Dimanche 27 mars 7 27 /03 /Mars 01:27
...pour une raison ou une autre. Plus souvent le week-end car son mari se rendait souvent à des réunions ou séminaires. Présentation. 
 Comment un homme qui ne touche plus sa femme depuis des mois et des mois peut-il exiger la fidélité à sens unique ? ce lycéen aura la vie entière pour y réfléchir. Drame.
 
 
 
 
C’était elle, Mado, mon amour.
Dès la porte refermée elle marqua également un temps d’arrêt à cause de la pénombre. Puis en s’avançant elle chuchota :
- «Tu es là ?
- «Oui, au fond de la grange !
- «Ouf ! J’avais tellement peur que tu n’aies pas trouvé mon mot.
Quelques secondes plus tard nous étions face à face. Je la pris alors tendrement dans mes bras et aussitôt nos bouches se joignirent et nous échangeâmes notre premier baiser. Ce fut un baiser fougueux, brutal. Nos dents s’entrechoquèrent, nos salives se mélangèrent, nos langues entamèrent un ballet frénétique. Je la tenais serrée contre moi, à lui couper la respiration. Elle avait mis ses bras autour de mon cou, une de ses mains derrière ma tête me pressait contre sa bouche dans une étreinte violente et sauvage.
Au bout d’un certain temps nous reprîmes nos respirations et, tout en couvrant ma bouche et mon visage de baisers, elle me dit:
- «Mon chéri, mon amour, si tu savais combien j’ai attendu ce moment là. J’ai tellement hésité, tu es si jeune! Mais j’avais bien remarqué que tu ne ratais jamais une occasion de me mater. Comme il y a quelques jours quand j’ai soigné ta blessure. Tu sais, je l’ai fait un peu exprès, pour te provoquer. J’ai bien vu que tu n’étais pas insensible au spectacle que je t’ai proposé. L’apothéose ce fut au bal. Là aussi j’ai hésité à accepter ton invitation, la peur du «qu’en dira-t-on». Mais après je n’étais plus en état de réfléchir et d’agir normalement. Tu sais, lorsque nous nous sommes séparés je suis rentrée rapidement, je m’étais aperçue qu’il y avait une tache humide sur le devant de ma jupe. Mais qu’est-ce que j’ai aimé! Il y avait si longtemps que je n’avais pas ressenti un tel plaisir. Merci mon chéri!
Et nous repartîmes de plus belle à nous embrasser.
Bien évidemment depuis le début j’avais une érection d’enfer. Mado frottait son ventre contre cette protubérance qui lui rendait hommage.
Elle n’avait pas mis sa veste. Elle était vêtue d’une jupe et d’un chemisier dont la blancheur ressortait dans l’obscurité. J’entrepris d’extraire le léger vêtement de la ceinture de la jupe et bien vite mes mains se faufilèrent et caressèrent la peau nue parcourue de frissons. Bientôt elles atteignirent l’attache du soutien-gorge qui fut rapidement libéré. Une de mes mains s’insinua alors entre nos deux corps et parvint à dégager un bonnet, ce qui ne fut pas aisé vue la taille de la poitrine et la force avec laquelle elle me tenait plaqué contre elle Je pus alors empaumer à loisir la merveilleuse rotondité. La chair était ferme, souple et si douce. Le téton dardait fièrement exprimant tout le plaisir du moment. Je le pinçais légèrement entre le pouce et l’index. Mado exhala un léger gémissement.
Mon autre main avait atteint la ceinture de la jupe et, après avoir baissé la fermeture éclair, se battait avec l’agrafe qui maintenait encore le vêtement. Face à mes tentatives qui restaient vaines, Mado dégagea ses bras de mon cou et vint à mon secours. J’aidais la jupe à passer la protubérance des fesses, puis la laissais glisser dans un frottement soyeux le long des longues jambes.
J’eus alors la confirmation que Mado était une adepte du string. J’avais sous la main l’élastique qui faisait le tour de sa taille et le léger tissu qui disparaissait entre les deux hémisphères à la rotondité parfaite. Sous l’élastique du string, ma main identifia le porte-jarretelles en dentelle.
J’entrepris alors de déboutonner fébrilement son corsage que j’ôtai avec le soutien-gorge. Mado était pratiquement nue. Je me baissais alors et de mes deux mains je fis glisser le string en forçant un peu pour dégager le tissu d’entre ses fesses.
Mado, seulement vêtue de son porte-jarretelle et de ses bas s’offrait désormais nue à mon regard. Le clair obscur qui régnait dans cette grange donnait encore plus de volume à ses formes. La sensualité qui se dégageait de ce corps, les rondeurs, les formes pleines appelaient la douceur d’une caresse. Le spectacle offert était digne d’une photo d’art en noir et blanc d’une vénus callipyge.
Je n’avais pas bougé de ma position à genoux. Devant mes yeux je pouvais apercevoir un petit triangle de lumière formé par le sexe et le haut des cuisses qui se joignaient quelques centimètres plus bas. J’approchais mon visage de cet antre d’amour. Je respirais les effluves affolants qui chatouillaient mes narines. La toison qui s’offrait à mon regard était nette et bien taillée, une épilation précise avait complètement dégagé les lèvres du sexe. Je plongeais avec délice ma bouche sur ce fruit offert, ma langue pénétra dans cet antre d’amour. De mes deux mains je cramponnais ses fesses afin de mieux communier avec le merveilleux corps qui s’offrait sans retenue. Pour me faciliter la tâche, elle avait largement écarté ses cuisses, ses deux mains pressant ma tête sur sa vulve déjà humide du plaisir qui commençait à l’envahir.
Ma bouche aspirait maintenant goulûment le clitoris turgescent qui dardait fièrement, ma langue jouait avec lui, tournait de plus en plus vite en le pressant dans une caresse démoniaque.
Mado ne résista pas longtemps à ce traitement. Ses jambes commencèrent à trembler, son bassin fut agité de spasmes de plus en plus violents, sa gorge laissait maintenant sortir un gémissement continu. Tout à coup son corps se tendit, je sentis les muscles de ses cuisses se tétaniser, elle exhala une longue plainte de femme comblée, un flot de son liquide d’amour sortit de son sexe, je m’empressai de le boire avidement jusqu'à la dernière goutte.
Après quelques instants qui lui permirent de récupérer et alors que j’étais toujours occupé à lui nettoyer le sexe de toute trace de sa jouissance, elle me fit relever :
- «Viens, on va dans la voiture, j’ai envie que tu me pénètres, je veux sentir ton sexe dans mon ventre.
Je la suivis jusqu’au véhicule. Pendant qu’elle baissait les sièges afin de nous faire une couchette, j’ôtais prestement mes vêtements. C’est avec le sexe conquérant que je pénétrais dans l’habitacle. Mado était déjà allongée sur le dos, les cuisses largement ouvertes, les genoux remontés, s’offrant impudiquement.
- «Viens, viens tout de suite, je te veux.
Je m’allongeai sur son corps et c’est elle même qui saisit mon sexe pour le présenter à l’entrée de sa caverne en ébullition.
- «Vas-y mon chéri, pénètre moi jusqu’au fond de mon ventre, donne moi ta liqueur de vie. Là, doucement, doucement, laisse-moi apprécier. Oui, comme ça! C’est bon! C’est bon! Ouiii!Ouiii! Vas-y, va au fond. Oh mon Dieu que c’est bon! Haan Haan!Ne va pas trop vite, lentement, lentement. Que tu es gros, tu me remplis toute. Comme je te sens bien dans mon ventre. Mon vagin est trop sensible, je vais jouir trop vite. Accélère maintenant. Vas-y! Plus vite! Plus vite! Bourre-moi à fond! Ouiii! Ouiii! Haaan! Haaan! Mon chéri! Mon chéri! Je t‘aime! OUI, OUI OUI OUI OUI...
Je sortais toute la longueur de ma verge pour la ré-entrer aussitôt d’un mouvement rapide et puissant. Je butais concomitamment et brutalement mon pubis sur son clitoris et mon sexe sur le col de l’utérus au fond de son vagin. A chaque mouvement je lui arrachais un cri de jouissance qui allait crescendo. Son bassin était animé d’une houle qui devenait incontrôlable et qui manquait à chaque fois de m’expulser de son corps. Bientôt elle fit aller sa tête en tous sens et elle hurla son bonheur.
- «Je viens! Je viens! Vas-y mon chéri, viens en même temps que moi, VIENS, VIENS, VIIEEEENS......
Ne pouvant résister plus longtemps, je laissais ma jouissance exploser au moment où son corps se raidit. Elle retint sa respiration, ses ongles s’enfoncèrent dans mes épaules, mon sexe n’arrêtait pas de cracher sa semence, d’impressionnantes quantité de sperme emplirent son ventre.
Enfin elle relâcha sa respiration dans un gémissement rauque, ses muscles se détendirent et elle resta inerte en murmurant dans un souffle:
- «Que c’est bon! Que c’est bon! Je n’ai jamais autant joui! Merci mon amour.
Nos lèvres se soudèrent, mêlant salives, transpirations, souffles brûlants.
Qu’elle était belle ma chérie après l’amour, le souffle court, le corps couvert de sueur, la tête échevelée, ses fins cheveux blonds collés sur le visage.
Mon sexe avait un peu perdu de sa rigidité mais en avait suffisamment conservé pour rester fiché dans le sexe de Mado. J’avais saisi son visage entre mes deux mains et lui déposais de petits baisers partout en léchant la sueur qui s’écoulait sur son front, ses joues, son cou.
Elle ronronnait, dégustant ces ineffables moments d’après l’amour où le corps, rassasié et repu de fatigue, apprécie cet instant de repos.
Puis je me suis dressé sur les bras pour revenir au niveau de ses seins, ces magnifiques globes que je n’avais pas encore eu le temps de véritablement apprécier. Malgré la position allongée ses deux seins pointaient fièrement, en deux globes parfaits, défiant les lois de la pesanteur.
Je pris délicatement un téton entre mes lèvres, l’aspirais dans ma bouche, sur ma langue, le mordis légèrement. Mado écrasa ma tête sur sa poitrine à m’étouffer. Puis elle fit passer ses tétons l’un après l’autre dans ma bouche. Ces derniers prirent rapidement un volume impressionnant, je les sentais durcir sous ma langue trahissant ainsi l’émoi dans lequel ma partenaire se trouvait.
L’érotisme de la situation eut tôt fait de rendre à mon sexe toute sa rigidité initiale et je repris lentement mes va-et-vient dans le ventre de ma dulcinée.
Chaque pénétration était accompagnée d’un bruit de succion et rejetait à l’extérieur du vagin de Mado le sperme provenant de ma précédente éjaculation.
Bien vite son bassin vint à ma rencontre. Comme pour mieux se faire pénétrer elle avait entouré ma taille de ses deux jambes et me bloquait entre ses cuisses comme dans un tendre étau.
La folie de la première étreinte étant passée, nous savourions mieux ce nouvel accouplement. J’effectuais des mouvements amples, profonds. Je réglais le rythme de ma respiration au rythme de mes pénétrations. Mado avait une respiration plus désordonnée, je sentis bien qu’elle avait atteint un niveau de sensibilité et d’excitation extrême qui ne lui permettrait pas de tenir longtemps avant de connaître un nouvel orgasme.
Effectivement, quelques coups de reins plus tard, elle se mit à hurler son plaisir, encore plus bruyamment que précédemment. Ses coups de reins devinrent violents et elle fut traversée par un orgasme dévastateur.
Pour ma part j’avais réussi à me maîtriser. Sans attendre qu’elle récupère, je la fis mettre à quatre pattes et c’est en levrette que je l’entrepris. Cette position était encore plus jouissive que la précédente dans la mesure où j’avais une vue directe sur son magnifique postérieur. Deux rondeurs, deux globes d’un blanc lumineux qui à chaque coup de boutoir tremblaient comme une masse gélatineuse. Je ne me privais pas de malaxer ces superbes fesses. Tout en la pistonnant, je laissai ma main suivre le profond canyon qui séparait les hémisphères jumeaux. La position me facilitait la tâche.
Le sillon était tout humide du sperme qui s’était écoulé de sa précédente position. Ma main parvint à l’anneau anal. Je le titillais avec mon index. Il répondit à ma pression en se contractant puis en se relâchant. Je n’eus pas à forcer beaucoup pour laisser mon doigt s’introduire tant la lubrification était parfaite. Rapidement tout mon index fut absorbé. La situation était d’autant excitante que je sentais mon sexe de l’autre côté de la membrane qui séparait les deux cavités et vice et versa. Mado donnait maintenant de brutales saccades avec son arrière train, je ne savais pas quelle pénétration elle essayait ainsi de faciliter. Dans le doute je redoublais d’ardeur dans ses deux orifices.
Je sentis qu’un nouvel orgasme allait bientôt la terrasser. Aussi j’accélérais la cadence pour être de concert avec elle.
Mon pubis claquait maintenant contre ses fesse, mon doigt fouillait profondément ses intestins. Et elle explosa. Un énorme cri de bête sauvage fit vibrer l’air. Je me libérais et lâchais d’énormes saccades de sperme dans son vagin en feu, je ne m’arrêtais plus, mon sexe était pris d’une véritable folie libératrice.
Nous nous sommes écroulés l’un à côté de l’autre, nous avions des difficultés à reprendre nos respirations.
Mado tourna sa tête vers moi :
- «Je suis morte ! Tu m’as tuée ! Huuuummmmm ! dit-elle en étirant son merveilleux corps devant mon regard admiratif.
Elle posa sa cuisse repliée sur mon ventre et se colla tout contre moi. Son sexe trempé reposait sur ma hanche, je sentis le sperme s’écouler contre ma peau.
Jamais je n’avais été si heureux. J’avais du mal à réaliser que moi, Ludovic, jeune étudiant de 18 ans, je venais de faire l’amour avec une femme de 35 ans, la plus belle femme qui m’ait été donné de rencontrer au cours de ma jeune existence, une femme sur laquelle tous les hommes se retournaient dans la rue, une femme qui attirait le regard de tous les mâles dès qu’elle entrait quelque part mais aussi le regard jaloux de toutes les femmes.
Hélas, l’heure avait tourné vite, trop vite.
Rapidement nous remîmes de l’ordre dans la voiture. De larges taches humides constellaient la banquette.
Par contre nous eûmes un peu de difficultés à retrouver nos vêtements éparpillés sur le sol de la grange.
Quelques instants plus tard après avoir retrouvé une tenue plus décente, nous dûmes malheureusement nous séparer.
Nous échangeâmes un long baiser passionné. Mado me jura qu’à la première occasion elle me ferait signe pour que nous puissions de nouveau nous étreindre et nous aimer.
Sur un dernier baiser elle referma la porte derrière moi.

Au cours des deux mois de cet été là, nous eûmes effectivement l’occasion de nous revoir de multiples fois. Quelque fois le soir lorsque son mari s’absentait pour une raison ou une autre. Plus souvent le week-end car son mari faisait partie de plusieurs associations professionnelles et se rendait souvent à des réunions ou séminaires.
A chaque retrouvaille nos rapports montaient en intensité. C’était devenu une véritable relation de deux êtres amoureux l’un de l’autre. Nous ne nous posions pas de questions, seul notre bonheur comptait.
Mon plus beau souvenir date d’un dimanche d’août où mon patron était parti dès 7h du matin participer au congrès départemental des sapeurs pompiers. Son absence devait durer toute la journée jusqu'à une heure avancée de la nuit. Véronique, leur fille, était partie tout le mois d’août encadrer un groupe de jeunes dans une colonie de vacances. Alors nous avons passé toute la journée ensemble, toute la journée au lit à nous aimer. Nous avons fait l’amour, encore l’amour toujours l’amour. C’est ce jour là que nous nous sommes initiés à la sodomie. Mado a adoré. Moi aussi. Quel plaisir en effet de voir mon sexe fièrement dressé, fiché comme un pieu dans les reins de mon aimée, aller et venir entre ces deux rotondités qui, par la douce et ensorcelante pression qu’elles exerçaient, contribuaient à augmenter mon plaisir. Cette journée fut inoubliable, nous en sommes ressortis complètement groggy.
Et puis malheureusement le temps a passé. Le temps des vacances aussi.
J’ai repris le chemin du lycée. Nos rencontre se firent plus rares et ne pouvaient désormais n’avoir lieu que le week-end lorsque c'était possible.
Heureusement vint le temps de la chasse. Le mari de Mado était un passionné. Aussi, à partir de cette période, nous nous vîmes tous les dimanches. J’entrais discrètement dans la maison et la rejoignais dans sa chambre. Bizarrement je ne rencontrais jamais Véronique, peut-être sortait-elle? Si ce n’était le fait de devoir attendre toute une semaine, là aussi ce fut une période merveilleuse.

Ça c’est passé un matin brumeux de janvier. Il faisait froid, le temps était couvert, une triste journée d’hiver. Il devait-être aux environs de 8 heures, ce jour là mes cours commençaient à 9 heures, je travaillais donc en salle d’études. Un surveillant est entré, est venu vers moi pour me dire que l’on me demandait au téléphone. Je sortis avec lui et il m’indiqua la numéro de cabine. Celles-ci se trouvaient au bout d’un long couloir. En m’y rendant, je ne pouvais m’empêcher d’être inquiet. Ce devait-être urgent pour qu’on me dérange ainsi.
Je décrochai le combiné pour aussitôt entendre la voix de Mado au bout du fil. Celle-ci paraissait excitée.
- «Ludo? Mon chéri! Mon chéri! Tu ne peux pas savoir le bonheur qui nous arrive!
C’est toujours inquiet mais curieux de connaître la suite que j’attendis.
- «Allô Allô! Tu es là?
- «Oui, oui! Je t’écoute!
- «Oh mon Ludo! Je suis si heureuse! Je viens de téléphoner au laboratoire! Je suis enceinte, il n’y aucun doute! Qu’est-ce que je suis heureuse!
- «Enceinte? Mais..., mais...., tu es sûre que c’est moi qui.......?
- «Bien évidemment grand fou! Mon mari, ça fait des mois qu’il ne me touche plus. De toute façon il n’aurait pas été question qu’il me touche depuis que je te connais!
Soudain j’entendis un bruit épouvantable en arrière plan, comme un bruit de bois brisé.
- «Salope! Putain! Espèce de traînée! J'ai tout entendu! T’as un gigolo! Je m’en doutais! Et en plus il t’a engrossée! Espèce de putain! C’est lui au téléphone? donne moi ce téléphone!
- «Non! Non! Lâche-moi! Lâche ce fusil! Tu es fou! NONNNNNN!
Une formidable déflagration retentit dans mes oreilles. Puis le silence si ce n'était le tut, tut... dans le combiné.
Je sortis de la cabine hébété, une immense douleur m’enserrait la poitrine comme dans un étau. Je fis quelques pas dans le couloir en titubant puis m’écroulais.
Je me réveillais sur un lit d’hôpital. Je mis plusieurs minutes à réaliser. Je vis maman assise près de moi, elle me tenait la main. Puis tout me revint, Mado, le téléphone, son mari, le coup de fusil.
Je hurlais:
- «Mado, Mado! Qu’est-ce qu’elle a? Dis-moi! Qu’est qu’elle a? Elle a été blessée? Elle n’est pas......?
Maman en pleurs me fit signe que si de la tête.
Cette insupportable douleur revint dans ma poitrine.
- «NONNNN! NONNNN!
Une infirmière fit irruption dans ma chambre, elle me piqua aussitôt le bras et je retombai dans un sommeil artificiel. J’eus un sommeil agité, peuplé des pires cauchemars.

Je ne sortis de l’hôpital que deux jours plus tard. J’appris qu’avant mon premier réveil j’étais resté, trois jours, inconscient.
Je partis en convalescence chez mes parents....
 
 
 
 
Par DRAME ADULTERE - Publié dans : ELLES ET NOUS & VIDEOS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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