Samedi 26 août
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22:20
Quand j'avais 16 ans, j'ai décidé d'aller seul faire
une petite rando', avec l'intention de faire une nuit de camping sauvage.
Quand je suis
arrivé à un endroit où je devais sauter, une des sangles de mon sac à dos s'est desserrée, alors j'ai dû m'arrêter pour la réparer.
A ce
moment, je ne l'ai pas compris tout de suite, mais il y avait quelqu'un qui avait tout vu, il avait environ 30 ans, il m'a approché pour m'offrir son aide, ce qui m'a semblé être une vraie
chance !
Il m'a demandé ce que je faisais là ? et il me proposa de m'accompagner.
Il m'a dit qu'il était là parce qu'il avait bu la
nuit précédente, et c'était sa façon de cuver sa gueule de bois en allant respirer dans la nature en solitaire. Nous avions déjà beaucoup marché , et nous avons trouvé un endroit plat pour nous reposer. J'ai sorti mes couvertures, je les ai étendues, je les ai ouvertes, je lui ai offert de
manger, il n'a pas voulu.
Nous
avons commencé à parler, il m'a dit qu'il avait été avec une fille, il le racontait tellement explicitement, que...
son récit c'était à peu près ça : il avait fait l'amour à une minette et moi le puceau j'étais médusé
bien que je sois innocent et
vierge, je voyais en imagination les images de leur rencontre, ce qui m'a amené à avoir une érection.
Il l'a remarqué et m'a demandé s'il pouvait me la toucher,
très excité, je fus d'accord, il se mit à me la frotter tellement savamment que j étais sur le point d'exploser.
Il m'a demandé alors s'il
pouvait me la sucer, j'étais dans un tel état que je ne pouvais qu'être d'accord de nouveau, et là encore il le faisait si bien que je vins dans sa bouche et qu'il se lécha
les lèvres.
Ensuite, tandis que je récupérais doucement il me dit quelque chose qui, à la fois me
glaça, que je compris tout de suite et me tétanisa de désir : est-ce que je peux te tirer ?
Je ne savais que
vaguement ce que cela signifiait, et encore une fois, tout abasourdi de jouissance, je fus de nouveau d'accord, nous nous sommes installés sur les couvertures . Il me
maintenait en érection en me masturbant à des rythmes variés, j'y voyais un peu trouble au fond d'une fièvre encore inconnue. Il avait tout le lubriiant qu'il fallait dans ses poches il s'en mite
t surtout il m'en mit ce qui ne l'empêcha pas d'ajouter de sa salive en lubrifiant son membre dressé à mort. Plus tard j'ai su que c'était l'usage il m'a déployé la rondelle, a mis un doigt
et mon corps déjà s'est tendu et cambré, puis un deuxième doigt et, avec force salive, un troisième. Je ne pensais qu'à ce qui allait se produire : je me suis préparé à recevoir ce grand membre dans une
intimité que moi-même je n'avais jamais explorée. A ce moment il fit mine de tout arrêter : "tu sais je n'ai pas de capotes, cest toi qui dis si on le fait ou si on le fait pas". En fait, en y
repensant, c'est la procédure du consentement. Dans un halètement j'ai dit "ouihhhhh, on le fait, vas--y, encule-moi" car j'étais à sa merci, éperdu de désir homosexuel. Il est entré très
doucement à la fois respectueux et plein de savoir-faire. Après quelques centimètres de pénétration il s'est arrêté assez longuement. -"Ca va ? tu as mal ? je ne veux pas que tu aies mal"
je discerne aujourd'hui qui'il mêlait diplomatie et démagogie. J'avais mal, oui, mais de ce mal nécessaire quand on veut s'accomplir. Lubrifiant encore, il sortit et me regarda attentivement
l'anus. Son regard très privatif sur mon anus me "brûlait". Il reprit enfin et il it de petites allées et venues me demandant toujours si ça allait, si on continuait. Mes oui étaient
noyés dans mon souffle. Je oulais sentir son corps, mes mains cessèrent d'être immobiles. Je mis un doigt à la lisière de mon anus pour sentir la dureté de sa verge et comme elle allait, comme
elle venait. Là c'était devenu trop bon. Il fit encore quelques interruptions pour constater les effets de sa pénétration. Il était satisfait ça se comprenait à ses ouais ! murmurés : il se
régalait. Et moi sans m'inquiéter vraiment je touchais mon anus et contatais qu'il n'était"plus tout à fait pareil". -" si tu voyais comme tu es ouvert". Je hochais la tête... ça a duré. Il était
fort, aimant, caressant...et endurant. Surpris, je n'y avais jamais pensé, mais je me sentais bien, aimé, initié. En y repensant, sans m'avoir forcé puisque j'avais donné mon
consentement, ce jeune homme avait forcé mon destin. Là en pouvant constater l'ouverture de ma virginité, j'avais, MOMENTANEMENT, interrompu une certaine solitude mêlée
d'INDEPENDANCE. En y repensant, à partir de ce moment j'ai eu besoin d'un homme pour jouir. Disposant maintenant totalement de mon conduit il m'avait fait allonger Mon cul serrait davantage son
sexe, je pouvais sentir tout son poids, son souffle sur mon cou, les
caresses savantes sur ma peau qui exhaustaient mon plaisir sans le distraire car mon cul demeurait le centre de cette grande vibration. Le plaisir que mon AMANT - puisqu'il fallait
l'appeler par son nom- que mon AMANT me prodiguait généreusement. Je mettais encore mon doigt pour le sentir ce pénis adoré. Et son poids sur tout mon corps n'était
rien sinon la joie d'être à lui, eh oui, dominé !
Longtemps il est resté en moi, toujours me demandant si j'étais bien ? si vous vivez ça comme moi,
vous guettez les halètements de votre amant et ses soupirs, les arrêts qu'il est obligé de marquer quand la jouissance s'approche trop et l'attente délicieuse à deux, que "ça passe" pour
pouvoir rester encore collés, souffles et transpirations mêlés. Je considère comme une déception que mon dominant taise sa jouissance, mais mon amant de ce soir-là, sûr de n'être entendu que
de nous, rugit, prit mes flancs dans ss mains, froissa mes chairs. Mon cul était rempli de sperme. Et quoi se dit-on, et moi ???? Si votre amant est convenable, il va vous masturber,
vous sucer jusqu'à votre satisfaction. Non, il ne le fit pas et me laissa ce soin. C'est vrai que jétais complètement débandé...et ça se reproduisit toute ma vie, mon sexe dégoulinant de sperme
sans avoir joui.
Maintenant tout
épuisés on était chacun sur le côté, je touchais mes fesses glissantes et odorantes, lui était obnubilé par "la blessure" que son pénis m'avait faite, il touchait aussi et nos
doigts se mêlaient dans cette " célébration" il regardait ce que je ne pouvais pas voir : mon anus marqué par son passage qui gouttait, un mélange de sperme et un peu
de mon caca, et bien sûr du sang.
Cette image restera à vie.
Après nous nous sommes caressés
l'un l'autre et enfin embrassés, ce qui avait tardé. J'avais amené de l'eau et c'est lui qui m'a lavé. Ce geste m'a toujours manqué, excepté quand j'ai été à l'hôpital. Je me suis
préparé, en marchant je sentais (délicieusement) les parois de mon rectum frotter l'une contre l'autre, il m'a accompagné sur le chemin jusqu'à la partie goudronnée et on s'est dit au
revoir.
Je ne l'ai jamais revu.¤
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