Partager l'article ! LA LECON A ETE PLUTOT POUR LE MAITRE que pour l'élève: ...
— Lèche ! Je te dis ! gueula-t-il et, avant que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, il donna un coup dans les couilles avec son pied droit qu’il avait momentanément retiré de mon visage. Je sautai en l’air, soufflé par la brusquerie de l’attaque. Quand il me remit son pied sur le visage, je l’engloutis sans discuter, surpris de m’être transformé en quelques minutes en un serviteur d’un maître que j’avais initié à peine une heure plus tôt.
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Illustrations d'ambiance du net par claudio
[...] Mais, putain de merde, ce débutant timide suçait méchamment bien et me flanquait des étoiles dans les yeux à chaque coup de langue sur mon gland qui avait maintenant presque doublé de taille et qui était devenu cramoisi, selon ce que je pouvais en voir quand il n’était pas caché au fond de la bouche de Sébastien. Ce dernier s’agrippait de plus en plus fort à mes couilles avec lesquelles il jouait tantôt avec douceur tantôt avec une certaine violence – il les tordait et les malaxait – qui me faisait pousser des cris d’un plaisir profond, mon bas-ventre étant traversé des décharges électriques que ce maniement brusque créait. Sentant où me menaient mes goûts, il me donna finalement une vive tape dans les couilles avec son poing fermé ce qui me fit presque me plier en deux. La douleur, aussi foudroyante que délicieuse, qui traversa mon bas-ventre me mena aux limites de l’éjaculation et j’eu besoin de toutes mes forces pour la retenir. On aurait dit que Sébastien avait fait cela toute sa vie.
Quitte à baiser, alors autant aller au bout des choses. Je me résignai donc à cette situation, certes non recherchée mais combien fabuleuse dont je compris qu’elle ne pourrait plus être interrompue. Je stoppai Sébastien dans la fellation qu’il me prodiguait et me couchai par terre sur le dos. Je lui fis comprendre que je voulais un 69. Il était un élève rapide et doué. Il ne mit pas deux secondes à comprendre. Mais, il ne donna pas suite immédiatement à mon invitation, en me lançant :
— Ne sois pas si pressé ! Nous avons le temps. Reste couché et laisse-moi faire !
J’étais de plus en plus interloqué par le fait qu’il avait maintenant pris le commandement. Il dictait l’ordre et le déroulement de nos jeux. Il n’avait rien à apprendre. Il avait juste fallu faire sauter la chaîne qui le retenait. [...]
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