Dimanche 7 février 7 07 /02 /Fév 23:55

  Michel a ramené dans ses bagages une « fucking machine », espèce de moteur muni d’un bras métallique et, au bout, le gode de son choix, avec télécommande pour gérer la rapidité de la pénétration 

 

 

 

 

 

 

On passe à table et nous discutons de choses et d’autres, et bien sûr de sexe. Le plaisir anal solitaire à l’aide de godes ou de légumes, les parkings ou sauna, et la conclusion est vite vue : les plans salon sont les meilleurs. Je demande aux hommes s’ils se sodomisent souvent en solo, et Michel me répond qu’il a mieux qu’un simple gode. Lors d’un voyage en Californie, il a ramené dans ses bagages une « fucking machine », espèce de moteur muni d’un bras métallique et, au bout, le gode de son choix, avec télécommande pour gérer la rapidité de la pénétration. Ayant vu cela sur Internet, et ayant toujours voulu goûter au plaisir d’être baisé sans fin, je lui fais part de mon désir de tester la chose.

 

Il va dans sa chambre et ramène un gros sac de sport, qu’il déballe rapidement et il s’affaire à monter tous les accessoires ensemble. Il ouvre une boîte contenant cinq godes différents, parmi lesquels il me demande de choisir. J’opte pour un des plus gros, une bonne vingtaine de centimètres et un diamètre de facilement cinq centimètres. Il s’empresse de le fixer et de brancher la machine. Le moteur se lance, et le gode de faire de l’aller-retour d’une bonne amplitude. Il me donne la commande et je teste la machine et sa rapidité en visuel pour l’instant.

 

On se remet à table, mais mes yeux ne sont que pour cette machine. Michel s’en rend vite compte et nous fait la remarque que je ne puis attendre le dessert. Nous rions tous de bon cœur, mais en fait il a raison, et je le leur fais remarquer.

 

  • — Eh bien vas-y maintenant, tu seras notre dessert.

 

Michel propose de m’aider, je me mets à quatre pattes, m’enduis de gel, et me place au bout du gland de latex. Je me recule et le gland pénètre relativement facilement, je prends la commande, et l’enclenche en vitesse minimum. Le gode rentre lentement, vu la vitesse, mais pénètre à fond en une fois. L’avantage des machines : ça ne jouit pas, donc ça continue « ad vitam », mais par contre, la sensibilité humaine n’est pas au rendez-vous et le gode pénétrant à fond me surprend, me faisant un peu mal et surtout me déséquilibrant vers l’avant. Franche rigolade dans mon public, mais je ne m’avoue pas vaincu et recommence, Michel me suggère de le mettre en marche avant et de me placer ensuite, chose que je fais, et effectivement, j’apprends à mieux gérer la machine et mon équilibre. Le gode rentre maintenant profondément à vitesse régulière, mon plaisir s’envole et, doucement, j’accélère la vitesse.

 

Un flash se produit dans ma tête, cette machine est époustouflante et je leur en fais la remarque entre deux soupirs. Michel me répond que le meilleur est à venir. S’approchant de moi, il me prend les deux poignets qu’il tient fermement, il appelle les deux autres à me tenir chacun une jambe et, doucement, tourne le curseur sur vitesse maximale. Je ne puis bouger, mon cul offert à la machine, recevant ces longues et rapides pénétrations qui me font littéralement monter à la jouissance anale maximale. Je crie en continu mon bonheur, mon cul me chauffe, limite douleur, une main me masturbe et, sans bander, j’éjacule très rapidement. La machine diminue de vitesse, mais continue profondément ses va-et-vient pendant une durée assez longue que je ne pourrais dire, mais en tous cas bien plus longue qu’un coït normal. Mon cul n’est que feu, mes bras et tout mon corps meurtris, ankylosés, mais mon esprit par contre est serein grâce à cette merveilleuse machine. Je fais signe à Michel qu’il est temps que ça s’arrête. Je me « décule » de la machine, me relève, un peu titubant, et vais m’asseoir dans le fauteuil, un doigt sur ma rosette que je masse doucement après l’effort.

 

Alain décide de profiter aussi de la machine, et c’est en spectateur passif que j’observe le plaisir qu’il éprouve. Michel, excité et bandé à souhait, se place derrière Denis et le prend en levrette, permettant à Denis et Alain de s’embrasser pendant qu’ils se font enculer.

Après l’étreinte, le réconfort : nous allons nous coucher dans un lit extra King size, et je m’endors rapidement sans tenir compte de l'agitation de mes voisins.-lol-

Par LE MECANODELAGENERALE - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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