Partager l'article ! Récit LE GENDARME PASSE AUX AVEUX: classé dans RECITS REELS & INIT...(76) C'était il y a qq années. Depuis ils ont ...
classé dans RECITS REELS & INIT...(76)
C'était il y a qq années. Depuis ils ont fait fermer la drague.
LE GENDARME PASSE AUX AVEUX
Encore un article iconoclaste...mais attention, celui-ci a un VRAI fond de vérité.
Qui ne bande pas pour l’uniforme ?. Mon voisin de palier, le gendarme, J'en pouvais plus ! j’allais me le payer ce soir, sûr! Beau gosse le mec! Dans son pull bleu avec le liséré blanc, le pantalon qui moulait deux belles cuisses et un petit cul serré. Cheveux courts, moustache brune, bien taillée... Il ne devait pas s’ennuyer, le jeune type, un de ses jeunes collègues qui venait quand la femme n’était pas là. Je rentrais du boulot vers vingt deux heures et souvent, j’avais rencontré le beau garçon bien bâti qui venait prendre des cours “très particuliers’’ ou dresser des procès verbaux très spéciaux... |
Oui, mais qui pouvait se douter qu'il était gay ? Bi, je veux dire ! Je ne qualifierai pas sa conduite d'imprudente car mon opinion est qu'un gendarme gay a le droit de vivre sa sexualité comme tout un chacun. Et d'ailleurs tout hétéro est, selon moi, un bisexuel ou un gay qui s'ignore !
Alors voilà : je le vois en jogger dans la drague que je fréquente, et dans une activité qui ne laisse aucun doute. Je laisse partir son partenaire et je m'approche. Il ne me reconnaît pas, je crois que c'est à cause de mon bonnet. J'engage caresses et conversation. Je lui glisse : " faudrait pas se faire pécho par la patrouille...je les vois de temps en temps -- pas de danger ils sont pas là pour verbaliser les PD. D'ailleurs si tu veux savoir, je suis gendarme. Je travaille à l'unité de....xxx -- ok ok, ben t'as pas peur, toi ! -- si t'as un pb ici , viens me voir à la brigade je m'appelle Eric."
Je lui montre le gros gode que j'ai avec moi sur la drague : " regarde! -- ah oui, il est beau. (Il baisse mon survêt.) je vais te le mettre..." J'ai pas vu sa queue quand il était avec l'autre, mais il ne doit plus avoir de jus ! Et puis ça nous amuse à tous les deux.
Pourquoi on s'est pas identifiés comme voisins, je ne sais pas...
Deux coups discrets à la porte. Il ouvrit, me sourit, il était en survêt d’uniforme.
— Vous vous trompez de porte, me dit-il. ou alors je peux vous être utile.
Il ajoute : --Ah, oui!!!!!! Là il m'a reconnu en tant que compagnon de drague.
— Non, je frappe à la bonne porte, je ne suis ni veuve, ni orphelin, dis-je en riant mais j’ai besoin d’aide! Vous êtes seul ce soir, moi aussi; nous pourrions allier nos solitudes!
— Et comment? me dit-il souriant d'un air entendu.
— Comme ça! et je lui mis directement la main au paquet et plaquai ma bouche sur la sienne.
Ses lèvres s’ouvrirent, sa langue chercha la mienne, violenta ma bouche et se noua à ma langue. Mes mains eurent vite fait de baisser la culotte du survêt. En-dessous, un slip tendu sur une virilité qui commençait à témoigner de l’agitation de mon gendarme. Il relâcha ma bouche:
— Tu vas vite en besogne!
— Droit au but, et dis donc, tu as un sacré calibre!
Mes mains caressèrent sa poitrine sous le tee-shirt, pectoraux durs et velus, tétins en érection. Le mec bandant en diable; nom de dieu, pourquoi avoir attendu si longtemps? En un rien de temps, je fus déshabillé:
— Fais-moi ce que tu fais au jeune gendarme qui vient te voir!
— Tu veux?
UN SCENARIO DE FOLIE
Il enfila un short noir qui se distendait sous le poids de la verge. Pudiquement, il s’était retourné pour échanger slip contre short !!! Quand il leva les jambes, je pus voir sa raie velue et ses fesses poilues. Sur le short il plaça son ceinturon et son revolver. Il mit son képi et chaussa ses bottes. Puis il me fit tendre les poignets et me passa des menottes:
— À genoux! Caresse-moi!
Difficile de caresser avec les deux mains jointes, mais j’y suis arrivé, et ma bouche s’écrasa sur le tissu, cherchant à travers le volume de la verge tandis que mes poings joints essayaient de saisir les couilles.
— Bien! Tu es doué! Tu es mon prisonnier et tu vas subir mes derniers outrages. Tu l’as voulu! Relève-toi et passe tes bras au-dessus de ma tête!
Nous étions maintenant prisonniers l’un de l’autre et nos langues se nouèrent à nouveau. Lui, il promenait ses mains sur mes fesses, soupesant mes couilles, me branlant le manche. Il se glissa le long de mon corps, se libéra de mon étreinte. Au passage, il goba mon gland, massa mes couilles. Puis il me fit mettre à genoux, à quatre pattes sur le lit. Je ne pouvais rien voir; il me fit écarter légèrement les jambes, et un doigt bien graissé s’enfonça dans mon anus après l’avoir bien huilé.
— Coupable d’indiscrétion, tu seras puni du supplice du pal!
Et d’une seule poussée, il enfonça son énorme mandrin en moi. Je l'avais voulu! J’ai serré les dents, mais il resta quelques instants sans bouger pour que je m’habitue à ce corps intrus. J’étais dilaté, plein de lui. Il commença son va-et-vient et ne fut pas long à s’écrouler sur mon dos, tandis qu’il me giclait dans les entrailles des coulées de sperme chaud. Il se retira et j’eus la sensation d’être béant, défoncé que j’étais de cette énorme trique! Il me libéra des menottes, tomba sur le lit à la renverse et me dit:
— Régale-toi!
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je me suis mis à cheval sur lui, et j’ai promené ma verge durcie sur ses lèvres qu’il écarta pour sucer mon gland; sa langue titilla le frein, puis je suis descendu le long de son corps. Ma verge caressa les tétins durcis, essaya de forer le nombril velu, puis descendit chercher sa soeur jumelle qui dormait, repue, alanguie, mais encore grosse sur les testicules. J’ai glissé mon sexe sous ses couilles, entre ses cuisses serrées, je me suis écrasé sur lui. J’ai pris sa bouche et j’ai commencé à le pilonner. Je sentis alors durcir sa bite contre mon ventre. Le gaillard était prêt à reprendre le combat.
Je me suis placé en soixante-neuf. Il emboucha ma trompette, tandis qu’en deux branlettes, il avait retrouvé vigueur et le chemin de ma bouche distendue sur l’engin. Je sentis le gratouillis de la moustache sur mon gland, puis il se mit à me pomper consciencieusement. Je lui rendis la pareille. Emoustillé comme je l’étais par ce gros engin qui me comblait, les grosses couilles gonflées de jus que je malaxais, je partis assez vite. Il recracha mon jus et me branlai encore un peu.
Il fut plus long à venir, mais il fut abondant, en dépit de ce dont il m’avait farci auparavant. Coulées de crème onctueuses et tièdes que j'ai avalées avec ferveur. Je suis remonté vers lui et, dans un baiser, je lui ai redonné son foutre à déguster. Là, ma langue nouée à la sienne, empêcha qu’il ne le recrache. Nous nous sommes écroulés, vidés. À l’oreille, je lui ai glissé:
— Tu sais, quand tu veux, tu n’as qu’à faire signe, je me rendrai à toute convocation! dis-je avec un clin d'oeil !
Il sourit et je rajoutai:
— Sacré gaillard qu’un gendarme comme toi! Toujours au garde-à-vous!
Il répondit:
— La prochaine fois, je te promets du sport!
Le pacte entre voisins était scellé. Quel bonheur d'habiter près d'un gendarme : je me sens protégé et comblé". ¤
Tony
merci de ta contribution Tony. Bon WE
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