Vendredi 22 mars 5 22 /03 /Mars 11:48

Ce qui me paraît intéressant dans ce récit c'est la façon dont ça se "goupille" au départ...comment on balaye l'interdit . Inutile de vous dire que j'adore  ! et j'espère que ça vous donne des idées pour brancher !

Les commentaires sont ouverts ! et sinon postez-moi svp un mail privé à l'adresse :   claudemodou@gmail.com

Plaisir entre frères

Depuis mon très jeune âge, j'ai toujours eu de l'admiration pour mon frère. Il est doux, sensible, rieur, affectueux avec moi. Il m'encourageait toujours à faire de mon mieux, de travailler plus fort afin d'atteindre mes objectifs. Je m'intéressais à tout ce qui l'intéressait lui aussi. Il était très sportif. Je me levais à 6h30 du matin pour aller faire du jogging avec lui. Je raffolais de ces matins où je pouvais l'avoir pour moi tout seul. Le soir, il m'amenait avec lui presque partout où il allait. J’assistais à ses matchs de football, il était le meilleur joueur de son équipe.

Nous étions très proches l'un et l'autre. J’avais 12 ans et lui 16. Depuis quelques années, je dormais presque toutes les nuits dans son lit car je faisait souvent des cauchemars. Il riait et me traitait de grand bébé. Il n’avait pas de copine, il disait qu’il n’avait pas le temps mais plusieurs fois la nuit, couché à ses cotés, je l’entendais se masturber. Même si il essayait de ne pas trop faire de bruit pour ne pas me réveiller, j’entendais ses gémissements aussi bas soit-il.

Cet été là, Il eut un accident de tracteur et sa jambe droite fût broyée. Le seul recours étais l’amputation. Pendant les mois qui suivirent, je me rapprochais encore plus de lui. Pendant les mois de sa réadaptation, à mon tour, je l’encourageais à se battre et même si ses exercices étaient parfois difficiles, je l’amenais à persévérer. Avec le temps, il accepta de vivre avec une seule jambe. Il apprit à marcher avec sa jambe artificielle mais ne s’en servait que pour sortir. Chez-nous, il se déplaçait avec une seule jambe.

Rendu à l'âge de 15 ans, je pris conscience de mon homosexualité et le sexe commença à m'intéresser. Je ne voulais plus dormir avec mon frère car des changements bizarre se produisaient en moi. Je ne le voyais plus de la même façon. Mes sentiments que j’avais pour lui se transformaient peu à peu. Je ressentais pour lui maintenant du désir. Parfois il venait me voir dans ma chambre pour discuter un peu avant de se coucher et de le voir près de moi en slip me faisait durcir à tout coups. Je pouvais voir la forme de son sexe, qui me semblait long et gros sous son slip et dès qu’il quittait ma chambre, je me branlais en pensant à lui. Je savais que c’était mal, interdit, défendu mais je l’aimais et le désirais tellement. Je me foutais des tabous. Lui avait 19 ans. À force de faire de l’exercice, son corps s’était développé. Je le trouvais de plus en plus beau et de plus en plus désirable.

Un après-midi, me croyant seul, je me rendis dans ma chambre. Couché sur mon lit, je pris une photo de mon frère que j’avais, j'ai dégraffé ma braguette et légèrement glissé mon pantalon. J'ai sorti mon pénis de mon sous-vêtement et me branlai doucement pour faire durer le plaisir. Mon plaisir était si intense que je ne l’entendis pas entrer. Lorsque je me rendis compte de sa présence, je rougis. J'étais gêné, presque honteux. En voyant sa photo dans ma main, il me sourit et me dit:

— Ça t'excite à ce point de me regarder?

Je constatais qu'il se masturbait à travers son short. Sous le tissu, je pouvais voir que sa queue était bien dure. J'étais estomaqué de voir qu'il savait tout. J'étais troublé par la situation mais en même temps si excité. Semblant deviner mes pensées, il me dit:

— Se masturber est une chose bien naturelle, même si tu le fais en fantasmant sur moi. Nous sommes frères mais quand le désir est si fort, pourquoi se priver?

Il s'approcha de moi. Il prit entre ses mains mon sexe et le branla lentement. Il me demanda de descendre son pantalon de sport. Je m'exécutais et je fis glisser son slip. Devant moi se dressait sa queue bien longue, au moins 18cm, et je la pris dans mes mains. Je sentis son membre palpitant et chaud entre mes paumes. Je le trouvais beau, doux et soyeux. Je commençais à le branler. Vite, il jouit sur mon torse et mes cuisses. J’étais si heureux de l’entendre et le voir jouir que j'éjaculai aussi. Il remonta son short, me sourit de nouveau et me dit:

— Tu sembles avoir apprécié autant que moi, pas besoin d’en parler aux parents, ce sera notre secret.

Pendant les heures qui suivirent, je ne cessai de penser à ce qui venait de se passer. J’avais rêvé de ce moment depuis si longtemps. Je fus surpris de constater que cela ne me troublais pas. Après tout, j’avais aimé ça et lui aussi. Cela avait été fait sans contrainte, avec consentement. Nous partagions tout, pourquoi pas notre corps et notre passion nouvelle.

Le lendemain, mes parents partirent pour la fin de semaine et je me retrouvais seul avec mon frère. Dans l’après-midi, je lisais au salon quand je le vis entrer dans la salle de bain pour prendre une douche. Dès que j’entendis l’eau couler, je l’imaginais se déshabiller et je sentis mon sexe durcir. Je m’y rendis à mon tour, faisant semblant d’uriner quand il ouvrit le rideau et me dit:

— Aurais-tu besoin de quelque chose?

Voyant que je bafouillais, ne sachant quoi répondre, il sourit et me dit:

— Si ça te tente, viens me rejoindre...

Le jet d'eau venait à peine de mouiller mon corps que je sentis ses mains balader sur tout mon corps. Intérieurement, j'avais honte de prendre plaisir à ses attouchements, mais je trouvais ça si bon. Il prit le savon qu'il mit au creux de sa paume et me savonna. Il n'oublia ni mon sexe, ni mes fesses. Mon érection était immense. Lui aussi prenait plaisir à me toucher. Sa queue était démesurément grosse, je savais qu'il était plus expérimenté que moi. Il me branla énergiquement et je ne tardais pas à éjaculer Il prit mes mains et se branla avec. Je continuais de le branler jusqu'à ce qu'il inonde mes paumes de son sperme. En sortant de la douche, il m'avoua qu’il ne détestait pas faire ça avec moi mais qu’il ne toucherait pas à un autre homme. Il m'assura qu'il ne regrettait rien et qu'il était aussi surpris du plaisir qu'il s'était procuré en me touchant. De plus, il croyait qu’aucune fille ne s’intéresserait à un handicapé. J’étais triste pour lui.

Assis sur mon lit, je ne cessai de penser à ce qui venait de se produire. Je repensais à ses caresses et je sentis l'excitation envahir de nouveau mon corps. Je me sentais frustré de ne pas avoir tout connu. Je voulais plus. Je voulais être à lui, qu’il me possède. J’y pensai toute la journée et le soir même, vers les 11h, je me rendis dans sa chambre. Je le vis nu, allongé sur son lit. Il lisait. Je m'approchai de son lit et il me vit. Il ferma son livre et me demanda:

— As-tu besoin de quelque chose?

Lentement, je retirai mon slip et lui dis:

— J'ai tellement envie de toi, je veux etre à toi, prends-moi.

Étendu près de lui, je sentais ses mains parcourir toutes les parties de mon corps. Il se coucha sur moi et sa bouche se posa sur mon torse et glissa vers mon sexe. Sa langue excitait mon gland. À chaque succion, tout mon corps vibrait. Le plaisir me submergeait. Pendant qu'il me suçait, je ne pouvais me retenir de crier tellement j'aimais ça. Sentant que j'allais jouir, il se retira et me demanda de le sucer à mon tour. Je fus un peu réticent, mais je le fis de bon coeur. J'approchais mes lèvres de sa queue. Une odeur de sperme envahit mon nez. Ma langue toucha le gland pour me rassurer. Puis j'avalais son pénis entièrement. Je trouvais sa queue plutôt appétissante. Lentement, je me mis à le sucer avec délice. Je l'entendis gémir et il posa sa main sur ma tête pour pousser sa queue bien au fond.

Il me fit découvrir le 69 et lorsque ses doigts commencèrent à fouiller mon anus, je le suppliais de me pénétrer. Lorsqu’il me pénétra, je crus mourir tellement j'ai eu mal, mais par la suite, c'est moi qui lui ordonnais de me défoncer tellement ça me faisait jouir. Il éjacula dans ma bouche et je jouis sur don torse. Je passai la nuit dans son lit, couché dans ses bras. Il m’embrassa passionnément et je l’entendis me dire:

— Je t’aime.

Depuis cette nuit, nous sommes devenus des amants et jamais nos parents ne surent ce qui se passait entre nous. 

Pour vous en donner une idée, toute la journée du lendemain j'avais des problèmes à m'asseoir, tellement que j'avais le trou de cul sensible et si satisfait...

 

 

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Par claudio - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES
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