Partager l'article ! on vous a dit "la crise c'est 2008 et la faute à Lehman Bro' " en fait c'est 2007 et la faute à PARISBAS. Mais tout le monde il est beau...: Au ...
Aujourd'hui c'est pareil qu'en 2007 certaines informations sont tenues secrètes à moins d'un an des élections. (ndlr : piège à cons! )
LES BANQUES ET LES MEDIAS AINSI QUE LES LES POLITIQUES NOUS ENFUMENT EN NE PARLANT PAS DES CHOSES
GRAVES (on devrait avoir des nouvelles de la guerre, des risques financiers qui inquiètent de Berlin à NY...etc au lieu de ça c'est "l'opium du peuple")
Faisons-en notre profit : moi je ricane en écoutant les infos : ils nous prennent pour des cons, mais quand on le sait ça n'a plus le même goût
!
finis les plongeons dans l'or : les banques vont encore appeler au secours
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Banques bancales ON EST ASSIS SUR UN VOLCAN
Non, tout ne va pas pour le mieux dans le système bancaire, que les Etats avaient, dit-on, assaini. Les banques étaient, nous disait-on, de nouveau
en état de marche, après avoir été sauvées par les Etats, l'argent public, après leurs dérapages encouragés par des politiques irresponsables.
On reparle du secteur bancaire italien, qui serait actuellement plombé par 360 milliards d’euros de créances douteuses, des crédits que les
banques ont peu de chances de recouvrer ; en somme, des dettes irrécupérables, en partie ou en totalité. C’est l’équivalent de 22 % de la richesse produite par le pays l’an dernier...
Des mécanismes ignorés
¨Pire, en Europe, la chute des valeurs bancaires est plus rapide que pendant la crise des subprimes :
Les banques européennes ont perdu près d'un quart de leur valeur en Bourse depuis le début de l'année, soit plus de 240
milliards de dollars. En France, les actions Société générale, Crédit Agricole et BNP Paribas ont perdu près de 30%. Les actions des grandes banques européennes sont au coeur des préoccupations
des investisseurs et dégringolent plus brutalement qu'elles ne l'avaient fait en 2008, au début de la crise financière. L'indice bancaire du STOXX Europe 600 a perdu 24% depuis le début de
l'année, contre 17% sur la même période il y a huit ans. L'accumulation des inquiétudes macro-économiques menace ainsi de défaire ce qui avait été construit en huit ans pour réduire les coûts,
équilibrer les bilans et se protéger contre le risque. La chute des cours du pétrole, l'explosion des coûts technologiques et la volatilité des marchés ne sont que quelques-uns des facteurs qui
placent les banques au centre des préoccupations des investisseurs. Il faut y ajouter le poids des créances douteuses et les taux d'intérêt négatifs qui menacent les marges nettes d'intérêt et
pourraient conduire les banques à facturer les comptes courants. Dans ce contexte, Deutsche Bank, UniCredit et Credit Suisse ont vu leurs actions chuter deux fois plus qu'elles ne l'avaient fait
sur la même période au début de 2008...
Si le diagnostic est bon, il y a du souci à se faire sur le redressement réclamé par Juncker au sommet de Bratislava, qui
regardait ailleurs....
il y a des voyous ...ils ont où les voyous, ils sont où ?
Depuis longtemps, on sait que la Deutsche Bank donne des cheveux blancs à plus d'un politique, jusqu'à New York. Elle n'est pas la seule à
s'être faite remarquer par ses malversations, mais son cas est hautement symbolique et problématique.
Le géant allemand est d’abord considéré comme l’une des banques les plus systémiques au monde, c’est-à-dire dont un éventuel défaut pourrait
provoquer un effet de dominos sur le système financier mondial.
Surtout, la banque allemande, qui a démontré une culture de risque excessive par le passé, n’inspire pas confiance. Au point que les marchés aiment
se faire peur en lançant, tous les deux mois environ, une rumeur de faillite de l’institution.
Sans parler du coûteux sauvetage du système financier d'Outre Pyrénées.
On est pas sorti de l'auberge (espagnole), qui ne se porte mieux qu'en apparence :
Le « coût pour le contribuable » ne s'est pas uniquement traduit par des hausses d'impôts, c'est un coût pour la société espagnole
dans son ensemble. D'autant que, en s'endettant pour sauver ses banques, l'Espagne, comme les autres pays, a dû se soumettre à un programme « d'ajustement » défini par l'UE qui a accéléré la
récession causée par l'éclatement de la bulle immobilière. Les coupes claires dans les dépenses publiques ont ainsi touché des secteurs essentiels pour l'avenir du pays comme la santé,
l'éducation ou la recherche. Elles ont aussi conduit à une déstabilisation politique en contribuant à détruire le bipartisme traditionnel. Depuis le 20 décembre dernier et malgré deux élections,
le pays - par ailleurs touché par un réveil du sécessionnisme en Catalogne à laquelle la crise a pris sa part - est sans majorité. Les conséquences de cette lourde facture sont donc importantes :
elles se font, du reste, encore sentir économiquement. Pour ménager son électorat, le gouvernement Rajoy a stoppé la consolidation budgétaire en 2015, alors que, en raison de ces pertes, le
déficit est demeuré élevé. La Commission européenne lui demande désormais de nouvelles coupes budgétaires pour 2017 et 2018.
On peut se demander si les banques changeront un jour...telles qu'elles fonctionnent depuis qu'on leur a donné tout pouvoir sur les réglementations
d'Etats défaillants.
L'horizon économique du coup n'est pas à l'abri d'une nouvelle tempête financière :
« Nous sommes six ans après la crise financière et la confiance dans les banques n’est toujours pas revenue », dit un ancien chef analyste de Lehman
Brothers cité par le Wall Street Journal. Et c’est bien l’un des problèmes. Depuis la crise financière de 2008, aucune action décisive n’a été menée pour en finir avec l’opacité, la complexité,
mais aussi la vulnérabilité du système bancaire international, en dépit des déclarations des responsables politiques et des régulateurs. Résultat : tout le secteur bancaire est de nouveau sous
tension.
Aux USA, le retour des mauvaises habitudes se manifeste et, avec le retour de nouvelles bulles, on peut à nouveau craindre le pire.
...Comme pour les prêts hypothécaires douteux d’il y a dix ans, ces « subprime auto loan » ou « prêts automobiles à risque » ont été titrisés par
les banques et redistribués aux investisseurs via divers produits financiers. Lorsque le taux de défaillance deviendra intenable et que les pertes s’accumuleront, à plus forte raison lorsque les
premiers véhicules achetés arriveront en fin de vie et devront être remplacés (dans un an ? deux ans ?), comment pourra-t-on récupérer la valeur des millions de prêts en défaut ? Car, puisque les
clients ne seront plus solvables et qu’il ne sera plus possible de tirer quoi que ce soit d’une éventuelle vente des véhicules (trop vieux, plus cotés…), alors tous ces prêts ne vaudront
réellement plus rien, eux non plus, et on assistera de nouveau à des faillites bancaires retentissantes...ZEN agoravox
C'est la banque BNP Paribas qui a été, "sans le reconnaître, l’étincelle qui a déclenché la crise en août 2007" et non Lehman
Brothers
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/l-interview-eco/l-interview-eco-l-economie-mondiale-est-assise-sur-un-volcan_1814681.html
Huit ans après la chute de la banque Lehman Brothers, le journaliste Marc Roche est revenu sur franceinfo mercredi 14 septembre sur les débuts de la
crise qui marque encore aujourd'hui l'économie mondiale.
Le journaliste Marc Roche invité sur franceinfo le 14 septembre 2016. (RADIO FRANCE / CAPTURE D'ÉCRAN)
Selon le journaliste, la banque BNP Paribas a été, "sans le savoir, l’étincelle qui a déclenché la crise en août 2007 (...) BNP Paribas, sans se
rendre compte de la situation financière explosive existant dans le système financier américain, a fermé trois SICAV (...) Cela a provoqué une ruée, une glaciation du marché interbancaire (…) La
Banque centrale européenne, le même jour que l’annonce de BNP Paribas, a été obligée d’injecter 95 milliards d’euros - trois fois le PIB du Luxembourg - dans l’économie européenne pour éviter
l’effondrement.
C’était un an avant la chute de Lehman Brothers".
Par ailleurs cette semaine Marianne fait sa couverture avec ce titre:
"POURQUOI LES MEDIAS SE COUCHENT..." Et, à la page 22, "le parti des medias rend le pays ingouvernable" par Brice Couturier selon qui, les
éditorialistes des médias idéologisent les faits économiques et sociaux et allument des contre-feux pour ne pas heurter l'opinion.
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en date du 16 août 2016
Les banques centrales utilisent des réductions de taux d'intérêt, les achats d'actifs et d'autres mesures de politique monétaire pour soutenir l'économie et la maintenir dans un état de « statu quo », a indiqué la banque.
Mais une correction du marché pourrait advenir si un « choc économique externe » frappait, ont-ils dit.
Les nouvelles viennent, alors qu’il a été révélé que les bénéfices de la banque ont chuté de 98 pour cent le mois dernier, et que son cours de Bourse a atteint le niveau le plus faible jamais vu depuis avant 2002.
Maintenant Dominic Konstam, responsable mondial de recherche sur les taux d'intérêt de la Deutsche Bank, a publié un rapport qui a mis en garde d’un possible « effondrement des actifs à risque » qui pourrait causer la « panique ».
Et il a dit que la banque est en attente sur les décisions de la BCE pour renflouer l'Italie et le Japon en proposant de « l'argent hélicoptère » de l'investissement similaire à celui des assouplissements quantitatifs (Ndlr. Planche à billets sur notre dos) pour bien comprendre ce qui se passe ensuite.
M. Konstam a déclaré : « Le statu quo pourrait se poursuivre pendant plusieurs années encore - si rien ne ‘casse’ dans le système. »
« Il existe des moyens bien sûr, soit pour éviter les ruptures ou au moins les corriger - l'atténuation de l'impact des taux négatifs sur les banques est maintenant en vogue avec des prêts bancaires subventionnés pour des prêts. »
« Nous pouvons encore voir des formes douces de sauvetage des banques continuer d'être autorisés. »
« La conclusion est que, sans un choc économique externe, il est difficile de voir les décideurs être prêts à prendre, une action budgétaire pour relancer l'économie mondiale de façon dramatique et rebondir sur une répression financière. »
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