Dimanche 20 octobre 7 20 /10 /Oct 05:42

enregistré dans RECITS REELS INITIATIONS (52)

 

Le raisinier...cet arbre du bord de mer

 

La journée pleine de promesses d'un couple hétéro

A 20 kms de Saint-François, source d’émerveillement un chenal aux eaux transparentes. Un ancien phare domine le grand lagon qui sépare les deux îlots, derrière
C'est le domaine de nombreuses variétés d’oiseaux, de crabes et de Bernard Lhermitte. Au niveau de la flore, on y trouve du romarin, du pourpier, des raisiniers de bord de mer. Plages de sable blanc sont d’une beauté rare et les eaux turquoise du chenal offrent des fonds de toute beauté. La plage principale qui accueille les visiteurs est bordée de nombreux cocotiers à l’ombre protectrice. l’essentiel pour faire le plein de souvenirs inoubliables dans ce décor de carte postale.

Ily a, après Saint-François, une longue portion de côte bordée de sable blanc. C'est là que mon épouse Annie et moi avons coutume d'aller nous étendre et nous baigner quand nous sommes en congé. La plage est exceptionnellement longue mais étroite et pentue comme un talus. Sur la crête, court la ligne irrégulière d'une végétation "bord-de-mer" qui s'enfonce ensuite dans les terres. Ainsi s'offrent commodément quelques enfoncements offrant leurs abris discrets, parfois légèrement ombragé d'un court raisinier.

Ce matin-là, nous avions trouvé une de ces agréables criques de verdure et planté notre petit parasol. Annie qui savait que, à ras du sol, on demeurait invisible à cause du dévers pour quiconque passait le long des flots, avait avant de s'allonger ointe de monoï, retréci au maximum sur ses hanches son slip de bain et ôté son soutien-gorge, prenant soin toutefois de ne pas l'éloigner au cas où un quidam aurait emprunté la partie haute de la plage. Il n'était pas utile de heurter la sensibilité assez pudibonde des autochtones.

Pour ma part j'hésitais à en faire de même ou à contempler encore un peu l'océan. Mes yeux revenaient tout le temps sur le ventre lustré, bossué par la double ligne de ses minces et vifs abdominaux; et sur ses seins aux galbes pleins, aux pointes fieres. ; je ne doutais pas qu'elle attendait elle aussi quelque chose d'une journée si bien commencée.

Passèrent quelques enfants courant vers dieu-sait où, un vieux pêcheur, une famille de touristes qui se mit à l'eau, se ravisa et partit pour plus loin. J'allais me laisser tomber sur ma serviette quand, venant par la gauche, survint un noir. Je restai à contempler son approche élastique et balancée. Il avançait sur de lonques jambes, presque disproportionnées: chevilles minces, galbées, cuisses fortes alors que le bassin et la taille étaient étroits, le ventre et le torse plats; les épaules, elles, étaient larges. Il devait sacrifier, lui aussi au body-building mais sans excès, avec le souci de la grâce qui est si naturelle à ceux qui ont su rester décomplexés.

J'étais encore dans la contemplation quand je m'avisai qu'il me regardait et que, certainement mon regard était resté posé sur lui un peu trop longtemps. Les hétéros ne se regardent pas entre eux ou, du moins, ils ne le font pas voir. Je baissai mes yeux. Je les relevai pour le voir s'éloigner. Il me sembla que sa marche s'était ralentie, comme soudain pensive . Je regardais son dos en V, son bassin étroit sur ses cuisses puissantes et, entre les deux, ses fesses en saillie, bombées et cambrées.

Malgré moi

Il y avait en moi deux voix qui luttaient déjà : "- qu'est ce que tu en as à foutre de ce noir ? " "- côté esthétique c'est un beau mec. Et il m'a regardé...ça doit vouloir dire quelque chose." - "il est beau c'est un fait, mais c'est un homme. -" un homme, un homme, tu sais bien que je me le ferais bien !" -" et ta femme alors ? Tout à l'heure j'ai bien senti la petite crispation de tes bourses quand tu l'as frôlée...faudrait pas que tu tournes PD maintenant." -"PD, PD...bon, soyons francs ce ne serait pas mon premier tu le sais bien." "- ouais, mais justement ça tu devrais l'arrêter" -" ok, s'il ne fait plus attention à moi je n'y pense plus"

Sa marche ralentie inclinait maintenant vers la mer. Elle ne l'éloignait plus. De lui à moi, quelque chose passa que mon instinct maintenant réveillé était sûr de reconnaître. Pour moi en tout cas, le désir était évident.

Il n'y avait plus de dialogue de mes deux forces intérieures, je partais bille en tête.

Lui s'était arrêté devant l'eau qui mouillait ses chevilles. Je voulais en être sûr. Je descendis sur la plage et entrai dans l'eau. J'allai vers le large puis j'obliquai et nageai pour passer devant lui. Je ne pouvais voir ses yeux qui étaient couverts de grosses lunettes noires et son visage ne manifestait aucune attention particulière. Pourtant il entra dans l'eau jusqu'au point où elle atteignit son slip et, assombrissant en même temps qu'elle appliquait le tissu, elle révélait la forme musclée d'un sexe en alerte.

Passer ma main sous l'élastique devenait déjà mon obsession...

Je partis vers le large. J'attendais son approche mais comme rien ne venait, je finis par me retourner. Erreur! Il n'était pas entré dans l'eau mais au contraire, il montait vers le sommet de la plage. Je ne résistai pas à ce que mon intinct percevait comme une invite.

Je sortis de l'eau. Il s'était enfoncé dans un recoin de verdure, juste après le nôtre. Il s'allongea sous un raisinier de taille moyenne et je ne ne le vis plus. Je gravis le sable à mon tour, obliquant entre la direction de la niche où sommeillait Annie, et la sienne. Il réapparut soudain, dressé sur les coudes. Surpris; je ne trouvai rien d'autre que de lui faire un salut de la main. Il y répondit. Je montai vers lui.

Bien sûr on échangea les banalités d'usage dans ce genre d'abord. Le climat, le travail, la France, l'outre-mer... J'étais debout, il était couché, sa voix était chaude et claire, il parlait en me détaillant de la tête aux pieds avec un naturel qui me mettait dans la confusion car je me sentais transparent tandis que, à l'inverse, je retenais mes yeux de glisser sur toutes les parties de son corps ( pourquoi ? ). Il me dit que j'avais de jolis pieds; ce fut si inattendu que je restai sans voix même lorsque sa main se posa sur mon pied gauche. Sa main me flattait d'une façon plus troublante que le compliment de sa voix l'avait fait. Elle me persuadait de l'évidence du plaisir que j'avais à lui abandonner ce membre qu'il prisait avec tant d'apparente sincérité en portant mon corps de l'autre côté pour qu'il puisse le saisir en entier.

it's magic !

 

Peu aidé par ma position, il me fit divers atouchements, quand il en fut à caresser mon talon d'Achille entre son pouce et son index, la douceur qui me prit fut telle que je vacillai et que je m'assis, il me dit : -" là, tout doux ! C'est bon hein !" sa voix était aussi envoûtante que ses mains. Avoir été saisi comme électriquement par son simple toucher ne manquait pas de me laisser perplexe. Mais j'étais subjugué. Un tel homme ne pouvait qu'être d'essence divine. Je pensai aux chamanes et aux sorciers. Mon dialogue intérieur tenta de reprendre, une voix m'enjoignait la prudence, tandis que ma sensualité appelait au contraire d'autres sensations et caresses. Nous étions assis face à face, il prenait mes pieds tour à tour. Je me pâmais. Je lui tendis mes deux pieds à la fois il les reçut en serrant l'un de mes genoux. Tout encore au souvenir de cette émotion singulière que mon pied m'avait fait vivre, je ne pris pas conscience que ses doigts montaient le long de ma cuisse. Ils poursuivirent le long de ma verge sur le tissu de mon slip, s'arrêtèrent au sommet de mon gland puis la paume se posa sur toute la longueur maintenant déployée.

-"allonge-toi, laisse-toi aller."

 

Malgré la proximité de ma femme

Mon instinct se réveilla, mon coeur s'emballa. La traque du plaisir ne me lâcherait plus que repu. J'avais passé le point de non-retour. Je quittai l'ordinaire d'un jour comme les autres pour entrer dans le monde inconnu - mais si implacable du plaisir. Cela m'arrivait d'être en recherche d'inconnus et c'était alors un partage égalitaire, mais là j'étais subjugué.Ce nouvel inconnu c'était ici ce noir tout contre moi que je pouvais détailler à loisir tandis qu'entre deux doigts il lissait de bas en haut, de haut en bas, à travers le tissu tendu, ma queue vibrante d'impatience. Tout se passait à une hauteur qui faisait qu'on ne pouvait se douter de rien si on passait devant nous sur la plage. Néanmoins je tournais le torse pour scruter le terrain. Une famille approchait. Je redoutais qu'on nous voie, mais, paralysé, je ne dis rien : il venait de glisser sa main dans l'entrejambe. Repoussant l'élastique de l'autre côté, il venait d'extirper ma verge et de l'exhiber sous ses yeux. De peur que je ne prenne mal sa hâte, il me fit des compliments sur ma bite. J'aurais pu me dégager, mais sottement je rougissais à ses louanges exagérées et je ne pouvais détacher mes yeux de cette main brune qui faisait coulisser dans sa paume rose mon sexe dressé. Pour ma part, même en me penchant en arrière je ne pouvais atteindre la ceinture de son slip d'où j'aurais tant voulu dégager sa queue, m'en emparer, la presser, la peser... Je ne pouvais glisser mes doigts que sur sa poitrine et le muscle de son bras qui me maniait. L'échange était par trop inégal et j'y renonçai.

Il le comprit et alors repoussa lui-même son slip sur ses cuisses. La tête déjetée autant par le plaisir qu'il me procurait avec sa main que par le désir de contempler impunément cette verge soulevée par le bonheur, j'atteignais un stade quasi orgasmique. C'est alors que la famille arriva. Certes de là où ils passaient, ils ne pouvaient pas voir mon slip écarté à l'avant mais toujours en place dans mon dos. Quant à mon compagnon, il leva les genoux et le tissu paraissait lui barrer les fesses convenablement. Il ne m'avait pas proposé de nous cacher davantage. Manque de projet avec moi ?

Toutefois pour donner une contenance plus ordinaire à notre vis à vis, je fis semblant de fouiller dans le sac qui était posé devant moi et où mon compagnon transportait ses affaires. Ma distraction s'évanouit lorsque je reconnus au milieu de quelques magazines un tube de lubrifiant, une caméra vidéo et un vibromasseur lisse, doré, orné d'un large anneau nacré au niveau de ce qui veut figurer un gland et, plus prosaïquement, du papier hygiénique. Mon mystérieux chamane devenait soudain plus accessible, ces objets eussent pu se trouver aussi bien dans mon sac.

Défi ou mise à l'épreuve ? :" — Votre épouse va se baigner", laissa-t-il tomber.

Qu'est-ce que ça donnerait si Annie me surprenait...nous surprenait...?

Je me refagottai, me levai et me retournai. En passant en face de notre niche, elle se retourna, nous fit un signe et entra dans l'eau ...Elle a dû se dire :-" tiens il avec ce noir...il est toujours à trouver des bavards". Je m'assis sur mes talons et la regardai nager tandis que divers fantasmes se baladaient dans ma tête. comme : et comme vous pouvez voir mon ami de rencontre n'inhibait rien de mes divers instincts...Cela tenait-il à son fluide multi sexuel ?

J'étais d'ailleurs surpris d'avoir encore un peu de lucidité, un peu comme un fumeur de H en plein trip. Mon "camarade" me caressait les reins. Je devinai le moment où elle s'enlevait le maillot pour nager nue. Lui, cependant avait passé la main sous mon derrière et faisait aller un doigt sur ma raie. Elle se mit à faire la planche. Il détecta ma rosette et entreprit un lent massage qui irradia dans tout mon bassin et au-delà. Je repoussai mon slip sous moi cependant qu'à l'avant, tenant ma verge dressée il gardait les apparences de la décence. Maintenant il m'agaçait l'oeillet de son large index. Et je continuais à surveiller Annie au loin...

Qu'il était loin le gentil fétichiste de tout à l'heure. Ce qu'il me faisait maintenant prenait un peu plus possession de mon être. Je sais l'état auquel ces pratiques m'entraînent et peuvent faire plier ma volonté.D'habitude, tant que je peux j'y résiste pour rester ou revenir au statut d'hétéro. Mais il remonta sur les coudes et je pus m'emparer de sa bite. Je la traitai aussitôt avec une rudesse et une lascivité alternées, sans retenue, en réponse aux libertés qu'il s'octroyait sur ma personne, toute honte ou tout scrupule disparus. Les douleurs délibérées qu'il faisait subir à mon anus irradiaient dans ma colonne et jusque au plus profond de ma nuque leur effet dominateur, mais je ne pouvais m'interdire de magnifier l'être que je voyais maintenant à la besogne, de plus en plus sous le fouet du désir. Ce n'était que son doigt qui allait et venait dans mon fondement mais il me remplissait de bonheur... et d'appréhension.

Allez, on va plus avant et on filme

Le vent marin fouettait ma peau nue et le soleil la léchait mais au fond de moi, entêtante, une douleur ardente hâtait l'effroi et le désir de sentir venir occuper, glisser en cet endroit une forme pleine, active et dérangeante. Sa queue était pour l'heure dans ma main. Le spectacle de son corps qui tanguait sous mes caresses, ça le faisait parler... ses murmures n'étaient d'aucune langue que je connusse.

Je me rappelai le lubrifiant dans le sac. Je lui tendis le tube. Il revint en moi mais cette fois la douceur prévalait et eut raison de mes dernières crispations.

 

Au loin Annie flottait et, entre deux vagues son corps illuminait le bleu des flots. Au fond, bizarrement, j'aurais aimé sa présence, le témoignage de ma soumission et de mon plaisir. Je pensai alors à la caméra dans le sac, la montrai, et lorsqu'il acquieça, je visai. Je la dirigeai vers elle, plein zoom en plein doigtage de son époux ! .

La paume reposant sur le sable, mon maître déclinait la gamme de ses doigts. Par de légers ressauts du bassin, je venais m'y empaler. L'un après l'autre chacun m'imposait au hasard la surprise de son volume, de sa longueur, de sa courbure, de sa dextérité. Je fis pivoter l'écran de contrôle et, à bout de bras, je tins la caméra dirigée sur sa mai, puis sur mon visage. J'étais pâle, fiévreux, la lèvre déformée. Mes yeux noyés d'hébétude par la jouissance et ma bouche exhalait un soupir de délice. Plus tard ces images feraient à mon suborneur un souvenir flatteur.

Je m'appliquai à capter des vues suggestives, surtout lorsque je saisis mon visage effaré, puis dressé dans un cri muet vers le ciel, et enfin chaviré : sa bouche avalait ma verge à grandes lampées. Il l'avait décrochée de mon slip. De loin on pouvait croire qu'il avait plongé la tête dans son sac. Quand je voulus diriger l'objectif vers la scène, il l'avait déjà quittée et je filmai seulement mon sexe dressé, luisant encore, à l'air libre; mais qu'importe, le sac maintenant faisait écran et Annie ne pouvait rien voir. Je prolongeai le travelling sur lui et cadrai sur son ventre sa belle bite courbe et spatulée dont il entretenait l'érection d'une main paresseuse. Dans le champ, on put voir ma main entrer et remplacer la sienne. Il la prit pour l'enduire de lubrifiant e je lui abandonnai l'initiative. Hors champ je ne m'aperçus pas tout de suite qu'il graissait aussi le vibromasseur qu'il avait sorti de son sac.

Annie sortait de l'eau quand il présenta l'engin devant l'orifice. D'autres baigneurs s'ébattaient maintenant à cet endroit ; pour tous, sauf pour elle, nous étions là-haut sur le sable une paire de copains de rencontre dont l'un sommeillait allongé sur le dos tandis que l'autre à genoux filmait la mer. Je lui fis un signe où j'essayais de mettre: "à tout à l'heure !". Elle remonta rejoindre son recoin sans chercher à nous rejoindre.

Alors je fixai de nouveau l'objectif sur mon visage. En attente, mais sans révolte. J'entrepris de me caresser pour conserver à mon sexe son allant avec ma main lubrifiée. L'objet fit entrer en moi le froid de son métal, mon visage eut une crispation. Il imposait dans toute sa longueur sa rigidité déconcertante. C'est tellement mieux une bite bien chaude, la sienne par exemple... j'aurais pu m'asseoir discrètement dessus... mes yeux roulaient. Ils cherchaient l'appui de quelque chose de chaud, de tendre, d'humain en somme. L'engin avait pris même un rythme de machine et pistonnait avec une monotonie qui plissait mes lèvres d'amertume. Mais quand il lança l'électricité et ses vibrations, la vidéo ne put capter le cri que je parvins à retenir mais ne perdit rien de mon visage halluciné. Je compris que cette couleur or n'était pas du plastique, mais du métal. De l'or ? Et il déchargeait de l'électricité... je suppose. Ca n'avait rien d'un vibromasseur classique. Le froid du premier contact fut vite oublié. Il le manoeuvrait de façon particulière et par étapes et allers et retours, arrêts et départs. Chaque impulsion électrique me faisait cabrer, certes, mais me shootait a fond. Je planais. Très haut. Je perdais un peu conscience, je jouissais sans éjaculer, mais ma verge toujours bandée coulait. Jamais auparavant je n'avais éprouvé de telles sensations...Le ciel même me paraissait avoir changé de couleur. Je sentais mes yeux révulsés qui roulaient. Mais sans souffrir. Je désirais très fort appartenir...je ne savais à qui...à lui sans doute ou à la divinité qui l'animait. Vous m'auriez parlé, je crois que je n'aurais pas entendu. seules les incantations que mon mage proférait tout du long parvenaient à ma conscience obérée.

Cela dura un sacré moment.Heureusement pas assez pour inquiéter Annie.

Sur une décharge qui me secoua tout entier, ma verge épileptique déchargea dans tous les azimuts et mon noir sorcier mit fin à mon délire.

Je tombai sur le sable la tête en avant et tombai la caméra. Il se retourna à son tour sur le ventre et prit mon pied gauche entre ses deux mains. Sur la plante, entre les orteils, il me faisait ses caresses savantes propres à réveiller ma verge et mon désir anal. Je surmontai cet envoûtement qui repartait de plus belle. Il me fallut faire un effort colossal pour faire émerger ma vigilance.

— Ma femme va s'impatienter, dis-je en me redressant. Je lui dérobais ainsi l'objet de son désir et je bafouillai quelques gauches excuses. "-Heu...j'aurais aimé qu'on aille plus loin...je ne t'ai vous ai même pas sucé... il faut vraiment que j'y aille " je savais bien que sucer n'avait pas autant d'importance et que "plus loin" signifiait autre chose...

"- on peut se revoir, j'habite une petite maison près de l'Anse des Rochers à St François...

- Pourquoi pas ? -Demandez Elie Dimato. Tenez voici mon petit dépliant et mon tél.

 

 

Elie Dimato, voyance, chamane...

 

FIN

     NB : Réflexologie des pieds

 

 

Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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