Partager l'article ! oui! une star du tennis t'a sucé ! et moi j'ai sucé...le pape ! pourtant il y a quelque chose qui a réveillé un de mes souvenirs personnels !: ...
Moi c'est une vedette de la chanson. On voyait sa photo sur les affiches partout et il draguait comme toi et moi dans la zone à proximité de la ville. Ca reste un fantasme aussi car ce n'est qu'après la rencontre où il s'est comporté "comme toi et moi"que j'ai fait les rapprochements avec les affiches. A cette époque il portait une épaisse crinière blonde et bouclée. Il a dû croire que je l'avais reconnu parce qu'il a brusqué les choses alors que je semblais trop prendre mon temps : la bite bandée hors de sa braguette il me lança "allez, suce ! ". Je crois que mon hésitation contemplative était due à la ceinture rouge style militaire qui tenait ses pantalons d'été en toile beige unie, genre armée aussi. J'ai eu quelque minutes après l'occasion de le voir déboucler cette ceinture et, après son one shot BBK, de le voir remonter son futal et reboucler sa ceinture. Oh, il a été si simple, si normal et si puissant que j'ai alors pensé " il était bon ce jeune mec, mmmmm", mais rien d'autre. Le fantasme est né après parce que si j'avais été un an de sa musique je l'aurais reconnu tout d suite. Aussitôt sorti de la zone de drague les afiches (grandes) ont surgi surdes panneaux de pub...ben voilà ! En parodiant le Cid de Corneille je dirai :
Ouais, je peux me tromper, mais si c'est vrai ça ne change rien : les stars ont des moments où la solitude après le spectacle leur pèse, et moi, précisément parce que je ne l'avais pas reconnu, je lui ai procuré le plaisir incognito qu'il recherchait ce matin-là. Et plus c'est allé dans le temps, plus ma conviction a grandi : "tu as baisé avec ....“
Oh, non ! je ne briserai pas notre secret.
Ce que je vais diffuser ci-dessous m'agace (lol), aussi je me contenterai de ses initiales et du lien
http://www.gai-eros.org/w/index.php/Andr%C3%A9_Agassi_m%27a_suc%C3%A9
qui vous permet de découvrir le récit initial génialement écrit par DIXON ...je n'aime pas les outings -aussi vrais et confirmés soient-ils- Ca n'a rien à voir avec un coming-out. Je le sens pas c'est comme ça. Et, pour ma part, après avoir été outé, m'étant dit : "tu vas voir, plein de gars, le sachant, vont t'approcher, te draguer ". Faux espoir : ce fut le contraire : on a fui ma nouvelle "notoriété". hihi ça me fait rigoler...maintenant...
Ce récit est un texte de fiction, de fantasme, et n'implique aucunement des actions réelles du protagoniste.
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Ce récit est un texte de fiction, de fantasme, et n'implique aucunement des actions réelles du protagoniste.
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Qui ne connaît A.A, icône du tennis mondial, mais qui sait que ce grand champion a été ou est bisexuel? Son mariage avec S G, son alter ego féminin, et les deux enfants qu'il en eut furent pour moi une immense surprise car, en dépit de sa relation médiatisée avec B S, paravent commode s'il en fût, je le croyais 100% gay. Et en voici l'explication.
Je venais d'avoir mes 15 ans et j'étais ramasseur de balles au tournoi de Roland Garros. Sans rémunération aucune que de côtoyer les grands joueurs, je portais fièrement la tenue sponsorisée par Adidas. Je voyais chaque jour Moya, Medvedev, d'autres têtes d'affiches, mais A.A était celui qui nourrissait tous mes fantasmes. Bien que s'étant rasé la tête, il émanait de sa personne une aura indéfinissable qui conjuguait virilité avec quelque chose de plus trouble, lié sans doute au souvenir de la longue chevelure flottante* de ses débuts il y a neuf ans au tournoi open de Paris.
De tous il était le plus doux. Jamais un signe d'agacement quand, lors des séances d'entraînement, la balle s'échappait de nos doigts. Les autres lâchaient un juron ou nous foudroyaient du regard. Bien sûr nous n'officiions jamais lors des rencontres avec le public, les ramasseurs habilités étant triés sur le volet et nantis de plus d'expérience car ils avaient tous 17 ans. Dans le local à nous alloués, ménagé sous une tribune, nous partagions nos impressions. L'opinion quasi générale tenait Medvedev pour un con, hargneux, pétri de suffisance, et A.A pour un gentil, amical avec les jeunots qu'il prenait parfois dans sa loge pour leur signer des autographes. Bref, tous les ramasseurs l'aimaient.
Un matin je fus désigné pour le servir lors d'une séance où il s'entraînait pour les aces. Le lance-balles éjectant vite, je ne chômai pas sur le court. Ce jour de juin s'annonçait chaud, je fus rapidement en nage, et quand la séance s'arrêta je ruisselais comme une fontaine. "Come with me", me dit A.A. Où cela, je n'en avais aucune idée, mais c'est en direction de sa loge qu'il marcha, tout en s'assurant que je le suivais au talon. "We both need a good shower", dit-il en refermant la porte. Certes une douche serait bienvenue. Tout comme moi il était trempé, du bandana à ses chaussettes. La sueur nous coulait sur les yeux, moulait les T-shirts sur nos torses et faisait miroiter nos cuisses.
Agassi fila à la douche et se glissa tout habillé sous la chute d'eau rafraîchissante. Plaquées étroitement sur lui, ses fringues faisaient ressortir chacun des creux, chacune des bosses qui modelaient son corps d'athlète. Ses pectoraux se dessinaient, les jambières de son bermuda, collées au plus près de ses aines, mettaient en relief son paquet, ciselant avec précision, une précision hallucinante, sa queue circoncise et ses burnes. J'eus tout de suite une érection qui transforma en tente-abri mon short hélas trop ajusté. Ma bandaison était visible, j'aurais voulu m'annihiler tant la honte me submergeait. Je ne pouvais faire un mouvement car le trac me paralysait, la crainte de passer pour une fiotte, et cela face à mon idole, un sportif que je respectais et qui respectait ma pudeur en se douchant tout habillé.
A.A vit ma réaction. Il sourit, me dit :"Come over", et comme je restais immobile, il vint me prendre par la main.
— Don't be shy 'cause you've got a hard-on. No fuss to be made about. And what's your name, by the way ?
Il tâchait de me rassurer. Si je bandais, il s'en foutait et il me demandait mon nom.
— Robin. Mais vraiment je suis désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris, je...
— Il m'interrompit en riant. Pas la peine d'être désolé, dit-il dans son mauvais français. Regarde, moi aussi le hard-on. Toujours comme ça dans la douche.
En effet sa queue s'animait, son gland bousculait sa ceinture et affolait son bermuda tiré en biais et vers le haut par une érection gigantesque. Ses couilles remontaient en même temps et s'aggloméraient à sa tige, formant une boule grosse comme mon poing. Les miennes, moins volumineuses, s'agrégeaient à la même vitesse, aspirées par mon érection réduisant le sac du scrotum. Je les sentais dures dans mon slip, deux prunes lisses de grosse taille de part et d'autre de mon bambou.
A.A me tira à lui et prenant la douchette mobile, il m'inonda de haut en bas, insistant sur mes génitoires. Mon sexe banda encore plus. A.A siffla d'admiration et porta sa main à ma bite. J'eus un mouvement de recul que je ne sus pas contrôler. Malgré l'envie que j'en avais, je paniquai à la pensée que mon avenir basculerait, et de façon irréversible, dès que, livré à mes instincts, je franchirais enfin le pas. Je me savais homo pourtant. Mes masturbations quotidiennes n'avaient jamais d'autre support que des images masculines, des sportifs au sexe tendu, à la croupe ronde et nerveuse. Mais passer d'un fantasme abstrait à une réalité concrète, je n'y étais pas préparé. Bien que mon corps, depuis un an, fût presque celui d'un adulte, mon esprit n'avait pas suivi ce développement rapide. Faut-il le dire, j'étais puceau, ne connaissant que la branlette et de furtifs touche-pipi avec mes camarades de classe dans mon internat sport-études.
A.A ne pouvait le savoir, trompé par ma morphologie développée par la pratique, outre du tennis, du rugby, dans mon école des Marmousets près du village de La-Queue-en-Brie. Mes épaules et mes fortes cuisses annonçaient plutôt 17 ans que mes 15 ans d'Etat Civil. Si mon visage, encore poupin, gardait quelques traits enfantins, installé sur mon corps d'athlète il donnait parfaitement le change. Bref, je faisais plus que mon âge, n'importe qui s'y fût trompé.
Des expressions contradictoires se lisaient dans les yeux d'A.A Une visible frustration issue d'un désir contrarié, et un sentiment de pitié pour l'adolescent inhibé et qui bandait si fort pour lui. Sans doute m'avait-il attiré pour baiser un joli garçon, mais ma pudeur effarouchée l'avait contraint à renoncer. J'ignorais, à ce moment-là, qu'il était un passif notoire et qu'il me voulait dans son cul. Il me dit, mi-figue mi-raisin :
— Well, I'm going to dry up. Stay there as long as you like.
Il sortit, se déshabilla. Il fit passer par-dessus tête son polo fluo détrempé, puis il se défit par le bas de son bermuda bicolore et sa nudité apparut, mélange de force et d'harmonie. Son torse puissant, étréci des épaules jusqu'à la taille, s'évasait sur son cul pommé soutenu par des cuisses galbées à la musculature énorme. Aucun doute que ses adducteurs n'eussent subi un entraînement spécifique et sans doute multi quotidien. Sa stabilité sur le court, son jeu de jambes légendaire, devenaient maintenant clairs pour moi. Adepte des bermudas longs, A.A ne montrait guère ses cuisses. Je les détaillais, subjugué.
Comme aimanté par mon regard, il se tourna et me fit face, sa serviette de bain à la main. Sous son sexe à demi bandé couronné par un gros gland rose que n'entravait aucun prépuce, deux énormes balloches pendaient, dont j'avais jaugé l'épaisseur cependant que nous nous douchions. Comme mon poing, avais-je pensé. Je ne m'étais pas beaucoup trompé. Chacune de ses couilles, en effet, de la taille d'un gros oeuf de poule dont elle avait aussi la forme, tirait son scrotum vers le bas à la façon d'un sac de billes. Une toison brune le couvrait de la poitrine jusqu'au pubis, bouclée à partir du nombril, foisonnante au-dessus du sexe. Sa bite, ses couilles étaient rasées, conférant à ses attributs une visibilité complète, sans doute pas le fruit du hasard. A.A était fier de ses burnes et de son zob qu'il avait gros. Ma queue bondit dans ma culotte. A cet instant même, on frappa.
Ceignant ses reins de sa serviette, Agassi s'en alla ouvrir.
— Oh Will, it's you ! dit-il en refermant la porte quand le visiteur fut entré. I was expecting no one, but you are welcome all the same. I've just had a shower, you don't mind if I dry up ?
A.A dénoua sa serviette et entreprit de se sécher, tout nu devant le nommé Will qui venait de faire son entrée et que, du recoin de la douche, j'observais sans qu'il pût me voir. C'était un garçon grand et mince, âgé de 30 à 32 ans, en pantalon et en T-shirt qui moulaient un corps droit et svelte, mais dont les avant-bras épais témoignaient d'une certaine puissance. Il avait un visage carré, des cheveux noirs coupés en brosse. Ses yeux, qu'il avait noirs aussi mais pleins de malice audacieuse, sa bouche aux lèvres bien ourlées, exprimaient la sensualité qu'on trouve chez les Américains virils, beaux et sûrs de leur séduction. Sa bouche s'ouvrit sur un sourire et faisant un pas vers A.A, il posa sa main sur la verge grossissante du joueur de tennis.
— Stop, Will, we have a visitor.
A.A recula d'un pas et d'un doigt désigna la douche. Will s'avança résolument, écarta le rideau de douche et me vit, cramoisi, piteux, trempé, crispé, mais bandant ferme.
— What on earth's that boy doing here ? dit-il, en riant aux éclats. Il me saisit par un poignet et me tira hors de la douche.
— Meet Will O'N..., my masseur, dit A.A se joignant au rire. Be careful,he is very shy.
Le masseur s'approcha de moi, s'accroupit d'un seul mouvement et, baissant mon short distendu, fit jaillir ma queue turgescente.
— Shy, shy ? Dear, you are kidding, reprit avec l'accent de Brooklyn le compatriote d'A.A . Un accent pour moi familier, ayant vécu pendant quatre ans à New-York avec mes parents.
— His cock is not shy anyway !
Et Will O'N... avait raison, ma timidité me quittait, seule importait l'excitation qu'avait causée ces deux mains d'homme en me descendant mon falzar. Là où A.A avait échoué, le masseur avait réussi à apprivoiser mes instincts par son geste sûr et brutal. Le besoin d'être violenté, qu'A.A n'avait pas perçu, me révélait à un moi-même dont je m'avisais maintenant. Je serais homo et soumis, telle s'annonçait ma destinée. Cependant ma bite libérée grossissait encore et toujours. Mon gland étirait mon prépuce serré d'un léger phimosis et s'en affranchissait enfin, un peu étranglé à sa base, et s'empourprait comme d'habitude, prenant une teinte violacée. William lui fit une pichenette et me tournant comme un toton fit entrer son pouce dans mon cul. Je criai, non pas de douleur, mais du plaisir que me causait cette intrusion dans mon sphincter. Un plaisir ignoré de moi et qui me fit juter à mort à trois pas sur le carrelage.
— You come fast, dit Will en riant. In ten minutes, you'll be hard again and we'll have fun the three of us.
Dix minutes, c'était encore trop. Ma queue rebanda aussitôt mais William s'était détourné et se branlait maintenant la bite. Elle était longue et circoncise et pointait à 20 cm par l'ouverture du pantalon. Une bonne bite d'Irlandais, bien dessinée et bien charnue, et qui faisait gueuler A.A quand il le prenait en levrette sur la table où quotidiennement il lui prodiguait ses massages. Car il ne faisait aucun doute qu' A.A se faisait fourrer tant il se doigtait la rondelle à la vue du puissant engin. Will le giflait à coups de chibre et A.A en redemandait, tâchant de happer au passage, sortant sa langue comme une vraie chienne, mais le gros zob lui échappait et revenait claquer ses joues.
— You bitch,lui disait l'Irlandais, you'll get it when I am ready and I'm not ready now. Stick your tongue out, faggot.
Et A.A étirait sa langue, mais le braquemart se dérobait, revenait lui gifler la gueule, dans une bordée d'obscénités que je ne comprenais pas toutes. Will l'appelait queer, faggot, poofter, bender, tous synonymes d'homosexuel. Accroupi devant la grosse queue, A.A ne répondait rien. La bouche ouverte, la langue tendue, l'icône bavait littéralement. O'Neill le tenait à distance, les gifles claquaient sur ses joues. D'un seul coup, il le pénétra à fond jusqu'à ses amygdales. Alors la succion commença, frénétique, ponctuée de râles, manifestations du bonheur. Le tennisman était maso. Il pompait avec énergie, les coups continuaient à pleuvoir et il bandait comme un malade.
Je pensai alors à B. S., à ces photos de tabloïds qui la montraient, elle et son homme, énamourés et radieux. Savait-elle, Brooke, que son amant était une fiotte, un vide-couilles ? Bandait-il pour elle comme pour Will ? Je me persuadai bien que non, que son union avec l'actrice n'était, somme toute, qu'une façade, un faux semblant à la Tom Cruise lequel, après plusieurs mariages, n'avait jamais pu engendrer et qu'une rumeur persistante désignait comme un pur pédé.
Et pourtant il avait de quoi donner du plaisir à une femme, le célèbre A.A . Entre les piliers de ses cuisses, un troisième pilier érigé exposait son anatomie. Court et épais, veiné de bleu, chapeauté par un gland violet, le pieu d'A.A se dressait sur l'énorme sphère de ses couilles. Il ne se branlait pas, pourtant. D'une main, il astiquait la bite qui lui coulissait dans la bouche, de l'autre il se doigtait le fion, avec deux, puis trois doigts tendus qui lui préparaient la rondelle. Le rituel semblait bien rôdé par de longues années d'expérience, car soudain les deux partenaires, dans un mouvement synchronisé, se retrouvèrent cul contre bite.
Que faisais-je, pendant ce temps-là ? Absorbé par ma découverte de la sexualité adulte, j'écarquillais à fond les yeux, subjugué par ce jeu lubrique et l'effet qu'il me produisait. Quand O'Neill pénétra A.A , une souffrance fulgurante irradia mon pénis bandé. Le phimosis qui, jusqu'ici, ne m'avait guère handicapé, m'infligeait une douleur violente et je baissai les yeux sur moi. Mon gland, étranglé à la base, avait pris un volume si grand que le cercle étroit du prépuce était sur le point de céder. Une seule solution, décharger. Mais, portant avec précaution ma main droite autour de ma tige, je compris que j'étais piégé car la douleur fut si intense que je ne pus retenir un cri. Le masseur s'immobilisa, sa queue dans A.A jusqu'aux couilles, me vit sur le point d'exploser.
— Come in front and feed him your dick, dit-il désignant A.A . This will soothe your pain, little boy.
Il me suggérait une bonne bouche pour soulager mon infortune. Comme un automate j'obéis et vins placer ma queue brûlante devant les lèvres du champion. Il l'engloutit incontinent. Ses muqueuses me furent bienfaisantes et sa salive, en lubrifiant l'anneau de souffrance de mon gland, le décongestionna peu à peu. Le sang cessa d'y affluer. Ma bite, redevenue normale, put enfin aller et venir. C'était ma première expérience de fellation par une autre bouche que la mienne. Comme la plupart des ados il m'était arrivé parfois de sucer, cul par dessus tête, ma propre queue sur l'oreiller de mes nuits peuplées de fantasmes. Mais outre que mes cervicales s'écrasaient dans cette position, je ne pouvais prendre en entier qu'une dizaine de centimètres et n'avais jamais éprouvé une succion complète de ma tige même en appuyant sur mon cul. Or, A.A me prenait tout, avec une ferveur goulue, de la racine jusqu'au méat qui suintait au fond de sa gorge. Il me titillait de sa langue, excitant la zone érotique qui va de la couronne au frein et délaissant parfois la hampe pour venir me lécher les couilles.
L'Irlandais n'était pas en reste, bourrant férocement par derrière et donnant, sur le cul d'A.A , de grosses claques retentissantes. Les fesses se zébraient de rouge, le mouvement s'accélérait. Je fus le premier à juter sous le jeu expert de la bouche qui elle aussi s'accélérait. Mon sperme, jaillissant de l'urètre, explosa, violent et brutal, en longues saccades laiteuses qu'A.A avala aussitôt. Ensuite ce fut le tour de Will. Il décula, éjacula sur les reins de son enculé cinq jets de foutre translucide, texture qui me surprit beaucoup, car j'ignorais que plus on jouit, plus le jus gagne en transparence. A coup sûr Will crachait souvent, quatre ou cinq fois dans une journée, enculant et se masturbant, une véritable bête de sexe. Restait donc A.A .
Il s'était redressé, bandant. Les traînées de jus sur son dos maculaient maintenant ses fesses. Une goutte de sperme hésitait à la commissure de ses lèvres. Il la cueillit avec sa langue encore gluante de la semence que j'avais répandue en lui. Vierge de toute inhibition, je joignis ma bouche à la sienne et reconnus la suavité de cette sécrétion intime, née au plus profond de mes reins. En même temps je saisis sa bite et entrepris de le branler avec maîtrise, avec adresse. Je n'avais que ce seul savoir, étant puceau du cul, des lèvres, car aucun de mes trous alors n'avait connu une effraction. Ma main ferme étreignait le pieu et, sachant le penchant maso de la star internationale, je le masturbais avec force sans me soucier de le blesser, oubliant qu'il m'avait sucé avec une grande délicatesse.
Je devais bien être efficace. Après quelques minutes seulement, A.A rugit et se cambra, et il jaillit de son méat un prodigieux geyser de foutre, de quoi emplir un verre à dents.
— Many thanks, boy, me remercia-t-il quand il récupéra son souffle. You can go now, time's up. Mais voyant mes habits trempés, il ajouta :
— Wait a minute.
Je sors du vestiaire d'A.A . J'ai troqué ma tenue de douche contre un habillement complet qu'il a tiré de son sac de sport. L'ensemble n'est guère ajusté, nous différons d'une ou deux tailles car il est plus baraqué. Sur le polo il a écrit : To Robin, my special friend.
Un souvenir pour toute ma vie.¤
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