Dimanche 13 mars
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07:22
on l'aurait choisi nous aussi !
c'est pas sur pôle-emploi (pas de contes de fées sur pôle-emploi -lol-)
Francis Menuge à g et Jean-Paul Gaulthier à dr / ça collerait avec l'histoire ci-dessous
Le secrétaire particulier (Abel)
là on vous signalera que le
choupinou-jeune-premier est à gauche
-
De retour en France depuis peu, il me faut un job rapidement, ma copine chez qui je squatte, me met en contact avec un homme d’affaire, qui
cherche un secrétaire particulier, je me présente au siége de l’entreprise du soit disant veuf, bourré de frics. Arrivée dans cette magnifique battisse du 18 ème siècle, une hôtesse
m’installe dans un petit salon splendide, me laisse poiroter une bonne ½ heure. Elle réapparaît, je la suis, me plante devant une très grande porte à deux battants. Je frappe, on m’ouvre, je
tombe nez à nez avec un jeune mec d’environ 30 ans, super mignon, grand, brun, très classe, un regard perçant vert émeraude, je connais ce visage, mais d’où. Il me fait asseoir sur un canapé,
son bureau est immense, il me demande si je connais le profil du poste, tout en me servant un café, ses traits fins ne me sont pas inconnus, mais qui est-il ? Je dis ne pas trop savoir,
il m’explique que la personne choisie, doit avoir surtout beaucoup de temps disponible, car il faut le suivre dans ses déplacements régionaux et internationaux, savoir conduire, pouvoir
organiser la gestion du soir quand le personnel est parti, mais par contre le salaire est très bon, un espace privé est disponible dans la maison familiale, que lorsqu’il est au bureau, la
personne peut faire ce qu’elle veut du moment qu’elle est présente dans la demi-heure pour le conduire car il n’a pas son permis. Il m’avoue que je suis un peu jeune, mais que connaître trois
langues jouaient en ma faveur. Il me propose de venir à 17 heures visiter la propriété, et voir si j’étais intéressé. Nous nous retrouvons donc devant ses bureaux à l’heure dite, une
magnifique Mercedes Papillon des années 50/60 arrive devant nous, les portent se lèvent vers le haut, splendide voiture de collection, un jeune sort et vient vers nous, il me tend les clés et
part. Le mec sourit, en voyant ma tête, il a des dents d’un blanc incroyable, son visage s’illumine, il est très beau, mais comment je le connais ? Il me dit «nous y allons », je
prends place, hésite et nous démarrons, punaise le pied, nous faisons une dizaine de kilomètres et nous voilà devant un très gros portail, qui s’ouvre automatiquement, le parc est magnifique,
un château se trouve au font, il est très majestueux. Je me gare devant, nous entrons dans la demeure, grandiose, un palace, j’adore déjà ce lieu, il m’accompagne dans les pièces, me
présente, la cuisinière, la servante, la personne de l’entretien, et nous retrouvons dans l’appartement privé qui est super mignon, nous redescendons dans un bureau, et me demande ce que j’en
pense. Je réfléchis, la jeune femme apporte un plateau de petits fours, qu’elle pose en annexe dans la rotonde, ressort, je lui affirme que je suis preneur, il me confirme les différentes
tâches pour ne pas avoir de litiges avec moi après. Je lui réitère mon affirmation, et la fille revient avec un autre plateau, une bouteille de champagne et des flûtes, et repart. Nous
mettons tout sur papier, et allons dans la rotonde trinquer, il me dit, qu’il me laisse une voiture, pour repartir ce soir, mais que demain serait bien pour commencer, puisque c’est le début
du week-end, il aura plus de temps pour m’expliquer. Le jeune homme d’entretien entre, je prends congés, il m’emmène vers les dépendances, intrigué depuis le début sur le Boss, il me dit
qu’il est très célèbre comme mannequin international, et que maintenant il travaille avec des boîtes de hautes coutures et de parfums. Je lui demande où il crèche lui, et me répond que
personne ne vie ici, à par le Boss et moi, tout le personnel à un logement de fonction dans la ville voisine. « Merde, il est bourré de fric », je lui sors, il rit et me le
confirme en m’ouvrant la porte du hangar, une bonne dizaine de voitures étaient parquées, toutes aussi belles les une que les autres. Il me dit choisissez, mais si j’étais vous, je prendrai
celle du fond. Punaise une jaguar type E, une très belle voiture de 1966, j’hésite et me dis qu’après tout pourquoi pas. Je monte et pars. Le lendemain, après une nuit très agitée, le portail
s’ouvre à mon arrivée, je rentre dans le garage, je vais vers le vestibule. Il est là, un grand sourire aux lèvres, il est en short, des jambes longues, musclées, un vrai Playboy. Il me dit
m’attendre pour le petit-déjeuner. Nous nous retrouvons derrière le château, devant une piscine, la terrasse est gigantesque, une table est dressée, nous nous asseyons et me sort, « bon,
nous devons prévoir, votre garde-robe, nous avons donc la journée pour ça, et dimanche pour s’organiser pour la semaine. Avec lui on ne perd pas de temps, il me tend une amex et une visa, me
dit que j’ai un compte ouvert, car il déteste payer. Je le regarde et m’étonne de sa confiance absolue. Je commence à aimer ce mec, s’il m’achète comme ça, c’est sur, il pourra me demander ce
qu’il veut. Après installation dans mon appartement, nous nous retrouvons pour partir, une splendide Porsche est prête devant le porche, il prend place et nous voilà partis, il me fait
arrêter devant une très grande marque de fringues, nous entrons, et se fait saluer comme une star, je pouffe de rire, il se retourne. Je reprends mon sérieux, quand nous entrons dans un
petit salon pour essayage, tout est prévu café, mignardises, punaise, je lui dis qu’il doit en larguer ici, pour qu’il soit accueilli comme ça, il me répond que la boutique est à lui. Je suis
scotcher, il me fait choisir la panoplie complète, des pantalons, chemises, slips, chaussettes, caleçons, cravates, manteaux, chaussures de différentes teintes, je me retrouve obligé de jouer
les pantins, ils sont tous sur moi, à me peloter, même lui, d’ailleurs, il n’hésite pas pour me tripoter les fesses l’enfoiré, il ne serait pas PD celui là, non il était marié, je rentre dans
le jeu. La journée passe vite, nous faisons plusieurs magasins, tous aussi beaux que le premier, je me retrouve dans l’appart avec pleins de paquets de vêtements, génial jamais je n’avais
fais marcher une amex aussi souvent. Le soir arrive, il m’appelle, je cours dans les escaliers, je n’ai même pas eu le temps de mettre une autre tenue, tant pis je resterais en jean chemise,
il m’explique que le soir, nous dînerons soit ensemble ici ou dehors, ou il dînera seul dans son bureau. Merde, un mec aussi beau qui vit seul, ce n’est pas normal, vu tous les appels
d’invitation pour le week-end qu’il a eu. La servante avait tout prévu, nous dînerons dehors sous une petite tonnelle, à côté de la piscine. Je le félicite de sa demeure, je le sens qu’il
m’observe de côté, que cherche-t-il ? Après un excellent dîner, nous discutons sur des transats, et me dis qu’il va se coucher car demain sera encore une journée importante pour nous. Je
le regarde partir, je débarrasse, et monte-moi aussi me coucher. Dans la nuit, une petite envie, me fait descendre prendre une glace, je perçois la lumière dans le parc, vers la piscine, je
vois qu’il est nu, et plonge dans l’eau, il a un corps très bien dessiné, il s’entretient, je le vois remonter au plongeon, sa queue semble belle, je commence à me toucher le sexe à travers
mon slip, je m’enhardis, passe le porche et viens vers lui, il me regarde, sourit, « alors, insomniaque, venez vous baigner », je ne me pose pas de question, je glisse mon slip, ma
bite est à demi en érection, je m’avance, et plonge. Nous faisons quelques longueurs, et sortons, punaise, sa bite est grosse et longue, elle doit faire 20 cm au repos, il s’essuie en me
matant, je ne me cache pas, nous buvons un verre, nu l’un à côté de l’autre, il s’approche de moi, mets sa main sur mon dos, me caresse, et descends, il s’arrête au creux de mes reins, je
regarde sa bite, il bande, j’approche ma main, le touche, il ne bronche pas, il se laisse branler, il glisse sa main sur mon fessier, je pousse un soupir, je me cambre, il me fait un bisou
dans le cou, je n’arrête pas de le branler, son chibre est énorme, elle fait 25 cm, Je ne pourrais pas l’avaler, je lui lèche les tétons, pause mes mains sur son fessier bien ferme, il
glousse, je continu, ma descente, percute sur sa bite veineuse, il pose sa main sur ma tête et me dirige vers sa matraque, j’ouvre la bouche, tire la langue pour lui lèche le méat, il
tremble, je le caresse entre les fesses, il pousse son gourdin dans ma bouche, je ne peux plus bouger, il l’enfonce au fond de ma gorge, des spasmes lui parcoure le corps, il me dit qu’il
aime ça, je m’en doute vu comment il bande, il commence ses allers venus, me martèle le palet, je mets un doigt le long de sa raie, il se laisse faire tellement il prend son pied dans ma
bouche, ma phalange entre dans son cul, il pousse un cri, j’enfonce jusqu’au fond, il sort sa bite et m’éjacule sur le visage. Il retire mon doigt, me relève, m’essuie sans rien dire, il me
sourit. J’ai une gaule, à ne plus pouvoir tenir, il regarde ma trique, et part à sa rencontre, je le sens, me lécher, me tripoter les bourses, il s’active sur mes fesses autant que sur ma
bite, il l’engloutit complètement, je le pénètre à grand coup, il aime, m’écarte les fesses et entre un doigt dans mon fion, je ne vais pas résister longtemps, il comprend, me lâche et prend
dans la gueule des jets de spermes crémeux. Il se relève et s’essuie, me regarde et dit, « si tu ne veux pas continuer à travailler pour moi, je comprendrais » ; je lui réponds
que je ne mélange jamais plaisirs et travail, mais qu’ici, tout était déjà ensemble alors, pas de problème. Il me tape sur la fesse et me souhaite une bonne nuit. Je m’allonge sur mon lit, et
me met à rêver. Au petit matin, il m’appelle, « le petit-déjeuner, est près, tu descends », il m’a tutoyé, je saute du lit, me douche vite fait, dévale les escaliers, et me présence
en tenue de sport, très classe, il siffle, me sort « je pense que je vais avoir de la concurrence, dans le mannequinât », il me prend par le bras, et m’emmène dans un petit
salon bibliothèque, nous discutons de la semaine future, il ne fait pas allusion à cette nuit, il me regarde avec naturel, il semble super bien dans sa peau, ce ne doit pas être sa première
expérience homosexuelle. Je l’écoute attentivement, prend des notes, il me donne un rdv « style chic » dans 20 minutes, je remonte vite me redoucher, raser, parfumer, mais hésite
sur la tenue, je l’appelle ne sachant pas quoi mettre, il arrive au bout de 5 minutes, une serviette à la taille, je suis nu, il ne dit rien, ouvre le dressing-room, et me choisi la parfaite
tenue de sortie class du dimanche, je le regarde faire, il est très beau, je bande rien qu’à le mater, il s’approche me caresse le sexe, m’embrasse sur l’épaule, et me dis de me dépêcher et
ressort en me laissant dans un état d’excitation total. 15 minutes passe, je l’attends, une très belle Aston Martin cabriolet rouge, se trouve sur le perron, il arrive, monte dans la voiture,
nous partons. Nous arrivons à l’hippodrome, jamais je n’avais participe à ce style d’activité, je suis un peu gêné et le suis comme un petit chien, il me sourit, il est très beau, son côté
glamour, fait retourner les gens sur son passage, il me dit « tu as vu que les gens n’arrête pas de te regarder, un nouveau look et voilà un nouveau mannequin », je lui
souris. Il me garde près de lui, nous passons du bon temps, pleins de gens viennent nous parler, il est hyper connu, il me présente comme son secrétaire particulier, et tous me dévisagent
d’envie. Nous brunchons et les courses commencent, nous repartons vers les 18 h, car nous devons nous rendre ce soir à un spectacle. Une fois remis la voiture dans le garage, je monte
l’escalier, et le voit qui m’attend en haut, il me prend la main, m’emmène dans ses appartements, alors là c’est superbe, d’une beauté, tout est d’époque, mais avec un mélange de modernisme,
il me pousse dans sa chambre et me fait tomber sur son lit, il s’approche, me tire sur le polo, me le défait, ôte ma ceinture, me dégrafe le pantalon, le vire et vient me faire un baiser sur
la bouche et me dit « je crois qu’il faut que je fasse mes marques, car j’ai eu beaucoup de monde, me demandant de te libérer, pour qu’ils t’engagent ». Je lui souris, il me prend
la bite, la caresse, me tripotent les bourses, et commence à glisser un doigt dans mon cul, j’écarte les cuisses, lève mes fesses, le laisse faire, il s’approche de ma bite, la prendre dans
sa bouche, il me lape, va mettre sa langue sur ma raie, j’ai les jambes relevées, mon cul est offert, je n’avais jamais été léché par un mec avant, il sait y faire, mais s’il veut mon cul il
peux courir avec sa grosse bite, il tire sur sa chemise baisse son froc. Il vient se mettre devant moi, s’allonge sur moi, nos deux corps nus s’épouse à merveille, nous nous frottons les deux
sexes ensemble, je respire de plus en plus fort, il prend du gel, me demande si je suis d’accords, je ne réponds pas, il me lève les cuisses, me badigeonne de gel la raie du cul, entre un
doigt, deux, je gémis, il me pénètre, enfonce-le tout au fond de mes entrailles, il ressort son doigt, me lèche les tétons et je sens sa bite butée sur mon anus, il force, entre le gland, je
suffoque, lui dis d’arrêter, que je suis puceau, que je ne peux pas la prendre, elle est trop grosse, il ne m’écoute pas, Il s’enfonce encore, je gueule, il est au fond, je respire fort,
transpire à grosses gouttes, il m’embrasse alors que je sens sa matraque défoncer mon rectum, il me baise, comme un taureau, il s’excite sur mon cul, je me branle, et je m’aperçois que j’aime
sa queue en moi, je jouis, il n’hésite plus, et me burine, comme un malade, je prends des coups de butoir, insupportable, il me transperce, complètement, je vais avoir le cul ouvert, ça c’est
sur, il n’arrête pas, me laboure encore un bon 1/4 d’heure, je n’en peux plus, même si les positions changent, je me prend son gourdin à chaque fois au fond du cul, il sort et m’éjacule
une saucée de sperme ça n’arrête pas de gicler, il est au cinquième jet, encore un, merde, il en avait à revendre, il s’abat sur moi. Je suis épuisé, il me dit qu’il a prévu, un théâtre ce
soir, si je veux l’accompagner, je le fixe, l’embrasse goulûment, me lève, mon cul est en feu, je lui rendrais au centuple ce qu’il vient de me faire. Il me dit ce que je dois mettre, il a
vraiment beaucoup de goût, nous voilà reparti dans une Bentley. La soirée continue dans les présentations, des relances me viennent de temps en temps du cul me rappeler ce que j’ai subi tout
à l’heure. Plusieurs mecs et filles, me tournent autour, ils me disent que je suis un beau mannequin, que je devrais venir dans leur agence, mais mon boss arrive, me prend la main, et
leur signale que j’ai déjà un contrat avec lui. La soirée est génial, nous rentrons, et me demande de venir dormir avec lui, je le suis dans sa chambre, je le caresse à travers son pantalon,
ses fesses me plaisent beaucoup, je lui dis que j’aimerai bien y faire un tour. Nous nous déshabillons. Il se frotte à moi, me caresse, m’embrasse, me lèche, je lui tripote le derrière, le
tourne, je m’abaisse, lui écarte, les miches, sa queue pend entre ses cuisses, il glousse quand je mets ma langue sur sa rosette. Je ne peux qu’admirer ce spectacle, il a un cul d’enfer, il
me presse la tête entre ses fesses, je le léchouille, lui lape la rondelle, l’excite, il me dit « ok, tu peux me prendre », je remonte le long de son corps, ma queue vient buter
dans son entre jambe, il se met à quatre pattes, j’admire la vue de sa grotte, prête pour moi, j’avance, positionne ma bite devant son petit trou, je frotte mon gland, je suis tellement
mouillé que je n’ai pas besoin de gel, je force, le gland s’enfonce, il pousse un cri, me tient la main sur sa cuisse, je continu, mon ascension, il est super bon, je prend un pied
fantastique, je rentre complètement mon chibre, il me dit sentir mes bourses, il bouge son petit postérieur, je remue aussi, mes vas et vient, commence à le faire réagir, il gousse, se
branle, écarte encore plus ses jambes, remonte son cul, je le transperce, jusqu’au fond pour me venger, il aime ça, je le tringle encore plus fort, j’adore son cul, il gémit de plus en
plus, je sors, le retourne, lève ses jambes, je veux le voir, pendant qu il jouit, et qu’il voit que je le baise, je reprend ma place en lui, il me fixe, je m’arrête pas pour autant mon
ramonage, il sourit de bonheur, son gland est tout rouge, sa bite à une dimension surnaturelle, je m’excite encore plus à la voir, il se cambre pour m’avoir dans ses parois les plus intimes,
je viens l’embrasser, le perce de plusieurs coups de butoir, il me serre fort, il jouit, entre nous deux, pendant que je lâche ma purée dans son postérieur. Nous ne bougons pas il me caresse
le dos, me câline, il me dit « j’aime bien quand tu me prends ». Mais fait attention à ton petit cul car il me plait aussi. Je le force à rouler sur le lit. Le sommeil nous envahi.
Au matin, je sens sa présence, je le réveille, car nous devons partir bientôt, il me caresse, et me dit « oui Boss », je souris, lui donne une tape sur la fesse et bouge. Nous nous
retrouvons, costume cravate, tous les deux, près pour partir après un petit déjeuner. Je dois faire plein de chose pour lui, aujourd’hui, nous nous retrouvons, vers midi car il doit se rendre
à un déjeuner, avec un grand couturier, il m’abandonne, en me tripotant les fesses, pas très gentleman, mais j’aime bien. Il m’appelle vers 14 h, il faut que je monte le voir chez le mec, je
sonne, un jeune m’ouvre, je rejoins mon Boss, je ne connais personne, ils me regardent tous, me fixent, je mate Abel pour savoir pourquoi je suis là, il me prend le bras, et me dis que je
vais passer un casting pour le futur défile du créateur. Je proteste, je ne sais pas le faire, ils m’observent tous très sérieux, je comprends que je vais devoir jouer les pantins pour que
mon Boss ait le contrat. Il me fait un clin d’œil, je pars avec une femme, elle me donne des vêtements à essayer, je me déshabille, devant d’autres mecs qui attendent aussi, personne ne me
regarde, je me rhabille, et attends, nous rentrons tous dans la pièce, et commençons par aller deux par deux, je fais ce que je peux, après trois heures d’essayage nous repartons, Abel me dis
qu’il a eu le contact grâce à moi, que je mérite une super prime, je suis heureux, je ne dépense pas un rond du mois et j’en gagne à gogo. Il s’approche et me demande si j’ai un créneau de
libre pour la soirée, je souris, « à votre service Boss », il me tape sur la tête, « bon, nous allons nous changer, car ce soir, tu fais ta première dans le grand monde.
http://gayshistoirescooletclean.erog.fr/article-le-secretaire-particulier-abel-125753936.html
L'intervention de Pierre Bergé | Vu: 2053 fois © L'amour fou
D’origine modeste, Pierre Bergé s’est d’abord essayé au journalisme avant de repérer de jeunes talents. Après avoir fréquenté Jean Giono en tant
que secrétaire, puis le peintre Bernard Buffet, il perçoit le génie d’Yves Saint-Laurent et se donne pour mission de le développer.
C’est aux funérailles de Christian Dior que Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent se rencontrent. Leur relation démarre rapidement, et Pierre
Bergé se charge d’aider sa jeune recrue à ouvrir sa propre maison en 1961. Les rencontres de ce type sont "aussi folles" que le récit "Abel"
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