait à la hauteur, dit Martin. Tu vas tous nous réveiller comme tu le fais avec frère Jean.
Je suis passé de Jean à Gille puis d’Emile à mon curé. J’ai caressé tous ces chibres en les glissant sous mon cou, en les butinant tour à tour, en soupesant les bourses de ces gentils
cochons. Tous m’ont caressé les fesses, la queue, tous m’ont embrassé goulûment, tous sont devenus amoureux de moi et de mon corps. Toutes ces queues maintenant redressées en
témoignaient.
Ils se sont tous déshabillés et on s'est donc tous retrouvés nus, quatre prêtres supers excités et moi. Ils me considéraient comme leur jouet d’amour. Ils m'embrassaient partout,
léchaient mon sexe et mon trou de cul. Certains mouillaient leurs doigts et les introduisaient dans mon petit cul déjà bien dilaté. Je gémissais à chaque fois que des doigts
s'enfonçaient violemment. J'ai alors senti une grosse pine contre mon trou et l'introduction m'a fait ouvrir grande ma bouche. Jean et Gille ont tenté alors d'introduire leurs bites en
même temps dans ma bouche sans y arriver. Quelle extase !!! Je n'arrêtais pas de leur dire que j'aimais ça, et ça les excitait beaucoup. Je me suis trouvé avec la grosse bite du curé
Martin dans le cul et deux glands devant ma bouche que j’enfournais à tour de rôle. La bite qui me ramonait était épaisse et me pénétrait violemment. Emile, lui s’était présenté devant
le cul de Martin et l’enculait énergiquement. Les jurons pleuvaient. Ils me traitaient de tous les noms qui pouvaient les exciter.
- Petite salope, suceuse de queues, garage à bite. Le diable te baisera bien en enfer et tu en suceras de beaux phallus et peut être les nôtres, tu verras !! Etc. ...
Cela m'excitait aussi. Le fait que j'adorais ça les mettait dans un bel état. Puis à tour de rôle ils m'enculèrent, ils m'obligèrent à les sucer à fond. Je ne savais plus à qui
appartenaient les bites qui sont entrées dans ma bouche et dans mon cul, mais depuis un moment mon sphincter était bien dilaté car toutes les queues passaient et repassaient dans mon
cul sans problème. Je continuais à gémir de plaisir, en leur demandant de continuer à me bourrer le cul et la bouche.
A un moment ils ont fait le train. Moi en locomotive, dans mon cul la bite de monsieur le curé, derrière lui Emile, puis Gille et enfin Jean. Pour harmoniser ce système, ce ne fut pas
facile et dans la grande glace sur le mur du fond le spectacle était hallucinant.
Alors que la bite du curé Martin, la plus épaisse, était en train de me pilonner le cul elle s’arrêta. Le train venait de lâcher ses wagons. Deux autres queues, celles de Gille et
d’Emile, se sont positionnées dans mon cul. Pour cela, Gille s’était couché sur le dos, moi je me suis assis en m’embrochant sur sa queue puis me suis allongé sur son ventre. Emile me
faisant face est arrivé à glisser, non sans mal, sa trique sur celle de Gille. Ils m’ont ramoné longtemps, leurs deux queues glissaient bien maintenant. Le curé Martin s’est accroupi
sur mon visage pour que sa queue se présente au dessus de ma bouche. Le curé a mis son gland entre mes dents, il a relevé ma tête et m'a dit tout excité :
- Ouvres bien ta bouche ma petite salope... Aujourd'hui je te baptise car tu es la plus grande salope qu'on ait connue, et dieu sait qu'on s'est fait beaucoup sucer dans cette pièce
mais jamais avec jeune cochon comme toi.
Au bout d’un moment un liquide chaud a alors jailli de sa bite. Ce n'était pas du sperme car çà avait un goût de pipi. Il m'ordonna de tout avaler. Il a dû savoir que j'aimais ça aussi.
Au bout d’une minute j'avais tout bu. Il se mit alors à se masturber devant ma figure. Il a levé ma tête en agrippant mes cheveux en jouissant.
- Reçois mon foutre, je te béni de ma luxure et te fais la salope éternelle de Satan. Tu suceras tous les prêtres qui viendront ici mon gars.
Le sperme n'arrêtait pas de couler sur ma figure, ma langue attrapant ce qu’elle pouvait pendant que les deux autres m'enculaient en douceur. Ils ne tardèrent pas à vider leur foutre
dans mon cul. Je me suis senti rempli de partout. C'était trop excitant. Tout ce foutre en moi m'emplissait de bonheur.
Je pourrai peut être en parler à certains de mes amis qui, j’en suis sûr, seront tous jaloux.
Tout le monde s'est bien vidé. On s'est retrouvé nus par terre. Chacun récupérait comme il pouvait. Il y avait beaucoup d'émotions. C'était la première fois qu'ils faisaient ça avec un
jeunot. Ils me félicitèrent et je leur ai promis de recommencer avec eux ou d'autres prêtres de leurs amis s'ils le voulaient.
Avant de partir avec plein d'images excitantes qui vont, je suis sûr, me hanter toute la nuit, je me suis encore appliqué de laver leur bite à grands coups de langue, de faire un
dernier bisou sur leur gland majestueux. Ils m’ont tous embrassé comme des amoureux, je suçais leur langue avec beaucoup de volupté.
Je savais alors que pendant un temps certain je serai la petite salope de beaucoup de prêtres pervers à souhait car le curé Martin avait, semble-t-il, beaucoup d’amis comme ceux-là.
Curés, si vous saviez comme je vous adore
Paberic sur CYRILLO.BIZ
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