Partager l'article ! l'ex prof de gym : "ah, tout ce que j'ai eu envie de te faire et que j'ai refoulé à cause de l'interdit fait aux profs..".: LE PREMIER WEEK- EN ...
LE PREMIER WEEK- END SCATO SM avec notre ancien prof de gym gay SM ; une journée de Sodome !
Monsieur Lepage en goguette dans un bordel retrouve, sans gène aucune deux anciens élèves prostitués aujourdhui
fiction enjouée
Maxime nous raconte le réveil de JULIEN
Je rêve que je suis bien dans mon lit, qu'une langue me lèche partout et que je bande très fort... Quel délice! Soudain, je m'aperçois que ce n'est pas un rêve! Je réalise que je suis offert pendant deux nuits aux caprices de beaux salauds. Je pense que c'est Julien qui me chatouille avec sa langue et je l'aperçois à côté de moi, encore plongé au pays du sommeil réparateur... Je dresse la tête pour reconnaître tout de suite le crâne de Lepage!
— Monsieur Lepage!
— Surprise! Je n'ai pas tenu longtemps sans te voir; j'ai donc payé un supplément pour t'aider à te réveiller. Ça te plaît?
— Génial! Vous avez réussi à me la rendre toute raide!
— Pas difficile le matin! Ta vessie doit être pleine; elle appuie sur ta prostate... [TOUJOURS AUSSI PEDANT LE PROF ! lol ]
— C'est la première fois que je suis réveillé par un léchage; c'est bon!
— C'est bon aussi pour moi car j'ai enfin utilisé ma langue pour te décalotter; quelle sensation! J'attendais ça depuis des années!
— Hein?
— Je te raconterai tout ce que j'ai eu envie de te faire et à quelles occasions et que j'ai chaque fois refoulé... à cause de l'interdit!
— Vous allez réveiller aussi Julien? Il est bientôt midi!
— Peut-être pas de la même façon...
Julien est sur le dos; il offre à nos regards connaisseurs une jolie bite et une magnifique paire de couilles bien étalées sur son bas-ventre parfaitement épilé. Lepage prend une branche d'orties et la passe délicatement sur ce beau paquet rose. L'effet est immédiat: la fine peau de ses couilles se resserre et sa queue s'allonge pendant que Julien sursaute:
— Quoi? Aie! Salauds! Enculés! Vous m'avez bien eu!
Se rendant compte de la situation, Julien a un sourire coquin et manifeste sa joie d'être supplicié aux orties.
— Ça brûle mais c'est vachement bon! Encore!
Lepage n'hésite pas et reprend la caresse de la plante urticante.
— Oui! Putain, ça fait maaaaaal! Et sur mon cul? dit-il en soulevant ses cuisses.
Lepage prolonge le contact dans la raie du petit Julien en insistant sur l'anus.
— Ah! Ah! Y'a rien de meilleur! Mais qu'est-ce que ça brûle!
Je lèche alors toute les parties atteintes pour apaiser sa douleur pendant que Lepage me prend la bite entre ses lèvres. Il pousse Julien et se place en 69 au-dessus de moi. J'avale sa grosse bite tandis que ses couilles se posent sur mon nez.
— Et moi? clame Julien!
— Encule-moi! lui dit Lepage tendant bien son derrière pour cet assaut.
J'ai une vue imprenable sur l'entre-cuisses de Lepage et je vois la bouche de Juju investir le trou du prof; il crache, il lèche et la salive abondante finit par couler le long des poils du cul ainsi bien préparé. Soudain, c'est "objectif lune": une belle fusée munie de deux réservoirs tout ronds vient heurter le cratère; elle entre très profondément et d'un seul coup.
— Wouahhhh! Petit salaud. Tu n'y vas pas de bite morte!
— Han! Han! Han! Han!
Les coups de reins sont violents, au grand bonheur de Lepage qui accélère sa succion. Moi aussi, je goûte ardemment la bonne sucette qui me comble la bouche. Les cris annonçant la délivrance se succèdent.
— Ouiii! Ne ralentis pas! Ça vient! Ça y est, je gicle!
— Moi aussi! Tiens! Prends tout ça dans ta jolie petite gueule!
— Et vous! Sentez bien tout ce que je vous envoie dans le fond de votre cul?
De longs soupirs accompagnent les dernières gouttes. J'apprécie le foutre de Lepage et lui-même savoure le mien.
Nous sommes allongés sur le lit; c'est là que je demande à Lepage:
— Alors, dites-nous ce que vous attendiez de moi quand j'étais votre élève?
— Pendant tes années de quatrième et troisième, tu as été mon élève. Je n'avais d'yeux que pour toi car tu étais de loin le plus beau! Chaque semaine, je vivais pour les quatre heures que tu allais passer avec moi et, chaque soir, je me vidais les couilles que j'avais douloureuses d'avoir bandé pour toi! J'espérais chaque fois que tu porterais la tenue que je préférais: un short gris très court et flottant et un slip en coton blanc. Je maudissais les jours de mauvais temps et certaines activités qui nécessitaient un survêtement. Je m'arrangeais pour faire pratiquer les agrès et la gym au sol. Je pense que tu as remarqué combien je m'occupais de toi?
— Oui! Chaque fois qu'il fallait parer un mouvement ou modifier une position.
— Je guettais ton entre-cuisses et j'étais heureux quand l'écartement imposé me laissait voir ton slip et quelquefois une couille. J'étais ravi d'examiner tes belles cuisses fines et dorées sortant de ce short, révélant parfaitement tes formes sexuelles. Le meilleur a été atteint le jour où je t'ai suspendu à la barre fixe. Le contact, à même la peau tant ton tee-shirt était remonté, de tes hanches bronzées et fines, a déjà été merveilleux mais le plus formidable s'est produit après. Tu as accroché une jambe et par un mouvement de balancier, avec l'autre jambe tu as essayé de monter ton corps sur la barre. Je t'ai bloqué la jambe en arrière, en prétextant qu'elle n'était pas assez tendue et j'ai profité de la vue que tu m'offrais sans le savoir: ce n'était pas une couille qui sortait de ton slip ecarté mais carrément ta jolie bite entièrement recouverte d'un prépuce plissé à son extrémité! Que j'aurais aimé repousser cette peau si fine pour faire apparaître ton gland si frais!
— Je m'en souviens! J'ai senti comme un courant d'air dans mon slip!
— C'est exact! À défaut de toucher, j'ai soufflé sur ce que j'ai vu de plus beau dans ma vie; c'était ainsi comme une sorte de contact!
— J'aurais dû vous la donner, ma queue!
— Je n'avais pas le droit de te toucher... Quoique je l'ai fait à plusieurs reprises... très furtivement. Par exemple, pour te faire rentrer le ventre pendant un exercice, je posais ma main sur ton ventre et je poursuivais le mouvement plus bas en effleurant ton paquet. J'ai réussi à regarder tes poils: pour assurer une parade, en tirant sur la ceinture de ton short, j'avais attrapé, à pleine main et en même temps celle de ton slip; j'avais ainsi une magnifique vue sur une jolie toison naissante et si brune!
— Oui! Mais maintenant je suis épilé!
— J'ai aussi respiré ton haleine en approchant mon nez et ma bouche lorsque tu étais essoufflé. Que c'était excitant!
— Et le soir, vous vidiez vos couilles en pensant à moi!
— En tout, ça fait des litres, rien que pour toi!
— Que de gâchis! J'aurais pu prendre tout ça dans la bouche, sur le ventre ou dans le cul, plutôt que de gicler ça dans les chiottes, sur vos draps ou sur un mouchoir.
— Dommage que tu n'aies pas ici de slip et de short et qu'il n'y ait pas d'agrès! Nous aurions pu reproduire toutes ces années collège! Mais, j'y pense! Que dirais-tu de venir un jour chez moi? J'ai tout ce qu'il faut pour refaire cette gymnastique et pour aller au bout de mes pulsions: une barre fixe, un cheval d'arçon, un tapis de sol et un sling sont là pour satisfaire mes besoins. Si Julien aime le sport, il sera aussi le bienvenu! Je ne vais pas rater l'occasion de jouer avec deux corps aussi beaux et aussi disponibles! Alors d'accord tous les deux?
— Avec joie! Sans hésiter et, le plus tôt possible! répond Julien vraiment intéressé par cette nouvelle perspective de plaisirs.
— Dimanche prochain, 14h? Maxime, tu connais mon adresse?
— OK! Sans problème!
— Bon! Je vais vous laisser à vos prochains clients; je sais qu'ils vous veulent avec le cul et la vessie bien pleins. Alors retenez-vous! Ils arrivent bientôt... et, à demain pour une autre épreuve... mes jolis petits toutous!
Lepage nous embrasse à pleines bouches baveuses et nous laisse à de futurs ébats. Nous n'avons pas le temps de souffler que quatre types, plutôt quelconques mais avec de grosses queues entrent et nous reluquent:
— Regardez les mecs; je ne vous ai pas menti! C'est une affaire ces mômes-là!
— Ouais! L'aspect extérieur est super bandant mais il paraît que leur intérieur est plein de merde et de pisse!
— On va arranger ça! Placez-les sur les slings; je vais chercher ce qu'il faut.
— Ne vous inquiétez pas, petits enculés! Mon copain s'y connaît en sondes; elles sont stériles et on va vous graisser le bout!
La peur m'envahit; j'ai pas mal baisé de toutes les façons mais je ne connais pas encore la sonde. Ma culture sexuelle va faire un grand pas en avant! Deux tubes flexibles d'une trentaine de centimètres sont reliés à un tuyau branché sur une poche urinaire. C'est ça qu'il vont nous rentrer dans la queue?
Brrrr!
Je dois respirer un grand coup de poppers; ça prouve que l'introduction doit être douloureuse! On tient ma bite bien verticale et le tube commence sa pénétration...
— J'ai peur!
— Pas d'inquiétude! Juste deux petits passages délicats et on sera dans ta vessie. Tu verras après, tu auras envie de jouir!
L'opérateur procède doucement et je ressens des petites douleurs... très supportables! Le tube pénètre toute la longueur de ma bite... et même plus. Ça tombe bien car ma queue s'allonge... c'est impressionnant!
— Ça y est! On est dans ta vessie.
— Maintenant tu ne peux plus contrôler ta pisse. Regarde! Elle coule toute seule!
Effectivement, je vois mon urine remplir lentement la poche sans que je puisse arrêter l'écoulement. J'en bande! Un type me branle en douceur en suivant bien la direction du tube... Je finis par une éjaculation des plus agréables qui soit! Je ne sais pas où est passé mon foutre mais j'ai appécié! Un bourreau presse fortement mon bas-ventre vers le bas pour me vider complètement la vessie. Je jette un oeil sur Julien qui a subi le même traitement. Il a râlé bruyamment lorsqu'il a joui; c'est donc qu'il a énormément aimé! Ça ne m'étonne pas; c'est trop bon! Les sondes sont retirées... non sans douleur!
— Maintenant, mes petits salauds, on va vous donner un super lavement car votre cul est plein de merde dégueulasse... si j'en crois ce doigt!
Il exhibe son doigt sorti du cul de Julien. Il est marron très clair. Tiens! Notre merde de biscuits n'est pas si dégueulasse que ça! Je comprends pourquoi les tortionnaires des "cent-vingt journées de Sodome" s'en régalaient!
— Goûte moi ça! dit-il en fourrant son doigt entre les lèvres de Julien.
Il ne se fait pas prier et suce le doigt merdeux. Les poches de pisse sont suspendues au dessus de nos têtes et leurs tuyaux bien enfoncés dans nos petits culs! Là encore, c'est irrésistible!
Les poches se vident dans nos boyaux à toute vitesse. La sensation de ce lavement à la pisse encore chaude est exceptionnelle mais le plaisir est de courte durée car j'ai de violentes douleurs dans le ventre et je suis à la limite de chier tout ça. Ils s'aperçoivent très vite que je vais tout lâcher et me bouchent le trou du cul avec un gros plug.
— Pas trop vite, petit! Il faut que tu souffres! Et tu ne vas pas te vider n'importe où!
Je n'en peux plus!
— Pitié! J'ai trop mal!
Julien, lui, ne dit rien. Il tient encore!
— C'est lui qui va te servir de chiotte!
Son sling est déplacé et le corps de Julien est sous mon cul.
— Vas-y! Libère toi!
— Pardonne moi Julien!
— Tu auras ta dose juste après lui; t'en fais pas!
Je lâche tout sur le corps offert de mon ami. Je sens mon cul qui évacue bruyamment mon "intérieur" et j'entends le ravissement de nos bourreaux qui se branlent devant cette avalanche de merde pisseuse.
— Que c'est beau! Qu'il chie bien!
— Regarde le beau gosse, comme il est laid maintenant!
Effectivement, Julien a le corps recouvert de mes excréments... Et c'est à mon tour d'être en position inférieure et de prendre tout ce qui sort des boyaux de mon chéri! Tout dégouline sur mon ventre, mes couilles et mes cuisses... Ils ont apprécié le spectacle: il ont joui sur nos visages et nous ont forcé à récupérer avec la langue le foutre proche de nos lèvres. Ils nous envoient nous démerder sous la douche en nous intimant l'ordre de tout nettoyer.
Pendant ce temps nos quatre lascars vont se vautrer sur le grand lit avec des cannettes de bière.
Le nettoyage est long, désagréable... même si ça ne pue pas trop! Une dernière douche nous rend parfaitement présentables et un nouveau flacon de poppers répand dans la pièce une odeur très agréable.
— Approchez, les mignons! Maintenant que vous êtes parfaits dehors et dedans, on va s'amuser un peu!
— Apportez des bières et des biscuits!
— Allongez-vous sur nous, à plat ventre!
— Mastiquez des biscuits et venez nous nourrir!
Tandis que des mains parcourent nos fesses, nos reins et parfois tripotent nos couilles ou nous serrent la bite, nos bouches pleines se branchent sur leurs lèvres avides. Nous crachons tout leur contenu sur des langues gourmandes... Un incroyable mélange de langues, de biscuits ramollis et de salive provoque une excitation extrême! Les six bites sont très dures et nous devons soumettre nos petits culs à de simples puis, doubles enculages. Nos boyaux se chargent de foutre et nos bites giclent notre bonheur!
Rassasiés, nos quatre enculeurs prennent congé de nos culs dilatés et nous souhaitent une bonne suite à nos galipettes
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JULIEN ET MAXIME LE LOPAGE
Nous avons passé une excellente nuit, pleine de rêves torrides et nous voici prêts pour une dernière journée de soumission. Il paraît que ce sera plus dur... Même Lepage et son copain ont promis d'être beaucoup moins gentils! "Mes chers petits toutous..." avait dit Lepage!
Quelques gorgées de bière viennent compenser la sécheresse des biscuits et nous sommes disponibles pour l'accueil de nos premiers clients. Soit dit en passant, le régime bière biscuits n'a rien de folichon! C'est juste pour l'intérêt du sexe... Bière = pisse légère; biscuits = merde peu abondante et peu odorante. Allez comprendre où va se loger l'appétit!
— À quatre pattes!
C'est le haut-parleur de notre généreux hôte qui nous ordonne la position à adopter! Comme prévu, Lepage et son ami font leur entrée:
— Max et Ju! Au pied !
Nous sommes leurs chiens et gare à celui qui manifestera un sentiment humain ou une quelconque réticence! Lepage est, bien sûr, mon maître; il pose sa bonne bite pas encore toute dure sur mon épaule tandis qu'il me serre le cou avec un collier. Qu'est-ce que j'ai aimé cette bite posée ainsi sur moi! D'une main il tient la laisse et de l'autre un martinet... ça promet!
— Assis!
— Debout!
— Couché!
— Fais le beau!
Il faut obéir immédiatement sinon on prend un super coup de lanières sur le cul. Julien est promené autour de la table; il passe près de moi et son maître lui ordonne:
— Lève la patte!
Julien doit pisser. La bite de Jul est dirigée vers ma gueule que je dois ouvrir bien grand. J'avale le beau liquide jaune pâle avec la plus grande précaution car si j'évite le jet, Lepage me donne un sacré coup de martinet sur les couilles... Je préfère en éviter le plus possible! Des couilles, c'est fragile!!! C'est à mon tour de lever la patte et Julien ne se fait pas prier pour déguster le contenu de ma vessie.
— Que fait aussi un bon chien que son maître promène?
— Sa crotte!
Les suggestions de nos deux salauds sont mises à exécution: on s'accroupit pour chier dans nos gamelles. De jolis petits étrons beiges sont ainsi récupérés.
— Que fait un bon chien quand il s'approche d'un autre chien?
— Il lui sent le cul!
Sitôt dit, sitôt fait: je renifle l'anus de Jul; il n'y a pas de mystère: il sent la merde!
— Torche lui le cul!
J'ai du mal à m'y résoudre mais un coup entre les cuisses et une rasade de poppers m'inclinent à l'obéissance! Après tout, c'est plutôt agréable! Julien, à son tour, est chargé d'un nettoyage appliqué. Je sens avec délices sa langue investir mon trou vite nettoyé. Lepage se place devant moi, jambes écartées et la bite fièrement dressée:
— Lèche!
Je n'hésite pas à passer ma langue sur ses parties expoxées et je reçois un coup:
— Un chien a une grande langue!
Je fais alors mon possible pour sortir le plus possible mon organe salivant et je m'occupe d'un espace plus grand: de l'anus jusqu'au méat en passant par le gras sous les couilles. Les belles boules qui roulent dans leur fine peau, le corps de la bite qui n'en finit pas, le frein qui ne m'arrête pas et le gland rose violacé. Une goutte transparente perle au bout; je m'empresse de l'avaler goulûment.
— Prends ma bite dans ta gueule!
Je prends cette belle queue en travers de ma gueule gourmande.
— Doucement! Tu ne mords pas!
Il a dû trop sentir mes crocs et se venge en m'assénant un grand coup sur le derrière.
— Wouhhh!
Je hurle ma douleur mais j'en rajoute un peu car les coups sur cette partie charnue de mon corps ne m'atteignent pas trop; ils m'excitent, d'ailleurs! Julien a dû faire la même chose; il a aussi pris quelques coups mais je crois qu'il les a aimés... même ceux qui ont atteint ses parties les plus sensibles!
— Allez, les chiens! Venez bouffer votre pâtée!
Ils nous présentent nos gamelles de merde; j'ai droit à celle de Jul! Nous devons prendre une position assez difficle: les pattes avant pliées de chaque côté de la gamelle, les pattes arrières tendues et bien écartées. Lepage se place derrière moi; il guide sa bite dans mon cul largement offert puis, d'une main, me baisse la tête dans la gamelle et, de l'autre, me chatouille le sexe avec son martinet. Je dévore cette bonne merde dont j'ai eu un avant-goût en léchant le cul de Jul tandis que Lepage m'encule avec violence. Il a lâché son martinet et il m'empoigne la bite qu'il branle au rythme de ses coups de reins. J'avale; je vais même lécher le fond de la gamelle tant je suis pris par l'événement... et j'expulse ton mon bon jus de chien.
— Putain! Même en chien tu me donnes un sacré plaisir! Prends ça, jusqu'au fond de ton fion!
Lepage a vidé ses couilles; il retire brutalement sa queue de mon cul accueillant et tout cesse subitement! Julien est lui aussi passé par l'enculade et a dégusté ma crotte de chien. Il en a plein les dents et se lèche encore les lèvres! Un moment de dégoût s'empare de nous quatre; nous l'apaisons en avalant de bonnes bières bien fraîches.
Lepage n'oublie pas de nous rappeler notre rendez-vous chez lui:
— Jolis petits mâles; pensez à notre séance de gym, dimanche! Je serai plus aimant; c'est promis!
Un brin de nettoyage, de vaisselle et de toilette et nous attendons d'autres visiteurs...
— Allongez-vous par terre, l'un à côté de l'autre!
La porte laisse alors passer plein de mecs de toutes sortes; ils n'ont qu'un point commun: ils ont tous la bite à la main!
— Qu'ils sont beaux! Ça vaut le coup de les couvrir de foutre!
Les voilà qu'ils se mettent à se branler; j'ai le temps de les dénombrer: ils sont dix!
— Cinq chacun!
— Tu sais bien compter mon mignon!
Les jets de foutre commencent à fuser sur nous; principalement sur nos visages et nos bas-ventres. Merveilleuse sensation de sentir tant de sperme recouvrir nos corps étalés sous de si bons arrosoirs. Ils ont tous joui. Nous sommes couverts de leur liquide épais et gluant qui commence à se liquéfier.
— Léchez-vous! Profitez de cette nourriture qui vient de gicler de nos bites!
Julien s'allonge sur moi. Nous nettoyons nos bouches, nos joues, nos nez, nos cous... Julien en profite pour se frotter contre ma bite. La sensation de bonheur monte le long de mes reins...
— Arrête!
Mon copain ne peut s'empêcher d'exprimer sa satisfaction avant de se placer tête-bêche pour terminer le nettoyage.
— C'est bon!
Je sens sa langue qui parcourt mon ventre, mes couilles et ma bite; elle s'aventure jusqu'à la raie de mon cul car le foutre est allé jusque là! Je n'hésite pas à en faire autant et me délecte de ces nectars salés servis sur un corps de rêve. Pendant ce temps, nos lascars s'en prennent à nos bières et s'installent sur le lit; il ne fait aucun doute qu'ils n'en ont pas fini avec nous!
— Restez couchés sur le dos!
Les voilà qui s'approchent à nouveau; ils vont déjà se branler? Non! De leurs bites encore molles s'échappent de grands jets de pisse! Ils n'épargnent aucune partie de notre corps mais certains visent particulièrement nos bouches ou notre cul quand ils nous font lever les cuisses.
— Ouvrez vos jolies gueules!
On leur fait plaisir mais je recrache plutôt que je n'avale ces liquides odorants. Nous voilà trempés, souillés; nous nous relevons et nos corps dégoulinent. Les pisseurs sont contents et se retirent sur le lit pendant que nous épongeons cette énorme mare d'urine.
— Il était bon ce bain, hein?
— Lavez-vous et venez nous rejoindre!
Les mecs vont se payer notre fraîcheur retrouvée.
— Approchez! Qu'on vous baise!
Ils sont dix! Julien et moi n'avons alors plus touché terre! Ils nous soulèvent, nous portent, nous empalent sur des bites bien dirigées, nous sucent, on les suce... Rien ne les arrête! Vingt mains tripotent nos corps, vingt couilles se vident dans nos trous. Quand ils se sont tous repus, ils nous balancent sur le lit comme des objets hors de service et quittent aussitôt le lieu des jouissances.
— Tu as joui, toi?
— Bien sûr! C'était trop chaud!
— Moi, j'ai joui trop vite. Après c'est moins marrant de se faire enculer!
On a pas mal de temps pour se reposer. Nous savons que nous en avons besoin car le plus dur nous attend. Cette épreuve doit clore notre séjour et je m'inquiète!
— Prêts pour le fist? dit le haut-parleur.
— On va essayer!
J'ai beaucoup d'appréhension; je ne connais pas ce "plaisir"; même Sade ne l'utilisait pas! Julien, lui, a déjà subi ce supplice:
— Je t'assure que ce n'est pas très douloureux, quand c'est bien fait!
— Justement! Ceux qui vont nous faire ça, ont-ils de l'expérience?
— Notre employeur n'a pas intérêt à nous envoyer des incapables. Il en va de sa réputation!
— Y a tout c'qui faut ici?
— Oui! De la bonne graisse, soluble à l'eau; des poppers; des gants, s'ils ont des ongles trop longs...
— J'ai la trouille!
— T'en fais pas! Tu vas assumer!
La porte s'ouvre: deux jeunes gars apparaissent. Mon regard se porte d'abord, non pas sur leurs bites - pour une fois - mais sur leurs mains! Ils ont des membres fins et les ongles coupés; ce ne sont pas des déménageurs! Ouf! Ils nous placent sur les slings, l'un à côté de l'autre. Nous sommes bien attachés; il nous est maintenant impossible de reculer. Je dois y passer! Je sens déjà une grosse quantité de graisse m'envahir l'anus; c'est agréable: le garçon m'a enfoncé deux doigts, puis trois, maintenant quatre... C'est toujours bon... Je jette un oeil du côté de Julien; il me regarde et me fait un clin d'oeil.
— Ça baigne? me dit-il.
— Pour l'instant, ça entre! Le plus gros n'est pas passé!
Le garçon qui me prend le cul est très prévenant; sa pénétration est très lente. Je sens cette fois le pouce qui veut se fourrer dans mon anus.
— Non! J'ai mal! Arrête!
Le fisteur stoppe son mouvement, ajoute de la graisse et me fait respirer des poppers qui sentent l'amande. J'inspire très fort, trop fort car je ne me sens plus; je suis dans un autre monde...
— Détends-toi!
Je suis comme ivre et je n'ai plus peur. Je me laisse faire.
— Vas-y! Bourre moi!
Le miroir fixé au plafond me permet de constater que non seulement le pouce est dans mon rectum mais que la main entière est entrée! Impressionnant! Julien, lui aussi est bien investi et il affiche un magnifique sourire! Quelque chose prend soudain plus de place dans mon cul.
— Qu'est-ce que c'est?
— Je ferme le poing!
Une drôle de sensation m'envahit; le poing appuie encore plus fort sur ma prostate. Je le sens se déplacer en moi! Je suis devenu la marionnette de mon fisteur et j'ai comme l'impression de jouir, alors que je ne bande pas! Le garçon me balance sur le sling en me poussant par le cul.
— Oui! Enfonce toi encore! Ouiiii!
— Tu jouis du cul, me dit Julien.
— Et toi?
— Il est entré presque jusqu'au coude; je viens... Ouiiii!
Les deux garçons, se retirent doucement de nos culs éclatés. Ils se branlent sur nos trous béants; ils éjaculent sur le terrain de leur action pénétrante et nous félicitent d'avoir été si coopératifs et si ouverts.
Je reprends lentement mes esprits mais je n'ose pas regarder mon anus. Julien me montre le sien en m'indiquant comment je peux rentrer avec les doigts une bonne partie de mon prolapsus et lui redonner très vite son aspect initial. Nous nous douchons et apprécions un repos bien mérité. Je suis fier d'avoir réussi cette épreuve et Julien me comble de baisers pour me récompenser de mon courage.
Le patron de la boîte vient nous voir:
— Bien, mes petits! Tous mes clients sont très satisfaits. Vous serez toujours les bienvenus!
— Merci! Mais qu'est-ce qu'on a dégusté!
— C'était le prix à payer!
Il nous examine en détail:
— Ils ne vous ont pas trop abîmés! Mêmes vos jolies roses sont presque redevenues en bouton! Quelques traces sur les fesses et vos couilles sont plutôt rouges!
Il a apporté nos slips qu'il se charge de nous enfiler lui-même et dans lesquels il glisse les billets promis, avec une caresse sur nos bijoux.
— À bientôt jolis gosses!
Nous n'osons pas faire le compte de nos gains...
— On verra ça chez toi!
Arrivés à la maison, nous avons encore le plaisir de fouiller nos slips à la recherche de la fortune... et du bonheur sexuel!
Merci de m'avoir lu. ¤
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