Samedi 11 juin
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On se tutoie ? Allez, hombre cela fait un paquet d’années qu’on se connaît...
se vouvoyer entre nous, cela ferait un peu étrange, voire… de droite ! (Ne sors pas ton direct du gauche).
http://konmexplik.blogspot.fr/2010__11_01_archive.html
Tu es un type formidable et je suis fan depuis longtemps. Cette note sera à verser dans le classeur solide de ceux qui t’apprécient, pas dans
l’armoire en fer de ceux qui lancent des piques.
Le texte qui suit est à utiliser comme CQFD si on te cherche des noises, mais au fond tu t’en moques, tout comme ces dirigeants cyniques des causes
perdues. Les jaloux diront que tu as déjà vécu l’équivalent de 24 vies, que tu exagères, que tu romances la moindre visite de courtoisie de deux jours dans une zone au sud de Copenhague en
un film façon « Bruce Willis meets Kerouac au pays de Jack London qui joue de la bossa nova entouré de desperados tatoués en buvant, la nuit, de la tequila piratée livrée par des lolitas
inflammables »… mais ce sont des envieux et eux n’ont jamais connu l’aventure, la vraie.
Tu nous chantes de très belles histoires depuis plus de 20 albums en comptant les « live », ça c’est prouvé, solide, gravé dans l’or des
fous et le platine des souvenirs intimes. Pour celui qui raconte des histoires la force, c’est de bien nous les raconter. Que ce soit vrai, faux, authentique, imaginaire, exagéré ou enjolivé… ce
n’est pas grave au contraire, c’est passionnant. Et toi, tu sculptes des récits pleins d’exotisme torride, de révolutions à venir, de gangsters au grand cœur, de sueur dans le dos, de couteaux
effilés et d’eau à trente degrés. Tu l’as dit toi-même, on retient les chansons et les textes, moins le troubadour et ses histoires perso’.
Cependant, dans la musique nous savons que le sang du compositeur et son âme donnent la couleur et le fond des chansons. Il y a des disques qui
atteignent un niveau plus haut que les autres en termes de classe et de pérennité. La noblesse dans la musique, est définie par une ligne invisible mais coupante comme un rayon laser qui séparera
pour toujours et sans appel les Clash des Plastic Pantins, Jacques Brel de Popaul Variétoche et Bruce Springsteen des San Antonio Country Fellows. On voit mal Justin Bieber imaginer «Les
Bourgeois », Madonna nous accoucher de « London Calling » ou enfin un pantin de télé-crochet nous écrire « Fensch Valley » à partir d’une feuille blanche, usant du
copier-coller avec le charisme d’une Lada en panne et de l’inspiration avec l’authenticité d’un sac Vuitton à 10 euros négocié sur une plage de Toscane.
Alors, mon cher Bernard, tu peux dormir tranquille, pour nombre d’entre nous, tu fais partie de la première division musicale avec ses mythes et ses
héros, nimbés de la nostalgie propre aux grands moments personnels.
Old Gringo, d’accord… but forever the best !
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anonyme : cette ceinture rouge
je la reconnais je l'ai vue desserrée ...
Une fois de plus, nous voyons que pour être relativement heureux, bien dans sa peau et avec les
autres, il est nécessaire d'être en mesure de maîtriser ses pulsions négatives. Seulement voilà ! Pour y parvenir, il faut d'abord être conscient des charges négatives que l'on porte au plus
profond de soi-même ! Il faudrait pour cela avoir quelques notions de psychologie humaine et de psychanalyse.
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/936655-pierre-palmade-est-triste-d-etre-homo-je-suis-passe-par-la-je-le-comprends.html
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