Partager l'article ! à condition que le mal ne fasse pas mal -lol-, qui, comme Bernard, ne rêve pas de sombrer dans le stupre SM le plus total et ...: n'y être pou ...
n'y être pour rien puisque contraint et forcé ! -lol-
autres récits de JOAO
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l'enlèvement
Salut je m’appelle Bernard, je suis en fac Orsay et j’arrive de province. Je ne connais personne dans la région et depuis un mois que je suis les cours, il y a un mec qui me fascine mais je n’ose l’aborder. Ce mec est toujours avec deux ou trois potes à lui et je ne les sens pas, j’ai un peu peur que ce soit du genre casseur de pédé. En les écoutant, j’ai appris qu’il s’appelait Alexandre.
Pourtant ce mec, à chaque fois qu’il peut croiser mon regard il n’hésite pas à se passer la main sur la braguette d’un geste rapide, mais à chaque fois je sens de la perversité dans son regard.
Moi de mon côté depuis que j’ai remarqué son manège, je ne pense plus qu’à lui. Il est pas mal foutu le salaud, 1m80 environ, blond, cheveux courts, des sourcils presque invisibles parce que décolorés par le soleil, les vacances ne sont pas loin. Il porte toujours des Tshirts moulants qui font ressortir ses pectoraux et ses pointes de seins. Il porte généralement un jeans délavé hyper moulant qui met en valeur un joli petit cul fendu par la couture qui lui rentre dans les fesses et, devant, un super paquet.
La nuit je pense à lui dans mon lit et immédiatement j’ai une trique d’enfer et la seule solution pour me calmer, c’est de me branler pour libérer ma tension, ce mec me rend dingue. J’ai envie de lui, il m’allume à chaque fois qu’il peut, j’ai la trouille de lui et de ses copains et je me retrouve seul comme un con à me palucher dans ma chambre de la cité-U. J’ai beau me jeter tête baissée dans le boulot, je n’arrive pas à chasser son regard de ma mémoire, il m’obsède. Un jour sans faire attention je vais me jeter sur lui, il faut que je me maîtrise. Personne ne sait que je suis homo, il faut faire attention, les mecs sont tellement fiers de leur pseudo virilité hétéro qu’ils sont capables de tout.
Les jours passent, je bosse comme un dingue, d’ailleurs mes résultats sont excellents, si les profs savaient que je bosse comme ça pour oublier un mec, je ne sais pas ce qu’ils feraient.
On est mercredi soir, demain jour férié et du coup il y a un pont jeudi, vendredi, samedi dimanche à occuper. Je suis toujours aussi seul, je n’ai pas les moyens de retourner chez moi, je ne sais pas ce que je vais faire. Je sors de l’amphi c’est le dernier cours, il est 18h. Je prends à travers le campus pour rejoindre ma chambre quand un des potes d’Alexandre vient en sens inverse. Salut! Salut, je ne m’arrête pas, le mec me demande du feu. Je fouille dans ma poche retrouve mon briquet, je vais pour lui tendre du feu quand par derrière on me plaque un chiffon avec une odeur affreuse sur le visage, je tente de me débarrasser de mon agresseur mais le mec qui me demandait du feu me bloque les bras. Cette odeur est atroce je me sens vaciller, les images deviennent troubles, mes jambes me lâchent qu’est ce qui m’arrive? Je tombe dans un trou noir, le vide plus rien.
J’ai froid, la tête me fait mal, j’ai l’impression que ma peau me brûle, je suis dans le noir. Où suis-je? Je bouge et je m’aperçois que je suis enchaîné, des anneaux me retiennent par les poignets et les chevilles. Que m’est-il arrivé? C’est un cauchemar, je vais me réveiller, mais non je ne dors pas c’est bien la réalité, je suis dans une pièce plongée dans le noir, des chaînes aux pieds et aux mains, la peau me brûle? Au secours, je me mets à crier, j’entends des pas une porte s’ouvre on bascule l’interrupteur, une lumière forte tombe du plafond, je suis aveuglé. Quand je commence à discerner ce qu’il y a autour de moi, je vois deux gars en shorts de cuir hyper moulants lacés sur les côtés, des bottes de cuir noir et des masques en cuir noir qui m’empêchent de voir leurs visages. Il sont torse nu, bien musclés ma foi, j’ai peur. Que vont-ils me faire? Un des mecs me passe des menottes dans le dos pendant que l’autre me pose une tringle entre mes chevilles pour les tenir écartées.
"Qu’est ce que vous faites? Qui êtes vous? Pourquoi m’avez-vous enlevé?" Je hurle mes questions mais aucune réponse. Ils m’ont soulevé et déposé dans un sling, je tente de me débattre et je me ramasse une claque pour réponse accompagné de ceci: "Tu fermes ta gueule, on veut pas te faire de mal. On veut juste te préparer pour un p’tit week-end dont tu te souviendras." Les deux mecs éclatent de rire.
Un des mecs est allé dans le fond de la pièce il revient avec une poche plastique remplie d’un liquide jaune, la poche se termine par un tuyau souple, le mec s’approche de moi il voit la panique dans mon regard. Il me fait un sourire en me disant: "Tiens toi tranquille, c’est juste un petit lavement." Il enfonce le tuyau dans mon cul, attache la poche aux chaînes de sling et ouvre un robinet, je sens le liquide tiède rentrer dans mon cul, la tension du liquide commence à me faire un peu mal, je lui dis d’arrêter. Comme un "infirmier" Il me dit "non, il faut tout prendre, il reste encore du liquide mais celui-ci ne descend plus, j’ai le cul plein. Le mec me regarde et avec un sourire carnassier, presse la poche pour la vider dans mon cul; je gueule mais il s’en moque. Il a retiré l’embout. Je vais pour me vider mais il plaque son pouce sur mon trou en me disant: "Tu vas garder ça le temps qu’il faudra sinon t’auras des problèmes." Son pote est parti, fouille dans un tiroir et revient avec un plug, pas très long mais large, il le tend à son pote en disant: "Tiens, voila un bouchon!" et ils éclatent encore une fois de rire. Le mec pose le gode sur mon trou et pousse, j’ai l’impression qu’il va me déchirer. Je gueule mais il s’en fout, il pousse le gode et celui-ci finit par rentrer. J’ai l’impression d’avoir été coupé en deux, une douleur affreuse irradie de mon cul. Mon anus me cuit aussi. Ils attachent le plug pour empêcher que je le rejette et sortent de la pièce en me disant: "On revient tout à l’heure!" Ils éteignent et ferment la porte sur eux.
Mais qu’est ce qui m’arrive? Où je suis tombé? Qui c’est ces mecs?
Mon ventre me torture, j’en ai mal, je gueule qu’on me délivre. Des bruits de pas, la porte s’ouvre, lumière aveuglante, le mec qui m’a fait le lavement s’approche de moi, je lui demande de me libérer, il me dit qu’il faut encore un peu de temps pour que le produit agisse et ce faisant il me masse le ventre pour bien répartir son lavement je ne peux rien faire pour l’en empêcher, il me presse et tortille le ventre comme pour faire remonter le lavement le plus loin possible. Je le supplie, rien n’y fait. Je lui dis que j’ai mal au ventre que la peau me brûle que je deviens fou, il reste de marbre. Son pote vient de rentrer dans la salle il regarde une montre accrochée à un mur et dit: "On peut le laisser se vider." Je le regarde avec reconnaissance, c’est fou non? C'est mon tortionnaire et je le regarde avec reconnaissance.
Les deux me détachent, m’emmènent vers le fond de la pièce qui est carrelée. Là ils me demandent de me pencher en avant, ce que je fais. Un des deux défait les liens du plug et sans prévenir tire dessus. Une douleur fulgurante part de mon cul, je manque trébucher tant c’est soudain et violent, je sens mes intestins se vider sous moi, un sentiment mêlé de soulagement et de honte, je me vide les boyaux devant des mecs, mais le soulagement l’emporte sur la honte. J’ai fini de me vider. Un mec prend un tuyau de douche et rince le sol souillé de mes excréments puis il enfile une canule sur le tuyau de douche, m’ordonne de me pencher et m’introduit la canule dans le cul, pour rincer, dit-il. Je sens l’eau rentrer en force dans mon cul puis sortir, je vois l’eau qui sort de mon cul encore un peu chargée puis elle devient parfaitement claire.
"C’est bon il est propre de ce côté-là. Maintenant redresse toi!" Comme je ne réagis pas assez vite, une claque monumentale sur les fesses me rappelle à la docilité. Le mec a pris un jet et commence à m’arroser de la tête aux pieds, la poitrine, les aisselles le ventre le pubis et là je réalise que là où il passe le jet mes poils tombent. Mon pubis est maintenant parfaitement lisse, plus un poil, idem pour mes couilles, mes jambes suivent le même régime. Devant mon étonnement, le mec qui me douche m’explique que si j’avais la peau qui brûlait, c’est parce qu’on m’avait recouvert d’un liquide dépilatoire et qu’il m’en avait passé partout sur le corps. Maintenant le seul endroit où tu as es poils c’est sur la tête mec, pour le reste t’es nu comme un bébé. Il me fait tourner sur moi-même et je me retrouve face à un miroir et en effet je n’ai plus un poil sur le corps, l’effet est curieux.
— Bon maintenant les mecs vous allez m’expliquer ce qui arrive?
— Pas tout de suite, il faut finir de te préparer, viens par là.
Un mes mecs me demande de le suivre, je me méfie, quand je refuse de faire quelque chose je me reçois immédiatement une correction qui me dissuade de recommencer mais...
Il ouvre un tiroir d’un meuble sort un tube de crème, en vide une partie dans se mains et commence à me recouvrir d’une crème, l’effet est apaisant, je ne sens plus la brûlure de ma peau. Il m’en couvre le corps entier, ses mains sont douces et il me passe la crème avec légèreté. Je me laisse aller à ses caresses. Une belle bosse déforme son short. Je vais pour y mettre la main quand il m’écarte brutalement, en me disant que les initiatives c’est lui qui les prend et pas moi. Je reste un peu bête. Il fait un signe à son compagnon qui s’approche et tous les deux me soulèvent et me déposent dans le sling.
— Bon maintenant, on va te préparer le cul, de deux choses l’une: ou tu te tiens bien et tout ira pour le mieux ou tu fais ta chochotte et tu vas ramasser des baffes. Vu?
— euh...Vu.
— Bon, on va commencer petit.
Il sort un gode d’un sac, il dit qu’il est petit c’est pas mon avis, je le lui dis, paf un coup de tapette en cuir sur les fesses.
— Il est petit j’ai dit!
Il pose une noix de gel sur mon cul et entre le gode sans ménagement, j’ai l’impression qu’on m’écartèle. J’ouvre la bouche pour crier quand l’autre me fourre sa queue dans la bouche pour me faire taire, je manque étouffer. Il me tient la tête pour bien me planter sa queue au fond de la gorge. L’autre en profite pour me travailler le cul avec le gode. La douleur commence à passer et le gode glisse mieux. Le mec s’en aperçoit et décide de changer de gode, la séance dure je ne sais combien de temps mais je n’en peux plus. Le mec qui me tient la tête lâche, je redresse la tête et je vois le gode sortir de mon cul, il fait la largeur d’une main; je ne croyais pas cela possible. Le mec qui me travaillait le cul me fait un sourire et me dit: "Tu vois, t’as été sage et tu es bien dilaté. Maintenant je vais te graisser le fion."
Il se lève, ouvre son short et en sort une queue impressionnante. Il se place entre mes jambes et sans autres forme de procès me plante sa queue dans le cul d’un coup. Heureusement qu’il m’a bien dilaté le cul, je ne ressens pas de douleur. Il commence un long va-et-vient. Une onde de plaisir commence à m’envahir et je me laisse submerger. L’autre mec a pris ma queue et me suce, les deux actions me mènent à la jouissance. J’éclate dans la bouche de mon suceur en même temps que je reçois des salves de foutre dans mon cul.
Je suis essoufflé comme si j’avais fait un 100 mètres. Les deux mecs s’embrassent en souriant.
— Bon petit mec, t’es pas mal foutu, t’as été gentil, maintenant on va te laisser te reposer. On revient plus tard!
Et ils me laissent seul dans le noir, attaché à mon sling. Je ne sais pas combien de temps, je ne sais pas depuis combien de temps ils m’ont enlevé, j’en suis là de mes réflexions quand la porte s’ouvre à nouveau.
Ils arrivent tous les deux près de moi. Il me donnent une pilule et un verre d’eau.
— C’est quoi?
— Avale tu verras bien.
— Mais c’est quoi?
Une tape sur les fesses et j’avale le comprimé. Ils me placent un masque de cuir sur la tête, ce masque m’empêche de voir il y a un trou pour respirer et il me laisse la bouche libre.
— Bon on va t’emmener là-haut, tu vas être bien gentil, il ne t’arrivera rien de mal. Tu vas voir tu vas aimer.
— Je vais aimer quoi?
— Tu verras bien, tu ne parleras pas, tu ne poseras pas de question, tu te laisseras faire et tu pourras te laisser aller si tu aimes le traitement.
Sur ce, ils me guident vers un escalier en me soutenant, il fait plus chaud, je sens une moquette épaisse sous mes pieds. Ils me laissent seuls. Pas de bruit, quand tout à coup une main se pose sur mes fesses, elle est douce, une autre main vient me caresser la poitrine et les pointes de seins. Je me laisse faire, un corps musclé vient se coller à moi, des bras m’enserrent, je pose ma tête sur une épaule. On me soulève et m’allonge sur un lit moelleux. Les caresses reprennent, je m’abandonne en gémissant doucement. Un corps coulisse sur moi et une queue vient effleurer mes lèvres j’ouvre la bouche et prends une verge dure et douce à la fois. Je bande comme un fou quand je sens une bouche chaude se refermer sur ma tige je me lance dans un 69 d’enfer, je sens que je vais jouir, le type qui me suce s’en aperçoit et arrête, je me sens frustré. Je demande pourquoi et une voix qui me rappelle quelqu’un me dit qu’il faut prendre son temps.
Il glisse son corps contre le mien et vient me lécher le trou, je deviens fou, ma queue bandée au max me fait mal je vais pour me branler mais il écarte mes mains. Sa langue remonte le long de ma queue pour me gober le gland. Il arrête je ne le sens plus où est-il? Il s’est placé à côté de moi, il prend ma queue, je ne sais pas ce qu’il fait. Quand tout à coup je comprends : il guide mon gland vers son trou et s’empale sur ma queue douloureuse à force de bander. Il descend lentement et me prend en entier. Ça y est, je sens ses fesses sur mes cuisses et ses couilles sur mon pubis. Je commence un mouvement du bassin. Il répond à mes mouvements, il caresse mes seins, je commence un long mouvement d’enculage. Ses mains remontent sur mon torse il me caresse les lèvres il se penche sur moi et pose ses lèvres sur les miennes, sa langue pénètre ma bouche et vient s’enrouler autour de la mienne. Ses mains sont passées derrière ma tête, il fait glisser le zip du masque et me l’enlève la lumière m’aveugle. Quand je commence à discerner les traits de partenaire, je manque m’étrangler. Je vois Alexandre souriant, empalé sur ma queue. Il se penche sur moi et comme j’ai la bouche ouverte par la surprise il en profite pour me rouler une pelle magistrale. Je le prends dans mes bras, le serre contre moi. Il se redresse je le regarde et lui demande.
— Pourquoi?
— Pourquoi cette mise en scène, parce que j’ai envie de toi depuis que je t’ai vu, que tu hantes mes nuits, que mes potes n' en peuvent plus d’entendre parler de toi et que si je ne faisais rien, nous serions encore des inconnus l’un pour l’autre. Voilà tu sais tout.
La révélation me laisse sans voix, Alexandre est souriant mais il y a comme une petite inquiétude dans son regard.
— Qu’est ce qui s’est passé?
— Et bien mes potes t’ont enlevé en te mettant un tampon de chloroforme, ils t’ont amené ici chez mes parents. C’était l’occasion où jamais ils sont partis en province pour tout le week-end. Tu m’en veux?
Le sourire a disparu, il est inquiet. Je réalise qu’il est empalé sur ma queue.
— Dis moi c’était quoi ce comprimé qu’ils m’ont fait avaler?
Un sourire passe sur les lèvres d’Alexandre.
— Du VIAGRA, tu devines pourquoi?
Un élan de colère s’empare de moi, je le prends par les hanches et l’encule comme un sauvage, il pousse des cris tels que ses potes entrent dans la chambre, inquiets. En le voyant, ils se mettent à sourire sortent leur queue et commencent à se branler. De les voir se palucher en nous regardant me fait redoubler d’ardeur. Alexandre est devenu un pantin désarticulé sur ma queue. Il éjacule en poussant un cri, il se vide en longues giclées de sperme bien crémeux. Il tombe sur moi en nage. Je lui roule une pelle d’enfer; les deux autres se branlent toujours, je fais signe à l’un d’eux il s’approche je lui baisse son short le penche en avant et l’encule d’un coup, il pousse un cri sous l’effet de surprise je commence un enculage viril le mec commence à gémir, je sens son cul qui se resserre sur ma queue je le branle énergiquement il vient dans mes doigts. Je décule et fais signe au deuxième. Il s’approche et me présente spontanément son cul, je l’enfile comme son compagnon, mais son cul est plus serré, il pousse un cri, son cul cède et je m’enfonce dans son fourreau chaud et humide, je suis dans son dos. Il vient poser sa nuque sur mon épaule et me donne un baiser pendant que j’encule sans ménagement. Je sens sa jouissance venir, je le branle et il vient dans une série de spasmes impressionnants, son pote est venu se mettre à genoux et l’a embouché, le mec se vide dans la bouche de son pote. Je les laisse tous les deux, me retourne vers Alexandre qui me regarde ébahi.
— Tu m’a fait prendre du Viagra et bien tu vas en profiter. Allez à 4 pattes!
Il commence àa se retourner. Une série de claques sur les fesses et il me présente son cul dans lequel je plonge ma queue hyper tendue. Il pousse un cri, me supplie d’y aller doucement, je ne l’écoute pas puis je commence à ralentir. Je le retourne, il est maintenant sur le dos, mon regard plonge dans le sien, je me penche sur lui et lui donne un baiser tendre, il m’entoure avec ses bras plein de tendresse. Je fonds, mon baiser devient tendre, mes mouvements de bassin maintenant sont accompagnés par les siens. Je sens monter la jouissance, Alexandre s’en aperçoit et serre son cul autour de ma queue, déclenchant des ondes de plaisir qui m'ont fait exploser dans son cul. Je m’écroule sur lui, les yeux fermés. Il a joui, je sens son sperme sur son ventre. Quand j’ouvre les yeux, il me regarde intensément sans rien dire.
Je lui fais mon premier sourire et lui dit: "Je t’aime!" Une lueur de joie traverse son regard, une larme coule. Il me rapproche de lui et me dit dans un souffle: "Moi aussi je t’aime!" Il me roule une pelle à damner un saint. Ses copains sont là tous les deux à échanger des baisers, Alexandre leur dit:
— Merci les mecs, je suis le mec le plus heureux du monde grâce à vous. La chambre à côté est pour vous, nous on a un tas de choses à nous dire.
— Tout le plaisir est pour nous!
Et ils se retirent. Alexandre me regarde en souriant et me dit:
— Tu peux me redire ce que tu as dis.
— J’ai dit quoi?
— Bernard, redis le moi s’il te plait.
— Je t’aime ducon, je t’aime depuis que je t’ai vu pour la première fois, tu étais dans tous mes rêves et maintenant je suis heureux d’être avec toi voilà mais...
— Mais?
Je sens le doute et l’inquiétude dans le son de la voix d’Alexandre.
— Mais tu aurais pu m’épargner cette mise en scène non?
— Je te demande pardon Bernard.
— Je te pardonne à condition de baiser tout le week-end. Au fait quel jour est-on?
— Nous sommes jeudi soir, tu vois on va pouvoir baiser longuement.
— Je te pardonne, mais comme on m’a forcé à prendre du Viagra, il faut que tu me soulage, regarde je bande encore.
Alexandre éclate de rire en se jetant sur ma queue. Je sens que le week-end va être fatiguant mais bon...
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