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 classé dans  SAUTER LE PAS *  le vers de Lamartine convient ici à merveille !  

GOD' SAVE LOVE 

Au secours la machine a tué l'Homme !

 déjà

quand on est deux ce n'est pas la même chose ..../ Andrex, M. Chevalier.

N'ayant toujours pas franchi le pas pour me frotter à mon premier vrai partenaire et me faire dépuceler, j'ai toutefois exploré mes compétences et mes limites en matière d’hébergement de gros engins. C'est ainsi que pendant mes pérégrinations sur le net à la recherche d'accessoires plus évolués que mes premiers plugs de débutant, j'ai fini par tomber sur un site allemand dont le nom commence par "big" et se termine par "dongs" spécialisé dans le lourd.



Oui, je sais ! Je quitte la romance à laquelle je vous ai habitué, pour relater des activités plus terre-à-terre, mais elles n'en sont pas moins croustillantes. Bref, ébahi à la vue de tous les godes volumineux exposés sur ce site marchand, la bite dégoulinant littéralement à l'idée d'y goûter, j'étais tellement excité que mon rectum en était tout humide.

C'est ainsi que je décide de faire mon 1er investissement sérieux en route vers la découverte du monde de la pénétration de haute voltige. Adieu les petits jouets de 4 et 5 cm de diamètre. Mon ardente envie de me faire remplir par un organe massif exigeait que je passe au plus vite aux calibres supérieurs.

Quand je remplissais le bon de commande j'en tremblais d'impatience.

Ma gourmandise de lope affamée se porta ainsi sur 3 articles d'une apparente extrême efficacité ! Un premier accessoire en trois diamètres successifs : 4 cm, 5 puis 6,5... trapu, plutôt court, sculpté dans une matière lisse et ferme en même temps. Je n'en pouvais plus, il me le fallait. Vint ensuite le "Torpédo", je devrai même écrire "Le" (avec une majuscule) : gode massif d'1,3 kg, d'un diamètre de 7 cm, doté d'une tête crénelée du genre à bien vous faire sentir ce qui se passe quand il franchit le rectum dans un sens et surtout dans l'autre. Une gâterie risquée, dont je ne savais même pas si j'en viendrai à bout. Et pour finir cette commande de folie quoi de mieux que viser la profondeur avec un ultime gode à base massive suffisamment large pour carrément s'asseoir dessus une fois que sa tige, dont le diamètre évolue de 4 à 5 cm sur une longueur de 21 cm, se soit enfoncée au fond de mon trou du cul jusqu'à l'intestin.

À ce stade, ma recherche s'apparente plus à celle de l'équilibriste qui s'attaque à la traversée du Grand Canyon qu'à celle de la pétasse de lope qui cherche à se faire déchiqueter la rondelle. C'est l'adrénaline qui me motive et je ne vais pas tarder à être comblé.

Après quelques jours d'attente je reçois mon volumineux colis discrètement emballé. Je passe les détails sur mon effervescence à désintégrer les paquets les uns après les autres. Une fois mes 3 respectables nouvelles acquisitions en main, je me dirige vers la salle de bain et en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire me tartine le fion de cet excellent "Boy butter" le sésame à tous les excès. Que dire, où trouver les mots pour dépeindre cette 1ère expérience que je redoutais tout en la souhaitant ardemment. Eh bien, là j'ai compris une fois pour toute que notre anatomie s'adapte à plus que ce qu'on l'on peut même parfois imaginer.

Le premier gadget, du fait de son profil progressif, m'a possédé en douceur sans réelle contrainte. Il a juste fallu forcer le passage du détroit de Gibraltar pour qu'il se clipse en moi, me dilatant ainsi l'intérieur de ma chatte de mec à 6.5 cm ! Ensuite, si ça n'avait été les 2 autres monstres qui me lorgnaient d'un air agressif, je l'aurai laissé en moi pour le reste de la journée.

Je décidai donc de le retirer, avec cette petite douleur excitante en rebroussant chemin à travers le même détroit (voir une planche anatomique de l'intérieur du trou du cul pour mieux comprendre). Et il a bien fallu passer aux choses sérieuses. Je me suis donc accroupi, les cuisses bien rasées et écartées, légèrement affaissé vers l'avant pour écarter au mieux mes fesses elles aussi généreusement lubrifiées, et me suis empalé en douceur sur la torpille de 7 ! Oh my Gode ... au début, ce n'est pas la tête qui ne passait pas, c'était la sensation des premières crénelures qui accrochaient à ma rondelle qui m'a apeuré : "Eh si je ne réussissais plus à l'extraire ? Et si je me mettais à chier le sang ? ..", plein de questions de pouffiasse en rodage me passaient par la tête. Le Fisting n'est pas une chose à prendre à la légère, mais quand on a compris le truc, Oh putaiiiiiin c'que c'est jouissif. Bon, peu importe. Afin de vite m'adapter et habituer mon fion à cette colonne massive, je me suis mis à forcer avec des mouvements de va-et-vient de plus en plus accélérés, ressentant l'agression des stries sur ma rondelle à chaque passage mais ressentant ce monstre me remplir de façon de plus en plus fluide aussi. J'étais pris d'une de mes plus belles érections, me suis mis frénétiquement à me branler en maintenant le rythme et en m'empalant toujours plus profondément. J'en bavais de plaisir. La bête était en moi, mon cul de chienne bâtarde de pute en furie avait relevé le défi. Mon fion avalait cet énorme boudin de PVC noir comme on s'enfonce un suppo les soirs de fièvre, sauf que là c'était mon cul qui avait une putain de fièvre. Le gigantesque pieu me raclait le cul et moi je gigotais comme une chienne en rut, c'était grandiose. La jouissance était telle que j'en étais maintenant à resserrer l'étreinte de mon anus sur cette masse pour encore mieux la sentir. À bout de souffle je l'extirpais, plaçais le dernier candidat (celui de 21 de long) et me l'enfonçait jusqu'à ce que je ne puisse physiquement aller plus loin puisqu'en butée sur la base massive. Je sentais la tête à l'entrée de mon gros intestin, j'étais à la limite de vomir mais je repris ma même danse qu'auparavant, coulissant le long de cette trompe d'éléphant qui prenait d'assaut mon appareil digestif ! ... et je repassais à la torpille, je m'acharnais dessus en râlant de plaisir, en faisant la pause chaque fois que je me sentais à deux doigts d'éjaculer ! ... Purée, un obus de 7 cm dans le fion qui y glisse comme dans du beurre, IN...COM...PA...RABLE ! Voilà, est-il nécessaire de décrire la giclée de purée qui a fait suite à ce moment de débauche mémorable ?

Depuis, c'est quotidiennement que je m'empale sur mes gros nouveaux joujoux. Chaque fois c'est l'orgasme assuré, et quel orgasme ! Même ma rondelle est prise parfois de spasmes quand elle a bien été ramonée. De tout cela je tire quand même un peu d'amertume dans la mesure où je suis persuadé que si un jour je trouve un partenaire en qui j'aurai assez confiance pour qu'il me culbute violemment comme la chienne de pute que je rêve de devenir, j'ai l'assurance qu'il ne sera jamais assez outillé pour rivaliser avec mes trophées (sauf si je croise le géant vert, ou Hulk son cousin !).

ou recevoir en plein sur mon visage de lope refoulée ! Allez, bisous à tous.

Merci à toi Kamel !