Partager l'article ! Récit : sur la route avec Bill le routier: J'avais toujours été "top". Sans lui, je n’aurais peut-être jamais découvert le plaisir anal... ...
J'avais toujours été "top". Sans lui, je n’aurais peut-être jamais découvert le plaisir anal...
J’étais parti sur un coup de tête. Mon sac à dos ne contenait que l’essentiel. Quelques vêtements, un nécessaire de toilette, des verres fumés, une paire de souliers et sans oublier une petite enseigne indiquant ma destination. Avec quelques dollars en poche, je me promettais de me rendre en Californie, sur le pouce. Jusqu’ici, j’avais été passablement chanceux. Un homme se rendant à Chicago m’avait offert une place à ses côtés. Il s’est montré passablement ennuyant, mais au moins, j’ai fait du chemin. La traversée de l’Iowa fut un peu plus ardue et longue. Une série de petits trajets m’ont amené à ce truckstop situé entre Omaha et Lincoln. Il est six heures du matin. Il pleut, je suis trempé jusqu'à l’os. J’entre dans le seven eleven. Une dizaine de camionneurs sont alignés au comptoir. Je dépose mon écriteau sur la table et m’assois sur la banquette. Une dame d’une cinquantaine d’années se dirige vers moi avec un pot de café. Elle s’appelle Shirley. Elle m’en verse sans que je lui dise que j’en veux.
--- You must be cold. This one is on me, young man.
Elle était très gentille et avenante. Une vraie mère. En fait, le café était compris dans le petit-déjeuner. Mais c’était sa façon de me dire qu’elle prenait soin de moi. J’allais m’acquitter de ma facture lorsqu’un homme s’avance vers moi. Je lève les yeux. Il porte des bottes de cowboy brunes, un jeans Levi’s moulant et une chemise à carreaux bleue. Il a une mâchoire carrée, le teint basané, des yeux bleus acier, les cheveux foncés et une barbe de trois jours qui accentue son allure très masculine. Il mâchouille un cure-dents. Avant de m’adresser la parole, il le retire de sa bouche.
--- Going to California, young man ?
--- Heu... Yes... I do !
--- Need a lift ?
--- Sure !
Aussitôt dit, aussitôt partis. L’homme est d’allure assez carrée, un mètre quatre vingts, de bons biceps et de bonnes mains de travailleur. Sa démarche est décontractée. Je le suis sans dire un mot. Avant d’embarquer dans son énorme camion, il prend mon sac à dos et le dépose à l’arrière dans la cabine. À l’intérieur de l’habitacle, ça sent le cuir. Contrairement à ce dont je m’attendais, tout était d’une propreté impeccable. J’étais monté avant lui et en entrant à son tour, il se présente;
--- My name is Bill… And you ?
--- Jay.
--- Well, Jay, it’s a pleasure to meet you.
Il vient de Chicago où il est marié et père d’une fille de quatre ans. Sa petite darling. Nous parlons de tout et de rien pendant plusieurs minutes. Mais à un moment donné, ma longue nuit blanche me rattrape et je m’endors. Plus de deux heures plus tard, je me réveille en sursaut. Sur une enseigne on annonce la ville de Cheyenne. Bill avait ralenti à cause du trafic. En sautant sur les freins, ça m’avait sorti de mon sommeil. Pendant quelques minutes, je m’amuse à observer son pilotage. J’aime la manière qu’il a de s’emparer de son bras de vitesse et de manœuvrer son volant. Étant donné que je ne sais pas conduire, cela me fascine. Je vois en cet homme un modèle de père que je n’ai pas eu. J’aurais aimé qu’il me montre, qu’il m’apprenne à faire toutes ces manœuvres. Le jeune homme de vingt-deux ans que je suis est impressionné par ses mouvements brusques menant à une conduite tout en douceurs. Je me sens un peu mal à l’aise de m’être endormi. Je m’excuse auprès de lui. Il me dit de ne pas m’en faire, que lui aussi commençait à être fatigué. Il m’explique qu’il préfère rouler de nuit. Bill est du genre assez jovial. Le genre de mec qui a toujours le mot pour rire. Il me demande ce que j’allais faire en Californie et avant même d’entendre ma réponse il me dit en anglais;
--- Pour t’envoyer en l’air !
Je venais tout juste de casser avec Suzanne. L’idée de ce coup de tête avait pour but de chasser de mes esprits les raisons qui ont mené à notre rupture. Mais en disant ça, Bill venait de me rappeler que je n’avais pas fait l’amour depuis plus d’une semaine. Lorsque je lui dis que je voulais aller à San Francisco, il me dit qu’il connaissait deux mecs qui m’accueilleraient à bras ouverts là-bas. Jeffrey et Mark, deux amis très proches, qui se partagent un appartement avec vue sur le Golden Gate. Bill me dit que j’allais bien m’entendre avec Jeffrey, entre autres. Nous roulons pendant un bon bout de temps sans que Bill ne prononce une phrase, lorsqu’à un moment donné il pousse celle-ci;
--- San Francisco… Avec un beau petit cul comme le tien, tu devras faire attention pour ne pas te faire sauter dessus!
Venant de lui, cette remarque m’avait surpris. Il venait de me qualifier de « beau petit cul ». Certes, j’en avais un assez joli, mais venant de sa bouche, ça sonnait bizarre. D’un autre angle, cette boutade pouvait vouloir dire de faire gaffe parce que cette ville a la réputation d’être une terre d’accueil invitante pour les homosexuels. Mais des idées se mettent à germer dans ma tête. Je me tourne vers Bill et me mets à l’imaginer avec un autre homme. Je le vois avec son cure-dents à la bouche et je me dis;
--- Non, c’est pas possible.
Mais il enchaîne en disant;
--- Je dis ça juste pour te prévenir, mais si c’est ce que tu recherches, je n’ai rien contre ça… Tu comprends?
Pas sur de saisir exactement le message qu’il m’envoie. Peut-être suis-je fermé à l’idée que ce modèle de virilité puisse être attiré par d’autres mecs. Peut-être aussi que cette semaine passée sans avoir eu de rapports sexuels me fait voir de la perversion là où il n’y en a pas. Sauf que cette dernière remarque me fait douter. Je n’ose pas lui demander s’il est attiré par les hommes, mais pour ma part, pour une raison que j’ignore encore, je suis de plus en plus attiré par lui. Je sens en moi une insoutenable montée de désir. Mais je me raisonne, refusant de croire que ce père de famille, marié puisse aussi être gai.
Plusieurs kilomètres plus loin, je m’endors à nouveau, mais pour un court moment. Je me réveille lorsque Bill m’adresse la parole;
--- Tu sais, Jay, je connais un petit motel pas loin d’ici où on pourrait faire une petite sieste.
--- Une petite sieste ? Me dis-je.
Il ajoute aussitôt;
--- Je dis ça parce que tu es fatigué, Jay. Je ne veux pas que tu penses mal… À moins que ce soit ce que tu veux… Tu comprends ?
À moins que je sois complètement dans le champ, cette fois, je commence à saisir le message. Cet homme, j’en ai la certitude, a une double vie. À Chicago, c’est le bon père de famille, attentionné et fidèle, mais lorsqu’il est dans son camion, il devient libre. Libre de se laisser aller à ses pulsions sexuelles avec des mecs comme moi. Je réponds donc par l’affirmative.
Nous arrivons donc au Bob’s motel. La chambre est située tout au bout d’une allée de dix chambres. Ce n’est pas le gros luxe, mais c’est propre. Il y a deux lits, un double et un simple. Aussitôt entré, il m’offre de prendre ma douche en premier. J’accepte. J’enlève ma chemise, puis mon jeans. Je le vois m’observer en douce. Je me rends à la salle de bain en caleçons. Pendant que je me douche, Bill entre dans la salle de bain. Il actionne le robinet. Le rideau de douche est légèrement troué et travers cette ouverture, je peux le voir se raser la barbe. Il est entièrement nu. Il se fait la barbe avec une lame de barbier. Il est particulièrement adroit. Ça m’impressionne de le voir faire sans se couper. Personnellement, je crois que je n’y arriverais pas. Je termine de me doucher. Je tire sur le rideau. Bill se tourne vers moi. Il m’observe des pieds à la tête. Histoire de faire diversion, il me demande;
--- Alors, Jay… Tu te sens mieux, maintenant.
Ma réponse est oui. Je ne peux m’empêcher de regarder ses fesses rondes, ses cuisses musclées et son gros membre pendant. Il n’est pas circoncis. La vue de cette chair alléchante me donne des bouffées de chaleur. Il sait, enfin je crois, que je regarde son pénis avec un appétit sexuel difficile à dissimuler. Je perçois dans son regard, qu’il me désire tout autant. Mais je pense qu’il se retient. Étant plus du genre à me faire séduire qu’à prendre les devants, j’attends qu’il fasse les premiers pas, mais ses avances tarde à venir. Pourtant, je lui montre mon corps, ou plutôt je lui offre mon corps sans aucune pudeur. Je me dis qu’il n’a qu’à le prendre. Je suis là, à quelques centimètres de lui. Je m’essuie avec la serviette en me disant que ça devrait l’exciter davantage, en espérant qu’il vienne me toucher avant de le toucher à mon tour. Mais au lieu de cela, il continue à se faire la barbe comme si de rien n’était. Je passe derrière lui et je me dirige vers le lit où je m’étends. De là, j’entends Bill qui ouvre le robinet de la douche. Je me ferme les yeux. L’eau coule et coule. Je me mets à l’imaginer en train de se savonner. Je fantasme. Mais, c’est plus fort que moi, je suis fatigué. Sans que je m’en rende compte et avant même que Bill termine de se doucher, le sommeil vient me chercher.
Ce n’est que beaucoup plus tard que je me réveille. Il fait sombre dehors. Je reprends lentement mes esprits. Sur le coup, je me sens mal de m’être endormi. Je me tourne vers le lit voisin. Bill est allongé sur le côté. Il est entièrement nu et il dort. Je ne peux m’empêcher de regarder son corps. Il est viril, assez poilu, mais sans être un ours. Son sexe pend sur le côté. Même au repos, il est plus grand que le mien lorsqu’il est en érection. Parlant d’érection, il y en a une en moi qui naît peu à peu à ce moment précis. L’envie de me masturber me traverse l’esprit. L’idée de me glisser furtivement dans son lit est également présente dans ma tête. Je me couche sur le dos et me mets à observer le plafond. Je me dis qu’il faut que je chasse ces idées de ma tête. J’essaie de me raisonner et de me dire que j’ai imaginé tout ça. Que Bill est un hétéro et qu’après avoir dormi, nous reprendrons la route tout simplement. Mais je ne peux chasser de ma tête les insinuations qui m’ont poussé à croire qu’il veuille faire l’amour avec moi. Regarder le plafond n’a pour tout dire, aucun effet dissuasif. Je me tourne vers Bill. À ma grande surprise, il a les yeux ouverts et il me regarde. Il me sourit candidement. Inconsciemment ou non, tous les deux exposons notre corps l’un à l’autre. Je sens un pincement dans ma poitrine. J’ai la conviction maintenant que Bill se sent prêt à passer à l’acte. Qu’il m’invite à le rejoindre. Mon membre se gonfle à mesure que mes yeux parcourent son corps. Le sien aussi. Il met sa main sur son pénis et se caresse. Le désir qui m’habite est insoutenable. D’une voix douce et invitante, Bill me demande;
--- Alors, Jay… Je sais à quoi tu penses… Tu vas te décider à venir me sucer, oui ou non.
Maintenant que j’ai la conviction que c’est ce qu’il désire, je m’éjecte de mon lit pour aller m’agenouiller devant lui. Je m’empare aussitôt de son pénis et commence à le caresser avec ma main. Je suis impressionné. Il est déjà dur comme le roc. Je lèche doucement son gland, puis l’insère dans ma bouche. De toute ma vie, je n’ai jamais sucé une queue aussi énorme. Elle occupe tout mon palais. Son pénis est également très droit et d’une bonne largeur. Bill réagit aux succions que j’exerce avec des gémissements et en m’encourageant à continuer. À l’occasion, il donne des petits coups de bassin. Un peu de préfoutre s’écoule de son pénis excité. Il goûte bon. Je lui dis. Au fur et à mesure que ma bouche s’habitue à la grosseur de sa queue, je l’enfonce de plus en plus jusqu’au fond de ma gorge. Je me demande jusqu’où je peux aller, mais je suis incapable de me rendre plus loin qu’à la moitié. J’aimerais tellement pouvoir l’insérer plus loin dans ma gorge. Je m’efforce de le faire. Suzanne, qui arrivait à le faire, m’avait montré comment elle s’y prenait, mais je n’avais jamais tenté avec une aussi grosse queue. Je vous raconterai sûrement un jour, la fois où elle et moi avons fait un trio avec Jessy, une jolie transsexuelle dotée d’une queue de neuf pouces. Toujours est-il que je la sens dans le fond de ma gorge, la queue de Bill. Je la fais glisser lentement jusqu’au pharynx sans ressentir de nausée. Je tente de respirer par le nez. Je crois bien avoir réussi lorsqu’un réflexe me pousse à la retirer de ma bouche. Même si je ne suis pas arrivé à l’insérer complètement, je sens que Bill apprécie mes efforts. Je le masturbe quelques secondes avant de tenter l’expérience à nouveau. La tête de son pénis passe mon pharynx pour aboutir jusqu’au larynx. Elle est maintenant complètement jusqu’au fond. Bill gémit.
--- Hawwhh, Jay, you’re so fucking great.
Ça m’amuse de constater à quel point il aime ça. Je ne croyais pas être capable de la mettre aussi loin. Je suis fier de moi. Je l’avale avec passion jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. C’est alors qu’il me dit;
--- Maintenant amène ton petit cul ici, que je te monte !
Sur le coup, je n’en crois pas mes oreilles. De toute ma vie, j’ai toujours été top. Je ne me suis jamais posé la question à savoir si j’aimerais inverser les rôles. Mais là, Bill, avec sa grosse queue, veut m’enfiler. Une langue, un doigt, ça peut passer, mais un pénis de cette grosseur, non. Je m’y oppose. Mais Bill insiste en disant qu’il ne me ferait pas de mal. Par crainte qu’il ne se fâche, je me soumets à ses ordres. Je me mets à quatre pattes et lui offre mon cul. Bil m’accueille en me donnant une petite fessée. Sur le coup, je ne suis pas certain d’apprécier, mais, aussitôt la surprise passée, curieusement, cela me rend plus réceptif. J’ai même envie de lui demander de me fesser à nouveau. Bill empoigne mes deux fesses à pleine main, me les écarte pour mettre mon anus à découvert, puis me lèche l’anus. Sa langue est douce et juteuse. Le son qu’il fait avec sa langue lorsqu’il me lèche le scrotum m’excite. Mais j’ai encore à l’esprit qu’il y introduira sa queue à un moment donné et je crains que cela me fasse mal. Visiblement, Bill devine le sentiment qui m’habite. Il me demande de me détendre. Je prends une grande respiration.
--- C’est mieux, Jay. Je sens que ton anus commence à être prêt. Mais tu vas avoir besoins d’aide.
Il se lève et se dirige vers un sac. Il fouille à l’intérieur et en extirpe un tube d’onguent.
--- Avec ça, je pourrais faire entrer un canon dans ton cul.
Sans façon, me dis-je. Une bite suffira. Bill s’enduit les doigts d’une épaisse couche d’onguent. Il applique généreusement l’onguent sur mon scrotum. Ensuite, il enfile un doigt. Son doigt glisse dans mon rectum sans aucune difficulté. Mon sphincter se dilate plus aisément que je ne l'eut cru au préalable. Il insère ensuite deux doigts. Il me demande comment je me sens. Je lui réponds que j’aime ça et qu’il peut continuer. Il s’amuse à insérer, puis à retirer ses doigts de mon anus. C’est lorsqu’il retire ses doigts de mon anus que la sensation est la plus excitante. Il le sait et il me dit;
--- Tu y prends goût… Tu vas adorer ma bite, Jay, tu vas voir.
Il se redresse et enduit son pénis d’onguent. Il écarte mes fesses et commence à attiser mon cul en faisant glisser queue autour de mon anus. Afin de m’aider à me détendre, Bill se couche dans mon dos et enroule ses bras autour de moi. Il me lèche le cou, puis me mordille les trapèzes. Il me demande si je suis prêt. Même si j’ai encore des craintes, je lui réponds par l’affirmative. Pour avoir été top, je sais lorsque le partenaire est prêt ou non à se faire enfiler. Il doit être détendu et son sphincter dilaté et prêt à recevoir un pénis. Je sens que je le suis, que mon anus ne demande qu’à se faire prendre. Bill se redresse et saisit sa queue pour commencer à l’introduire. Au début, je sens la tête de son pénis entrer doucement dans mon anus. L’onguent fait bien son travail puisque le pénis glisse doucement, sans que je ressente de douleur. Lorsque la tête pénètre en entier, je sens mon sphincter se serrer sur le corps de sa verge. Un réflexe difficile à contrôler.
--- Muhhmm, Jay, t’as un bon petit cul de vierge bien serré.
La sensation est plus douce que ce à quoi je m’attendais. Cela fait mal, un peu, mais le plaisir que j’en retire l’emporte sur la douleur. J’ai même envie de pousser moi aussi, mais je laisse durer le plaisir de sentir sa queue me pénétrer, millimètre par millimètre.
--- Tu aimes ça, jusqu’à maintenant, Jay ?
--- Oui
--- Tu veux que je l’enfonce plus loin ?
J’avale ma salive avant de dire;
--- Je la veux toute dans mon cul, Bill.
--- Good boy !
Il me donne une fessée, une bonne celle-là, puis pousse vigoureusement sur sa queue pour la faire pénétrer jusqu’au fond. Je la sens glisser dans mon rectum et atteindre ma prostate. La douleur est vive, mais la sensation est douce. Son pénis est chaud et agréable. Cette impression d’avoir un corps étranger nous pénétrer, nous envahir n'est comparable à rien d’autre. Sa queue est maintenant entièrement entrée. Il la laisse au fond pendant quelques secondes, avant de la retirer lentement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que la tête de son pénis à l’intérieur de mon cul. Ensuite, dans un mouvement vif, mais sans être brusque, il la pousse jusqu’au fond. À ce moment-là, lorsque le pénis se rend jusqu'à la prostate, une sensation de plaisir extrêmement forte s'empare de moi. Je gémis et j'atteins presque l'orgasme. Ses mouvements sont de plus en plus intenses. Je ressens chacun de ses coups de bassin. Sa grosse bite dans mon anus me rend chaud et intensément vicieux. J’ai le goût de me faire mettre de plus en plus fort. Ma queue en érection témoigne du plaisir que j’en retire. Alors que Bill caresse mon pénis, il me dit;
--- Tu aimes ça te faire enculer comme une pute, hein, Jay ?
Oui, je me sens pute. Je suis la pute de Bill à moment précis et j’aime ça me faire dominer par lui. Au moment où je lui réponds par l’affirmative, il me donne au moins une dizaine de coups répétitifs à haute intensité. J’ai l’impression qu’il va décharger, mais il se retient. Il ralentit ses ardeurs pendant un moment. Il souffle un peu et moi aussi. Mais l’interruption est brève. Bill recommence à me baiser à fond sans retenue, enfonçant sa queue jusqu’au fond de mon anus. Je me laisse faire avec plaisir. À chaque coup, je ressens une sensation de brûlure intense, mais cette douleur me plaît. C’est comme le chaud et le froid ou si vous voulez, le sucre et le sel en même temps. J’aime qu’il m’enroule de ses bras avec force, qu’il me mordille la peau, qu’il me lèche le cou, sentir son eau de Cologne, pendant qu’il me la met tout au fond. Sentir qu’il me baise comme un porc et qu’il prend son pied me rend encore plus salope. Alors qu’il enfonce sa queue tout au fond de mon anus, je pousse mes fesses vers lui pour sentir sa queue davantage. Il gémit son plaisir. Je le sens très dur, prêt à expulser son jus. Bill et moi sommes tout mouillés. Je sens ses poils empreints de sueur dans mon dos, contre ma peau tout aussi humide. Nos corps glissent l’un contre l’autre. J’ai l’impression que sa queue et mon anus forment un tout. Je ne ressens plus aucune douleur. Je perçois que Bill est sur le point de jouir. Je l’entends se lamenter, gémir, respirer très fort. Moi aussi j’ai envie d’expulser mon sperme, mais j’attends qu’il le fasse en premier. Ses gémissements s’amplifient au même rythme que ses coups de verge augmentent en intensité. Sa queue est dure comme le roc. Je perçois que la tête de son pénis est gorgée de sang.
--- Hahhrgg, you fucking whore, Jay... So fucking hot ass, baby !You make me so fucking hard, man !
Les mots qui sortent de sa bouche augmentent mon sentiment de plaisir. Le savoir si excité me rend encore pus torride. Il est sur le point d’exploser, je le sais, je le sens. Il me serre avec de plus en plus de force. Ses coups de queue sont saccadés et courts. Ses gémissements s’intensifient. Il vient. Je perçois chaque jet à mesure qu’il expulse son sperme chaud dans mon cul. Cette sensation de chaleur dans mon anus me donne envie de décharger à mon tour. Je me masturbe pendant qu’il secoue son bassin, expulsant du même coup ses dernières gouttes de plaisir. Je sens monter mon jus dans mon pénis. J’implore Bill de rester dans mon anus pendant que j’éjacule. Je pousse mes fesses contre lui alors que je déverse mon jus sur les draps. Le plaisir que j’en retire est immense. Bill retire son pénis de mon anus, alors que moi, exténué, je m’étends à plat ventre sur le lit. Je me couche sur mon sperme. J’ai la nette impression qu’il y en a plus que d’habitude. Celui que Bill a laissé dans mon anus s’écoule lentement entre mes fesses. Je croyais que Bill était complètement rassasié, mais à ma grande surprise, je l’entends se masturber. Je me tourne vers lui. J’ai peine à croire que cette queue était dans mon cul il y a quelques secondes. Bill me regarde les fesses en se branlant. Il semble très excité. De sa main droite, il se branle alors que de l’autre, il se serre les couilles. Au bout de quelques secondes, il avance sa main gauche vers mes fesses. Il me caresse. Il étend le sperme sur mes fesses. Ensuite, il s’approche pour lécher le jus qu’il avait étendu. Après avoir tout mangé, il insère sa langue dans mon rectum. Sa langue est comme un baume sur une plaie vive. Je l’entends laper. J’entends aussi sa main qui claque à chaque coup de masturbation. Sa langue me chatouille. Je me laisse faire. Il peut bien tout avaler, lentement, s’il le veut. D’ailleurs, il y a encore du sperme dans mon cul qui s’écoule. Bill le lèche à mesure qu’il est évacué. Ça l’excite. Sa respiration est forte. Je sens qu’il va jouir incessamment. Peu de temps avant de s’apprêter à éjaculer, Bill me demande;
--- Tell me, Jay… Do you want to taste my cum?
Je me retourne sur le dos, prêt à l’accueillir. Je lui dis;
--- Shoot your load on me, baby!
Il s’assoit sur moi et se branle à quelques centimètres de ma face. Il sent le plaisir à plein nez. Sa queue est bien dure et sa main exerce un mouvement rapide de bas en haut et de haut en bas. Je le sens fébrile. Sa queue est sur le point d’exploser. Je lui offre ma langue. Ma bouche est prête à accueillir tout le jus qui sera évacué. J’ai envie de goûter à son sperme. Pendant ce temps, ma main droite parcourt ses muscles du dos et ses fesses dures, alors que la gauche caresse ses pectoraux et ses abdos. Tout à coup, un jet est propulsé hors du pénis de Bill. Il termine sa course directement sur ma langue. Je le goûte et l’avale entièrement. J’en redemande. Il expulse un autre jet, plus volumineux celui-là. Une partie de son foutre se loge dans ma bouche et une autre sur ma joue. J’avale le sperme qu’il m’a si généreusement donné. La quantité est assez importante. Il goûte bon. Il expulse encore quelques gouttes qui tombent sur mon menton, puis quelques autres qui coulent le long de sa verge. Ces gouttes, Bill les ramasse avec ses doigts avant de les amener à sa bouche. Il se pourlèche les babines. Pendant ce temps, je lui offre ma bouche. J’ai envie de déguster son pénis à nouveau. Il comprend mes intentions alors il introduit sa queue dans ma bouche. Je lèche entièrement le jus qui s’y trouve. Il me regarde faire en me disant;
--- Yeah, baby, lick it all!
J’ai effectivement tout léché et tout avalé. J’en aurais même pris davantage, mais toute bonne chose ayant une fin, cela s’est terminé ainsi. Pour cette fois du moins. Il s’est étendu dans mon dos et m’as enroulé de ses bras. Il s’est endormi par très longtemps après. Personnellement, je n’avais pas sommeil. Nos corps dégageaient une telle odeur de sexe, que je n’arrivais pas à fermer l’œil. Je revoyais les images de nos ébats dans ma tête. Je sentais mon cœur battre dans mon rectum, signe que je venais de me faire dépuceler par-derrière. Ma première expérience anale était chose du passé. Avant ce jour, j’avais la conviction d’être top, mais à partir de ce jour, je suis devenu versatile avec une forte dépendance à me faire pénétrer.
Plus tard en soirée, Bill et moi avons repris la route. En chemin, entre Cheyenne et San Francisco, nous avons baisé à nouveau. Une fois dans sa cabine arrière. Il m’a pris par-derrière violemment, je dirais même avec furie, alors que nous étions stationnés sur le bord de la route. J’ai savouré chaque instant. Une autre fois, nous l’avons fait dans les toilettes d’une station-service. Juste pour faire changement. Nous avons failli nous faire prendre par le gérant de la station qui se demandait pourquoi nous prenions autant de temps. Je crois, en fait, qu’il nous a laissé faire, sachant très bien ce qu’il se passait. Un peu avant d’arriver à destination, je lui ai fait une petite gâterie alors qu’il était au volant. J’ai tout avalé. Je crois que nous avons failli causer un accident. Avant de me laisser, Bill a contacté ses amis, Jeffrey et Marc, pour leur demander s’ils seraient disposés à m’accueillir. Je suis ensuite parti avec mon sac à dos en direction de leur appartement. J’avais la tête pleine de beaux moments passés en compagnie de cet homme qui est apparu dans ma vie, tel un chevalier errant. Sans lui, je n’aurais peut-être jamais découvert le plaisir anal. Ces moments furent pour moi une révélation. Je vous raconterai sûrement un jour comment ça s’est passé entre Jeffrey, Marc et moi. Mais, ça, c’est une autre histoire.
Bill ?
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